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Interview Aurélien AMACKER – Comment développer un business avec l’affiliation (annonceur) ?

(Transcription) Thierry : Salut à tous ! Bienvenue sur le podcast : l’entrepreneur lifestyle, épisode numéro 5, Thierry#Henry. Aujourd’hui, je vous présente Aurélien Amacker qui est mon invité pour ce podcast. Donc, on va parler d’affiliation : comment se développer avec son business en ligne ? Donc là, on parle plutôt du côté affiliateur, ce qu’on appelle annonceur.

Dernièrement, il a développé un super-logiciel qui permet donc de faire du business en ligne, donc système.io. Donc, il va nous parler de comment il fait pour développer et avoir plus de business grâce aux affiliés. Donc, je vous dis à tout de suite avec Aurélien Amacker.

Aurélien : Salut Thierry ! Ça va super et toi.

Thierry : Oui ! Très bien merci. Je suis content de t’avoir dans mon podcast. J’ai plein de questions à te poser puisqu’aujourd’hui on va parler d’affiliation, donc pour ceux qui veulent devenir, qui vont devenir affilieur, ou infopreneur ou advisor comme on dit en anglais et qui veulent grandir parce que c’est vrai que l’avantage de l’affiliation du côté advisor, c’est qu’on n’a pas de limites quoi. Tant qu’on peut avoir des bons affiliés, c’est plutôt passif. Les gens peuvent vendre matin, midi et soir s’ils ont une audience. Donc, tu vas nous parler de ça.

Avant rapidement, on va quand même te présenter. Enfin, tu vas te présenter même si tout le monde te connaît. On ne sait jamais, il y a toujours un nouveau qui arrive sur internet. Donc, je te laisse parler et te présenter.

Aurélien : Ouais ! Donc, je m’appelle Aurélien Amacker. Je suis sur internet. Je fais du business sur internet depuis 2010. À l’époque, j’avais un petit blog sur le développement personnel que j’ai amené à 1000 euros par mois de revenu avec la publicité et l’affiliation justement. Ensuite, j’ai lancé des formations webmarketing. Ça a été mon business principal.

Ensuite, j’ai lancé un blog sur comment apprendre l’anglais, qui s’appelle anglais5minutes.fr qui était vraiment un business passif, tu vois, puisqu’il y avait des gens qui me disent : « ah oui, mais tu gagnes de l’argent en expliquant aux gens comment gagner d’argent sur internet, etc. » Est-ce qu’il y a une objection légitime.

J’ai dit : « OK ! Je vais lancer ce petit business passif qui s’appelle anglais5minutes.fr. » J’ai monté à 3000 euros par mois de chiffre d’affaires. Aujourd’hui, c’est un petit peu à l’abandon, malheureusement puisque j’ai d’autres priorités. Donc, je pense que ça fait peut-être 1500 euros par mois. Mais ce qui est important de noter, c’est que c’est un business passif. C’est-à-dire que si cela me prend une heure par mois, c’est le bout du monde. Ça tourne tout seul.

Donc, j’ai les gens qui arrivent sur le blog qui s’inscrivent à la newsletter qui reçoivent des emails automatiquement. Ensuite, c’est une séquence automatique qui dure un mois. Ensuite, j’ai mon équipe, j’ai des assistants virtuels qui font des promotions sur la liste, qui font, je ne sais pas, je crois une promotion par mois. Je fais un petit peu d’affiliations puis ça fait toujours 1500 – 2000 euros par mois.

Thierry : Ça sur plusieurs blogs parce que tu as plusieurs blogs. Tu n’as pas qu’un seul.

Aurélien : C’est un blog qui s’appelle : anglais5minutes.fr. Donc, c’est un seul blog. Derrière, je vends des formations sur comment apprendre l’anglais parce que moi, j’ai appris l’anglais tout seul.

Thierry : Ouais ! Comme moi.

Aurélien : Je partage mon expérience. J’ai appris l’anglais tout seul. Grâce à cette méthode, j’ai aussi appris l’espagnol. J’ai appris le portugais. J’habite à Lisbonne au Portugal maintenant. Donc, c’est une méthode dans laquelle je crois énormément pour apprendre une langue qui est basée sur la régularité, plutôt que le fait de faire un effort énorme.

S’il y a beaucoup de gens, ils veulent apprendre l’anglais, ils disent : je vais faire une heure par jour puis au bout de deux jours, ils abandonnent. Moi, j’explique ma méthode qui est beaucoup plus cool et qui fonctionne très bien. Donc voilà, c’est ce que je partage sur ce blog. Mais l’essentiel de mon business, c’est quand même des formations en webmarketing.

Et on a créé un logiciel qui s’appelle systeme.io qui permet de vendre sur internet qu’on a lancé officiellement il y a six mois. Aujourd’hui, c’est certainement le premier logiciel en fait en francophonie pour vendre des formations sur internet puisqu’on a aujourd’hui 920 clients. On approche les 1000 clients et c’est un beau succès.

Thierry : D’accord ! Donc là, tu es venu prendre un peu des parts de marché à learnybox, c’est ça, pour prouver les Français parce qu’après il y a les Anglais. Mais c’est vrai qu’on a un gros problème parce que toi, tu es comme moi, tu as la chance d’être bilingue. Enfin moi, j’ai appris l’anglais aussi, j’étais allé vivre un en Angleterre et aux États-Unis, grâce à ça, j’ai pu parler anglais.

Mais malheureusement, il y a plein de gens qui ont du mal ou qui ne veulent pas s’embêter avec les logiciels anglo-saxons. Donc, il est vrai que là, c’est une grande bouffée d’air entre learnybox et systeme.io. La grande différence que moi j’ai eue parce que je l’ai testé, c’est le prix déjà.

Aurélien : D’accord ! Est-ce qu’il y a d’autres différences que tu as notées ?

Thierry : Après, je n’ai pas testé comme d’autres. Après, donc tout ce qui est l’autorépondeur, disons que je vais faire une grande parenthèse, même si après tu vas me dire. Mais bon, on n’est pas là pour cacher les choses aux gens. Il y a clickfunnels qui est une copie, enfin learnybox est dans le même système où ils font très chers pour un type de clientèle.

Il y a à côté donc moi, je dis systeme.io ressemble plutôt à 00:05:01. On a un système aussi très élevé pour les grands marketeurs. Mais toi, tu vas chercher là-bas des gens qui commencent. C’est comme si tu avais trois packages dans le lot. Mais, je vais plutôt te laisser parler parce que tu connais mieux que moi largement. Donc, tu vas me dire, est-ce que j’ai dit une bêtise ou pas.

Aurélien : Je ne sais pas. Tout le monde a son opinion. Moi, je vois les choses, il y a un problème. C’est qu’aujourd’hui, il y a une citation, mais je crois qu’il date déjà d’il y a un siècle qui dit : « tout le monde connaît le prix des choses, mais personne ne connaît la valeur des choses. »

Le problème, il y a d’autres marketeurs avec lesquels j’ai eu des échanges et qui m’ont dit : « oui, mais le problème, c’est que systeme.io ce n’est pas assez cher. Du coup, ça le dévalorise. » Mais attendez, si vous voyez les choses comme ça, vous ne ferez jamais de bonnes affaires dans de vie. Pour faire des bonnes affaires, il faut acheter des trucs bien à des tarifs pas chers. Tu es d’accord avec moi.

