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#EP 39 – Comment gagner sa vie en écrivant un email par jour ? Interview de Djamel MAZI


Comment gagner sa vie en écrivant un email par jour ?

singlar peter Thierry : Salut à tous, bienvenue donc sur l’Entrepreneur Lifestyle,  Thierry #HENRY. Aujourd’hui comme je t’ai promis dans le dernier épisode avec Yann LE NEN. On va parler d’email marketing. Je vais te proposer pas une étude de cas, mais quasiment avec un spécialiste, Djamel MAZI. C’est pas le journaliste, c’est comme moi il a homonyme connu Djamel est un expert du copywriting qui tourne un peu plus de quelques années sur le marketing. Tu peux aller voir son blog ekoledubiz.com donc école avec un K, et biz b.i.z.com.

Il a une formation gratuite sur l’email marketing. Il a aussi écrit un bouquin sur le sujet, donc il va nous parler un peu tout ça et donc avec le partenaire. Donc cette semaine, c’est donc CONVERKIT, un outil d’email marketing très connu. Tu peux tester gratuitement pendant 14 jours, donc www.thierry-henry.fr/ckt ;  www.thierry-henry.fr/ckt. Je te dis tout de suite avec DJamel MAZI.

PRÉSENTATION

http://marmolejo.org/?sryvparawi=apartamentos-para-solteros-madrid&6cd=3c Thierry : Salut Djamel, comment tu vas.

 

round-arm Djamel MAZI: Bien Thierry et toi?

 

Thierry : Merci Super. Comme moi, tu as un nom, t’as un homonyme connu. Donc quand on sait contacter, je me suis dit, je ne comprends pas, tu comprends pas, c’est Lui ou ce n’est pas lui. . C’est clair,.

 

Djamel MAZI: C’est clair. C’est un journaliste..

 

Thierry : Je le connaissais pas avant, mais bon, voilà,.

 

Djamel MAZI: Il n’est pas hyper connu, mais je pense qu’il va commencer à percer et je pense qu’il va faire de l’ombre à mon nom.

 

Thierry : Non, ce n’est pas grave. Même moi, j’ai déjà le meilleur buteur français de tous les temps. C’est pas grave,.

 

Djamel MAZI: C’est la classe. Ton homonymie, c’est la classe.

 

Thierry : Et c’est l’abondance. Il y a de la place pour tout le monde en plus. Moi, je suis pas dans le foot, tu n’es pas dans le journalisme, donc c’est bien notre monde, notre marché.

 

Djamel MAZI: Exactement.

 

Thierry : Donc Djamel pour ceux qui ne te connaissent pas, tu vas nous parlé aujourd’hui d’email  marketing, pourquoi il faut continuer à utiliser l’email marketing? Même si tout le monde  dit que c’est mort chaque année et qu’il faut envoyer des mails tous les jours, même si il y en a qui disent que c’est pas bien çà spam. Mais bon. Tu vas tout nous expliquer donc d’abord présente toi puis après de on va parler d’email marketing.

 

Djamel MAZI: Bah déjà, tu sais quoi? Un grand merci déjà à m’accepter sur ton podcast, car ça fait plaisir. Alors voilà, effectivement, je suis Djamel copywriter et marketeur. Alors si tu veux moi. Aujourd’hui, je suis freelance copywriter et j’ai aussi un blog ekoledubiz.com  sur lequel je partage des conseils en copywriting, en stratégie, etc. Mais à la base, ma première expérience sur le Web, c’était un site e-commerce que j’avais lancé avec un pote en 2012.

Ça remonte déjà. En faite, lui il était parti au Canada et il m’a dit qu’il avait trouvé un boulot là bas, en faite si tu veux. Et il vendait en dropshipping des articles de bien être et de santé, etc. Paramédicales et revenant en Belgique parce que je suis basé en Belgique en revenant en Belgique, il me dit Djamel, jamais tout. J’ai trouvé le bon plan. Il faut qu’on commence un business comme ça et donc on a démarré dans le e-commerce. Sans aucune connaissance.

Et quand tu, quand tu te lances sans aucune connaissance au bout de quelque temps, le projet de projet capote. Quoi donc? Au bout de huit mois, je crois, ont mets la clé sous le paillasson. Mais j’ai retenu un petit truc quand même, parce que d’autres expériences négatives on retire du positif, évidemment. Il y a un truc qui me plaît moi, c’est la rédaction des newsletters. Tous les vendredis, on fait une newsletter à nos abonnés et on fait la promotion de nos produits. Et donc, je commence à me familiariser avec mailchimp la rédaction sans savoir que je fais du copy writing tu vois.

Et donc, voilà, moi, j’arrête ce site, mais j’en reste avec, j’en reste un peu sur ma faim. À ce niveau là, je commence à me poser à creuser. Et comme j’ai bon, voilà, je suis un peu plus tôt, je dirais introverti. J’ai une affinité pour la vente et j’aime bien rédiger et je suis un peu créatif. Donc, pour moi, je découvre le copywriting. Pour moi,.

 

Thierry : C’est le truc parfait.

Apprendre le webmarketing

Djamel MAZI: Alice au pays des merveilles. Quand j’ai découvert cà..

 

Thierry : Comme moi, avec le podcast, et l’affiliation.

 

Djamel MAZI: Voilà, quand tu trouves un truc qui te fait vibrer, tu rentres dedans. Donc, j’imagine que c’est aussi le cas des gens qui nous écoutent. Voilà, On rentre dedans.

 

Thierry : Enfin, ce qui est bien à retenir. C’est que t’as commencé par quelque chose d’autre. Mais t’as pas abandonner comme tu es quelqu’un de curieux , et d’ ambitieux. Enfin d’ambitieux Je ne sais pas, mais t’es pas rester sur l’échec. T’as vu qu’il y avait une partie de plaisir à être poursuivi dans cette partie là,.

 

Djamel MAZI: Non jamais l’échec, ce n’est pas une solution, ce n’est pas une possibilité et donc peu importe où la route nous mène. Les échecs sont là pour apprendre et pas pour pas pour arrêter. En tout cas, pas chez nous.

 

Thierry : Donc, copywriting et email marketing. Donc là, tu as lancés www.ekoledubiz.com, il y a combien de temps que ekole du biz est créee.

 

Djamel MAZI: EKole du biz J’ai lancé ça en 2018. Et Ben voilà, ça démarre tout doucement. Moi, la base, je suis pas un référenceur, si tu veux. Donc, ce que j’ai fait pour développer un peu le site, c’était de publier à chaque fois tous les emails, tous les emails que j’ai envoyé à ma liste, les mettre sur le blog, comme çà je ne devait pas vraiment mon temps à ….

 

Thierry : C’est çà que je me disait, c’est que c’était bizarre? J’ai été sur le site. Je me suis mis il y a un truc. Je ne comprends pas. C’est un article ou un titre. En tout cas on sent bien, c’est quand je t’ai dis tout à l’heure, On sent que t’es qu’un copywriter et T’aimes écrire, ça se sent tout de suite. On sent comment le blog il est fait. C’est vraiment ta personnalité, c’est pas mal donc ékoledubiz.com,  l’école avec un K quinqua.

