Aujourd’hui j’interview Folco CHEVALLIER qui est un entrepreneur mais aussi écrivain. Il va nous expliquer comment toi aussi tu peux écrire un livre pour devenir une autorité dans ton secteur d’activité. Il te propose son aide pour aller plus vite
Thierry Henry : Salut à tous ! Bienvenue dans l’entrepreneur lifestyle, donc épisode numéro 11. Aujourd’hui, j’ai l’honneur d’accueillir Folco Chevalier qui est l’auteur de « par-delà donc les apparences » son deuxième roman. Mais avant cela, il a été, enfin il est toujours, il a été créateur et il a entré dans les grands groupes. Il a fait des grandes écoles, enfin un parcours assez important que je ne pourrais pas vous parler tout de suite et même dans l’épisode on n’en parle pas trop puisqu’il a une vie assez chargée.
Mais donc dernièrement, il a écrit son dernier livre qu’il a réédité. Donc, il a fait de l’autoédition puis ensuite donc l’édition classique dans une grande maison d’édition, excusez-moi. Maintenant, il accompagne en fin de compte les entrepreneurs, les artistes et autres à créer et à développer leur business grâce à un livre, grâce à son groupe donc sur Facebook.
Donc, il aide les entrepreneurs, les infopreneurs à devenir plus connus, à avoir une meilleure autorité, à devenir des experts et des autorités dans leur business grâce à un livre. C’est un livre, c’est très puissant. Puis, on laisse quelque chose pour l’éternité pour son business. Folco Chevallier, donc il va donc nous parler de tout cela. Donc, je vous dis à tout de suite avec donc Folco. Salut Folco, comment tu vas ?
Folco Chevallier : Bonjour ! Très bien. Très heureux d’être avec toi aujourd’hui.
Thierry Henry : Merci. Moi aussi. Donc aujourd’hui, on va parler donc comme j’ai dit dans l’intro donc de création et surtout donc d’être d’édition. Tous ceux qui ont un business ou qui ont une spécialité qui sont experts vont pouvoir profiter de l’expérience donc de Folco Chevalier.
Comme cela donc, tu vas tout simplement nous dire comment nous on peut faire pour devenir un expert et avoir l’avantage d’un livre qui est assez puissant pour devenir une autorité dans son marché ? Donc, je te laisse te présenter rapidement, même si je l’ai fait dans l’intro puis on va attaquer les questions sérieuses.
Folco Chevallier : Donc, je m’appelle Falco Chevalier. Donc, je suis entrepreneur et je suis aussi auteur. J’ai publié plusieurs livres, donc principalement des romans. Je suis en train d’écrire aujourd’hui un livre de non-fiction en ce moment. Depuis maintenant une dizaine d’années en fait, j’ai exploré en profondeur donc le marché de l’édition, le marché de l’autoédition et j’ai créé un groupe Facebook qui s’appelle book leader justement pour accompagner toutes les personnes qui justement veulent aussi écrire un livre et le publier dans les meilleures conditions pour pouvoir émerger sur leur marché.
Thierry Henry : D’accord. C’est comme cela que je t’ai connu parce que j’ai cherché comment me faire éditer, même si j’en suis loin d’avoir fini donc mon livre, même deux, j’en ai même deux. J’étais ton sur ton groupe Facebook qui est très intéressant. Il y a plusieurs types de personnalités. Il n’y a pas que des entrepreneurs, il y a un peu de tout. Donc, c’est bien. Donc précisément toi, tu as un parcours un peu entrepreneurial. Tu as fait donc des grandes écoles. Tu es parti aux États-Unis. Tu as écrit un super livre donc que je n’ai pas encore lu, mais j’ai lu, enfin cela semble par-delà donc les apparences avec deux caractères Léopold et Laura. Je ne demanderai pas si Léopold c’est un peu de toi. Donc cela, il y a des gens, ils vont le lire. C’est ton donc deuxième roman.
Folco Chevallier : Il y a toujours de choix dans ces livres.
