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#EP31 – Le Parcours de Nicolas POPOVITCH-Le touche à tout de l’immobilier

 

Thierry : Salut à tous. Bienvenue donc dans l’entrepreneur Lifestyle Thierry #Henry. Aujourd’hui donc on va parler d’immobilier avec un touche à tout de l’immobilier que tu connais peut être Nicolas Popovich qui nous parle de son parcours.

Thierry : En général on prend un sujet précis. Mais aujourd’hui, on va plutôt partir sur son parcours car il a un parcours très intéressant. J’ai voulu que l’on aborde quelques sujets donc.

 

Thierry : Je vais donc te donner le site pour aller voir ce qu’il fait déjà tout de suite on perd pas de temps donc immobilier-compagny.com et puis comme je t’ai dis donc on va parler au début de son parcours comment il l’a fait son premier investissement.

 

Comment il est passé à l’immeuble à faire de l’achat revente, marchand de biens ? Comment il a passé la crise de 2008 ? D’expliquer que quand on a un peu divergé on est un peu eu des différences sur certains sujets donc tu vas voir on fait un peu de digressions personnelles sur nos femmes ne soit pas surpris.

 

Thierry : On aura quelques désaccords mais bon tu c’est que tu es du bon contenu et que tu sois content que tu deviennes aussi investisseur indépendant financièrement différent lorsque lui par l’ immobilier. Mais il a aussi fait beaucoup d’entrepreneuriat.  Donc je te dis à tout de suite avec Nicolas.

 

Thierry : Nicolas comment tu vas.

 

Nicolas Popovitch: Salut ça va Thierry Merci. Et toi.

 

Thierry : Très bien merci. Vendredi il fait beau. Ah, Ah on s’en fout toi la ou tu es il fait toujours beau.

 

Nicolas Popovitch: Pas aujourd’hui.

 

Thierry : Pas de chance.

 

Thierry :  on va parler d’immobilier ce qui est un peu logique aussi un peu de formation d’entrepreneuriat enfin un parcours assez atypique et assez large donc que tous ceux qui suivent centre pour un master vont pouvoir prendre des bonnes informations. Et puis après je te pose des questions générales sur l’immobilier alors je m’appelle Nicolas Popovich.

 

Nicolas Popovitch: Si jamais on me connaît pas je me suis lancé. Je considère m’être lancé dans l’immobilier souvent je dis 2003/ 2004 mais en vérité avant déjà j’étais dans l’immobilier puisque j’ai été courtier en prêts pendant deux ans et demi j’ai toujours un problème avec les dates 2 ans 3 un an et demi et deux ans et demi. Mais bon je pense que c’est 2 ans sur c’est ce que j’ai en tête. Avant j’étais agent immobilier et avant j’étais maçon donc maçon ça a duré six mois ça n’a pas été une aventure très profitable.

 

Nicolas Popovitch: Agent immobilier après ça a duré une bonne année mais bon j’ai fait plusieurs agences. Il faut quand même le préciser en tant qu’agent commercial indépendant. En fait j’ai été maçon salarié et après je suis devenu agent co. C’est comme ça qu’on me dit en fait c’est quand je dis agent de c’est le formulaire à remplir que tu pas sur la carte de commission.

Après j’ai été agent Co donc dans l’immobilier en tant que agent immobilier classique. Ensuite,  on m’a fait une proposition dans une boîte de courtage en prêt. Donc je suis resté deux ans sur. Et après pendant que j’étais courtier en prêts ici il y a eu plein de tribulations dans ma vie et j’ai fini par terre par hasard.

 

Nicolas Popovitch: Une opération dont j’ai communiqué que j’ai pas mal communiqué sur internet. C’est ma première opération j’ai acheté un appartement 45 000 euros. Et il m’a coûté 50 000 euros avec quelque 1000 euros en tout et je l’ai revendu 120.000 euros en très peu de temps.

 

Thierry : Donc une bon opération sans être déclaré en tant que marchand. Donc oui et c’est bien non. Qu’en soit tu gardes l’argent je ne sais pas si tu étais en tant que responsable.

 

Nicolas Popovitch: Je ne suis pas d’accord avec ça déjà tu vois je sais très bien ce que j’ai payé la plus value et j’ai montré tout de suite à la banque je pense que ça a contribué au fait que j’ai pu me lancer j’ai montré tout de suite à la banque que je paye des impôts et que je gagnais de l’argent et que j’étais un investisseur directement Oh.

 

Thierry : Tourner autour du pot.

 

Nicolas Popovitch: Moi je ne sais pas à l’époque c’est un grand mot c’était mon honnêtement. J’ai acheté un appartement je n’ai pas su quoi. En fait je n’étais pas d’accord sur ce qu’on allait faire. En fait on était plus ou moins d’accord qu’on voulait faire du business dans l’immobilier ma mère. Ce que je vais acheter avec ma mère et en fait on ne savait pas trop ce qu’on allait en faire puisqu’ils étaient louables.

Ca aurait été rentable ils auraient pu avoir plein de fonctions cet appartement. Bref je ne vais pas rentrer dans le détail et au bout de 6 mois je me rappelle très bien un jour je vais l’avoir. Du coup je pense que je peux le revendre plus cher que ce que je vais acheter me dit basse fellow pour boire. L’Allier n’y croyait pas. Pour être honnête.

 

Thierry : Et voilà en fait on l’a rendu précise aux auditeurs qu’on va parler de l’immobilier en général ce n’a pas encore dit beaucoup de choses on sait au téléphone on a parlé assez longtemps et qui habite à beaucoup de contenu. On sait bien que je ne sais pas si on fera un ou de son post.

 

Thierry : Donc c’est la série a commencé donc avec ta mère tu me dis que tu me le dis moi tu écris en famille tu fais que ta mère parce que à l’époque tu pouvais pas acheter par toi même ou tu l’as fait naturellement.

 

Nicolas Popovitch: En fait c’était marrant parce que tout bien expliquer en gros. Tu veux de son côté elle voulait faire quelque chose là dedans et moi de mon côté je voulais faire quelque chose là dedans. Et moi je voulais m’associer pour tout dire à cette époque là je voulais m’associer avec mon patron avec qui j’étais salariée quand je faisais les travaux.

 

Thierry : D’accord.

 

Nicolas Popovitch: C’est logique si tu veux tu me connaissais ou comment ça se fait que je voulais travailler pour lui tous les bienvenus et lui voulaient ou pas. Oui il était d’accord. ça m’intéressait ma proposition l’intéressait puis ça l’intéressait puisque je pense qu’il avait vu que tu ne t’es pas tout raconté. C’est vrai que j’ai toujours fait des affaires depuis que j’étais très jeune. Donc il savait que je faisais à côté même pour tout donner pour expliquer rapidement quand je travaillais chez lui en tant que maçon. Je n’allais pas toujours chercher mon chèque de salaire.

En fait je n’étais pas touché mais ça j’ai toujours été comme ça. Même quand je travaillais pour des hommes des dieux j’ai eu retravaillés par des employeurs. Plus tard dans ma vie ça m’est arrivé une fois quand j’ai repris mes études longtemps après. Et là c’était pareil j’ai jamais été dépendant de mes revenus salariaux. Donc si tu veux.

 

Nicolas Popovitch: Pour les employeurs quand tu vois un mec et qu’ils ont deux chèques de salaire reposé sur leur bureau et que le mec est toujours pas venu lui réclamer ils se disent merde.

 

Nicolas Popovitch: Qu’est ce qui c’est ce gars là. Pourquoi ce gars là vient pas prendre son salaire quoi.

 

Thierry : Donc deux questions. à commencé les premiers investissements. Avec quel âge que ta mère avait quel âge.

 

Nicolas Popovitch: Quand je prends une calculatrice j’ai un gros problème avec les âges et le calcul. Ouais ben je sais pas moi j’ai un problème avec mon âge donc c’est pas bien. D’ailleurs c’est quelque chose que je voudrais arriver à changer ça c’est un défaut.

 

Nicolas Popovitch: Vous avez 21 ans 21 22 ans c’est assez jeune et déjà donc à côté tu es des petits business dans l’immobilier ou business rien à voir ça tout ça tu études je n’ai pas tout raconté ça serait trop long.

 

Nicolas Popovitch: J’ai écrit un livre je raconte tout ça j’ai d’accord. J’ai acheté et j’ai revendu plein de choses ce n’est pas que j’ai pas tant parlé c’est que ça serait trop long. J. J en fait pour juste arriver à avant l’immobilier j’étais sur le business entre guillemets des voitures c’était pas des voitures mais dans la mécanique je me suis planté clairement et j’ai perdu pas mal j’ai perdu du capital sur cette opération là.