 

Djamel MAZI: Ouais, avec un K et Biz avec un Z à la fin. Merci pour la petite pub, mais en effet, merci beaucoup. En effet, les emails, je les mettait, comme çà tel quel sur le blog. mais du coup, c’est pas vraiment un article de blog à part entière. Du coup, au niveau du contenu SEO, évidemment, il y a plein de contenu, mais ce n’est pas les balises ne sont pas optimaliser, les balises, titres, etc. Même le jargon que j’utilise si tu veux. Je vais même pas dire le mot marketers, je veux dire les marketeux, tu vois même Facebook, je vais dire je vais l’écrire face-book. J’ai aimé.

 

Thierry : Au moins, c’est naturel. Parce que logiquement, Google aime ce qui est naturel. Mais bon, ça, en général. Ouais, parce.

 

Djamel MAZI: Et du coup, récemment, j’ai investi un peu avec. Je me suis entouré de gens qui savent faire ça. Je me suis acheté les outils, donc je vais commencer tout doucement. Mais je t’avoue. Moi, c’est plus le côté créatif qui me fait vibrer. Mais bon, là, pour le coup, il faut un petit peu, ce casser un petit peu la tête et faire les choses bien, quoi?

 

Thierry : Et donc, comment tu te dis qu’il faut faire de l’email tous les jours? D’abord, comment tu as crée ta liste ? Parce qu’il faut quand même avoir une liste pour « Mailé » tous les jours, il faut avoir une liste. Comment est ce que c’est par rapport à ton blog ou tu l’a fait avant? Est ce que ce que j’ai fait un épisode il y a trois semaines sur le black Hat parce que c’est du White ou Black Hat? Bon, savoir que je pose beaucoup de questions là dedans.

 

Djamel MAZI: T’inquiète et j’avais compris. Mais on va essayer de répondre à tout. Il n’y a pas de souci. Non, c’est du c’est complètement white. Moi, je suis. Je suis vraiment du parti pris que le karma est important. Donc, si on fait les choses mal au bout d’un moment, ça nous retombe sur le coin de la tête. Ca va Faire mal aussi quand ça va retomber. Après, voilà, je sais, je sais que t’as une interview avec quelqu’un qui faisait du black hat emailing. J’ai pas pour te dire la vérité. J’ai pas écouté l’interview, mais en tout cas, ma philosophie, c’est de faire les choses dans les règles de l’art. Ma liste, comment je l’ai construite? Écoute.

 

Thierry : Moi, moi, moi, je ne tape pas en mal sur le BlacK Hat,parce que. Pour moi, c’est les règles de Google, Google, Google n’est pas la police, ce n’est pas un loi. Je n’ai rien contre le black Hat, s’il faut en faire je pourrais en faire je le dis ouvertement. Mais voilà, c’est pas, c’est pas un problème.

 

Djamel MAZI: Oui, mais si.

 

Thierry : Il faut juste ce que Tu fais ce que tu fais, ce que tu proposes, s’il y a un sens. Si c’est juste pour faire des trucs qui sont interdits aux moins de 18 ans. Le truc bizarre?

 

Djamel MAZI: Bien sûr. Bien sûr et puis même après la prospection à froid, etc. Tout ça scraper des listes. Beh c’est même pas illégal, en fait. Si tu fais ça dans un objectif commercial, en tout cas, y’a à boire et à manger. Bon, maintenant, la philosophie, si tu veux la philosophie elle est clean, quoi. S’adresser à un public qui a envie de m’écouter. Parce que ça sert à rien de scraper une liste de 1 million pour des gens qui n’en ont rien à foutre de ce que tu va raconter. Donc voilà, ce n’est pas une liste faramineuse. C’est une petite liste que je fait grandir tous les jours. Et c’est comme ça que je mène mon bateau un petit peu depuis le début.

 

Thierry : Et donc, tu leur envoie un mail tous les jours. Donc, comment tu fais, est ce que tu automatisent un petit peu ou tu fais au jour le jour?

 

Djamel MAZI: En général, je rédige la veille pour le lendemain et je rédige du lundi au vendredi. Il y a des marketeurs qui vont écrire Samedi ou dimanche? Peut être que j’y viendrai un jour, mais en tout cas, je me laisse mon wee end pour une vie de famille, etc. J’ai des projets sur le côté du Lundi au vendredi. Voilà, mes abonnés reçoivent un email. Ça dépend. Des fois, c’est le matin des fois c’est l’après midi. Mais voilà,.

 

Thierry : Ça fait combien de temps que tu as a commencé  à envoyé des email tous les jours ?

 

Djamel MAZI: J’ai commencé ça. En même temps, j’ai lancé le blog, donc j’ai une petite année dans les pattes à faire ça.

 

Thierry : C’est énorme, mais tu n’a jamais raté un jour. Sans compter les week ends.

 

Djamel MAZI: Non sans compter les week end. Voilà donc cinq jours sur sept. Est ce que j’ai déjà raté un jour ? J’ai pris sa main. J’ai beaucoup hésité, tu vois, mais je suis parti une semaine en vacances cet été. Et là, j’avais prévenu Ma liste pendant une semaine. Je ne suis pas sûr que vous allez recevoir un email de ma part. Mais voilà. Donc, si je l’avais senti sur place, je l’aurais fait. Bon, il se trouve que je passais du bon temps en famille. Je me suis dit Allez, une semaine je coupe, ça ne m’a pas trop fait mal. Mais est ce que des fois, je rate un jour, non. Alors parfosi ce que je fais des fois, c’est que je vais recycler un email. Ça m’est arrivé.

 

Thierry :  C’est à dire, tu recycles, tu reprends.

 

Djamel MAZI: Ouais, je reprends,un email parce que bon, dans la liste, ça, ça va, ça vient, ça se désabonne, ça revient. Bon, après, j’ai des gens qui sont là.

 

Thierry : Mais, Tu le laisses un 100% identique ou tu le modifies ?

 

Djamel MAZI: Alors ça dépend. Je modifie un petit peu, tu vois. Je modifie un peu le deux ou trois trucs parce que je vais peut être adapté à mon humeur du jour ou à l’actualité. Tu vois ça? Je n’ai pas de règles précises si tu veux quand je fais ça, mais de toute façon, déjà, c’est rare. Mais en général, ce sont les emails originaux. Chaque jour, je ponds un  truc, j’essaie d’apporter quelque chose à mon lecteur. Tu vois des conseils ou visions sur ma thématique, un truc en tout avec lequel ils pourront repartir et se servir dans leur marketing.

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Thierry : Est ce que c’est des gros emails ou des emails ? Moi, j’ai déjà testé pendant un moment, je fais l’email marketing classique, on va dire, je peux envoyer 2 à 3 emails par semaine  comme j’ai du contenu, mais je renvoie pour le contenu.

 

Thierry : Il y en a que je vais automatiser tous les vendredis soirs. Donc si j’ai crée trois vidéos et deux podcasts, ils vont l’avoir, il est identique. Et puis, il y a un moment, je me suis lancé que j’avais écouté un marketer qui disait qu’il faut un grand Marketeur très connu. Tout à l’heure, tu m’en a parlé, mais je ne sais c’est lui. Il disait que lui, il écrivait tous les jours depuis un petit bout de temps déjà.