Thierry Henry : Voilà donc deux en dix ans, ce qui est déjà pas mal puisqu’il y en a un qui n’en fait jamais. Donc, on est entrepreneur, on est un infopreneur, on a l’activité, comment on fait pour réussir à écrire puisque tout le monde veut écrire bizarrement même quand on n’est pas fans de lecture. On veut écrire, donc c’est très bien, la puissance d’un livre. Comment on fait ?
Folco Chevallier : Alors, comment on fait ? En fait, c’est un processus étape par étape. Donc vraiment, il faut considérer l’écriture d’un livre véritablement comme un projet déjà. Donc, on décide d’aborder donc l’écriture d’un livre de manière professionnelle. Très souvent, une des erreurs que font souvent les gens, c’est qu’il fonctionne un peu à l’inspiration et donc il dit : j’ai quelque chose à faire, j’ai quelque chose à partager puis il se met à écrire. Donc, il y a un certain enthousiasme au début et assez souvent quand même la vie reprend son cours.
Donc, la vie reprend son cours et finalement on se pose plein de questions. Il y a énormément de blocage qui sont souvent des blocages internes, qui peuvent arriver : la peur, la peur de finalement est-ce que je suis légitime sur mon sujet, etc. Très souvent, on s’arrête. Finalement, il y a beaucoup de personnes que j’accueille et que j’accompagne qui finalement était très enthousiaste au début et qui finalement ont mis un petit peu de côté toutes leurs ambitions en termes d’écriture.
Donc déjà la première des choses, c’est de se dire que c’est tout à fait normal pour beaucoup de gens, et la bonne manière de l’aborder c’est de se dire : c’est un projet, donc je vais y aller étape par étape. Donc, il y a des étapes à suivre. Il y a vraiment des étapes très claires en tout cas qui peuvent être vraiment un chemin très balisé pour s’assurer qu’effectivement on va arriver au bout de ce projet, qui est souvent un projet qu’on n’a pas l’habitude forcément de faire.
Donc, on se lance un peu dans cette aventure, mais c’est un peu, moi je considère qu’un livre c’est un peu comme vouloir monter la première fois l’Himalaya. L’Himalaya, il faut se faire accompagner, il faut avoir une méthode, il faut être bien équipé. Si on est bien équipé, il n’y a aucun problème pour arriver en haut de la montagne.
Thierry Henry : Surtout que le vrai problème, ce n’est pas de monter, paraît-il, c’est de descendre qui est plus compliqué. Je l’ai pris dernièrement, on m’a dit que la montée n’est pas très compliquée. Le problème, c’est de descendre, paraît-il. Alors, je ne sais pas pourquoi. Cela, c’est technicien. Donc, ceux qui n’étaient pas très rassurés maintenant sont encore pires grâce à toi parce que tu as comparé l’écriture d’un livre à l’Himalaya. Donc toi, tu en as écrit deux donc en dix ans. Est-ce que parce que souvent les gens sont un peu trop optimistes ? Quel est le délai pour écrire un livre, quel que soit le niveau ?
Folco Chevallier : Quel que soit le niveau, je pense qu’on peut en fait, alors après sur les dix années, il y a évidemment des périodes où je n’ai pas écrit, il y a des périodes où je n’ai pas travaillé, il y a des périodes où j’ai réfléchi à mon sujet, donc là ce que tu vois c’est finalement l’output que j’ai sorti. Mon dernier livre, j’ai réussi à l’écran en trois mois. Donc, je l’ai écrit en trois mois et j’avais mûri déjà bien mon sujet. Donc, j’avais vraiment travaillé en amont sur vraiment qu’est-ce que je voulais dire, quel était mon visage, qu’est-ce que j’avais envie de faire.
Et une fois que j’étais bien clair vraiment sur la vision, mon histoire, ce que j’avais à raconter, je me suis lancé dans procédés d’écriture. Et là en trois mois, mon livre est sorti. Cela, c’est vraiment quelque chose de très important. Ce qui est vraiment important, c’est la base, la fondation. Comment est-ce qu’on arrive vraiment à construire la fondation parce qu’ensuite après l’écriture, c’est une habitude.