Thierry : Oui, mais qui t’a dit ça. Alors, c’est un affilié parce que pourquoi quelqu’un va se plaindre de payer pas cher si c’est un bon produit. Il n’y a pas de sens.

Aurélien : Non. C’est d’autres marketeurs tout simplement qui vendent des formations webmarketing, qui sont sur le marché qui me disent : mais le problème… Surtout au début, mais maintenant moins parce qu’il y a tellement de clients, il y a tellement de retours excellents. Je vais te dire un truc.

D’ailleurs, j’ai mis une publication sur le groupe Facebook où on a dépassé les 2000 abonnés et il y a tellement de personnes qui ont liké. Je crois que j’ai eu 150 commentaires et likes. C’était impressionnant, où j’expliquais ça. Je disais : mais attendez, arrêter de dire que puisque systeme.io, ce n’est pas cher, ce n’est pas bien.

C’est totalement idiot comme raisonnement. Premièrement, ce n’est pas cher. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que je vais attirer un maximum de personne puisque la personne qui commence sur internet, excusez-moi, mais si elle a le choix entre Clickfunnels en anglais à 97 dollars par mois ; systeme.io qui fait la même chose, avec envoi d’e-mail inclus à 27 euros par mois, elle va choisir quoi.

Thierry : Systeme.io, ce qui est logique.

Aurélien : Voilà ! C’est tout simplement pour ça. Et ce qu’il faut voir, ce n’est pas combien je gagne par client, mais combien je gagne au total. Il y a des gens qui m’ont dit, même des marketeurs assez connus, très expérimentés qui ont dit : « oui, mais à 27 euros par mois, j’ai un peu peur pour la pérennité du projet. » On est d’accord, mais ce qui est important, ce n’est pas combien je gagne par l’utilisateur, c’est combien je gagne au total.

Thierry : D’abord, c’est ta décision personnelle. C’est toi. J’avais entendu une vidéo où tu parlais, tu voulais plutôt faire un business de 5 millions. Tu ne t’es pas levé le matin, tu dis : « moi, j’avais un business de 100 millions et prendre le maximum sur mes marketeurs et leur prendre la marge pour la prendre parce que parce que je peux la prendre.

Aurélien : Mais alors, tu vois, c’est intéressant tout ce qu’on dit puisqu’enfin je ne suis pas d’accord avec toi. Toi, tu pars du principe, mais comme tu fais un truc pas cher, tu fais seulement un business de 5 millions.

Thierry : Non !

Aurélien : Si, c’est ce que j’ai compris.

Thierry : Moi ce que j’avais entendu, c’est que quand tu discutais dans une vidéo, tu disais que ton projet de créer un business qui fait 5 à 10 millions et que tu n’as pas d’idée à faire 100. Donc par rapport à Russell, ce qu’il voit c’est juste sa marge. Il ne se dit pas si, je pense qu’il rend service, il est content. Mais, tu ne te lèves pas le matin en disant : moi, il faut que je rase tout, mais tous mes clients. Je vais prendre le maximum puis voilà.

Aurélien : Non. Ça ne fonctionne pas comme ça. Je ne suis pas d’accord. Ce que je viens de te dire, j’ai répondu à ce que tu avais dit et je pense avoir bien compris ce que tu veux dire. Russell Brunson, il vend entre 100 et 300 dollars. Du coup, il fait 60 millions. Et toi comme tu veux faire que 5 millions, tu vends à 27 euros par mois, ou 27 dollars par mois parce qu’on commence à vendre sur marché américain. Attends, mais excuse-moi Thierry, mais je ne suis pas du tout d’accord là.

Thierry : Ce n’est pas grave.

Aurélien : Ce n’est pas comme cela. Mais non, mais ce n’est pas comme ça qu’il faut font voir les choses, je t’assure. Tu connais l’élasticité du prix.

Thierry : Oui. Tout à fait.

Aurélien : Plus tu augmentes le prix de ton produit, moins tu fais de vente.

Thierry : Oui. Mais plus tu prends de marge. Donc après, c’est aussi une stratégie. Chez certains qui ont des stratégies comme ça qui disent : j’ai une clientèle plus petite, plus restreinte, mais j’ai une marge plus importante. Il y a aussi une stratégie d’entreprise. Il y a des gens qui pourraient vendre…

Aurélien : Oui. Mais, je suis d’accord avec toi. Évidemment, tu marges plus. Ce qui au final, ce qui est important, c’est combien tu gagnes au total. Nous comme derrière, j’ai aussi des formations, j’ai aussi des heures de coaching, ma vision, c’est vrai qu’on peut avoir une stratégie premium, c’est ce qu’ont fait Clickfunnels, mais pourquoi. Parce qu’ils sont arrivés, c’étaient les premiers quasiment puisqu’il y avait déjà 00:09:11 qui existait, mais plus sur la création de pages que vraiment le tunnel de vente.

Donc, Clickfunnels ont été les premiers. Puis, ils ont la grosse machine. Ils ont Russell Brunson. Donc, ils sont partis sur les premiums.  Si tu regardes des sociétés, moi je dis toujours, il y a un marché qui est plus mature, c’est le marché de l’email marketing. Tu connais Aweber.

Thierry : Tout à fait.

Aurélien : Aweber, ça commence à combien ?

Thierry : Ça commence à 19 euros si je ne me trompe pas.

Aurélien : 19 dollars par mois. C’est quoi le chiffre d’affaires d’Aweber ?

Thierry : Si je ne me trompe pas, c’est vraiment 20 ou 30, je crois.

Aurélien : Très bien, c’est 20 millions parfait.

Thierry : Mais à l’opposé, tu as mailchimp qui fait 200 millions, je crois, ou 400.

Aurélien : 400.

Thierry : Non. Je t’ai suivi. J’ai compris.

Aurélien : Ce que je veux dire, c’est que nous on arrive derrière, mais on a un produit qui est aussi bon que Clickfunnels. Les gens qui pensent que systeme.io c’est moins bon parce que c’est moins cher, c’est malheureux à dire, mais ce sont des gens qui passent à côté d’une opportunité de dingue.

Thierry : Mais moi, je suis d’accord avec toi parce que je ne suis pas là, mais en plus on est d’accord parce qu’en plus là on parle beaucoup de Clickfunnels, on fait de la pub pour rien puisqu’il y a d’autres sociétés, comme, une société qui a plus une meilleure réputation technique chez les grands marketeurs qui font des 100 millions. C’est Unbounce. Mais on n’en parle jamais. Donc après, le marché est tellement large qu’il y a de la place pour tout le monde. Chacun, on dit, a sa stratégie.

Toi la tienne c’est d’avoir, pour moi, un appel, un produit de qualité où c’est un produit d’appel d’entrée, ensuite derrière tu vends plein de choses. Mais après, c’est une stratégie. Après, chacun la sienne, je pense.

Aurélien : Moi, c’est mon marché. C’est-à-dire que moi mes clients depuis 2010, ce sont les gens qui veulent créer leur business et souvent ce sont des particuliers. Moi, je le sais parce que j’ai démarré de zéro. Donc, je sais que quand on est un particulier et qu’on veut créer son business, mettre 100 euros par mois dans un outil, c’est quand même assez contraignant. Alors, on peut discuter du fait de : oui, mais ça les impliquer.