Ce marketeur disait qu’il écrivait comme si c’était des potes pour ne pas soûler, dire qu’il faut être pro. Il m’a dit. Ce marketeur écrit ainsi à sa liste comme si c’était ses potes, il tutoie et c’est naturel. Tous les jours, tu appelles, tes amis et tu envois des SMS. C’est pareil dans les jours, mais ce n’est pas les. Des fois, il y a des mails très longs et de très petits. Et lui disait qu’il faisait un mail sourd sur deux ou trois. Il faisait un classique ou il ne mettait rien. Aucun lien. Et d’autres ou il faisait un peu de vente. Donc toi ce que tu es plutôt du genre tous les jours vente Ou sinon, tu crées juste du contenu pour créer du contenu.

 

Djamel MAZI: Dans l’absolu, tout ce que tu viens de me dire, tu vois le tutoiement, la longueur du mail vendre ou pas. Dans l’absolu, y’a pas de règle en faite, parce que je pense qu’on doit arrêter de se mettre des règles sur la tête. Il y en a déjà assez, tu vois, on doit faire ça à la cool. Moi, personnellement, moi, ce qui me convient, c’est ben déjà je vous vois ma liste au niveau de la longueur. Je suis en général autour de 400 mots de cet article.

 

Thierry : Ah ouais c’est un article

 

Djamel MAZI: Ouais, disons que c’est une longueur dans laquelle je suis confortable. Je vais pouvoir développer une intro qui va accrocher, ramener une idée et donner un point de vue. En général, je suis entre, autour des 400 mots. Des fois, c’est un peu moins dés fois un peu plus des fois il m’arrive de faire 800 Mots. Quand j’ai vraiment beaucoup à dire. Mais pour en revenir au truc, il n’a pas vraiment de règle. Pierre-Paul Jacques, va te dire moi, je fait comme ça, puis l’autre va te dire ça. L’important.

 

Thierry : C’est par rapport à son feeling, à soi, ce qu’on peut faire et peut être par rapport à sa niche,.

 

Djamel MAZI: Par rapport à bien sur le marché, est important. Il faut s’adapter à son marché, mais la finalité, il faut savoir ce qu’on fait à terme, à terme, c’est quoi? Si on veut créer une marque, on veut créer une personnalité. Tu vois, est ce qu’on veut bien pour ces choses là? Il faut tisser de la relation avec ses lecteurs. Et ça, c’est le plus important. Bien sûr, j’aime bien mettre un lien commercial dans chacun, mais chacun de mes emails, même si des fois, j’en vois faire des trucs gratuits. J’ai découvert une vidéo, je vais voir la vidéo où j’ai découvert un outil qui marche super bien.

Je t’envoie vers la page de l’outil. Tu fais ce que tu veux voir. Je trouve une formation gratuite. Je te l’envoie de lien. En général, je mets un lien commercial, mais la finalité, ce n’est pas tant de faire cette vente là, c’est vraiment de tisser la relation et faire la vente, mais pas la vente pour le one shot. La vente pour le long terme. Tu vois pas la vente que tu vas faire? La tout de suite, qui va être importante à mes yeux, ça va être ce que cette vente signifie.

Cette vente signifie quoi? C’est que derrière, t’as une valeur sur la durée de vie de ton lecteur. En tout cas, la durée de vie à laquelle il sera abonné a ta liste. Et c’est là dessus que je capitalise un maximum.

 

Thierry : Ouais, tu ne vends pas n’importe quoi. C’est vraiment des choses qui vont lui rendre service, donc il sera content de revenir parce qu’il sait que tu proposes des choses de qualité.

 

Djamel MAZI: Exactement. Je vends. Ouais, j’ai pas encore fait d’affiliation. Je ne suis pas un entrepreneur qui a des années et des années d’expérience derrière. Mais pour l’instant, je vends des produits que moi j’ai fait. Excusez moi donc, voilà, je sais ce que je vends et je sais pourquoi je le vend. Il y a toute une démarche marketing copywrtiting où on sait quand même pourquoi on écrit ce qu’on écrit.

 

Thierry : D’accord concernant l’inspiration. Parce que bon, j’ai l’impression que si je me trompe pas, tu as un bouquin.

 

Djamel MAZI: Ouais, ouais, ouais,.

 

Donc tu es naturellement, un bon écrivain, on va dire t’es bon à l’écrit.

 

Djamel MAZI: Ouais, ouais, sinon je ferais pas ça. Moi, j’aime bien faire.

 

Thierry : Cette question est ce que tout le monde peut faire de l’email marketing comme toi? Tu le fais ou sinon? Bah, c’est un peu galère. Il faut plutôt moins écrire ou écrire plus petit, faire 200 mots entre parenthèses que Ça m’arrive de faire des fois, comme je l’ai fait pendant deux mois. Sérieusement. Des fois, je faisais un truc de 200 mots Mais vraiment, voilà qu’aujourd’hui, je vais vous dire. Voilà à quoi.

 

Djamel MAZI: Tu… Tu me ramène la question de la longueur sur le tapis. Une deuxième fois, je vais te dire ce que je dis au gouvernement, mais c’est une très bonne question,.

 

Thierry : Même si j’ai fait des longs articles de 2000 mots. Moi, je galère pour la faire. Je dis souvent Je ne suis pas un vrai Boieldieu. Je suis un blogueur qui utilise la plateforme du blog pour faire maintenant de la vidéo ou du podcast. Mais l’écrit, même si je suis pas mauvais, parce que je vous remercie, parce que le contenu est là, parce que j’ai des connaissances. Le contenu est là, mais la forme n’est pas extraordinaire et je vous le dis ouvertement, je descendre ou pour me vanter.

 

Djamel MAZI: Peu importe, tu sais, je te fais, je vais te retourner. La question est ce que tu sais parler à quelqu’un de ta passion et de ce que tu veux? Est ce que tu arrives à te parler? C’est facile je suis un vendeur.

 

Thierry : Oui, c’est facile, c’est facile. Et en plus, quand on fait, quand on s’engage local, c’est facile.

 

Djamel MAZI: Voilà donc ce que tu fais. Tu me dis j’aime pas écrire, mais tu sais parler.

 

Thierry : Non, j’aime écrire, mais je ne suis pas un littéraire pur. Donc si je suis, je voilà qui. Si j’avais mal diameter le bon sens, si j’avais la plume de Balzac ou d’Aimé Césaire, je serais heureux. Je ne ferais que ça,.

 

Djamel MAZI: Mais je suis pas sûr que Balzac ou Aimé-Césaire réussirait à vendre tes formations. En fait, si tu veux le truc, gens en train de te dire, c’est que si tu arrives à parler à quelqu’un, tu arrives à retranscrire les mots qui sort de ta bouche sur ton clavier. Point barre. Il n’est pas question de faire du Gustave-Flaubert ou de faire de la grammaire. Top notch, tu vois, il est question de faire passer un message de ton cerveau vers un autre cerveau. C’est tout et pour ça. Après moi, je connais des marketeurs. Ils font des fautes d’orthographes,.

 

Thierry : Mais moi, j’en fais et je n’ai aucun problème avec çà sinon, je n’aurais jamais commencer le blog .

 

Djamel MAZI: Ouais c’est pas grave.

 

Et les remarques sont venues. Mais je m’en foutais je te dis la vérité parce que j’ai déjà un âge 43 ans où j’ai appris qu’un enfin je sais plus qui a dit ça? A mon âge, les gens s’en foutent de moi. Ils sont ceux qui pensent que à eux c’est de nature humaine. On s’en fout.

 

Djamel MAZI: Exactement.