Il y a pas mal de choses qu’on peut faire généralement pour introduire des routines d’écriture et voilà. Et en termes de production, sortir un livre de 150 pages, si on s’y met une demi-heure par jour, en trois quarts d’heure par jour, on peut sortir un livre de 150 pages en trois mois.
Thierry Henry : Dans 150 pages, c’est environ combien de mots puisque moi je compte en mot comme je suis bloggeur ? C’est combien de mots ?
Folco Chevallier : C’est 37000 mots à peu près, 37500 mots.
Thierry Henry : D’accord. Je pensais que c’est plus que cela, 37000 mots.
Folco Chevallier : Non.
Thierry Henry : En même temps, 150 pages, ce n’est pas énorme, mais c’est pas mal. Ce n’est énorme.
Folco Chevallier : Ce n’est pas énorme, mais en fait ce qui est important, c’est surtout moi, ce que je dis ce n’est pas la quantité. C’est-à-dire que tu peux faire un livre de 90 pages, de 200 pages. Moi, je fais des romans, donc forcément on est plus sur 200, 250 pages. Sur un livre professionnel, un livre déjà 200 pages, 150 pages, c’est déjà un livre qui va avoir un impact. Le travail qu’on fait donc que je fais en accompagnement, c’est justement d’essayer d’aider les gens justement à être très clairs sur l’idée. Quelle est l’idée principale qu’ils ont envie de dire ?
Et très souvent aujourd’hui, on voit dans les usages, même côté lecteurs, je ne sais pas si c’est le cas pour toi, mais les livres de 300 pages aujourd’hui, on ne va pas jusqu’au bout. Donc si tu veux avoir de l’impact, ce qui est très important plutôt, c’est la manière dont ton message et la manière dont tu vas le raconter. Et cela peut être en 70 pages du moment que tu as de l’impact. Ce qui est important, c’est d’être lu et d’entraîner ton lecteur du début jusqu’à la fin. Donc, on peut écrire un livre en quelques mois.
Thierry Henry : D’accord. Donc pour retourner sur le côté entrepreneuriat et image, est-ce que toi tu as senti quelque chose de différent, même si tu as un business qui est lié autour du livre ? Est-ce que tu as l’expérience, qu’est-ce que fait un livre réellement en fin de compte ? Est-ce qu’on est invité partout parce que là on parle plus d’autoédition logiquement ? Donc même en autoédition, on a le même effet qu’un livre classique où on est invité un peu partout, où on devient l’expert. Quels sont les effets du livre, l’effet de levier du livre ?
Folco Chevallier : Il y en a trois, d’accord. Donc le premier, pour moi un livre c’est vraiment, c’est un moyen d’accroître son impact, de toucher plus de monde. Donc cela, c’est quelque chose qui est important. Je pense que quand on décide d’écrire un livre, c’est parce qu’on a envie de partager, de transmettre et d’accroître son impact. Et en fait quand on écrit un livre, on accède à un circuit de diffusion d’idées que sont les librairies, donc les libraires en ligne ou les librairies physiques auxquelles on n’avait pas accès avant.
C’est-à-dire qu’avant, on peut être sur l’internet, on peut être sur YouTube, etc., mais il faut savoir que par exemple Amazon, c’est le troisième moteur de recherche en France. Donc forcément, on accroît son bassin déjà de lecteurs potentiels et de clients potentiels. Donc, on accroît son impact. Cela, c’est vraiment la première chose qui est importante d’avoir en considération. Mais cela, c’est d’essayer. À partir du moment où on publie, on est déjà sur ces plateformes. Après, il faut faire du marketing derrière ; mais en tout cas on est présent sur ces plateformes, on peut être trouvé sur ces plateformes. Donc cela, c’est le premier point.
Le deuxième forcément, avoir écrit un livre, cela à soi quand même une crédibilité et une notoriété. Donc, on fait partie des gens qui ont publié un livre sur le sujet et mine de rien même s’il y a beaucoup livres encore qui sont publiés en France, on sort un petit peu du lot avec un produit qui est structuré, qui est complet, qu’on peut lire tranquillement, que les gens peuvent lire, etc. Mais je trouve que le livre a vraiment, c’est un élément concurrentiel important. Donc cela, c’est le deuxième élément au niveau de la crédibilité. On a écrit son livre.