Je vends aussi des choses chères, mais on a des heures de coaching entre 2000 et 6000 euros. Mais pour moi, ce qui est important, c’est ma vision, mais il y a aussi une question de stratégie, de marketing et d’argent derrière. Mais ma vision d’abord, c’est d’aider un maximum de personne, c’est d’apporter un maximum de valeur sur le marché, à un tarif le plus réduit possible. C’est pour ça qu’on a systeme.io qui commence à 27 euros par mois, quand la concurrence, Clickfunnels et learnybox, ça commence à 100 euros par mois.

Toutes mes formations sont accessibles avec le passe business qui coûte seulement 19 euros par mois alors que dedans, on a accès à des formations qui valent entre 200 et 2000 euros et que personne sur le marché ne fait ça. Ensuite, on a les heures de coaching qui vont de 2000 à 6000 euros par mois. Donc tu vois, on a des offres pour les gens qui veulent aller plus loin.

Mais ces offres-là encore une fois, elles sont hyper-compétitives puisque derrière on apporte un service et du coaching individuel personnalisé et on a d’excellents résultats. On a des clients qui ont fait entre 11000 et 30000 euros de vente dès le premier mois, grâce à notre coach.

Donc, si tu veux moi, ma vision : on laisse entrer un maximum de personnes avec des offres accessibles. Ensuite, on construit, on a des offres qui arrivent derrière. Et aujourd’hui, j’ai un programme d’affiliation et je rémunère mes affiliés sur toutes les ventes. C’est un truc que personne ne fait sur le marché.

Évidemment, tout le monde a son petit programme d’affiliés : tu fais la promo de mon lancement, je vais te verser des commissions. D’accord. Mais sauf qu’après le lancement s’il y a d’autres ventes avec d’autres produits, en général il n’y a pas de commission. Et s’il y a des offres premiums qui sont vendues, c’est-à-dire séminaire, coaching individuel, là il n’y a jamais de commissions.

Nous, on donne 40 % de commission sur toutes les ventes des abonnements, toutes les ventes des formations. Sur les offres premiums, les heures de coaching de 2000 à 6000 euros, on donne 10 % de commission. Pourquoi ? Parce qu’il faut que je rémunère également le commercial et le coach de mon équipe.

Donc moi, c’est ma vision. C’est de faire rentrer un maximum de personnes. Il y en a pour tout le monde. Les gens qui ne sont pas très motivés, qui sont juste un petit peu curieux, ils peuvent prendre le passe business, ils peuvent prendre systeme.io startup à 27 euros. Puis, les gens qui se bougent, qui en veulent plus, qui veulent avancer, qui veulent plus, on a des offres pour les accompagner.

Thierry : Actuellement, si je comprends bien, si on est affilié, actuellement il faut qu’on saute sur ton offre. C’est vraiment, toi tu es un ancien affilié et tu connais le business. Donc, tu as vraiment pensé à ceux qui vont s’occuper, qui vont débuter et qui vont vouloir grandir en ligne. Tu as vraiment pensé ça comme ça.

Aurélien : Mais aujourd’hui, on a énormément d’affiliés. On a un point de la filiation. Aujourd’hui les chiffres, le mois dernier, on a fait un petit peu plus de 30000 euros de vente. Donc, on va verser 10000 euros de commission.

Thierry : D’accord. En plus, c’est que le début.

Aurélien : C’est que le début, j’espère en tout cas. Pour revenir à ce qu’on disait sur la politique, sur le positionnement de prix, c’est-à-dire qu’aujourd’hui je pense qu’on est en terme de nombre de clients, on est la solution numéro un sur le marché français, 6 mois seulement après notre lancement quand learnybox est là depuis 2015, depuis 3 ans.

Thierry : Surtout que comme toute boîte, je ne veux pas parler du concurrent, je ne vais pas parler de leur nom, c’est que comme tout il y a eu ; là on parle de stagnation, après 3 ans ça paraît bizarre ; il y a plein de gens qui se disent, qui ont chiffré, qui sont passés directement chez toi et qui actuellement sont heureux et en parlent naturellement. Comme tu dis, tu donnes la valeur, donc automatiquement, les gens en parlent, les gens testent et ils sont heureux quoi.

Aurélien : Quand tu parlais du concurrent, tu parlais de learnybox.

Thierry : Il n’y a pas de concurrent par rapport à ce que tu fais. Techniquement, il n’y en a pas. Donc, je n’en parle pas que ce soit…

Aurélien : Non. Mais learnybox. Si évidemment, learnybox est un concurrent, mais moi je n’ai pas de souci si tu veux. Quand les gens s’inscrivent pour tester gratuitement systeme.io parce que tu peux l’essayer gratuitement pendant deux semaines, tu n’as même pas besoin d’entrer tes coordonnées de cartes bancaires, juste ton adresse email. Tu peux créer ton compte. J’ai une séquence d’emails et le premier email, c’est un email que j’avais envoyé lors de mon lancement ou j’explique pourquoi j’ai lancé systeme.io puisque j’étais frustré par les solutions existantes et je parle de learnybox.

Je dis franchement chapeau quand ils sont arrivés sur le marché. Ils ont fait un produit en français. J’avais des bons retours. Ça tenait la route sauf qu’ils n’ont pas innové. C’est quand même très cher pour ce que c’est. Enfin moi, j’ai une culture startup. Ça fait des années que je m’intéresse beaucoup au monde des startups. J’ai lu beaucoup de livres sur les startups. J’écoute tout le temps les podcasts sur les startups. Je connais énormément de boîtes que je suis, etc.

Je trouve que franchement, pour ce qu’ils proposent, 97 euros par mois, et c’est la première offre, je suis désolé. C’est ridicule. Franchement, ce n’est pas au niveau.

Thierry : Donc, comment tu vois sur le marché. Alors est-ce que tu penses que tout le monde va, parce que ça arrive des fois quand on fait un produit d’appel, des fois on craint le marché. Est-ce que les gens vont s’adapter à toi et ils vont baisser le prix ou est-ce que c’est toi qui va augmenter ?

Aurélien : Alors moi, je n’ai pas volonté d’augmenter le prix puisque je te dis ça marche bien comme ça. Donc typiquement, il ne faut pas changer ce qui marche. Je ne sais pas, chacun voit midi à sa porte. Learnybox, je pense qu’ils ont donné une solution. Si tu veux, ils ont quand même beaucoup de clients. Ils ont un réseau, c’est que ce sont les affiliés qui font la promo de learnybox. Je les ai contactés, ils m’ont dit non puisqu’ils sont potes avec Lorenzo, etc.

Thierry : Là, tu parles d’infopreneur parce que c’est vrai qu’il y a plein de gens qui sont plutôt liés qui sont contents quand ils arrivaient, qui sont plus des vrais amis puisque réellement, je ne vais pas donner leur nom, mais tu as des infopreneurs qui sont là depuis 10, 15 ans et ils sont vraiment amis. Donc, il y a un pool de 10, 20 infopreneurs qui sont là et qui ne lâchent, on va dire, quoiqu’il arrive on reste uni.