 

Thierry : Et si je m’occupe de ce que les gens disent, je ne vais pas avancer, donc je l’ai fait. Mais ce que j’ai fait parce que j’avais appris çà aussi, je faisais corriger mes meilleurs articles. Ceux qui rankaient. J’ai payé 40 euros pour 11000 mots et je les ai fait corrigée. Mais après s’être trouvé ma solution, même si je suis de nature bègues, je me débrouille quand même comme ça.

Un contenu qui me plaît et ça tombe bien ce que je trouve une question par rapport à ça. Est ce que moi, je peux envoyer des mails, parce que toi, c’est pas comme ça, mais souvent, des fois, j’invite. Mais j’habite en compte 15. Je leur envoie un message vocal, je ne fait pas un mail, leur présente Salut. J’aimerais t’inviter sur mon podcast comme je n’ai pas envie de faire de l’écrit j’enregistre Juste le message je l’envoie que je pourrais faire tous les jours un message vocal à ma liste.

Djamel MAZI: Bien sûr, bien sûr, si tu veux aujourd’hui, je suis là pour parler de coopératives. Les coopératives, c’est la science de faire passer le message derrière va ramener une action. Si ton message revêt la cape du message vocal plutôt que d’email. Ou le SMS ou la vidéo YouTube. Un grand berçant face aux joies du copier coller? Peu importe d’ailleurs, c’est la science de la communication et de la persuasion. Il se trouve que le canal dans lequel je me suis a laissé d’email. Email ou la page de vente?

Alors on n’a pas parlé des pages de vente encore, on pourra faire appel, mais bien sûr, si franchement ça peut être un concept très bon ça d’envoyer des messages vocaux à ses abonnés. C’est excellent du moment. De toute façon que tu ramène quelque chose de différent dans leur vie, que tu la ramène de la valeur. Et que tu arrives à faire vivre ton l’entreprise aussi, c’est le but, fonce. Il n’y a pas de problème? Tout à fait. Bon, ben ouais, tout ce que je veux tester, moi, c’est à tester. En tout cas, tu serais le premier à qui j’en parle. En tout cas, ça me parait être tout à fait une bonne idée.

 

Thierry : Enfin, est ce que ça fait enfin, Je ne sais pas ce que moi je t’ai posé la question.

 

Djamel MAZI: Du coup, tu envoyé sur..

 

Thierry : Je le fais déjà, mais je le fais. Je le fais à mes invités, certains invités. Je sais.

 

Djamel MAZI: De quoi ce serait sur WhatsApp, par exemple. Un groupe WhatsApp, un truc comme ça?

 

Thierry : Non, sur ma liste, email dans mon mail. Quand je envois un mail en fin de compte, le jeudi ci-joint et un audio, c’est ce que je fais, les gens cliquent.

 

Djamel MAZI: Ak ok d’accord? Je comprends pas. Après, tu vois.

 

Thierry : Au lieu d’avoir un écrit qui fait 400, mots ou 800 mots où? Je ferais juste 50 Mots, 50 Mo. Je suis du genre. Voila mon message du jour et je le mets en vocal, même si bon, les gens ne peuvent pas cliquer, c’est différent.

 

Djamel MAZI: Après la question du confort aussi, parce que tu es un animal, c’est confortable. Je peux le lire quand je suis aussi dans les transports en commun, je peux le lire quand je suis aux toilettes, je peux le dire quand je suis en.

 

Thierry : Comme un audio, c’est pareil.

 

Djamel MAZI: Bah ouais, après le truc, l’audio, c’est comment? C’est peut être plus intrusif si tu veux pour l’entourage. Après, ça dépend des gens.

 

Tu as raison. Il faut savoir qu’en fin de compte, c’est comme un. Quand il faut avoir un casque, il faut que la personne écoute dans son ….

 

Djamel MAZI: C’est pour ça. Ouais, voilà. Mais je connais des marketeurs qui ont des audiences sur WhatsApp, par exemple. Là, ils font que de l’audio. L’audio? Quelques messages pour expliquer les directives, mais ils font des messages audio.

 

D’accord, en tout cas. En tout cas, ça a creusé en tout cas ce test en marketing. C’est ça la réponse facile de tous les marketeurs. C’est tout ce test. Il faut tester.

 

Thierry : Non, mais je vais tester ce que j’ai testé en tant qu’invité. Ça marche bien. Question dont tu me parles est donc d’inspiration? Non, toi, ça vient assez naturellement. On va dire ouais,.

 

Djamel MAZI: L’aspiration, tu sais quand tu fais par jour. En fait, au bout d’un moment, c’est un muscle que tu entraînes constamment parce que tu te force à faire un email. Donc il faut quand même une bonne dose de persévérance et de courage, en tout cas au début. Ce que je conseille de faire souvent en début, c’est un challenge de 30 jours. C’est déjà pas mal pour commencer les 30 jours.

Tu peux même raccourcir à 15 20 jours pour commencer, mais tu te rends vite compte que c’est un muscle. Et après, c’est beaucoup plus facile parce que tu vas te servir de ce qui entoure. Donc je ne sais pas mon foyer, par exemple, tes enfants vont faire un truc. Mon fiston, ce il a renversé une assiette d’avocat. Tu vois, on avait coupé les avocats bien propres. J’avais mis de l’huile d’olive, le sel dessus. Mon fils a 3 ans. Petit papa, je veux t’aider. Il a fait tomber Man.

 

Thierry : Ne me dis pas que tu fais le Keto toi aussi.

 

Djamel MAZI: Le quoi,.

 

Thierry : Le keto. La cetose.

 

Djamel MAZI: Non, non, non,.

 

Thierry : Comme tu as parlé d’avocat bon parenthèse,.

 

Djamel MAZI: Non, Je ne suis pas là dedans, mais j’adore l’avocat, mais sans rentrer dans ces régimes là. L’avocat, c’est super bon, mais il fait tomber l’assiette. Ben voilà.

 

Thierry : Et donc tu en a fait un sujet ou tu voulais faire.

 

Djamel MAZI: J’aurais pu, j’y ai pensé à fond, mais j’ai failli m’énerver sur lui. Je dis ça. Il y a trop moyen d’embrayer sur un sur un thème. Tu vois,.

 

Thierry : Ouais en fin de compte tu fais comme moi avec qu’un podcast ou un ou un, ou un blog quand j’en faisais ou meme une video. J’essaie de rebondir sur quelque chose qui m’est arrivé. J’en fait  comme puisque moi c’est plutôt business dont moi j’en fais un sujet.

 

Djamel MAZI: Faut pas se prendre la tête, il faut vraiment faire ça à la cool. Après, tu vois, y’a les réseaux sociaux. Tu vois, je sais pas si tu a un compte Facebook ou Twitter. Bah, tu scroll, tu regardes, tu racontes des histoires qui sont arrivées, tu vas sur des forums, tu vas sur Reddit, tu vas sur Quora.

 

Thierry : Un article dessus enfin de compte, mais c’est comme les blogs, je vais sur Pinterest, tu vas partout, y a du contenu et tu vas regarder les titres ou ce qui intéresse, c’est toujours bon,.

 

Djamel MAZI: Tu vas te servir, tu vas te servir dans ce qui existe en fait.

 

Thierry : D’accord c’est la même inspiration que pour écrire un article de blog enfin de compte.