Ensuite en ce qui concerne la visibilité auprès des médias forcément, c’est le moyen aussi d’attirer l’attention des médias pour pouvoir prendre la parole. Là effectivement, alors ce n’est pas automatique, il faut se faire là aussi accompagner, faire un communiqué de presse. Mais si on a une histoire à raconter, on va forcément attirer les médias. Après, il faut avoir un bon angle d’attaqué, il faut être bien accompagné, sollicité les médias. Mais les médias sont en recherche aussi de personnes qui effectivement ont des choses à raconter sur du sujet en permanence.
Le troisième élément, c’est vraiment aussi le côté business, c’est vraiment un tunnel d’engagement business. C’est-à-dire que vraiment pour moi le livre, c’est déjà le début, c’est la base déjà du dialogue qu’on peut avoir en tant qu’entrepreneur, expert coach déjà avec son client parce que déjà pendant deux trois heures, quatre heures mêmes, il peut être immergé dans ton message. Il y a très peu de médias aujourd’hui qui peuvent se targuer d’obtenir l’attention de quelqu’un pendant trois heures. Et quand on lit un livre pendant trois heures, finalement, on est en train quelque part de dialoguer. Même si le dialogue il est à une voix, on est vraiment dans ce point-là.
Donc, c’est vraiment les trois points, les trois points d’impact qu’on peut avoir quand on écrit un livre : accroître son impact, développer son image et sa notoriété et aussi se doter d’un levier d’engagement pour développer son business.
Thierry Henry : D’accord. Parfait. Est-ce que donc parce que bon là, c’est une question qui est un peu à part parce que l’autoédition, on dit que c’est souvent rentable ; est-ce qu’on doit penser aux finances quand on fait cela ou on pense vraiment : on doit séparer le côté parce que logiquement on entreprend, on n’a pas besoin de gagner de l’argent avec le livre ? Ou est-ce qu’on se dit : on le fait avec un objectif de vente maximum d’un gain ou on n’en a rien à faire, on se dit : on veut juste avoir la preuve qu’on a écrit un livre, qu’on vend 100 ou 1000, il n’y a pas de différence ?
Folco Chevallier : Alors juste une chose, donc édition versus autoédition, les médias franchement pour eux, ils s’en moquent. On a comme partenaire donc dans l’académie des agences de relation presse, donc justement pour aider les personnes qui sont dans ce programme aussi, donc à se rendre visible auprès des médias. Clairement, ils n’en ont rien à faire. Tu crées ta maison d’édition, tu lui donnes un nom. Ce qui les intéresse encore une fois, c’est ce que tu as à dire. C’est le message. Donc cela, cela ne fait pas la différence, et le fait que ton livre il soit diffusé, il soit accessible dans les librairies ou dans les librairies. D’accord. Donc cela, c’est le premier élément.
Deuxième élément donc en ce qui concerne l’autoédition, il y a vraiment les deux aspects. Donc le premier, c’est que quand on s’autoédite, on a la main sur son produit final. Donc, on est complètement autonome. On se dote d’un système sur lequel on est complètement autonome. Il y a un investissement forcément, donc en terme de packaging principalement. Donc, il faut se faire accompagner par un correcteur, avoir une couverture, etc. Mais c’est un investissement qui est relativement maîtrisé. Donc, être en autoédition, c’est vraiment finalement, on est entre 1000 et 1500 euros en termes d’investissements, tu vois, sur en tout cas les aspects produits.
Ensuite ton livre forcément d’abord effectivement, il va te ramener du business, mais de manière indirecte parce que c’est un moyen finalement de convaincre tes clients de devenir tes prospects, de devenir tes clients. Donc, il y a un impact sur le business, mais aussi cela peut être une source de revenus passifs qui peut tourner pendant des années et des années sur Amazon.