Et en fait si tu veux à ce moment là quand je m’étais orienté sur les voitures je m’étais déjà dit avant les voitures je m’étais dit ça sera soit des voitures soit l’immobilier. Et comme cette opération avec des bagnoles s’est mal passée je me suis dit ce que l’immobilier donc pour comprendre et que les gens font ce qu’ils ont ils ont compris.

 

Thierry : A la base c’était juste un pur vendeur c’était un pur négoce. Tu prends un chèque tu vends sur à un acheteur. Je suis un acheteur j’ai un peu de pression un feu de camp voilà tu fais ce qu’on appelle de l’arbitrage tu prends pas cher tu vas voir plus cher. C’est vrai c’est vrai coupable. Ce qui est très très bien c’est une façon de faire du cash rapidement de façon moyenne.

Tout le monde le fait. Ceux qui font bien le font actuellement. On appelle ça drop shipping mais l’arbitrage c’est pareil. Que tu vois je l’avais jamais vu. J’ai même fait une vidéo dessus tu vois un truc pas cher dans une ville d’à côté tu vas le revendre dans le marché d’à côté un corrompu.

 

Nicolas Popovitch: C’est une histoire de valeurs alors c’est vachement c’est très intéressant ce qui veut dire Tu es une tendre une perche. Je ferais jamais de drop shipping.

 

Nicolas Popovitch: C’est assez marrant je ne fonctionne pas du tout comme ça je n’achète pas quelque chose mais c’est l’esprit quand tu fais de longs métrages sans raison là dessus tu as raison. Totalement je suis d’accord mais par contre je vais je suis quelqu’un qui adore acheter des valeurs cachées c’est à dire que c’est marrant aussi parce que c’est quelque chose que je. Dans l’immobilier que soient les agences les notaires se pleines de personnes avec qui je travaille.

Cette phrase je l’entends mais tu ne peux même pas imaginer le nombre de fois que je l’entends les gens me disent Si j’avais su je l’aurais vendu plus cher. Le problème c’est que les gens ne savent pas ce qu’ils ont et moi je gagne mon argent sur ça c’est à dire que sur l’ignorance des gens tu veux être clair je ne sais pas l’ignorance c’est ça c’est une nuance.

 

Thierry : Mais c’est aussi parce que je voulais juste défendre c’est aussi parce que je fais pareil. C’est aussi le fait que Bay a un prix de marché et donc c’était prêt à payer un prix que toi tu profites du que la personne ait envie de payer un prix parce que comme je l’ai dit à un instant T un endroit à 10 km un autre kilomètre on a une impression.

 

Thierry : C’est à ce prix là comme à la Bourse. Au lieu de quoi laisser esprits libres. Et si la personne est prêt à acheter de l’argent il n’y a rien de mal. Après cette malheureuse extraordinaire il voudrait le vendre à perte.

 

Nicolas Popovitch: Mais après je sais j’en entends ce que tu dis et je suis peut être d’accord mais j’ai quand même une partie de moi qui maintient que c’est l’ignorance parce que si j’ai si explique les choses que je fais ou que je te les montre après derrière tu vas comprendre et tu vas vouloir les faire cesser.

 

Nicolas Popovitch: C’est intéressant c’est à dire que c’est vachement marrant parce que quand on s’est parlé au téléphone Tu m’as dit un truc qui m’a marqué. Puis j’ai continué à y réfléchir quelques jours après tu m’as dit on a parlé de ma nouvelle stratégie en immobilier et tu m’a dit tu pourras la filmer en faire une formation acheter directement dit non mais c’est exactement la vérité c’est à dire que je. Il y a des choses même dans mes programmes.

Les gens qui prennent des programmes et qui me disent qu’ils me contactent parce qu’ils sont en contact avec moi dans les programmes et qui me disent mais je ne comprends pas. Sur des vidéos ils disent Je ne comprends pas tu ne donnes pas cette information. Je veux savoir et je leur réponds souvent je leur dis non je ne veux pas vous donner l’information. Parce que si vous la trouvez pas par vous même elle n’aura pas la même valeur.

 

Nicolas Popovitch: Donc je les mets sur la voie mais je leur donne pas l’information pour en venir au point et c’est ça c’est qu’il y a des choses que je ne peux que te montrer mais pas t’apprendre en fait. Je crois vraiment à ça. C’est à dire que si tu ne développe pas la capacité de voir ce que je vois ça ne sert à rien. Tu peux expliquer comment ça marche. Il faudra à chaque fois que je sois à côté de toi pour te faire faire le truc quoi.

 

Thierry : Tu veux ce que je veux dire que tu veux que les gens autant tu veux que les gens apprennent à changer la formule Tu veux que les gens apprennent. En plus d’apprendre à pêcher qu’ils apprennent à trouver le poisson ou il est.

 

Nicolas Popovitch: Et c’est exactement ça.

 

Thierry : D’accord ok, c’est intéressant.

 

Nicolas Popovitch: Si tu veux. ça sert à rien. Moi je connais plein et je connais plein de trucs en immobilier je parlais je connais plein de trucs qui me permettent aujourd’hui de faire ce que je fais.

 

Nicolas Popovitch: Mais il y a des choses il y a des choses que je fais au quotidien que je peux les montrer ça serait là la voie la plus simple et d’ailleurs tu pourrais dire en payant ce mec.

 

Nicolas Popovitch: C’est ce que j’attends qu’il me montre mais de plus montrer ça ne rendrait pas service à parce que si tu comprends pas le mécanisme. Ben ça ça tu le reproduire afin que tu vas reproduire bêtement ce que je fais sauf que moi ça ne se reproduit pas.

En fait on peut croire que je le reproduis mais sur chaque opération il y a des variantes il y a des choses à comprendre et si tu veux il faut comprendre la base. En fait il ne faut pas comprendre ce que je fais ça passe. Tu vois la subtilité. C’est pour ça que je suis un autre c’est un auteur qu’on appelle ça.

 

Thierry : Et comme disent les Anglo-Saxons c’est Street wise t’es pas le vice mais à la compréhension de la rue. Donc tu sais se débrouiller quoi apprendre la débrouillardise à trouver comment ça. C’est exactement ça. Je suis une parenthèse si on est parti pendant 30 ans on a compris qu’il faut qu’il faut développer pas juste faire du business et apprendre par coeur mais aussi développer le côté chercher des opportunités ça les identifier et les voir et voir ce que les gens ne voient pas.

 

Nicolas Popovitch: C’est là où tu feras de l’argent.

 

Nicolas Popovitch: Donc tout ça c’était dans le début des années 2000. Ensuite comment continuer pour aller sur ton parti en parlant du Tournant vert.

 

Nicolas Popovitch: Après c’est très facile à suivre. En fait cette opération je rentre je rentre à la maison avec l’argent facile à une image est ce que je dis mais c’est un peu ça en fait.

 

Nicolas Popovitch: À 22 ans 23 ans 21 je ne sais plus trop tu vois dans ces eaux là tu rentres à la maison avec 45.000 euros. Oui je me voyais à 30 ans sur le Forbes. Après j’ai acheté un immeuble et puis j’ai jamais arrêté j’ai toujours acheté des immeubles je n’ai pas fait une tueuse ça a toujours été mon mot mon leitmotiv dans tout ce que j’ai pu faire une fois que je l’ai fait une fois sur quelque chose de facile ou de compréhensible donc un appartement. Après tu passe à la vitesse supérieure.

 

Nicolas Popovitch: Les immeubles fait directement une première opération qui était plutôt réussie était directe on passe à l’immeuble l’immeuble était trop vieux de combien de lots le premier 3 d’accord. Moi quand j’ai un immeuble comme je toujours au 15 donc oui c’est quoi faire.

 

Thierry : Non on n’y pense pas cela.

 

Nicolas Popovitch: 3 8 10 et puis on a continué après et je crois que tu m’as dit indirectement mais t’es monté à combien t’avais un rêve voilà donc tu t’en vas un rêve et qu’on était arrivé à combler en terme de l’eau.

 

Nicolas Popovitch: Alors moi oui tu voulais parler au passé parce que bon là ils sont toujours en cours. Il y a des signatures qui arrivent la semaine prochaine. Moi je voulais arriver. Moi j’ai toujours fait et je veux toujours avoir ma centaine d’appartements d’appartements. On ne sait pas. On ne parle pas d’appartements de l’unité même mais j’ai des subtilités sur les lots parce que moi j’ai les ensembles. Tu veux donc dire d’unité. Moi je voulais une centaine d’unités pour faire tourner la boutique entre guillemets et je suis monté à plus de 70.