 

Djamel MAZI: Ouais, ou après, L’objectif n’est pas le même. Mais oui, après, si tu veux trouver un peu un angle un peu sympa, un peu un peu différent, tu peux commencer avec un sujet qui n’a rien à voir et puisse faire une analogie et faire une comparaison. Et puis ramener ton offre commerciale sur la table où tu peux commencer d’emblée en parlant dans ta thématique, je ne sais pas. J’ai rencontré un tel client. On a commencé à parler de ça. Il n’y a pas de règle. Franchement, là où je veux en venir, c’est qu’il n’y a pas de règles.

Il y a plein plein de choses qui peuvent vous aider à créer les email. D’ailleurs, j’ai fait une petite formation gratuite sur mon blog. Pour ceux qui veulent aller voir pour donner des idées comme ça, y’a vraiment vraiment le C. Partout où les idées sont partout. Donc voilà, je pense que c’est ça paraît un peu insurmontable. Animal par jour, ça fait peur à beaucoup de monde, je pense. Mais ça devient une routine, en fait, quand on fait, quand on fait rentrer ça dans sa routine, après, c’est aussi naturel que de respirer.

 

Thierry : C’est comme tout enfin de compte. Il faut, j’en parlais avec Yann Le Nen, dés que tu as mis çà dans ta routine de businessmen on va dire ou de … des que tu la faits trente jours après, c’est une habitude,tu continues.

 

Djamel MAZI: Et après, tu te sens mal, Le jour où tu te dis je t’ai dit au début, ça m’est arrivé de rater si souvent.

 

Thierry : Surtout que tu as habitués ta liste.

 

Djamel MAZI: Ouais, ouais, je me sentirais trop mal de pas leur écrire franchement.

 

Thierry : Et donc, donc, donc toi, de les 400 mots, donc tu mets combien de temps? Parce que je pense. Le vrai problème, c’est de se dire ce que ça va nous prendre une heure pour écrire un email, quoi?

 

Djamel MAZI: Au début, oui, ça pourrait prendre pas mal de temps. C’est possible que ça prenne parfois jusqu’à une heure ou une heure et demie si tu veux faire les choses bien. Moi, j’ai en plus un petit côté perfectionniste. La petite virgule.

 

Thierry : Moi je n’ai jamais mis 1h30.

 

Djamel MAZI: Non, moi, ça m’ai déjà arrivé plein de fois et tout pour ça. Je ne suis pas hyper rapide. Je sais qu’il y a des marketers qui tambourinent. Ça va. Ouais, se fait en 20 30 minutes maxi. Alors oui, en général, je fais mettre 30 minutes, en général en moyenne à 30 40 minutes, mais parfois, je vais me dépasser et je n’ai pas de complexe à dépasser. Je suis vraiment lent parce qu’au final, je veux vraiment que mon lecteur s’amuse derrière toi en qui s’amuse et qu’ils apprennent quelque chose.

 

Thierry : Parce que techniquement, j’ai bien compris, toi tu es peut être dans l’extrême. T’es pas juste un email marketer tu es un copywriter. Ce qui fait que quand tu fais le mail il y a une histoire de persuasion de ceux qui sont très techniques, qu’un classique va pas faire parce que ce n’est pas un copywriter, donc on est pas tous copywriter dans une case à part.

 

Djamel MAZI: Il y a une réflexion, il y a une réflexion,.

 

Thierry : Des génies, de la psychologie, du marketing et de l’écrit, ce qui fait que tu le mail  que toi tu vas faire, et que moi je vais faire n’est pas le même. Même si notre but final, c’est de faire plaisir à la communauté de la communauté que l’on crée, tu serais peut être plus  dans la pure vente. non pas pure vente comment dire,.

 

Djamel MAZI: Mais efficace,.

 

Thierry : Ton email il est efficace, il n’est pas là juste pour faire un mail,.

 

Djamel MAZI: Mais les tiens, tiens, qui sont censés être efficaces. Donc, je pense que tu t’es,.

 

Thierry : Je suis pas un pro donc je ne vais ,pas essayer de faire le copywriter, si je ne suis pas copywriter.

 

Djamel MAZI: Oui, mais ça se travaille, Thierry  et franchement, ça se travaille. Je ne pense pas qu’il faille devenir le nouveau Gary Alberte. Je ne sais pas. Ça dit quelque chose, mais encore une fois,.

 

Thierry : Je crois que c’est la personne à connaître.

LA RÈGLE DE PARETO EN EMAIL MARKETING -20/80

Djamel MAZI: Voilà. On ne va pas tous devenir Gary Albert voir. Donc il faut, il faut. Il ne faut pas trop se prendre la tête. Je pense qu’il y a quand même des. Il y a des fondations à apprendre et des fondations à prendre. Et d’ailleurs, c’est une question de style et il ne faut pas oublier. Une chose très importante, c’est que le Copywriting, finalement, ça n’est jamais que 20 de l’équation. Si tu veux, je ne sais pas t’as déjà entendu ce concept là. C’est constate aussi que beaucoup de marketeurs rabache.

Mais si tu veux le marketing, pardon, la vente, la vente est faite grâce à trois facteurs. C’est l’offre, l’offre que tu vas vendre. La qualité de l’offre. La pertinence de l’offre. Le marché, donc les prospects à qui tu vas faire voir cette offre, vers qui tu va envoyer cette offre. Et ça, c’est 40 et 40 ans. Ils ont déjà 81% ce jour là. Tu vois les 20% qui restent, c’est le copyright. Si c’est la forme que tu vas y mettre. Si tu veux, si t’as déjà les 80%. Bon, voilà, le copywriting, ce n’est pas une baguette magique, en fait, c’est un multiplicateur.

 

Thierry : C’est pas une baguette, ce que tu me dis. Moi, je te dirais automatiquement la loi de pareto. Donc si c’est les 20 qui font les 80% du business.

 

Djamel MAZI: Ouais, ouais, ouais. Ouais,.

 

Thierry : Comme quoi les nombres ils ne mentent pas. Mais bon, on va pas s’arrêter là, sinon on va faire une grande conversation. Qui a raison de base? C’est toi le pro. Donc si tu me dis qu’on peut s’améliorer, devenir des bons copywriter, pourquoi pas.

 

Djamel MAZI: Honnêtement, franchement. Et puis je te dis pas si, si, c’est l’écrit te gène, alors parle. Et puis retranscris, tout simplement. C’est la chose la plus simple,.

 

Thierry : Souvent, qui fait peur aussi, c’est que la liste, comme on dit, l’argent est dans la liste et non raconte des gens. Ils sont où? Ils ont peur que les gens se sauvent techniquement. C’est la base, il y a des gens qui rentre et parts donc c’est logique. Toi n’a pas eu peur quand tu envoyais tous les jours d’avoir une liste qui s’amenuise ou qui décroît.

 

Djamel MAZI: Tu sais quoi? Le timing est parfait. C’est parfait parce que je ne pense pas que ce soit bon à ma liste. Mais c’est l’image que j’avais sorti aujourd’hui. Ça, c’était Vaiges. Griller ma liste et ça, c’est une peur légitime que tout le monde aquatique commence à faire un mètre par jour. Est ce que je vais pas saouler ma liste, quoique tu vois qu’il y a plein de monde qui m’a dit Mais t’es fou? Un mail par jour, mais t’es malade, tu vas aller Soulet. Ils vont tous se désabonner. Et puis maintenant, on en fait. Ici, c’est l’inverse qui se produit parce que.