Aurélien : Moi, je n’ai pas de souci avec ça. C’est vrai que j’en ai contacté certains qui m’ont fermé la porte au nez. Moi dans la démarche, je te dirai : écoute, je comprends franchement. Et émotionnellement, tu es pote avec Lorenzo que je connais également. Ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu, mais on se connaissait et j’ai beaucoup de respect pour lui.

Je comprends qu’ils soient potes. Après, il faut quand même par rapport à notre audience, on a quand même un devoir, c’est au moins de donner la possibilité à ses clients de choisir. Et si on propose un produit parce qu’on est pote avec le patron, pour moi, on ne fait pas bien son travail vis-à-vis de ses clients.

Aujourd’hui, systeme.io, les gens vont écouter, les gens vont se dire : mais bien sûr, c’est ton logiciel, etc. Mais allez voir, je dis qu’on a des dizaines de témoignages. C’est un truc de dingue.

Thierry : Dont tous les cas, il n’y a aucun de risque. C’est gratuit. Il n’y a pas de carte à mettre. Donc, c’est aucun risque.

Aurélien : On a un produit, si tu veux, qui est très bon, qui est très bon, qui est du niveau de clickfunnels. Il n’y a pas de souci, qui est meilleur que learnybox, je pense, personnellement. Mais clickfunnels, c’est pareil. Il y a beaucoup de gens qui se plaignent de bugs par rapport au support client, qui contactent le support client. Il n’y a pas un très bon support client puisqu’aujourd’hui, je crois, qu’ils ont 60000 clients.

Donc voilà, encore une fois, chacun fait ce qu’il peut. Aujourd’hui, systeme.io, c’est une vraie réussite, c’est que le début. Là, on va lancer des fonctionnalités. Ça arrive lundi pour vendre des produits physiques. Donc, ça va être juste énorme pour vendre des produits physiques avec des tunnels de vente.

Allez voir sur le groupe Facebook, c’est un groupe public. Vous pouvez tout voir, toutes les publications. Ce n’est pas un groupe fermé comme certains, comme la concurrence d’ailleurs. Vous pouvez regarder tous les retours et vous allez voir les retours excellents. On a un support client. On répond en général en moins de zéro client. Donc, si tu veux, tu vois, c’est ma philosophie. C’est apporter le maximum de valeur pour un prix minimum.

Ensuite, tu as des offres derrières qui sont premiums pour les gens qui veulent aller plus loin. Et nous, on a des gens qui ont utilisé systeme.io, qui demandent un coaching. Ils ont un coaching individuel et boum ils font 11000 euros. Il regarde, il a fait 11000 euros. Mi 2008, il a fait son chiffre d’affaires de 2017. Patricia, le premier mois, elle a fait 33000 euros de ventes.

Donc voilà, c’est ma vision du business. Après, tout le monde ne la partage pas. Mais en tout cas, c’est ce que je fais et on obtient des résultats.

Thierry : D’accord. Donc là, on a parlé un peu du business. On a parlé un peu du produit et de la concurrence. En plus, c’est bien pour le marché, en tout cas en tant que client puisque comme on dit, plus on a de demandes, plus mieux c’est pour la concurrence et en plus il y en aura encore d’autres qui arrivent. J’en entendu de nouveau, on n’en parle pas parce qu’on était venu parler d’affiliation.

Donc là, quand on est infopreneur ou qu’on a un produit, comment on fait. On s’inscrit. Puis comment les aides viennent pour avoir des affiliés. Qu’est-ce que tu conseillerais pour développer une fois d’affilié.

Aurélien : Alors, c’est qu’en fait aujourd’hui, mon business, j’ai donc des gens qui viennent de mes blogs, de YouTube, de la publicité Facebook. Je fais des campagnes parfois et également des affiliés. Aujourd’hui, mon point d’affiliation, c’est le plus gros moteur et c’est ce que j’essaie de développer. Donc, c’est un excellent moyen de développer son business, de développer en fait un groupe d’affiliés. Et nous ce qu’on fait, c’est qu’en fait, j’ai un groupe Facebook, mais si tu veux ça reste, enfin aujourd’hui, ça reste, on va beaucoup l’améliorer. Il y a beaucoup de choses à faire.

On va en fait ajouter des tunnels de vente que les affiliés pourront utiliser parce qu’aujourd’hui on a trois, quatre tunnels de vente. Ce qui est pas mal. Mais on va avoir plus d’offres pour qu’il y ait plus d’options pour les affiliés pour nous envoyer des contacts.

Thierry : D’accord. Là, c’est du côté de systéme.io. Mais une personne qui est infopreneur et qui veut utiliser le produit pour développer son business, comment il fait ? Quel conseil tu lui donnerais ? Ou est-ce que donc il y a un coaching interne pour aider une personne qui est un infopreneur ou advisor qui veut développer son business ?

Aurélien : Non. Il n’y a pas de coaching interne à 27 euros par mois.

Thierry : Non, mais au-dessus. Je crois que tu as 27, mais après tu as des gammes au-dessus. Est-ce que dans les gammes au-dessus, tu as en un ?

Aurélien : Dans les gammes au-dessus, non. Enfin, tu as les abonnements pour le systeme.io, donc c’est juste systeme.io. Ensuite, si les gens veulent du coaching, c’est différent. Mais quand on a des clients en coaching, en général, on va essayer de trouver quel est. Aujourd’hui en général, le premier levier qu’on fait, c’est d’aider nos clients à créer une offre premium et à la vendre.

Donc, ce n’est pas si tu veux développer son programme d’affiliation. Tu peux créer ton programme d’affiliation avec systeme.io et on a beaucoup de gens qui le font. C’est-à-dire qu’en fait dans le systeme.io, l’affiliation, elle est de base. C’est-à-dire qu’en fait chaque personne qui s’inscrit sur ta liste email, c’est un affilié potentiel. C’est-à-dire qu’il a un identifiant affilié.

Donc, il n’y a pas de friction. Il ne faut pas s’inscrire comme un affilié. Non. Toutes les personnes qui sont sur ta liste. Donc, ce n’est pas mal puisqu’imagine, c’est automatique, quelqu’un qui s’inscrit sur ta liste email, qui achète un produit, tu peux lui envoyer un e-mail automatiquement ou manuellement en disant : « tu sais que tu peux recommander ce produit. »

Il te suffit d’envoyer les gens sur ce lien. Voici ton lien affilié. Donc, tu as une variable de substitution et dans l’email, tu peux lui envoyer, tu peux lui mettre son lien affilié. Donc lui après, il peut faire la promotion autour de lui.

Thierry : C’est du pur bouche-à-oreille. C’est le business de base.

Aurélien : Exactement. Pareil pour les gens qui ne sont pas clients, mais qui sont juste inscrire sur ta liste email, ce sont également des affiliés. Tu peux leur envoyer leur lien affilié. Et on a prévu de créer une place de marché où en fait les vendeurs de formation pourront publier leurs offres. Ce qui veut dire que tous les gens sur la plateforme systeme.io verront leur offre, pourront acheter et pourront en faire la promotion en affiliation.