Sachant que c’est cette phrase il faut la prendre je la tourne comme ça mais j’aime bien. Il ne faut pas la prendre au pied de la lettre c’est à dire que ce n’est pas je n’ai pas quand je dis 70 je n’ai pas 70 appartements c’est des immeubles. Donc en réalité il faut que les personnes qui nous écoutent comprennent le cadre de caché derrière tout ça. En réalité c’est ici meubles un peu moins d’une dizaine répartis en appartements.

 

Thierry : Ce n’est pas gênant que ce qui m’écoute savent très bien que moi je suis beaucoup anglo saxon nombre d’entrepreneurs français et d’investisseurs. Mon exemple c’est Grant Cardone qui en a 4000 est l’équivalent de 200 000 et puis un autre qui est le collègue de Robert Kiyosaki quand on a 8000 lots. Il faut voir grand.

 

Thierry : Ne sais pas moi j’ai fait leurs de voir petits ou grands faut pas se prendre la tête et construire les immeubles ça va très très vite.

 

Nicolas Popovitch: Oui c’est ça et il faut comprendre encore une fois. Voilà je ne suis pas allé 70 fois chez le notaire il faut savoir aussi que dans ce patrimoine il y a des lots qui sont destinés à la vente. Il ne faut pas dire ne faut pas faire. Faut pas croire qu’en fait tout et tout est déjà rien mais on va commencer par s’arranger pour notre moment j’estime que je n’ai rien fait des sociétés qui possèdent des choses c’est déjà très différent. Comme ça le fait qu’il n’y aura pas de voir.

 

Nicolas Popovitch: Viendra quand même voir ça ne changera rien. Mais moi personnellement j’ai rien fait tout est à des entreprises.

 

Nicolas Popovitch: Moi je prends des revenus là dessus. Il ne faut pas croire aussi que c’est facile. Par exemple là je vends tout. J’ai quand même envie de préciser Tout ça actuellement. Vous parlez à quelqu’un qui vit de ses loyers et qui a tout vidé pour pouvoir vendre. Donc je vous laisse imaginer que j’ai une décharge ce n’est pas la meilleure période de ma vie alors vous le voyez faire ça ça doit s’entendre.

Je suis pas du tout stressé. On imagine bien que j’ai un fond de roulement et que je sais gérer ma boutique mais en attendant c’est les moments qui sont difficiles à passer parce que là tu vois ces tenues vide depuis un certain temps maintenant.

 

Nicolas Popovitch: Et donc pour pouvoir les vendre un peu plus cher.

 

Thierry : Tu veux dire que certains lots sont vides. C’est ce que tu veux dire. La grosse majorité oui je ne sais comment tu penses que quand on a parlé un peu c’est que tu parles t’es un investisseur mais moi c’est ma vision que l’investissement c’est de l’entrepreneuriat aussi et donc on en parle comme un entrepreneur ta boutique et certains investissements comme s’il fallait investir et dormir c’est quelque chose qu’il faut faire vite.

 

Thierry : Il est vrai qu’on rêve tous du passif 100% mais ça c’est très rare. Il faut avoir des humains qui soutient qu’il faut gérer qui vont gérer les forts management parce qu’il faut trouver les bonnes personnes. Mais quand on en parle comme de l’immobilier c’est qu’un entrepreneur d’immobilier pas promoteur mais dans l’immobilier.

 

Nicolas Popovitch: J’ai des programmes où je pourrais être requalifié promoteur mais on ne l’a pas voulu. On le veut pas en tout cas. Par contre oui j’en parle comme un entrepreneur parce qu’à partir d’une certaine heure une certaine échelle de toute façon comme tu viens de le dire ça tout à fait raison. Entre l’humain qui a à gérer et tout ce qui a géré à côté c’est compliqué.

 

Nicolas Popovitch: Là on est vraiment redescendu énormément en terme de l’eau. Et en fait si tu veux. Même là tu vois je. Je change tout. Je suis en train de changer mon organisation je change tout parce que comme je sais comme mes nouveaux projets vont me faire grandir plus plus vite et plus fort que les fois d’avant. Je ne veux pas me faire avoir au même au même jeu et c’est le jeu que tu es en train d’évoquer.

 

Nicolas Popovitch: Si effectivement je ne partage pas cette vision on entend un peu partout l’immobilier ça se fait allongé sur un transat il y a des gens qui gèrent c’est possible mais tu payes ça en fait c’est à dire que ça a un prix je parle pas d’argent. Je ne sais pas si on peut comprendre ce que je sous entend. Il n’y a pas qu’un prix financier à notre prix derrière qui est caché et que les gens ne voient pas.

C’est pour ça que je m’en occupe. Et c’est pour ça que dans mon bureau derrière moi tu vois New York je le dis souvent en rigolant c’est que c’est pas que je peux pas y aller c’est que c’est complexe pour l’instant pour moi avec mon organisation de partir loin de mon lieu de travail.

 

Thierry : Ça tombe bien je suppose ça. J’étais tellement content de discuter de ce que tu allais faire des petites démarches immobilières. Tu es quand même très présent. Est ce que t’as pas envie en fin de compte de grandir parce que tu m’as dit que tu vas passer la bas si j’ai bien compris ce que tu vas faire ça va passer à 200 300 ? Peut être pas pour toi non.

 

Nicolas Popovitch: Alors là avec mon prévisionnel on en arrive à 140.

 

Nicolas Popovitch: Si tout se passe bien et je me lance dans une aventure que je ne connais pas du tout où je sais qu’il y a des problèmes que je n’ai pas encore vécu donc que je ne connais pas du tout non plus.

 

Nicolas Popovitch: Donc y’a vraiment une grosse partie de flou de questionnements autour de tout un tas de problèmes que je vois. Il y a aussi tout un tas de problèmes que je ne vois pas qui vont arriver et donc dans la logique de il ne se passe bien on arrivera à plus lots facilement et après on verra comment les choses vont évoluer.

Mais oui je vais dépasser sur les 100 alors que là dans le chemin dans lequel j’ai été on ne va pas se mentir j’étais j’arriverai à la limite j’étais quasiment bloqué le plafond de verre il allait arriver. Je savais que j’étais en train d’arriver au blocage et que j’aurai dû patienter 10 ans ce que j’avais jamais.

 

Nicolas Popovitch: J’ai un là j’ai vendu le bâtiment j’avais un prêt de 12 ans quand je l’avais fait et je crois qu’il restait 7 ans. Donc voilà tu fais le calcul là je vais gagner tout ce temps puisque je vends et je repars sur de nouvelles stratégies.

 

Thierry :  Moi ma question est plus organisationnelle parce que j’ai l’impression que tu es très présent.

 

Nicolas Popovitch: Oui c’est vrai

 

Thierry : il y a deux façons de faire. Je ne pense pas être d’accord même si tu es un petit peu soit on.

 

Thierry : J’en ai beaucoup plus sur Instagram qui montrent qu’ils sont contents qui font les travaux. Mais oui c’est bien mais maintenant il ne faut pas. Après chacun son truc il y en a qui aiment faire les travaux et pas un peu maçon donc pour ce que l’on est plutôt du genre à dire Tu veux vraiment le faire.

L’entrepreneur est plutôt que Côté investisseur j’en prends un capitaliste mais la personne qui fait juste l’opérationnel et qui fait gérer par les artisans et qui fait le maximum déléguer à son courtier qui s’occupe d’une partie tout le reste est fait pour voir grandir est ce que Tom Tom bien mettre la main dans le cambouis un petit peu faire d’autres visites.

 

Nicolas Popovitch: En fait il n’y a pas de poils. Pour moi c’est un faux problème ça n’y a pas de position et ce n’est pas toi qui a brillamment raison ce n’est pas celui qui est dedans.

 

Thierry : C’est un choix.

 

Nicolas Popovitch: C’est une question d’argent nous quand on a commencé on avait trois … Quand je me suis associé avec ma mère pour tout dire à mon histoire en fait mon père m’a laissé des dettes il y avait à l’époque il y avait quand ma mère était toute seule elle avait 300 000 euros de dettes quand je suis arrivée il en restait 150/ 200. Quand tu n’as pas d’argent en euros en francs ou en euros en euros pas d’accord donc tu veux quand tu n’as pas d’argent t’as pas le choix.