Thierry Henry : J’ai mon deuxième invité, lui avait publié une soixantaine, ce n’est pas vraiment des livres, il y avait certain qui faisait 30 pages et d’autres qui allait jusqu’à 200 pages. Donc, il en a écrit en français et en anglais parce que je sais que tu veux écrire en anglais, donc il a écrit en français et en anglais et il a eu ses revenus passifs avec plus de 60 livres et il a été ensuite invité sur France 2 et France 3 par rapport à cela.
technique sur le blogging, sur le marketing et autres, des 30 pages jusqu’à 200 pages puis il est parti sur autre chose. Mais donc là dans ces cas-là, lui je pense, parce que tu as parlé de 1000 à 1500 euros, donc cela englobe quoi précisément ?
Folco Chevallier : Là, on est sur l’investissement que tu peux faire pour avoir une couverture, tu vois un correcteur.
Thierry Henry : Avec aussi les relations de presse et autre.
Folco Chevallier : Non, cela n’inclut pas les relations de presse.
Thierry Henry : Donc là, c’est plutôt dans tout ce qui est tout le package. Donc moi, j’avais une question, est-ce que donc pour toi tout le monde doit écrire ou peut écrire plutôt ? Est-ce que tout le monde peut écrire ou est-ce que dans ces cas-là il vaut mieux plutôt retrouver une personne qui va écrire pour soi ou écrire à deux ou faire un audio, pourquoi pas ? Faire un livre audio, même si en France, ce n’est pas trop à la mode malheureusement.
Folco Chevallier : Alors le livre audio, c’est en train de se développer. Donc, c’est vraiment quelque chose qu’il faut surveiller. Écrire un livre à deux, je ne conseille pas. Je pense que c’est un peu compliqué, parce que justement, il faut arriver à se mettre d’accord. Ensuite au niveau de l’écriture, je pense qu’il faut être assez décomplexé quand même sur un livre notamment business.
Jusque-là, l’enjeu surtout, c’est d’arriver à organiser correctement ses idées. Donc, les problématiques de style sont des problèmes à qui se présentent quand même beaucoup moins, donc je pense qu’on a tous su écrire quand on était à l’école. Donc, on écrivait, on écrivait des dissertations, etc. On a simplement un petit peu oublié. Je pense qu’en France, on peut être assez complexé par rapport à cela.
Ensuite, il faut s’entourer aussi de personnes qui vont justement t’aider à accroître ton efficacité. Donc une fois qu’on a écrit un livre, on peut se doter par exemple de bêta lecteur, donc faire passer ces livres auprès de bêta lecteurs qui justement par rapport à ce que tu as écrit, cela c’est compréhensible, cela ce n’est pas compréhensible. Je pense qu’en termes de tournures de phrases, cela mériterait d’être mieux tourné ou même se faire accompagner par un éditeur qui va donner un feed-back aussi sur la manière dont ton livre est écrit.
Donc encore une fois à partir du moment où tu as le bon système qui est mis en place où tu t’entoures, c’est ce que je dis au début, c’est que tu considères que c’est un projet sur lequel tu vas investir et tu vas avoir un retour sur investissement, je pense qu’on peut tous écrit un livre parce qu’on sait, on est tous câblé pour organiser nos idées et puis les mettre sur papier. Il faut se lancer aussi.
Il y a aussi une peur très souvent que de se lancer. Donc, très souvent le premier exercice que je fais faire aux personnes, c’est ce qu’on appelle le free writing. Donc, ils mettent sur une feuille blanche et je leur demande d’écrire spontanément ce qui leur passe par la tête, donc à propos de la livre.
Thierry Henry : Donc, c’est pareil comme quand tu fais un blog, il faut se lancer, commencer a créé les premiers mots puis après cela marche tout seul.
Folco Chevallier : Exactement. Et en fait, le cerveau très naturellement, il va aller de fil en aiguille, il va accabler. Donc, on est un peu rouillé parce que je pense qu’on n’a plus l’habitude et il y a cette peur d’écrire. Mais en faisant quelques exercices, très vite on se rend compte que finalement on sait faire quoi.