Thierry : D’accord. C’est très bien. C’est une très bonne idée. C’est plus simple, même s’ils veulent ou ne veulent pas automatiquement, ils sont affiliés et peut-être qu’ils feront une vente ou deux. Donc, la personne qui a inscrit le mail aura un affilié. Il y en a qui sont très actifs et d’autres moins d’actifs, mais l’important c’est qu’on a un poulain important de personnes qui peuvent vendre les produits. Donc, on va faire premium.

Aurélien : Écoute-moi, je te dis aujourd’hui c’est marrant parce que c’est une réalisation que j’ai eu ces derniers jours, ces dernières semaines, c’est vraiment que mon programme d’affiliation, il a un potentiel absolument énorme. Je sais c’est un petit peu comme la longue traîne. Tu connais le principe de la longue traîne.

Thierry : Tout à fait.

Aurélien : C’est pour le référencement. C’est-à-dire qu’en fait il y a quelques recherches sur Google qui sont énormément cherchées. Si on prend sexe, on va prendre l’exemple qu’il ne fallait pas, sexe.

Thierry : Il y a trop de volumes.

Aurélien : Si tu essaies de te positionner sur sexe, lâche l’affaire puisque c’est énormément concurrentiel, puisque la planète entière veut positionner sur sexe et ça génère un trafic absolument énorme. Mais si tu veux te positionner sur comment faire le Kâma-Sûtra quand on est tétraplégique. Tu vois, c’est beaucoup moins concurrentiel, c’est beaucoup plus spécialisé.

Alors, d’une c’est beaucoup plus spécialisé. C’est-à-dire que les gens en face qui cherchent ça, ils vont être beaucoup plus à même d’être intéressés par ton offre puisqu’ils sont beaucoup plus précis.

Thierry : Ils sont prêts à l’achat parce que moi j’ai fait de formation dernièrement d’Adwords et Bing parce que je commence à faire un trafic payant en affiliation et j’ai vu qu’en général il faut 9 à 13 mots clés, enfin 13 mots qu’avant j’ai fait des pubs. Je me suis cramé à perdre de l’argent à faire avec un ou deux mots. J’avais du volume, mais pas de conversion et quand j’ai fait les mots comment faire, j’avais un trafic de dingue et une conversion automatique.

Aurélien : D’accord, mais tu avais moins de trafic.

Thierry : J’avais moins de trafic, mais comme j’en faisais plein, je cherchais pleine de mots. J’ai creusé vraiment. Je rentrais dans la tête du client en fin de compte qu’à aller chercher la requête et j’avais plus de vente parce que je mettais plus de longues phrases à longue traîne. Voilà tout à fait.

Aurélien : Exactement. En fait, le parallèle que je voulais faire, c’est que tu veux l’affiliation, je me suis rendu compte qu’aujourd’hui on a des centaines d’affiliés et en fait c’est un peu la longue traîne de l’affiliation. C’est-à-dire que j’ai peu de gros affiliés puisque je ne suis plus dans le circuit des lancements, etc.

Ça, je faisais avant, mais ça fait des années que j’ai arrêtées. Par contre, j’ai plein de petits affiliés qui font la promo. Et franchement, j’ai des affiliés. Si tu veux quand je te dis que c’est un potentiel de dingue l’affiliation, c’est que je vois, j’ai les affiliés, honnêtement, ce n’est pas pour être méchant, mais ils ne comprennent rien et ils font 100 euros par mois.

Thierry : Ouais. Mais l’affiliation en France, moi qui suis dedans depuis deux ans, est mal développé. Cette année, j’ai fait deux salons. J’ai fait le salon de l’affiliation Las Vegas et Los Angeles. Dernièrement, on m’a demandé pourquoi tu ne viens pas au séminaire en France. Je ne voulais pas être méchant. Il y a plein de bons affilés en France qui sont cachés malheureusement puisqu’ils n’en parlent pas trop.

Tout le monde dans l’infoprenariat, tout le monde le vend bien, le forme bien, mais les affiliés on dirait que c’est un monde caché. Et j’ai même interviewé, je voulais faire un signe comme ça, le responsable du forum à cœur de croissance qui est un super affilié, qui va au World Affiliate, puisque moi je parle anglais, donc je vais me former à l’étranger. J’ai rencontré John Joyce. J’ai rencontré tous les gros affiliés qui font des millions en affiliation, pas en infoprenariat.

Infoprenariat, je ne dis pas que ce n’est pas compliqué, mais dès que tu as un produit, après il suffit d’avoir des affiliés. Ce qui est chiant, c’est créer le produit. Après le reste, si tu as un volume, comme tu expliques. Tu as un volume d’affilé, même si tu en fais 100, si tu en as 100 qui te font 100, c’est déjà pas mal. Si tu en as 200 qui te font 100, ce n’est pas mal.

Mais les affiliés, il y a des problèmes de formation et d’explication à l’affiliation, comment ça marche. On n’a pas de super-affiliés qui font et qui créent des formations de super-affilié à par un, je crois que c’est Anicet Honvo peut-être qui en parlent un peu. Et tout le reste n’en parlent pas, se cachent, font leur argent et ne disent rien à personne, puis voilà.

Ou sinon c’est les entrepreneurs qui sont affiliés. Quand ils ont le temps, ils font un peu l’affiliation parce qu’ils ont un réseau et qu’ils ont des amis. Mais comme tu as expliqué par rapport à learnybox parce que c’est un cocon d’amis qui font des lancements et qui gagnent sur des lancements, mais pas toute l’année sur de l’affiliation, tous les mois à faire des 3000, 2000 euros par jour.

Aurélien : Si toi, tu as des résultats, c’est une opportunité à prendre. Tu peux ensuite monter un business autour de ça ou tu expliques, tu fais des formations.

Thierry : J’y ai pensé. Je me suis posé la question. Moi, j’ai même fait un article dessus et une vidéo où j’ai dit : je suis trop feignant pour être infopreneur. Je n’ai pas créé un produit, tu vois. C’est personnel. Moi, je suis un pur affilié. J’aime ce qui est passif. Donc, je crée des blogs et des sites. J’envoie du trafic et qui convertisse. Après le reste, je n’ai pas envie. Mais un jour, j’y viendrai comme tout le monde. Je pense que moi, je débute par rapport à toi tout. Le monde me dit : mais pourquoi tu ne…

On m’a même demandé dernièrement dans une vidéo : mais pourquoi tu ne crées pas un produit. J’ai dit : je n’ai pas envie. Je vends ceux des autres. Je n’ai pas créé un produit. Je n’ai pas le back-office. Je n’ai pas le temps. Même quand j’ai un blog, je réponds, mais j’ai du mal. Donc, j’ai vraiment envie de créer le contenant.

Aurélien : Non, mais après moi, je ne vais pas essayer de faire changer d’avis. Tu vois, chacun voit midi à sa porte. Après en tout cas, pour ce qui est du support client, je peux dire que j’ai des assistants et ce n’est pas moi qui traite le support client. C’est évident surtout qu’on a des offres quand même pas chères. Donc, si tu veux, c’est clair que ce n’est pas moi qui traite le support client. Si après il y a vraiment une demande qui est géniale, du style, je voulais dire merci, j’ai suivi ta formation, j’ai eu tel résultat, etc., là mon équipe, ils me le transmettent. Puis tu vois, je vais répondre, je vais mettre un petit mot. Mais tout ce qui est les questions, etc., ce n’est pas moi qui réponds.