Et là la vérité de la réponse à la question fait passer une question mais la réponse à cette position pour les gens qui nous écoutent c’est pas du tout. C’est pas du tout un choix si tu ne fais pas un choix en te disant Je vais me mettre loin de mes affaires quelle est ta situation si tu gagnes 10000 euros par mois bien évidemment que tu ne vas pas gérer tout ça tu t’en fous t’as l’argent de payer des gens au début.

 

Thierry : Non non non non au contraire je vais quand j’en ai envie. J’avais envie d’être contre toi. Non il y a des gens qui aiment ça qu’ils aiment vraiment. Demain ils font des millions ils veulent être là et techniquement quelqu’un de mal regardé mais tu ton temps c’est de l’argent pourquoi tu utilises pas autre chose.

 

Thierry : Pourquoi tu ne tue pas quelqu’un que tu connais quelqu’un même s’ils veulent à tout prix prendre la pelleteuse et faire des trucs comme ça.

 

Thierry : C’est un choix.

 

Nicolas Popovitch:  Mais là je suis là correct non mais là on est d’accord. Moi je partais du principe que pour moi c’est une question de situation financière. En vérité ta position dans l’entreprise après mais c’est vrai ce que tu dis parce que tu prends Louis Nicollin par exemple qui est décédé aujourd’hui mais feu Louis Nicollin d’ailleurs mais j’avoue que j’ai interviewés avec qui j’ai parlé et qui a super très très bien.

Il a adoré être sur le terrain. Mais tu sais. Après je crois que ça aussi c’est lié à l’envergure à la vision et à l’ambition de la personne selon l’envergure de ce que tu vas faire de ce que tu vas faire et que tu vas prendre même si tu aimes ça il y a un moment donné la réalité te rattrapera. Aujourd’hui il y a des choses qui me rattrape et que je ne peux plus faire. Et ça m’énerve de déléguer parce que je vis mal les prix qu’on me contraint à payer. Mais je n’ai pas le choix je suis comme tu dis. Sinon après il y a d’autres choses qui ne se font pas tu vois.

 

Thierry : Je suis d’accord concernant ton équipe puisque tu prends ta mère à ce que vous êtes que deux ou deux personnes qu’une fois tu me parles de ta femme. Qu’il y a deux personnes.

 

Nicolas Popovitch: On travaille beaucoup en famille c’est vrai. Donc il y a ma femme aussi qui fait l’équipe qui travaille avec nous aussi alors elle a son travail à côté mais elle travaille aussi avec nous. Du coup moi c’est vrai que quand tu dis que tu me fréquentes dans la vie si tu finit fatalement par acheter quelque chose donc c’est comme ça.

 

Nicolas Popovitch: Et après je travaille déjà avec des gens pour les travaux anarchiques je ne prends pas tout le temps mais qui risque de travailler de plus en plus avec nous. Si tu veux en fait ça s’étoffe après au fur à mesure. Là comme je l’ai dit encore une fois comment se lance dans un nouveau truc qu’on va passer à une autre dimension c’est pareil. On a commencé déjà par rapport au prévisionnel on s’est rendu compte qu’on allait devoir embaucher qu’on allait devoir changer une organisation qu’on avait jusqu’à maintenant mais qui va devoir évoluer en fonction des nouveaux besoins.

 

Thierry : D’accord donc là on va faire un grand bond parce que je sais qu’on doit il y a deux sujets que je voulais parler de moi depuis un an j’ai fait la bêtise ou je sais pas ce que je dis. On est actuellement en crise mais c’est juste les banques qui font qu’on comprend qu’on ne connaît pas la crise.

 

Thierry : Je le répète parce que dit il baisse les taux et donne de l’argent à tout le monde. On a l’impression qu’on est bien moins n’est pas si bien que ça.

 

Nicolas Popovitch: Pourquoi tu dis pourquoi tout le monde dit qu’on est en crise ? Moi je suis déconnecté et je rentre à la télé.

 

Nicolas Popovitch: Pourquoi tu dis…

 

Thierry : Je la regarde aussi mais moi je sais très bien que c’est une règle de base quand les taux sont si bas c’est qu’on fait comment. On donne la piqûre aux gens pour faire comme si demain les taux remontent. On fait ce qu’il faut.

 

Thierry : Les politiques font ce qu’il faut pour que ça paraisse très bien mais après il faut juste voir les termes économiques des marchés. Moi on n’est pas en crise comme en 2008 mais plutôt en 2006 2007. C’est ce que je voulais venir à ça.

 

Thierry : Comment toi t’as fait pour passer la crise en 2008. Tout le monde a eu des soucis lorsque toi tu l’a passé normalement tu l’as senti venir.

 

Thierry : Comment tu l’a alors.

 

Thierry : Pour ce qui pourrait se passer parce que je m’avance trop.

 

Nicolas Popovitch: Bon déjà on va on va recadrer le truc il faut savoir que la crise de 2008 elle était américaine. Donc tout le monde doit bien comprendre qu’on avait un décalage fait on a un décalage avec les états-Unis. Moi j’ai vécu la crise en 2010 et 2012 je ne l’ai pas vécu en 2008. En fait a était effective en 2008 mais en tout cas moi sur mes affaires elle s’est décalée de deux ans. Elle s’est traduite tout simplement par comment dirais je un arrêt des financements bancaires c’est à dire que pendant deux ans j’avais beau poser des projets c’était toujours non.

 

Nicolas Popovitch: Donc là je me suis rendu compte à quel point la banque avait un rôle important dans la vie de l’investisseur et à quel point elle tenait elle te tiens dans les mains. En fait c’est moi là à partir de là ça a été ça ça a été une période assez difficile pour moi je ne pas dans le sens financier mais dans le sens de remise en question parce que du coup tu ne peux pas sortir de projets tu vides ça.

Bon ben c’est pas le meilleur c’est pas le meilleur état des faits c’est pas n’est pas dans le meilleur état d’esprit t’es pas derrière toi non tu fais avec ce que t’as du coup donc pas grand chose parce que du coup comme tu faire d’opérations même au niveau du locatif c’était assez bloqué ou bloquant.

 

Nicolas Popovitch: J’étais assez dans une situation un peu comme ça entre deux étranges je vais je vais revenir à ta question puis après je te reparler de comment j’en suis sorti j’ai pas vécu la crise moi la crise je ne l’ai pas mal vécue. Je pense que en fait en vérité ça dépend de ça dépend toujours une crise ça va dépendre de ce que tu fais de ton argent de là où il est et de comment tu la gérer au préalable.

 

Nicolas Popovitch: Moi j’aime beaucoup dire une chose qui est très simple ce que les gens comprennent pas avec l’argent c’est que quand tu gagnes de l’argent c’est pas que tu gagnes de l’argent tu en gagne pour les moments où ça ne va pas aller. En fait si tu comprends cette règle de base tu comprends comment tu dois vivre au quotidien qu’est ce que ça c’est de la théorie ce que je te dis puisque dans les faits il y a beaucoup de gens qui n’arrivent pas à mettre en place ce que je sous entend.

 

Nicolas Popovitch: Mais en gros moi quand je gagne de l’argent il y a vraiment une très grosse partie de l’argent qui repart tout de suite je le vois jamais d’ailleurs. On était en séminaire il y avait ma femme à côté de moi on avait fini le séminaire quelqu’un lui parler. J’entendais parce qu’il y avait une personne qui parlait entendait ce qu’il disait et ma femme m’avait répondu ça avait beaucoup fait rire et je le redis maintenant souvent elle avait dit Mais tu sais quoi il gagne de l’argent.

 

Nicolas Popovitch: Mais non on le voit jamais c’est la réalité en fait c’est à dire comment l’argent il n’est pas rentré qui est déjà rodé penser mais ce n’est pas des dépenses. Moi je achète des immeubles Voilà c’est mon truc y a des gens qui aiment les bagnoles. Hier je suis allé acheter chez un copain c’était une super bagnole. Voilà ça. Moi quand j’ai de l’argent je m’achète des immeubles donc pas forcément quand il y a une crise. Je vis sur mes immeubles. C’est facile de comprendre en fait.

 

Nicolas Popovitch: Donc du coup.

 

Thierry : C’est très bien par rapport à une discussion qu’on a eue avant excuse moi de te couper que beaucoup de questions quand tu pars. Donc déjà je vais répondre avant d’oublier qu’on a répondu à ma question quand je te parle de la crise tu dis pourquoi je dis qu’il est en crise.