Thierry Henry : Parce que j’ai deux questions qui sont venus naturellement. Donc, j’ai deux questions parce qu’une par rapport à moi parce que je t’ai dit j’avais un projet et donc, moi j’ai fait ce que d’autres ont fait souvent comment fait aux États-Unis. J’ai repris donc des articles de blog que j’ai fait. Je me suis dit, qui n’ont pas trop marché, mais je les reprends, je vais faire travailler, comme cela j’ai déjà. Puisqu’en général mes articles font entre 800 jusqu’à deux mille mots. Je reprends 10 articles et j’ai déjà 20000 mots.
Puis après moi, je rajoute, j’entoure et j’englobe. Cela, je pense que cela va être 00:17:42 juste autoédition classique pour les niches. Et une autre question, est-ce que parce que moi j’ai commencé à le faire, est-ce que tu conseilles d’écrire un ancien avec l’écrit ou tu prends un audio et parler.
Folco Chevallier : Tu peux prendre un audio et parler aussi, bien sûr. Tout à fait.
Thierry Henry : Et après donc tu payes quelqu’un pour écrire ou tu réécoutes et tu écris toi-même.
Folco Chevallier : Alors là, il y a deux voies, donc tu peux le transcrire. Donc en gros, il y a des services de transcription automatique qui permet…
Thierry Henry : C’est ce que je fais pour le podcast, à Madagascar cela ne coûte pas trop cher.
Folco Chevallier : Voilà. Exactement. Donc, il y a vraiment plein de services donc de transcription automatique et ensuite après tu peux demander à quelqu’un aussi sur la base de la transcription que tu as aussi de réécrire. C’est un petit peu plus compliqué. Donc moi, ce que j’expérimente. Donc en gros, c’est soit tu écris, soit disant que tu es seul dans son projet et le fait de parler va déjà t’aider à avoir de la matière sur laquelle toi tu vas retravailler. D’accord. Donc cela, c’est déjà un super moyen de lancer le procès créatif encore une fois.
Tu es lancé dans le process, tu es lancé dans l’organisation de tes idées. Donc très vite en une heure d’entretien, tu as déjà cinq, six lignes mots. Mais ensuite après, la manière dont je recommande, c’est après, c’est d’avoir la main ensuite après de retravailler toi-même sur cette matière que tu as créée. Voilà. Donc l’important, c’est déjà d’avoir de la matière. On ne peut pas retravailler sur une matière qu’on n’a pas. Donc dicter permet déjà d’obtenir déjà beaucoup de matières qu’on va pouvoir retravailler. Donc du coup, on dépasse finalement la peur de la page blanche parce que c’est peut-être plus facile pour des gens parler.
Là où c’est un peu compliqué, c’est quand cette matière à quelqu’un qui n’a pas eu l’occasion d’interagir avec toi ? Donc là, moi ce que je recommande et c’est ce que je propose aussi, on a un service assez haut de gamme, là je mets en contact en fait donc les personnes qui veulent écrire avec, ils vont discuter c’est un échange, c’est des entretiens qu’ils vont faire avec la personne. Et là, ils vont sortir les livres progressivement.
Thierry Henry : Donc pour aller sur ce que tu disais, on m’a toujours dit que pour, enfin essayer de faire son livre, c’est un peu ce que je fais sur mon blog, j’écris en général, comme j’ai appris à l’école, même si en France, je n’étais pas bon. Je commence par une intro. Je fais la conclusion et je mets les gros titres, les gros paragraphes et après je remplis. On m’a toujours dit qu’il faut commencer par le sommaire.
Folco Chevallier : Alors, il faut avoir un plan d’accord. Donc, c’est vraiment très important dans les étapes et avant d’avoir le plan, il faut avoir son idée et son marché. Donc en fait avant d’avoir le plan, vraiment les étapes, c’est je suis bien au clair sur ce que j’ai envie de dire, à qui j’ai envie de le dire. Donc cela, c’est vraiment très important. Quel est mon marché cible ? Quelles sont leurs problématiques ? Vraiment l’étude de marché, elle est vraiment très importante parce que si on n’est pas au clair, quand on va écrire son livre, finalement un libre c’est un dialogue. Et donc, il faut qu’on soit au clair.