Après voilà, je ne vais pas essayer de te convaincre. Je pense que si on crée un business sur internet, c’est évidemment parce qu’il faut gagner sa croûte, mais c’est aussi parce qu’on aime ça et on a envie de se faire plaisir. Si ce n’est pas ton truc, ce n’est pas ton truc puis voilà.

Thierry : Non, mais je vais y venir. Mais après, le vrai problème de l’affiliation pour ceux qui connaissent, il y a l’affiliation de base que tout le monde sait faire. C’est de l’intermédiation. Mais l’affiliation comme moi je sais puisque je commence à devenir ce qu’on appelle le médias buying, j’aimais mes blogs, j’ai mon contenu gratuit, comme le podcast, comme ma chaîne YouTube, mais le média buying, c’est compliqué et ça change tout le temps.

Demain s’il y a un changement d’algorithme, il faut apprendre à faire des campagnes. Tu peux prendre de l’argent. Donc, c’est risqué. Donc moi, je le fais parce que je suis motivé. Je rencontre des gens qui le faisaient. Donc moi, je mixe les deux. Moi, j’ai fait le contenu gratuit et maintenant je fais du media buying. Mais media buying, ça change.

J’ai commencé en début d’année avec bing. J’ai arrêté parce que j’ai été bloqué par bing. Après, j’ai fait Facebook, ils m’ont bloqué. J’ai fait du Google parce que là j’ai une certification. Après, j’ai fait du push certification. Sachant, il faut vraiment aimer, j’ai l’impression qu’en France on n’aime pas le trafic payant, on aime bien le gratuit.

Aurélien : Alors, il y a des gens qui sont sur le trafic payant, c’est leur truc. C’est vrai que bon le trafic payant, c’est quand même chaud quoi. Franchement, c’est risqué, mais c’est en plus quand tu vois, tu as des gens, il faut un million. Tu grattes un peu. Tu vois que le gars en fait, il aurait 50000 euros à la fin l’année.

Thierry : Ce n’est pas un artisan. Un bon affilié en payant, comme tu dis, excuse-moi de te couper, c’est du un sur trois. Tu mets 1 euro, il faut que tu récupères 2 ou 3. Et il est vrai que des fois, il y en a qui se font. C’est pour cela que moi, je base tout sur le mélange. Si tu as une base ICO, c’est déjà pas mal de faire du trafic payant. Quand tu as que du trafic payant, c’est très risqué. Il faut très fort en data et en tracking. Et ça, c’est un peu compliqué. Ça fait mal au cerveau. Pour moi, c’est comme si tu étais trader, tu prends des risques.

Aurélien : En fait, c’est une question de diversification, tu vois. On ne va pas mettre tous ses œufs dans le panier. Là récemment, il y a des gens qui se sont fait bannir de Facebook, mais de manière méchante. C’est-à-dire carrément leur compte perso a été fermé. Donc voilà, c’est chaud. Moi, c’est pour ça que j’aime bien me diversifier.

En tout cas, je peux te dire que, parce que tu me posais la question pour les gens qui nous écoutent et qui veulent créer leur propre programme d’affiliation, c’est-à-dire que oui c’est quelque chose qui a un potentiel, mais c’est comme n’importe quel canal d’acquisition marketing, il faut investir du temps là-dedans. Donc moi, j’ai un groupe Facebook. Les gens, ils s’inscrivent sur une page de capture.

Enfin, j’ai une page d’inscription à mon programme d’affiliation. Donc en fait, les gens sont déjà affiliés, mais s’ils veulent s’inscrire, ça permet de les taguer dans ma base. Ensuite, je peux faire des communications. C’est quelque chose qu’on fait de temps en temps quand on lance un nouveau tunnel. On contacte les affiliés. On dit : il y a ce nouveau tunnel qui est dispo.

Et franchement, quand tu fais ça, tu vois que tu as une augmentation. Là, on a lancé un nouveau tunnel pour une de nos offres. On a eu combien, on a eu 1600. Je crois qu’on avait eu 1600 contacts qui ont été générés. De chiffre d’affaires, on a dû faire, ça doit être, alors on a des abonnements donc c’est difficile à évaluer, mais c’est un peu moins de 10000 euros, tu vois.

Thierry : D’accord. Ce qui est pas mal. Dans tous les cas, c’est vraiment un très bon produit. Comme j’ai dit, on ne va pas faire trop longue pour les personnes. J’ai cinq questions que je pose à tout le monde. La première question, logiquement, tu as déjà répondu parce que ce que je pose souvent c’est : quel est le business dont tu rêves ? J’ai l’impression que tu y es déjà.

Aurélien : En fait, si tu veux, je suis passionné par le business depuis très longtemps. Très souvent, je regarde, j’analyse les business et, etc. Mais c’est même maladif, tu vois. Je veux dire sincèrement, je me dis tout le temps : mon business, il est mieux. Mais mon business, il est mieux qu’il était en 2014 puisqu’en 2014, si tu veux, je faisais des lancements avec mes affiliés.

Je me sentais trop dépendant des lancements parce que quand on me dit : ouais, tu fais un lancement. Tu fais 500000 euros. Les gens disent : ouais, c’est génial. En fait non, ce n’est pas génial parce que si tu rates ton prochain lancement, après tu es quand même pas mal dans la merde.

Thierry : En plus 500000, il faut payer les affiliés. Donc, ce n’est pas 500000 net. Ces 500000, il faut payer, il y a des freins.

Aurélien : Exactement. Ah oui, tu as énormément de frai, etc. Donc si tu veux, moi en 2014, je ne me sentais pas bien parce que j’étais trop dépendant des lancements, j’étais trop dépendant de quelques affiliés. Donc, je suis parti dans mon coin. J’ai lancé systeme.io ce qui est un petit peu une folie parce que si tu veux des gens qui veulent créer une application, j’en connais au moins quatre qui ont essayé ou qui sont en train d’essayer et qui n’y arrivent pas. Donc, c’est extrêmement difficile.

Moi au départ, j’ai perdu 30000 euros et un an avant de trouver la bonne équipe. Donc, c’est extrêmement difficile. Et aujourd’hui, en tout cas, je peux dire par rapport à 2014, c’est que justement c’est la longue traîne des affiliés, c’est-à-dire que je ne dépends pas de quelques affiliés, j’ai beaucoup d’affiliés. Je ne dépends pas d’un lancement. C’est-à-dire que tous les mois, ça augmente. Là, le mois dernier, on a dû faire un petit peu plus de 70000 euros. Donc, je ne dépends pas d’un lancement, tu vois.

Cela au moins, c’est une réussite. C’est que par rapport à 2014, je n’étais pas satisfait de mon business, même si avoir un business sur internet, c’est déjà génial. Aujourd’hui, je vois le chemin parcouru et ça va plutôt dans la bonne direction.

Thierry : C’est bien. Tu as évolué en tant qu’entrepreneur. Donc la deuxième question c’est : quelle est la meilleure expérience que tu as eu en tant qu’entrepreneur ou investisseur ?