 

Thierry : Peut être simplement parce que les banques en fin de compte font tout pour qu’on puisse emprunter dès qu’elle arrête donc actuellement un font exprès de baisser les taux pour qu’on puisse continuer à emprunter mais ça ce n’est pas bon quand on est surendetté et ça on le sait les problèmes n’ont pas été réglés et le jour où vont qu’augmenter. Augmenter les taux ou la Banque européenne et les Etats vont augmenter.

 

Thierry : On est reparti dans un délire. Et pourquoi tu parlais de 2008 2008 c’était un problème tout comme ceux de titrisation de dette pourris et le temps que ça arrive mais comme l’Europe était dedans le même hors contenant quand on a eu des banques que j’ai assisté à ce que je porte des problèmes aux banques françaises et d’autres qui étaient dans les mains des assureurs qui étaient dedans le temps qu’on trouve qui était dedans ils ont dit On va stopper on va faire comme si on arrêtait tout on va dire aux gens de régler leurs dettes mais après c’est reparti très bien.

 

Thierry : C’est pas gênant mais donc pour répondre à ta question aussi parce que tu parlais de ce qui est très bien. C’est vrai que beaucoup d’investisseurs font comme vous comme toi. L’argent c’est vrai que c’est pas pour le garder il faut le faire là où tu le faire bouger les choses tu fais très bien. Tu vois ce que doit faire les gens c’est si l’argent vient. L’argent doit être volatile mais il doit bouger. Il n’est pas là pour rester dormir dormir vu qu’il y en a façon et l’argent c’est que je ne suis pas bouger pour dormir.

 

En plus ça travaille 24 heures sur 24 donc c’est davantage par rapport à nous donc tout en fin de compte par rapport à d’autres marchands puisque tu ne sais pas précisément l’as dit un petit marchand de biens comme toi aussi du locatif techniquement tu peux vivre comparé à d’autres qui font code du marchand de jour le jour ou tout autre que marchand de biens t’es mort parce que tu pas pas ça répond à une question on en a parlé on a pas développé on a pas parlé tu comprends ce que je te laisse finir.

 

Nicolas Popovitch: Pas de soucis je veux juste te dire une chose quand même ça m’intéresse ce que j’ai pas le même pas. Sur le terrain je n’ai pas la même. Même les qui est prête mais là ils sont en plus de changer toutes leurs conditions. Là j’ai un peu vu sur quoi ils partaient et ils prêtaient j’ai raison mais je trouve qu’ils prêtent pas aux gens qui n’ont pas d’argent.

 

Thierry : Mais c’est logique non non non mais ils ont quand même prête à des gens qui ne pourraient plus regarder les dossiers mais après toujours. Mais quand on compte quand on c’est plus de l’économie on va arrêter de faire des économistes. Je vais arrêter aussi compte qu’on tombe c’est qu’on a comme il y a moins de gens qui ont des choses qu’on est moins qu’aussi les prix augmentent sans augmenter un autre il faut bien faire quelque chose sinon personne n’achète plus.

 

Thierry : A part les investisseurs les acheteurs ne font le marché ils font partie du marché partout et donc il y a deux ans j’ai acheté plein de gens autour de moi acheter. Voilà donc mais bon on va laisser çà aux économistes va ça c’est ça.

 

Thierry : En tout cas 2010 tu as  eu un blocage.

 

Nicolas Popovitch: Ensuite j’ai eu un blocage et ça a été une très bonne chose parce que finalement moi j’étais bloqué un certain temps et du coup j’ai une politique interne qui est très spéciale.

 

Nicolas Popovitch: C’est à dire que tout ce qui m’arrive est ma faute.

 

Nicolas Popovitch: Même quand ce n’est pas la mienne même si ce n’est pas responsable ce qu’on appelle responsable donc c’est ça.

 

Nicolas Popovitch: Donc je me sens toujours RESPONSABLE.

 

Thierry : Au moins Tu  ne perds pas de temps à accuser les autres c’est ça je me dis si les projets sortent pas à un bout d’un moment tu n’as jamais cru poser pas mal.

 

Nicolas Popovitch: Et d’ailleurs il faut voir que dans cette perte j’ai perdu de l’argent aussi parce que du coup j’ai eu des problèmes avec un dépôt de garantie qui ne m’a pas été rendu vraiment bref je n’arrivais pas à pas mal de tribulations entre les refus de prêt et les pertes d’argent. J’ai passé une paire d’années là qui étaient vraiment sympathiques et du coup j’ai remonté au début du temps. Et comme tu dis tu fini par dire Bon allez c’est ma faute c’est pas leur faute et j’ai commencé à changer ma manière de chercher des biens à changer les biens que je veux acheter etc.

 

Nicolas Popovitch: Et du coup j’ai trouvé un nouveau marché et c’est comme ça que c’est reparti en fait. Hélas les prix se sont tous ces ouvertes d’un coup en fait c’était même l’inverse je me suis retrouvé sur un projet au lieu de date d’Athènes. Avant je travaillais essentiellement avec une banque.

 

Nicolas Popovitch: J’avais eu trois accords bancaires. J’en ai pris une j’en ai fait deux pas content mais j’ai en tout cas je me suis dit voilà je me suis renouvelé comme ça en me disant à un moment donné je me suis dit bon ben voilà. écoute c’est toi qui doit proposer les bons projets trouvent un meilleur projet et tu auras un financement. J’en ai eu trois.

 

Thierry : Je vais juste faire un point parce que je suis content que tu aies parlé de ça directement on a fait un peu de bon personnel. Et moi j’adore parler de ça sans plus en fin de compte exactement on en a parlé au début en disant que c’était pas former les gens oui les gens apprennent à aller chercher eux mêmes des opportunités et l’histoire. L’idée de dire qu’on est toujours responsable que perdre son temps et se dire que c’est la banque.

 

Thierry : Techniquement ça peut être vrai mais bon quand on fait ça on perd son temps et ça nous oblige à nous à devenir meilleurs et à se poser les bonnes questions. Et dans ce cas il faut prendre la peine de chercher lorsqu’on a un cerveau qui est super puissant on l’utilise pas bien et si on se pose de bonnes questions et on cherche on trouve toujours comme on dit dans écrits quand on cherche on trouve.

 

Thierry : C’est ça le contentement. Ainsi si on peut dire que c’est la phrase de podcast les gens le savent mais voilà il faut se le répéter. Arrêtez de vous dire que c’est la faute de Si c’est la faute de Shopify, c’est la faute de mon banquier c’est la faute de ma femme c’est toujours ta faute même si c’est un peu les autres mais ce sera toi comme ça tu perds pas ton temps.

 

Nicolas Popovitch: Alors oui tu vas aller chercher des ressources insoupçonnées parce que quand c’est ta faute beaucoup de moi je suis comme ça. Après ça aussi c’est du comportement individuel mais quand c’est ma faute j’essaye de m’améliorer donc du coup comme tu cherches à l’amélioration tu vois tu fais ce qu’il faut pour ça pour que ça se passe bien et pour que ça passe surtout dans le cadre du crédit je parlais tout comment j’ai fait ce qu’il fallait pour que ça passe puisque je voulais l’avoir.

 

Thierry : Ce qui fait que tu mets 130 % pour faire tout passe te ton côté.

 

Thierry : Donc pour faire tout pour que tout passe de ton côté moins si ça passe pas ou moins t’as pas d’excuse.

 

Nicolas Popovitch: Ouais c’est ça. Et puis voilà à partir de là c’est reparti juste pour rebondir sur le fond de mon histoire. Mais il y a eu une période où j’ai mis en pause ou j’ai arrêté de marchands de biens mais pas pendant la crise. Et j’ai repris ben là il y a quelques années maintenant par hasard en fait ce que j’ai fait j’ai voulu développer le parc locatif puis j’ai fait marchand de biens sans argent.

 

Nicolas Popovitch: Au début comme je l’ai dit j’avais des dettes. Donc après j’ai vu quand même qu’il y avait une limite à ça. Je me rappelle très très bien j’avais fait j’avais dépassé le million d’euros de chiffre d’affaires et moi j’étais très déçu.

 

Nicolas Popovitch: Tout le monde était content sauf moi puisque je ne voulais pas faire un million je voulais les avoir et ensuite j’étais très déçu je ne sais pas pourquoi ça m’a énormément déçu et du coup c’est comme ça que je suis parti dans le locatif et que maintenant j’ai les deux j’ai les deux forces qui sont à peu près équilibré et je vois la différence. Sincèrement je vois la différence.

 

Thierry : Indirectement ça permet enfin tu es dans l’immobilier ça te permet d’avoir en fin de compte comme on dit avoir différentes sources de revenus.

 

Thierry : T’es dans le même métier méthode de deux sources différentes on va dire ça permet d’équilibrer.