Ils attendent avec impatience ton email. Et de surcroît, ils ont l’impression de te connaître comme un membre de leur famille, tu vois bien comment tu auras les gens que Schoten un bon taux d’ouverture de tennis de 10000 personnes sans qu’il y a vraiment quelque chose qui secret où les gens lisent le premier discours. On est bien là. 5%. En tout cas, au niveau des taux d’ouverture. J’oscille entre entre 40 et 50.

 

Thierry : Alors oui, quand même pas mal.

 

Djamel MAZI: Après, ça dépend aussi comment tu les ramènes sur la liste. Faire ce qu’elle a quand même qu’on voit en tirer, tirer en masse partout où forcément, tu auras des tours de vertu un peu plus craignos. Si tu tue, mets tu mets les efforts qu’il faut pour ramener les prospects de qualité Mentalist. Tu auras forcément plus de l’ouverture, mais tu sais, c’est pas ça qui compte au final. C’est bien ça, ça. Ça amène les ventes que tu fais. Tu vois aussi si quelqu’un est ton email, il va interagir avec toi, donc tu vas recevoir des emails de tes abonnés. Donc tout ça, c’est des indicateurs qui te disent voilà, les emails plaisent. Et tes email? Les gens lisent quoi finalement?

 

Thierry : D’accord, ok, donc. Concernant tout ce qui appartient , on va sortir rapidement, donc, de l’univers marketing. Mais toi, qu’elle est pour toi la meilleure solution pour le faire rentrer? Moi, techniquement. Dernièrement, j’ai testé Many chat. Réellement, je ne suis pas fan. Je n’ai pas vu la grande différence.

 

Djamel MAZI: Donc, pour faire entrer quoi, je n’ai  pas compris

 

Thierry : Tu parles de l’opt in pour avoir vraiment une bonne liste des gens. Comment tu captes  leurs emails que les gens viennent, c’est plutôt comme à l’ancienne. Plutôt, un EBook! Qu’est ce qui fait vraiment qu tu as la bonne cible? Qui fait que quand tu vas faire de l’email  marketing, tu auras vraiment les bonnes personnes intéressées?

 

Djamel MAZI: Regarde moi, j’ai les meilleurs résultats que je vois. C’est sur deux choses. Premièrement, c’est l’information gratuite que j’ai sur mon site web. A priori, les gens qui veulent suivre ces formations là, c’est déjà qu’ils sont intéressés par le Co-operative des pages de vente, soit par les mailing. Quand je d’emailing, je parlerai d’action pure. Je ne parle pas de technique avec les autres répondeurs, etc.

Pas vraiment de science de la communication, donc. Voilà ici déjà avec les Grecs, ces deux choses là. Déjà, faire rentrer des gens qui sont intéressés par mathématiques. J’ai un cuise sur ma page d’accueil. Je suis curieux de voir si je ne vais pas faire autre chose bientôt. C’est autre chose. Pareil qui parle de ça. Un outil que j’ai créé, l’outil qui mesure le potentiel de conversion de la page vente.

Pareil, tu vois, on est en plein dedans. On a plein dans la thématique, donc je pense qu’il faut un moment. Il faut voir là, il faut voir l’objectif final. Et alors? On fait le parcours à reculons et on voit ce qui, au début de la prise de contact, va plaire le plus. Et je pense que c’est comme ça qu’on va. En tout cas, peut être pas faire grandir sa liste au plafond, mais en tout cas, c’est ce qui va ramener de la qualité. Moi, personnellement, je préfère la qualité à la quantité,.

 

Thierry : Mais c’est mieux en apportant beaucoup de valeur. Automatiquement, les gens s’inscrivent. Ils savent qu’ils savent pourquoi ils viennent et ils vont continuer.

 

Djamel MAZI: C’est cohérent avec ce que recherche. Et sinon, je pense que le bouche à oreille, c’est aussi assez puissant pour amener des listes de qualité sur sa liste. Donc, ça fonctionne pas.

 

Thierry : Donc, ce que je crois, tu m’en as parlé du livre. Est ce que le livre te ramènes du monde. Ça fait un côté autorité. Est ce qu’il marche bien.

 

Djamel MAZI: Alors, disons que mon livre était hébergé sur Amazon. Amazon ne te laisse pas avoir forcément les coordonnées de qui acheté ton livre.

 

Thierry : Mais ça reste un peu plus compliqué. C’est un peu borderline. C’est normal, c’est interdit.

 

Djamel MAZI: D’accord, ben ouais, tu vois, je ne suis même pas au courant,.

 

Thierry : Il Ne vaut pas  le savoir car c’est un risque.

Djamel MAZI: Mais bon, voilà, encore une fois, il faut faire attention à ce genre de choses. Mais je vois que les statistiques de Ventes et mes statistiques, c’est plus que je ne l’ai pas poussée sur Amazon. Je lis, je n’en ai pas fait la promotion sur Amazon, même si rarement à ma liste que j’envoie le lien. Et donc, c’est là que je vois les statistiques. Mais sinon, je n’ai pas vraiment d’outil de mesure précis à ce niveau là.

 

Thierry : Donne nous donne le titre du livre,.

 

Djamel MAZI: C’est un titre à rallonge, attends 5. Courrier et email que vous auriez aimé avoir rédiger vous même. Voilà un titre super long. Mais si tu veux, c’est un bouquin. Ce que j’ai fait, c’est j’ai pris des idées que j’avais écrit pour des clients à moi, des clients ou du business à moi. Et gestuels, j’ai disséqué mes emails dans ce bouquin. J’explique la psychologie qu’il y a derrière les email, que je compose un peu, les éléments qui se forment, les emails qui constituent les mails et j’explique pourquoi c’est efficace.

 

Thierry : D’accord donc ceux qui sont intéressés. Je mettrai un lien pour qu’ils aillent regarder à lire tout ça. Et puis ensuite, quand les liens vers l’information, avant de finir je vais te poser les cinq questions que je pose à tous les entrepreneurs, commencent à manquer.

 

LES 5 QUESTIONS DE FIN POSER A L’INVITE(E)

Donc, Quel est le business que tu rêves à part celui que tu faits actuellement ?

 

Djamel MAZI: Le Business dont je rêves à part celui que je fait actuellement bon déjà celui que je fait actuellement à bien déjà le pousser un peu plus. Jean-Jean suite. Je pense qu’au début de l’aventure maintenant, j’aimerais bien un business un peu dans le dur. Tu vois, il y a un truc avec mon pote. J’expliquais mon pote en début de en début de conversation. C’est le même pote.

En fait, on avait imaginé une espèce de salle de sports interactive avec des sons et lumières. Tout ça dans le divertissement. Tu vois qu’original, quoi? Un truc original? Ouais. Un truc. J’ai un pote qui a investi dans une salle pour jouer, pour faire du Mario Kart en arrivant dans un kart. Ah! Tu peux jeter des bananes, mais ouf! Ouf! Donc tu vois un truc un peu comme ça? Un divertissement? Un peu. Rien à voir avec le web, mais d’accord, on reparlera dans 2 3 ans.

 

Thierry : Quel est une expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur?