Aurélien : En tant qu’entrepreneur, ce serait justement systeme.io parce que si tu veux puisqu’on a parlé du fait que c’est un logiciel qui fonctionne bien, ça marche bien. 6 mois après le lancement, on est presque à 1000 clients. Mais en fait, ce que les gens ne voient pas et j’en parle de temps en temps, c’est que c’est une aventure humaine en fait.

C’est-à-dire que moi, j’ai des développeurs et mon rôle, si tu veux, aujourd’hui j’ai sept personnes qui travaillent à temps plein pour moi et qui sont tous à distance. Je crois qu’ils sont dans quatre ou cinq pays différents.  Moi, j’ai bureaux de 50 m² à Lisbonne. Je suis tout seul dedans et ça me va très bien parce que je suis pépère.

En fait mon travail, c’est d’animer cette équipe, c’est de motiver les gens et c’est quelque chose qui est extrêmement enrichissant. Donc en tant qu’entrepreneur, ma meilleure expérience, c’est systeme.io puisque c’est une aventure absolument folle. L’ambition, c’est que ça aille beaucoup plus loin puisqu’on commence à avoir des clients sur marché américain, enfin bon bref c’est cool.

En tant qu’investisseur, c’est un investissement immobilier qu’on a fait à Lisbonne avec ma femme. On a acheté un appartement 125000 euros. On a mis 30000 euros de travaux, et aujourd’hui il rapporte 2000 euros par mois. Il a doublé de valeur.

Thierry : J’ai vu en plus que Lisbonne, ça a le vent en poupe. Tout le monde veut y aller.

Aurélien : Écoute, j’habite dans la même rue que Madonna. Depuis l’année dernière, elle habite à 100 mètres de chez moi. Aujourd’hui, l’immobilier, ce n’est plus très intéressant parce que ça a beaucoup augmenté et je pense que ça va peut-être même baisser un peu. Mais la dernière, humainement parlant, ma meilleure expérience a été de venir m’installer à Lisbonne puisque c’est vraiment une ville extraordinaire pour habiter quoi.

Thierry : D’accord. Troisième question : quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur.

Aurélien : C’est d’investir en soi. C’est de sortir de sa zone de confort. C’est simple. Si tu veux avoir des résultats différents, il faut faire des choses différentes. Le problème c’est que les gens continuent à faire à peu près les mêmes choses. C’est-à-dire à ne pas se former, à ne pas prendre de risques, à ne pas sortir de leur zone de confort.

Moi à la base, je n’étais rien, ni personne. Je n’avais pas d’argent. Je faisais des petits boulots étudiants. J’ai tout fait, intérimaire, passer la serpillière par terre, etc. Aujourd’hui, j’en suis là où j’en suis parce que j’ai investi sur moi, parce que j’ai pris des risques. Tout le monde peut y arriver et il n’y a pas de limites. Il faut investir en soi. Il faut se pousser. Il faut prendre des risques.

Thierry : Surtout que l’investissement en soi permet de ne pas avoir peur. Souvent, ce qui bloque, c’est la peur et le manque d’action. Mais le fait de se développer personnellement permet, enfin de compte, d’éviter des peurs et de passer à l’action parce qu’on est plus rassuré, parce qu’on s’est formé.

Pas pour tout le monde puisqu’il y en a qui se forment et il y en a plein qui se forment qui ne font jamais rien, mais bon.

Aurélien : Oui, mais enfin moi, je ne vois pas les choses comme toi. C’est-à-dire qu’en fait tu as toujours peur. Si tu veux, si tu n’as pas peur, c’est que ce n’est pas que tu t’es formé en développement personnel, c’est juste que tu es décédé, en fait. Donc, c’est un mécanisme d’instinct. C’est normal.

Thierry : Ou que tu es fou.

Aurélien : C’est ça. Donc non, sincèrement, tout le monde a peur. En fait, le truc c’est qu’il y a les gens qui y vont quand même et les gens qui n’y vont pas. Donc moi, j’y vais. C’est une mécanique. Plus te forces, plus tu y arrives, mais il faut toujours aller encore plus loin. C’est une aventure.

Thierry : C’est plutôt prendre l’habitude d’agir même si on a peur. Ce tout ce que je voulais dire.

Aurélien : C’est normal d’avoir peur, bien sûr.

Thierry : Ensuite, quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur et pourquoi ?

Aurélien : Il y en a plusieurs. Moi, je lis pas mal de livres. Franchement, il y a un livre que j’adore et on en parle rarement. Je ne sais pas si tu connais l’Art de la guerre de Sun Tzu.

Thierry : Oui. Tout à fait. Je l’ai.

Aurélien : Donc, l’Art de la guerre, c’est du « Art of War. » En fait, il y a un écrivain américain qui a écrit the War of Art. C’est un écrivain, je ne me souviens plus de son nom, mais vraiment c’est un livre qui m’a énormément inspiré. En fait, c’est un écrivain à 40 ans. C’était un écrivain raté. Il était alcoolo. Sa femme l’a laissé parce qu’il n’arrive à rien dans la vie et il a fait un livre qui absolument cartonné. Il est devenu célèbre et il a écrit : The War of Art.

Sur son expérience d’écrivain, c’est sur la création. En fait, si tu veux, ça englobe tout ce dont on a besoin de savoir pour devenir entrepreneurs puisque ça t’explique qu’échouer c’est normal, ça te permet d’apprendre et il ne faut jamais abandonner, il faut toujours continuer. C’est hyper enrichissant. C’est rigolo. C’est facile à lire. C’est très cool.

Thierry : The War of Art.

Aurélien : The War of Art, exactement. C’est très bien. C’est facile à lire même si on n’est pas très fort en anglais. C’est vraiment écrit gros, des petites pages, des chapitres de deux pages. Donc, c’est très inspirant.

Thierry : Je vais aller lire ça. La dernière question : quelle est la compétence que tu rêves d’avoir ?

Aurélien : Il faut toujours aller en chercher des nouvelles. Moi aujourd’hui, la compétence, c’est comment développé, ma problématique c’est comment développer systeme.io sur le marché anglais. Donc, on commence à avoir des clients. On a deux clients américains, un client australien, le quatrième client il vient du Sri Lanka. L’ambition, c’est dans 3 à 5 ans de faire 5 millions. Ce qui n’est pas du tout délirant.

Mais aujourd’hui, la problématique, c’est comment se faire connaître. Donc là, je viens de recruter un assistant, un allemand qui m’aide à contacter les affiliés pour qu’ils en parlent pour faire la promotion. Si tu veux, c’est une question de momentum. Si tu dois pousser une roue en pierre énorme, au début tu galères. Puis quand elle commence à avoir du mouvement, c’est beaucoup plus facile. Voilà ! C’est exactement ça la grosse roue en pierre. Elle est immobile. On est en train de pousser. Il ne se passe pas grand-chose.

Et ce qui est marrant, c’est qu’il a commencé cette semaine, il a passé deux jours, il a contacté 50 personnes et je viens de voir qu’en fait il y a quelqu’un qui nous a répondu et qui nous a dit : « ah, c’est super intéressant. Ça peut servir à tous les gens qui vendent en ligne, etc. » Je lui ai envoyé à l’allemand sur Slack qui est le logiciel qu’on utilise pour communiquer. Je lui dis : « boom, tu vois, je lui ai dit : regarde ce n’est que : it’s game’s number, it’s number’s game. C’est un jeu de nombres. C’est du commercial.