 

Nicolas Popovitch: Disons que tu parles à un mec qui a été assez stupide quand il était jeune pour croire qu’il vivrait de ses investissements et je l’ai toujours dit à tous ceux qui depuis le début que je me suis lancé sur un tas j’ai toujours dit l’immobilier ce n’est pas une fin en soi et plus vite tu le comprends plus vite tu tu vas gagner de l’argent avec l’immobilier en fait c’est un moyen mais.

 

Nicolas Popovitch: Ce n’est pas une fin. C’est à dire que ça ne se suffit pas à lui même. Moi je suis le premier à l’avoir fait la bêtise. C’est pour ça que j’en parle c’est à dire que depuis que j’ai commencé j’ai toujours voulu que l’immobilier se suffisent à lui même. Mais dans tous les sens du terme c’est à dire que je suis allé voir combien de fois mon banquier alors que j’avais des revenus locatifs j’avais vraiment que ça. Et c’était ça. ç’a toujours été très compliqué.

 

Nicolas Popovitch: Des profils comme moi donc si tu veux. Quand j’ai commencé à ajouter du commercial à côté ça s’est tout de suite mieux passé.

 

Nicolas Popovitch: C’est facile de le comprendre.

 

Thierry : Il faut préciser parce qu’on en parle indirectement et qu’il est moi ma stratégie pourtant je viens de l’immobilier mais je préfère mettre en m’enrichir d’un côté et réinvestir dans l’immobilier que de faire comme certains font. Mais ce qui est très bien et ça me permet de développer d’autres techniques de commencer par l’immobilier et tous faire par l’immobilier mais à un moment souvent un déblocage. Donc il faut être très vicieux dans le bon sens du terme.

 

Nicolas Popovitch: Oui mais ça n’existait pas lors.

 

Thierry : Faire De l’achat revente ou faire comme il m’est arrivé moi en plus de faire deux opérations en même temps en espérant que ça se passe par rapport au crédit logement.

 

Thierry : Voilà on ne passe pas tous par les mêmes petits techniques mais un moment ça bloque.

 

Nicolas Popovitch: Et puis comme moi ce qui me plaît pas dans ces trucs de vie c’est carrément mon bras comme je le dis souvent. Je me rassure devant tous mes partenaires il n’y en a aucun qui j’ai jamais. Il n’y a jamais rien eu en tout cas de dérangeant qui a été issu de mes dossiers ce qui fait qu’aujourd’hui je pense à un partenaire que je n’arrête pas d’aller voir ce que j’aimerais mais qui me dit Oui mais me dit toujours non c’est moi qui suis un peu têtu.

 

Nicolas Popovitch: Mais bon là je vais arrêter je vais partir chez quelqu’un d’autre. Mais c’est vrai que je continue à pouvoir aller boire même ceux qui me disent non parce que finalement comme j’aurais toujours dit la vérité si tu veux il n’y a pas de moi. Je n’ai jamais de problème avec personne. Voilà c’est ça qui est important pour moi.

 

Thierry : Tout à fait je parlais des bons vices. Bon d’accord.

 

Ouais c’est comme dire que tu fais un mètre 93 et tu fais 1 metre 92 voir c’est presque pareil mais bon je te comprends. Oui mais si tu le vois tu vois. Après c’est intéressant ton exemple parce que c’est pas grave.

 

Nicolas Popovitch: Est ce que tu sais vachement ce que tu veux dire c’est pas grave dans la mesure où par exemple on en parle entre nous. Là c’est pas grave mais maintenant tu es boxeur et pour un centimètre et deux kilos tu changes de catégorie ben là c’est grave c’est vrai et c’est exactement pareil dans l’immobilier les gens comprennent pas.

 

Nicolas Popovitch: En fait quand t’es un particulier et que tu vas faire un crédit que tu mens on s’en fout. Allez. Vous allez faire un achat puis vous verrez jamais plus votre banquier. Mais les mecs qui nous écoutent ils commencent à dire je veux être indépendant financièrement avec l’immobilier d’un ananas et ils vont mentir aux seuls mec qui leur prête de l’argent mais c’est des gros cons des gros débiles.

 

Nicolas Popovitch: Voilà je te dis comme je le pense c’est vrai c’est la même chose que le boxeur et à un moment donné ou alors tu peux même gagner le titre Si tu n’es pas dans la bonne catégorie on va te le reprendre. Alors ça sert à quoi tu vas dire j’ai eu le titre en mentant mais on l’a repris. C’est ridicule. Moi je préfère rien à voir. Tu vas avoir quelque chose comme ça. ça c’est ma manière d’être.

 

Thierry : Après on est chacun comme monnaie l’important c’est que le résultat final. En espérant que ça continue.

 

Nicolas Popovitch: Oui c’est ça. Désolé je veux choquer personne. Je suis un comme çà.

 

Thierry : Mais je pense que certains vont être d’accord car comme dit il comme tu dis personne à tort ou à raison.

 

Thierry : Chacun voit midi à sa porte ça. Et puis comme tu dis à la personne qui crie qui parce que moi je parle de vie je pense qu’on a pas le son du vice. La personne qui dit Toi qui a triché s’est fait avoir et ça le. Mais celle qui est plus vicieuse qui fait des choses qui passe. C’est comme ça.

 

Thierry : Donnez moi les exemples cités on rencontre tous des femmes qui ont mis du medio. Moi je n’aime pas le maquillage. Moins de personnes qui mettent du maquillage c’est triché. Tu vois donc tu me diras c’est bien donc après ça dépend de comment on voit les choses. Mais moi le maquillage ça va de rouge à lèvres comme ça je sais quantité mais bon.

 

Nicolas Popovitch: Excusez moi si on ne pense pas qu’on parle mais ça c’est hyper intéressant. Et le mariage t’en fais quoi. C’est sûr non on va trop loin parce que moi je suis pas moi je suis croyant. Pour moi il faut se marier sont des croyances ou des privilèges mais il n’en va pas de ça. On parle du maquillage la journée du mariage la mariée tu la vois elle est magnifique elle sera jamais vue comme ça.

 

Thierry : Le reste de moi je ne l’ai pas mariée pour moi a de maquiller. Moi je n’aime pas le maquillage donc toi même le jour de son mariage elle vient d’un maquillage je t’aime tu es comme ça n’a pas besoin de maquillage de joie. Je souhaite bonne chance à ta femme.

 

Thierry : Ha (rigole) feront ça fait 11 ans donc prend pas et même pas maintenant se maquiller mais qui n’est pas mais bon alors excusez moi on est parti un peu long mais bon on va revenir sur ça. Parenthèse au moment où vous voyez qu’on est naturel ou pas on vous donne des infos et vous savez qui grâce à ça on vous avez vu que c’est plus vicieux que Nicolas.

 

Nicolas Popovitch: Ha (rigole). Je ne suis pas vertueux mais il faut placer le vice aux endroits où c’est pas grave.

 

Nicolas Popovitch: Voilà.

 

Thierry : On est d’accord on est d’accord. Donc on va parler un peu de diplômes parce que moi j’étais étonné de ton parcours.

 

Thierry : Après un parcours assez intéressant tu sais beaucoup faire beaucoup de choses on n’a pas besoin de diplôme techniquement et tu as fais comme moi mais moi je l’ai fait parce que j’ai passé mes diplômes de l’immobilier pour avoir la carte parce que j’étais jeune et pour ceux qui l’ont oublié qui ne me connaissent pas. Au début j’ai ouvert ma première agence j’ai eu un porteur de carte que j’ai payé 600 euros ça m’a soulé.

Je me suis dit j’avais un niveau BTS donc j’ai passé de la licence pour avoir la carte mais je l’ai eu après un an VAE. Ensuite j’ai passé une licence un master je n’avais aucun intérêt mais je l’ai fait quand même. J’ai détesté en cours moi j’ai consulat détestait ça. Et donc toi es repassé pourtant l’argent sait vendre. T’as besoin de rien et tu veux passer un diplôme perd ton temps avec le diplôme le plus cher en BTS professions immobilières à temps.

 

Nicolas Popovitch: Du coup tu m’as répondu une question bête à la carte télé j’ai du coup toi non.

 

Thierry : Bonne question. Non je déconne. Non parce que j’ai fait de la gestion. J’ai aussi aimé la gestion j’ai horreur de ça. L’accord d’accord avec le logiciel mais je te pose pas la question.

 

Thierry : C’est super important. C’est bien pour revendre l’activité.

 

Nicolas Popovitch: Exactement.