 

Djamel MAZI: Alors, j’aurais aimé être raconté un truc super chatoyant, un truc waouh, mais je vais te dire un truc un peu qui comme ça, banal. Mais il y a un truc qui est super efficace. En tout cas, dans mon business, c’est quand je me déplace dans les événements. Tu vois dans des foires ou dans des conférences, n’imagine pas le nombre de contacts, le nombre de clients, de prospects et de projets qui se montent rien qu’en rencontrant des gens sur des trucs comme ça.

ouaw choquante parce que moi, j’en parle souvent, ceux qui me suivent. J’ai été trois fois au centre d’affiliation, j’ai fait d’autres salons et donc à Barcelone récemment.

 

Non, je n’ai pas fait celui là. J’ai fait l’autres et suis là. Je veux le faire l’année prochaine.

 

Thierry : Sinon, j’ai fait le salon de l’affiliation à l’Américain donc à Las Vegas. Et toi, tu parles du bar où notre concurrent, qui a tout cassé à Barcelone, n’a pas été la même. Pendant ce temps, à Berlin, . Je ne peux pas y aller, mais là, je pense que je suis arrivé à Barcelone tout à côté. Donc, Je me suis passé deux fois ce cas. Je me suis pris la tête, le rôle, la distance et le prix. Donc je vais aller à Barcelone, puis ça va être plus simple.

 

Thierry : C’est vraiment excellent.

 

Djamel MAZI: T’as des retours sur investissements qui sont corrects, moyens.

 

Thierry : Parce que c’est le marché américain. Ils sont un peu fermés, donc j’ai pris des connaissances que j’ai eu des bonnes formations. J’ai eu des bons séminaires, reconnaît le patron. Enfin, des gens intéressants.

 

Djamel MAZI: Mais ne fut ce que pour ça,.

 

Thierry : C’est leur marché et le réseau. J’ai plein de carte de visite, mais je peux rien faire avec çà. C’est leur marché à eux. Certains sont cool. Il y a un Français qui vient, mais en fin de compte, que le salon est plutôt européens et asiatiques. Et il est totalement différent. Tu sent qu’il y a un marché européen. Si tu parle bien anglais avec mon accent américain, tu parles peut être leur accent. Mais même si bon, j’ai appris qu’il y a des bons, il y a des bons, il y avait des bonnes sessions pour apprendre.

 

Djamel MAZI: Ça m’étonne ce que me dire. Ça m’étonne parce que moi, enfin, j’ai rencontré franchement des gens super ouverts à tous les outils à rencontrer en Europe ou dans les salons américains. Les deux? Non, non, je n’ai pas fait. Tu vois, je te parle. J’ai fait du tourisme, par exemple aux States. Je parle pas, ça n’a rien à voir. Ce n’est pas mon salon.

Ils sont là pour faire du business et donc ils sont. Ils vont avec des gens qui sont dans leur niche et dans leur pays. Et le français, bien qu’on a un peu fermé, qu’on fait rarement du business hors de chez nous. Mais bon, après lecture des bons contacts, moi j’aime sortir. Et quand on est comme nous, toujours à travailler en ligne, c’est bien de sortir. Et tout l’esprit de moi, de mon côté, j’ai appris, mais comme on dit, il faut, il faut surtout pas, jubile de Jean Bizimungu. Il faut sortir et être présent. Donc moi, j’étais présent, ce qui fait dans les salons, je suis là, mais je n’ai pas ce qu’il est.

Je ne suis pas passé de mon chiffre d’affaires à l’époque, quand j’étais à 3000 euros par mois, à 30 euros, je n’ai pas fait ce prix là parce que j’ai vu des gens qui faisaient le mec qui m’habillais. C’est John Cho. C’est un blogueur qui faisait l’année. J’ai vu plein de blogueurs, mais j’ai pas fait de grand bond. En général, on me dit quand tu vas dans les séminaires, tu changes grandement. l’Esprit était là, mais en termes de chiffre d’affaires, je n’ai pas vu. Après, je veux pas accuser les salons. C’est comme l’entrepreneur, je suis toujours responsable. C’est ma faute.

J’ai même été, j’ai même été voir que moi, je suis pas très Boite, j’ai été ce qu’on appelle l’affiliate Ball un soir où il y avait T-Pain, un rappeur. J’aime pas l’aquatinte, je suis pas un mec qui va en boîte. Pourtant, j’ai fait des soirées et j’y étais. Et on m’a dit oui, il faut aller dans les bars, il faut sortir. Faut pas que le séminaire, il faut sortir le séminaire, manger et sortir. Je l’ai fait, la vie sociale, tu fais du réseau, mais le réseau de m’a rapporté que dans 10 ans.

Mais réellement, j’ai des connaissances en ce contact un peu. Après, c’est vrai que moi, je connais toujours qu’il faut sortir des salons et je vais continuer parce que je jouer à Barcelone. Mais bon, j’ai des retours et même là, ils m’ont invité parce que maintenant, je suis dans leur liste. J’ai perdu mon bagage, je suis ici dans un château. Ça, ça donne pas des résultats énormes. Voilà maintenant en Europe, en France, tout ça. Tu dois avoir peut être des trucs sympa sur Paris.

 

Thierry : Dernièrement, j’ai été invité par ling en SHIA, qui m’a invité dans un salon. Ici, le web, je crois pas moi aussi, c’était pas mal. Toutefois, je me suis dit je vais rester sur la France ou là où j’ai bon marché. Et puis je vais faire un tour d’Europe que je connais bien que là, je confirme que a raison quand même. N’habitez que j’ai invité la semaine d’avril à parler de ça. C’était une rencontre qui l’a fait. C’est qu’on fait des rencontres en ligne. C’est bien de rencontrer du monde et c’est même pour ça que moi, je pense que c’est pour rencontrer des gens là dessus. Je ne vois pas en quoi ça se, mais c’est pour ouvrir mon réseau, sinon mon petit monde derrière mon blog.

 

Djamel MAZI: Pas tout à fait raison. Aphérèse raison je pense qu’il faut s’épauler, s’entourer. Et on a beau être là, je sais comme moi, timide, introverti et tout ce que tu veux caché derrière son écran. Mais à un moment où tu te rends compte, en fait, la puissance de la rencontre humaine, ça rapporte des trucs. Moi, ça m’a ramené à des clients, ça m’a ramené des projets et je peux dire franchement, ça, c’est tellement sous coté, tu vois. Franchement, je conseille à tout le monde de se bouger un petit peu, d’aller voir dans sa ville, même dans si il faut monter sur Paris ou je ne sais pas faire quoi le faire, ça vaut toujours la peine.

 

Thierry : Il faut toujours du réseau et du moins pour s’aider.

 

Thierry : Quel est le meilleur levier pour devenir entrepreneur?

 

Djamel MAZI: Le meilleur levier pour moi, c’est de mettre un pied dans le business avec, en tant que free lance toi, free lance en lui même si c’est une petite entreprise, tu sais, il doit déterminer son offre sans SP. Il doit déterminer son avatar client. Il doit se vendre, il doit prospecter, il doit faire tout ou tu vois. Et puis, en plus, il y a moyen de le faire sans trop prendre de risques. Donc, pour moi, c’est ça. C’est la meilleure façon de mettre un pied dans l’entrepreneuriat.

 

Thierry : Merci de résumer l’épisode que j’ai fait aujourd’hui, qui sortira mardi là avant le tien.