Thierry : La loi des nombres.

Aurélien : Voilà. C’est la loi des nombres. C’est-à-dire qu’il faut contacter, notre objectif c’est de contacter 100 personnes en 6 mois pour qu’on ait 250 qui fassent nos promotions pour que dans 6 mois on ait 1000 clients de systeme.io qui sont des nombres arbitraires. Donc voilà, je reviens à ta question : quelle est la compétence que tu rêves d’avoir. Aujourd’hui, c’est comment vendre sur le marché anglais. Aujourd’hui, je n’ai pas encore cette compétence, je n’ai pas encore cette expérience.

Thierry : Comment se caler sur le marché anglais ? Tu auras peut-être la solution. Je vais être prétentieux, tu auras peut-être la solution dans le podcast qui sort mardi que j’ai fait avec Alexandre Cormont qui se développe aux États-Unis. Comme toi tu parles anglais, espagnol, portugais, je crois qu’il faut créer tes chaînes YouTube dans ces trois pays-là. Comme là, tu parles quatre langues, tu vas toucher le monde entier. Et là, tu auras 10000 abonnés.

Aurélien : En fait, je ne sais pas. En fait, on est en train de faire la traduction en Espagnole puisque ma femme est colombienne et moi, je parle espagnol. Mais c’est pour t’expliquer justement, c’est une petite anecdote, mais pour les gens qui nous écoutent, ils peuvent voir comment on peut avoir une idée de lancer un business. C’est-à-dire que je pense, si tu veux, que le marché anglais, il est vingt fois plus grand que le marché français.

Thierry : Oui. Je confirme.

Aurélien : Le marché espagnol, je pense qu’il est trois à cinq fois plus grand que le marché français, pourquoi ? Parce qu’à l’époque j’avais parlé avec la représentante France de clickbank et elle me disait qu’elle était toute seule sur marché français et sur le marché espagnol, ils étaient trois ou cinq.

En fait, le truc qui m’a fait tilt, c’est qu’il y a un logiciel similaire et en fait il y a un groupe Facebook en anglais puisque c’est développé par un anglais ; et en fait je vois qu’il y a des latinos qui publient en espagnol sur un groupe Facebook en anglais. Donc, ils publient en espagnol. Donc, je pense que pour beaucoup, c’est des Mexicains, mais pas que ; et il y a des gens qui leur répondent en espagnol.

Donc, je pense si tu veux que comme on a clickfunnels qui est très connu, qui commence à 100 dollars par mois, si on arrive sur le marché latino, donc hispanophone avec une offre qui commence à 27 dollars par mois en espagnol, sachant que les Espagnols comme tous les pays latins et même beaucoup de pays dans le monde, c’est normal, c’est la norme, ils ne sont pas très bons pour parler anglais, je pense qu’on va avoir de l’attraction.

Thierry : Je confirme. Ça va être un très bon marché ça.

Aurélien : L’objectif à atteindre pour les chiffres, c’est de faire 50000 euros par mois sur le marché français. Aujourd’hui, on arrive à 30000. C’est de faire deux fois de ça sur le marché anglais. Donc ça fait 50 + 100, ça fait 150. 50000 euros par mois sur le marché espagnol. Donc tu vois, ça fait 200000 euros par mois. 200000 euros par mois, ça fait deux millions cinq. Sachant qu’on a des offres de formation et de coaching et que je pense que ces chiffres on peut encore les augmenter, tu vois pourquoi arriver à 5 millions dans 3 à 5 ans, ce n’est pas du tout délirant.

Thierry : Je pense qu’on sera au-dessus. Je pense même que tu es un peu pessimiste, mais bon il vaut mieux être pessimiste que trop optimiste. C’est se casser les dents. C’est ce que dit Cormont, c’est que les Américains, par nature, dépensent sept fois plus que les Français. C’est ce qu’il a expliqué dans le podcast qu’on a fait. Il expliquait aussi qu’il a mis deux ans et demi pour faire les sept chiffres sur le marché américain. En France, il a galéré 7 ans ou 4, 7 ans et que là-bas tout explose. C’est de la folie.

En plus comme de toute façon, c’est en anglais, c’est un Chinois, il dit : les gens haut de gamme parlent l’anglais. Toi comme moi, on parle anglais, quand tu parles anglais, tu touches la terre entière. Ce n’est pas que les États-Unis. Comme le marché est anglais, donc là avec l’anglais, l’espagnol, le portugais, le français, la terre entière va voilà.

C’est pour cela que je disais qu’à un moment à un autre, soit tu vas brûler le marché et les gens vont descendre à tes prix, soit ils vont tomber, mais bon. C’est une parenthèse. J’espère de te ré-interviewer dans quelques mois ou un an et que tu exploses les 5 millions. Puis comme ça, ça donnera des bons exemples aux personnes de se lancer et de ne pas hésiter comme tu as fait.

On rappelle, tu as commencé par un blog, après deux, trois de blogs. Maintenant, tu as des business qui n’ont rien à voir entre parenthèses. Donc, on peut commencer tout doucement puis ensuite augmenter et passer à un niveau largement supérieur parce que tu t’es développé et parce que non tu n’as pas peur. Tu as peur, mais tu continues à avancer.

Aurélien : Ouais. C’est clair. Écoute, j’écouterai avec grand plaisir le podcast d’Alexandre que j’ai déjà rencontré, qui est un gars absolument génial. Je vais le recontacter. Je vais écouter ton podcast. Ça va être super. J’écoute tout le temps les podcasts quand je vais au sport. Donc, j’écouterai cela avec grand plaisir.

Thierry : Merci d’avoir pris le temps. Donc, je dis aux gens, n’hésitez pas à vous abonner à systeme.io ou à tester. Au moins, ça ne vous coûte rien de tester. C’est 14 jours ou 15 jours.

Aurélien : C’est 14 jours. Tu pourras mettre le lien en dessous.

Thierry : Je mettrai le lien. Puis ceux qui veulent aussi se former, donc il y a des formations aussi disponibles. Je dis tchao à tout le monde. Puis donc, je te laisse le dernier mot.

Aurélien : Merci à toi Thierry. On se tient au courant puis pourquoi pas dans 6 mois ou dans 1 refaire une interview. Puis, on verra comment cela a avancé. On verra bien. C’est intéressant.

Thierry : Avec grand plaisir. Tchao.

Aurélien : Super. Merci à toi. Tchao.

Thierry : C’est fini pour l’épisode 5, donc merci encore à Aurélien. Merci à vous d’avoir pris le temps d’écouter et de partager ce podcast. N’hésitez pas à vous inscrire sur toutes les plateformes, ITunes et autre parce qu’il y aura encore d’autres épisodes.

Pour le mois de décembre, plusieurs invités. On a déjà commencé les enregistrements. Donc voilà, n’hésitez pas donc à partager et à aider la communauté et aussi donc un projet des invités, si vous voulez que j’invite des personnes et qu’on parle de certains sujets. Ce sera un grand plaisir. Donc, je vous dis à très bientôt pour le prochain épisode. Tchao.

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