 

Nicolas Popovitch: Alors moi je vais t’expliquer c’est facile quand j’étais marchand je regardais les commissions que prenaient de l’argent sur mes mais mes lots que je vendais et j’ai côtoyé un marchand à l’époque qui avait la carte TPG et qui faisait de l’inter agence alors il prenait 10 50 mais je crois que c’est plutôt entre autres entre 20 et 40.

 

Nicolas Popovitch: Parce que sinon les agents n’étaient pas d’accord ça prenait un pourcentage ils prenaient une part sur les honoraires des agences immobilières en agence et voilà un chef d’entreprise. Je me suis dit Je veux pas.

 

Thierry : Donc c’est plus du côté financier t’as pas eu peur de repartir. Tu m’as dit tu es reparti en cours en veux tu veux.

 

Nicolas Popovitch: J’ai passé la veille à eux et pour tout dire Moi j’avais déjà un parc locatif. Et moi mon idée est toujours la même depuis un certain temps et c’est d’actualité au moment où je te parle c’est à dire que moi aujourd’hui j’ai des loyers et j’aimerais que ce soit mon agence en gestion qui gère mes loyers. D’accord j’ai aussi des gens qui veulent me donner la gestion de leur bien.

 

Nicolas Popovitch: Donc si tu veux quand tu mets tout bout à bout financièrement tu comprendre que j’ai un oui j’ai un intérêt financier à avoir cette carte j’ai donc c’est vrai que aujourd’hui je te parle j’ai signé la semaine dernière un mandat pour l’achat d’un gros portefeuille mais je ne sais même pas si je vais aller au bout. Je suis toujours je suis dedans. Voilà je suis encore dans le flou de mon processus mais je sais que dans les années qui arrivent il va y avoir un portefeuille de gestion qui sera qui sera à nous et que nous prendrons.

 

Nicolas Popovitch: Coco qui sera une de nos entreprises dans notre groupe et que je n’y arriverai pas moi mais qui sera à moi. Voilà.

 

Thierry : Donc c’est toi qui gère tout tout ce qui est gestion du personnel.

 

Nicolas Popovitch: En début d’année j’ai tout délégué ça s’est très mal passé. Là j’ai repris pour délégués là je recevais lundi je vais signer des mandats de gestion. Voilà.

 

Thierry : T’es vraiment un touche à tout de l’immobilier marchand de bien plus que la pure promotion.

 

Nicolas Popovitch: J’en ai acheté. J’ai fait un programme où j’aurais pu l’être. En fait c’est moi qui n’ai pas voulu m’envoyer le dossier à remplir était énorme. J’ai dit non c’est bon laisse tomber.

 

Nicolas Popovitch: Tout ça pour vendre une loi un peu plus cher et j’ai préféré vendre moins cher et tant pis c’était trop compliqué face à ça me faisait trop de travail à l’époque.

 

Thierry : Voilà pourquoi je pense qu’on a pas beaucoup de choses immobilier j’espère que ça va intéresser beaucoup. Désolé on a parlé à peu de choses perso je ne pense pas que du coup je vais garder c’est pas grave. Venez voir quand on est frais on dit la vérité dit la vérité. Ben oui. En plus ça se corrige. Bon je vais te poser des questions que tout investisseur.

 

Thierry : Je vais mettre les liens vers immobilier-company.com

 

Thierry : Non j’ai tout sur immobilier-company.com en fait.

 

Thierry : Bon on laisse dessus les personnes qui veulent se former. Bien sûr elles auront pas toutes les informations.

 

Thierry : Tout ce qu’il faut pour commencer mais après la rivière c’est qu’elles ont été coordonnées et peuvent continuer à t’appeler.

 

Nicolas Popovitch: En fait il y a beaucoup d’efforts. Mes programmes sont très lourds à suivre parce qu’à du juridique à l’intérieur c’est assez complexe. Moi je gagne mon humble avis là dessus. Donc j’estime que je dois apprendre ça aux gens qui veulent apprendre de l’immobilier. Par contre effectivement il y a des informations que j’estime être nécessaires à la vie de l’investisseur et qui ne peuvent pas être apprises mais je donne tous les indices je donne tous les indices et je te met vraiment sur la voie mais je ne te dis pas ce que tu dis pas ce que tu veux entendre.

 

Nicolas Popovitch: D’accord j’ai beaucoup de questions récurrentes sur ces points là parce que les gens qui trouvent pas. Mais comme je leur dis si tu trouves pas c’est que tu es mal entouré. Change de partenaire parce que c’est vraiment comment dire t’as besoin d’aide tu travailles avec plusieurs personnes dans l’immobilier et t’as besoin d’être entouré de gens qui règlent des problèmes. Moi je veux comme je dis je passe mon temps à régler des problèmes et si les gens qui sont autour de toi sont en tête pas un petit peu.

 

Nicolas Popovitch: Il ne faut pas qu’ils fassent le travail à ta place mais qui aident un minimum dans ces problèmes. Si tu n’as pas des gens qui aident à régler les problèmes tu n’es pas bien entouré.

 

Thierry : C’est ce que je répète souvent même la vidéo de lundi ça parle de ça c’est d’avoir une équipe un businessman dans une équipe donc il faut l’agent immobilier ou les agents. C’est bon après donc un courtier ou les banques et puis le notaire c’est déjà trois minimum. Après tu peux avoir un contact s’il le veut mais il faut avoir une équipe qui vont aider à faire ce que chacun son métier.

 

Nicolas Popovitch: C’est ça. Alors moi je remplacerait juste le courtier par le comptable je ne prendrais pas de courtier puisque moi je me considère comme un leveur de fonds.

 

Thierry : Mais après cette fois c’est différent a été.

 

Thierry : T’as été un courtier courtier donc tu es permettent de le faire.

 

Nicolas Popovitch: J’ai travaillé en banque aussi je n’en parle jamais.

 

Nicolas Popovitch: J’ai travaillé en banque donc voilà tu peux te permettre de faire en plus souvent plusieurs dossiers avec un dossier même sans résultat. Peu importe plusieurs dossiers ou un gros dossier qui fait que tu tu prends le temps pour prendre des centimes partout.

 

Thierry : Disons que disons que surtout j’amène plusieurs dossiers par an.

 

Nicolas Popovitch: Ça joue et ça joue c’est vrai.

 

Thierry : Bon ben je vais te poser des questions qui se posent plus investisseur il y en a cinq. Je ne suis pas sous les connaît. Donc quel est le business dont tu rêves. Parce que tu fais actuellement.

 

Nicolas Popovitch: Oh la la j’ai tellement de haine que j’ai commencé à lancer dans le prêt à porter qui entraîne qui est en train d’émerger tout doucement mais à mon rythme parce que malheureusement je fais beaucoup de choses mais celui dont je rêve vraiment par dessus tout le cinéma on verra un jour peut être. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle je me suis lancé dans tout ça mais maintenant il va falloir que je mette le feu aux poudres parce que le temps passe et ce n’est pas à 60 ans que je le ferai.

 

Thierry : Ben faudra qu’on discute. J’ai beaucoup beaucoup d’amis dans le cinéma qui m’aiment encore à New York qui n’a pas fait son long métrage mais qui a fait plusieurs courts métrages qui a eu des prix. Donc on en reparlera. J’ai beaucoup de réseaux dans le domaine. Bizarrement je sais pas pourquoi mais je connais plein. Si tu fais un peu d’aide.

 

Thierry : Quelle est leur expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur.

 

Nicolas Popovitch: Ma meilleure expérience.

 

Nicolas Popovitch: À.

 

Nicolas Popovitch: J’ai l’impression d’avoir toujours été entrepreneur. Je ne vais pas juger je ne suis pas bon pour répondre aux questions donc je vais te répondre comme ça. Pour moi c’est le parcours au global en fait parce que je suis tenté de te dire mes erreurs.

 

En fait c’est ma meilleure expérience parce que ce sont toutes mes erreurs parce qu’à chaque fois il en est ressorti quelque chose de positif derrière deux parce qu’on disait alors la responsabilité. Ce qui me fait réfléchir et chercher mais ma ma ma meilleure expérience quand même si c’est quand tu en a soldé toutes les dettes je ne sais pas si ça se sent une bonne réponse aussi ce matin appris à travailler dur et à rembourser les dettes.

 

Nicolas Popovitch: Donc oui ça a été ma meilleure expérience. C’est vrai que je me suis dit c’est à la suite à une opération j’ai tout ça bien en tête de pouvoir aller soldé.