 

Djamel MAZI: Désolé.

 

Thierry : Mais j’ai fait la semaine d’avant, donc en fin de compte, ceux qui ne l’ont pas écouté, qui t’écoute là, aller réécouté l’épisode 38 avec Yann Le Nen qui est un spécialiste. Moi aussi, je suis freelance actuellement puisque j’ai commencé par la l’affiliation, c’est mon business classique et je suis revenu un peu au Freelance pour ne pas repartir dans le salariat, parce que moi je suis vraiment anti salariat.

Même si çà peut paraître bizarre. Voila, j’ai mon patte freelance pour faire un peu de cash. Je aussi mon classique en business et comme tu dis, voilà, c’est ceux qui ne veulent pas prendre trop de risques. Ils vont tout doucement du salariat à l’entrepreneuriat classique par le freelancing parce qu’il faut apprendre à prospecter, apprendre à connaître les marchés, à penser comment un entrepreneur.

 

Djamel MAZI: Ça résume tout. Ça résume tout ça et c’est ça qui est. C’est ça qui est bien fait. Et puis, c’est là que tu façon de les choses. Il faut essayer dans la vie. Si on sait par l’ancien, on ne peut pas savoir à l’avance si le bon compromis pour eux, pour essayer et pour apprendre, en tout cas. Et puis après, tu sais, un bon ou un freelance, il peut monter une agence. Tu vois que ça peut commencer à se caler comme ça en soit, on se cale pas, on se scales pas tout seul. On a tous 24heures dans la journée. Et si on met les rails d’une bonne entreprise avec des systèmes en place et des clients de qualité sur le long terme, il y a moyen de se caler comme ça.

 

Thierry : Quel est le livre que tu conseillerais, à tout entrepreneur. Et pourquoi?

 

Djamel MAZI: Le livre que moi qui m’a marqué, j’ai lu ça il y a une quinzaine d’années, bien avant même de commencer à faire du business en ligne. Je sais pas si tu connais The Game de Neil Strauss?

 

Thierry : Oui, ça vous dit quelque chose? Même s’il n’a pas fait comme ça. Mais au moins, je parce que ça a fait quoi quand il est vraiment dans le début de son livre avec Frank Kern. Et autres, puis c’est ça.

 

Djamel MAZI: Je pense que c’est Frank Kern.

 

Thierry : Qui a son ami et il l’a aidé. Il a aussi un truc sur la rencontre féminine, car c’est comme ça que je l’ai connu en fin de compte parce qu’il va bien.

 

Djamel MAZI: C’est ça, The Game, c’est donc l’histoire d’un journaliste. C’est lui même qui infiltre le milieu de la séduction. Donc tout, c’est ces pick up artist, comme il s’appelle là bas. Voilà donc des pros de la drague. Et lui, il était timide, maladif, et il va rentrer dans ce milieu là pour faire son article ou autre. En tout cas, c’est un journaliste quand il commence. Et de fil en aiguille, il va se prêter au jeu. Puis, il va devenir aussi lui même un pick up artist. Tu veux?

 

Thierry : Le reportage ce n’est même pas un reportage. C’est un genre de show télé en fin de compte, quasiment il prenait des gens timide en boîte.

 

Djamel MAZI: Après, il y a eu des dérivés de ça de partout à la niche séduction. C’est une des plus profils prolifiques en business. Il y a beaucoup d’argent qui qui est dépensé chaque jour dans des formations, dans des bouquins pour savoir comment. Comment pécho, finalement? Draguer. Mais tu vois pourquoi ce bouquin là est intéressant pour les entrepreneurs. C’est parce que. Il va apprendre la persuasion parce que c’est toujours une fan. Finalement, c’est à dire convaincre un client, c’est ça se base un peu sur le même canevas que séduire une femme.

 

Tu sais que tu vas, tu vas rigoler. Je pense que je sais que tu parles anglais. Comment certains des plus grandes boîtes? Comment ils font pour recruter les meilleurs commerciaux et regardent leurs femmes? Si le, « ga » il a une belle femme, c’est un commercial.

 

Djamel MAZI: Ah c’est pas vrai..

 

Thierry : Si il a une femme « môche, lui on ne le prend pas car il ne sait pas convaincre. C’est bizarre.

 

Djamel MAZI: Ouais, ben c’est bon. Franchement, c’est bon car c’est la preuve pas A+B que le mec, il est fort.

 

Thierry : C’est un peu bizarre, mais c’est comme ça qu’ils font. Non, mais c’est ça.

 

Thierry : Quelle est la compétence que tu rêves d’avoir?

 

Djamel MAZI: La compétence à plein. Il y en a  plein de  compétence , mais je vais te dire là, pour l’instant, ce qui me fait un peu galérer des fois, c’est le quota technique du Web. Tu vois les outils du Web? Bon, je me débrouille, tu vois, j’ai le kit survie et je peux faire un formulaire de capture, mettre en ligne ma page de vente des vidéos comme ça, mais dès qu’on touche dans le http, FTP et compagnie pas. C’est chouette chez moi, c’est ça.

 

Thierry : En fin de compte, quand on est bien ceux qui écoutent et qui sont à un petit niveau, et dès qu’on commence à arriver à 50K à l’année ou à 100 000 euros, il faut se faire aider. Ne pas hésiter à embaucher, donc des développeur, des gens pas à temps plein 5 heures par semaine. Maintenant, c’est ce que j’ai fait. Mon temps à des assistants virtuels ou des freelanceur comme pour avancé. Sinon, on reste bloqué. On se force à apprendre, soi même mais bon, chacun son métier à tout faire.

 

Djamel MAZI: Exactement pour ça. Des fois, je fais appel à mon développeur, mais bon, il n’est pas toujours dispo non plus. Il y a des petites cartes de temps. Des fois, je me dis j’allai, si je connaissais la petite astuce, ça serait vite réglé. Mais voila, je n’y restant jamais.

 

Thierry : Grand merci. Donc, j’espère qu’on va tous devenir des grands email marketeur comme toi. Et puis ceux qui sont intéressés. Donc je mettrai tout dans le show note. Donc ekoledu biz.com avec un K bis Z. Je mettrai le lien. Je peux essayer de Dire le titre qui est trop long. Et puis bientôt,.

 

Djamel MAZI: À bientôt Thierry . Franchement, ça m’a fait un très grand plaisir. Et plus, j’espère. Et encore merci pour l’accueil.

 

Thierry : OK à bientôt,

CONCLUSION

Thierry : Merci pour à Djamel pour toutes ces bonnes informations que c’est fini pour l’épisode 39. Jamel, comme je l’ai dit, on peut donc le joindre à l’ekoledubiz.com  comme avec un Z. Bien sûr, il je n’ai pas de cité dans son bouquin. Il est trop compliqué. Bonne note aussi tous les liens pour le suivre sur Internet.

Je pense qu’il va exploser avec tout ce qui fait que tous les bons conseils qui donnent toujours le partenaire pour cet épisode c’est Converkit qui est un outil vraiment spécial pour récolter beaucoup de mail à envoyer des mails simplifie donc marketers, donc www.thierry-henry.fr/ckt, donc, n’hésite pas à partager cet épisode, nous commenter,de le réécouter s’il le faut. Et moi, je te dis à la semaine prochaine avec un autre entrepreneur ou un entrepreneuse, bien sûr. Ciao, Ciao.