 

Nicolas Popovitch: Ça a été ma meilleure expérience de se dire voilà. Bon certes pour moi n’avais pas d’argent mais je devais pleurer. C’était un soulagement énorme.

 

Thierry : Mais au moins c’était clair dans ta tête. C’est ça.

 

Thierry : Quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur.

 

Thierry : Les impasses des impasses c’est à dire.

 

Nicolas Popovitch: C’est à dire que quand tu vis à vis et que tu te sens prisonnier à un moment donné c’est le sentiment qu’on a tous.

 

Nicolas Popovitch: Oui oui c’est d’honneur quand tu dis il faut que je me débrouille je suis en chemin. Oui c’est le meilleur moment pour être entrepreneur. C’est le moment où quand t’es dans le désespoir le plus total et dans le chaos que tu peux tenter quelque chose tu n’as plus rien à perdre.

 

Thierry : C’est vrai je suis d’accord avec toi.

 

Thierry : Quel est le livre que tu conseillerais tout entrepreneur et pourquoi.

 

Nicolas Popovitch: Le mien devenir riche sans argent. Parce que c’est le mien.

 

Thierry : En général je précise à part le tien mais bon c’est vrai que c’est comme je va sortir dont on n’a pas parlé qu’au début.

 

Thierry : J’en veux de l’avoir sur ton site tu peux avoir 100 pages gratuites ou sinon commander tu pourrais être.

 

Nicolas Popovitch: Il va être là il va être disponible partout recommandable partout.

 

Thierry : Tu nous parle de tout ce qu’on a parlé de ton expérience.

 

Nicolas Popovitch: Un livre en deux parties après avoir tissé mon histoire modestement la deuxième partie en fait car les 40 règles je résume comme ça parce que c’est une partie où je donne vraiment c’est sur l’argent c’est sûr d’être pied plus côté entrepreneur.

 

Nicolas Popovitch: Du coup j’ai vraiment essayé de retirer la partie immobilière du livre. Même si on la sent vraiment parce que c’est ce qui m’a enrichi ne va pas faire genre. J’ai quand même mis en avant beaucoup de règles d’entrepreneur et entrepreneuriat sous forme de 40 règles qui auraient pu être curieux mais qui mérite certaines d’être développées dans un livre entier.

Mais l’idée c’est de montrer aux gens qu’il y a plus de quarante trois façons de gagner de l’argent et que si tu les applique même si tu les cumule bâtis sur de devenir riches je crois. Voilà donc un livre sur l’enrichissement et sur l’argent comme le titre l’indique. Voilà j’ai pas mal bossé sur le bouquin il fait 504 pages.

 

Nicolas Popovitch: J’ai eu les pages hier.

 

Thierry : Bon on en reparleras pour que tu ne parle que de business que de rien. Et puis on en reparlera 150 pages on fera on fera une série de trois épisodes.

 

Nicolas Popovitch: Alors oui il y a de quoi faire avec ce bouquin.

 

Thierry : Dernière question quelle est la compétence que tu rêves d’avoir. Tu n’as pas encore.

 

Nicolas Popovitch: La compétence que je rêve d’avoir et que je n’ai pas encore j’aime bien les questions comme celle là qui me perturbe c’est une bonne question ça tu auras.

 

Nicolas Popovitch: Quelle est la compétence que je rêve d’avoir. En fait j’aimerais bien avoir des compétences justement liées au monde du cinéma.

 

Nicolas Popovitch: Je pense que c’est lié à mon rêve de tout à l’heure puisqu’aujourd’hui j’ai. Si tu veux j’aborde ça un petit peu dans ma tête.

 

Nicolas Popovitch: Voilà j’ai une idée derrière la tête de tout ça mais je ne sais même pas si j’ai les compétences donc les compétences dans le cinéma.

 

Thierry : Plus tôt acteur ou plutôt derrière la caméra.

 

Nicolas Popovitch: Écoute. La vérité c’est que j’écris des bouquins depuis toujours. Donc là j’ai le bouquin de l’année prochaine qui est déjà écrit qui sortira l’année prochaine. Je suis en train d’écrire celui de l’année d’après et j’ai déjà le synopsis de celui de l’année suivante.

 

Nicolas Popovitch: Donc moi ce que j’aime dans le cinéma c’est raconter des histoires écrire des histoires et tout ça dans mon ordinateur. En fait il y a une partie du livre qui sont destinées à l’argent mais il y a toute une partie de bouquins. Quand j’avais vingt et quelques années j’ai écrit un livre sur l’héroïque fantaisie qui fait 1800 pages peut être divisé en six ou huit Tomes et j’ai jamais su quoi faire de ce bouquin. Mon rêve ça serait de trouver quelqu’un.

 

Thierry : Tu me le passes  Je le publié.

 

Nicolas Popovitch: Parce qu’il me faudrait.

 

Nicolas Popovitch: C’est ce que j’allais dire sur ce qu’il me faudrait. Aujourd’hui tu vois ça serait de trouver un système. Je pense que c’est ce qu’il faudrait que je fasse. Je ne sais même pas ce que je dois faire et c’est la compétence que cherches tu vois c’est un un comité je pense un comité de lecture parce que je suis tellement.

 

Nicolas Popovitch: J’ai tellement été dans cette histoire que j’ai aucun recul sur l’histoire première du premier point et deuxième point comme j’aimerais plutôt en faire un film ou un dessin animé tu vois. Ben voilà. Avoir cette compétence. Comment faire pour A partir de ce truc là et le faire à coucher sur du Télévie de l’audiovisuel ?

 

Thierry : Je vais te renvoyer avant de finir ce que j’ai fait avec Di Folco qui aide les gens à écrire pour toi tu sais écrire c’est pas un problème.

 

Thierry : Mais bon il a écrit il a édité deux bouquins lui d’éditions dont il peut aider. Il est dans sa boîte dans ça. Et puis après. C’est pas un problème. Je pense que après tu es trop occupé par aussi l’immobilier moins que tu dégage du temps avec tu prends du temps pour savoir si.

 

Nicolas Popovitch: Tu as tout compris.

 

Nicolas Popovitch: Là j’ai des projets jusqu’à mes 40 ans que je veux atteindre et après je pense que dans ma tête c’est ma crise de la quarantaine.

 

Nicolas Popovitch: Voilà ça a toujours été ça à dire je ne me dis pas 40 ans tu vois quand ce n’est pas comme un couperet qui va tomber. Si c’est 41 ou 42 mais je me vois vraiment tout lâcher. Là je suis en train de construire une machine qui devrait tourner tout lâcher et la surveiller de loin et pouvoir me consacrer à ça sur le reste de ma vie.

 

Thierry : Ok parfait merci d’avoir pris le temps de me donner plein, plein d’informations. On a un peu à raconté notre live sont nos femmes et autres. Mais bon les gens auront compris on a cherché des exemples au moins c’était clair.

 

Thierry : Et donc n’hésitez pas à aller prendre le livre Immobilier-company.com d’une chaîne YouTube podcast qui est très bien en autant et par que moi. Il y va à fond donc réellement dans le fond. Il faut écouter ceux qui sont motivés par l’entrepreneur immobilier. Il faut aller voir Nicolas Popovich Nicolas je le dis très bientôt.

 

Nicolas Popovitch: Merci Thierry. A bientôt.

 

Thierry : Merci à tous, Pour avoie écouter l’épisode 31 de l’entrepreneur lifestyle. Merci à Nicolas Popovitch d’avoir pris le temps de nous partager son parcours et donc qu’on puisse échanger et des fois être en désaccord sur certains sujets. surtout le plus important. Allez donc sur son site immobilier-company.com. Comme tu as pu le voir. On a donc eu quelques désaccords mais surtout un accord où on sait où on a confirmé qu’il fallait donc être responsable.

 

Thierry : J’espère que tu as appris cet élément important de l’épisode. C’est jamais la faute des autres c’est sa faute si quelquefois on a envie de dire que les autres tirent un plus plus vite en te disant c’est toujours ta faute que tu aurais pu faire mieux te présenter mieux arriver à leur faire tout ce qu’il faut. Les autres c’est leur problème.

Toi tu gères tu gères toi et c’est plus simple tu es responsable à 100% à chaque fois. Donc n’hésite pas à commenter et à partager.  Je le répète pour aider le podcast et bien sûr d’autres épisodes. N’hésite pas à aller voir les autres épisodes on a de 30 épisodes. Donc tu peux aller sur mon blog ou sur ma chaîne YouTube pour aller voir plus de contenu sur le business et l’indépendance financière. Je te dis à très bientôt. Chao Chao..