Donc toi, tu as l’habitude quand tu fais du blogging, je suppose. Donc, tu connais effectivement tes lecteurs et tes personas. Donc, c’est exactement la même chose. Donc, il faut passer du temps vraiment sur quels sont ces problématiques, qu’est-ce que j’ai envie de dire, qu’est-ce que j’ai envie d’apporter à cette personne. La partie marché et partie marketing, elle est vraiment très importante en amont. Il faut passer du temps sur vraiment la définition de cette persona. Donc cela, c’est la première étape.
La deuxième étape, c’est effectivement donc son plan. Il faut qu’on soit au clair sur son plan. Alors, il y a plein de manières d’arriver rapidement à obtenir un plan. Tu peux faire du Mind Mapping. Tu peux utiliser des techniques de post-it avec des notes, etc. L’important, c’est de dérocher toutes les idées que tu as sur le sujet, une fois que tu as bien déterminé ton persona, ton marketing et ce que tu veux atteindre comme objectif.
Puis tu poses ton plan et tu organises. Tu l’organises de manière logique. Très souvent, il y a une logique quand même qui se dessine sur la manière dont tu vas organiser ton sujet autour de ton voilà. Donc avoir le plan, c’est vraiment important, même si après il va pouvoir bouger. Et une fois que tu as ton plan, effectivement après, tu commences à rédiger les parties. Alors, tu n’es pas obligé de rédiger les parties dans l’ordre chronologique, mais par contre tu as déjà ton ossature. Tu as déjà une structure sur laquelle tu peux t’appuyer.
Et l’intro et la conclusion sont effectivement des éléments qui sont très importants, donc auquel il faut vraiment, sur lesquels il faut passer beaucoup de temps parce que l’introduction, c’est ce qui va emmener le lecteur dans le livre. Donc vraiment, il va lui donner en poursuivre. C’est les premières pages qu’il va dire quand il va être sur les librairies en ligne. Donc, c’est vraiment clé. Donc là, il faut vraiment passer beaucoup de temps là-dessus. Et la conclusion, cela va être l’impression finale qu’il va faire et puisque tu vas le proposer ensuite pour continuer le voyage avec toi.
Si ton livre est la base de ton tunnel, il faut que la personne comprenne déjà tout ce que tu as, ton idée phare, ce que tu as pu lui apporter. Donc cela, c’est vraiment très clair. Et ensuite après, ce que tu peux lui proposer ensuite de faire sous forme de formation additive sur ton site. Ton livre devient ce qu’on appelle un lead magnet pour ensuite après développer ton business. Moi, j’ai beaucoup de clients que j’accompagne pour lesquels vraiment le livre est un véritable lit de manette pour ensuite après se développer et se constituer une base de lecteurs, se créer une liste d’émailing puis ensuite après proposer d’autres types de prestations et de services derrière.
Thierry Henry : Donc, je pense que là cela a été assez clair. On était conseillé. J’aimerais donc que tu parles à peu de ton service avant que je te pose cinq questions que je pose à tous mes invités, que tu passes vraiment ton service, tu n’étais peut-être pas là pour le vendre, mais entre parenthèses, parce que moi tu me l’as déjà vendu. Mais que tu m’expliques précisément qu’est-ce qu’il y a dedans, qu’est-ce que les gens peuvent attendre parce que je mettrai le lien pour les personnes qui veulent donc s’inscrire et aller sur le groupe ?
Folco Chevallier : Alors pourquoi j’ai créé le programme book leader, c’est parce que justement je me suis rendu compte ces dernières années qu’il y avait quand même beaucoup de vent contraire quand on se lance dans un projet de livre, donc en gros à beaucoup de moments on peut vraiment rester coincé. Est-ce que j’ai le bon sujet, est-ce que je m’adresse aux bonnes personnes, quelles sont les étapes que je dois suivre ? Au niveau du marketing, comment je m’auto
édite ? Donc, cela peut être assez complexe.
Donc moi, j’ai fait ce chemin, mais j’ai publié mes livres en édition classique, en autoédition. En autoédition, mes livres ont été des best-sellers. Vraiment, ils sont entrés dans le top 100 des ventes sur Kindle. Mais en fait, il y a une règle du jeu, donc il y a une manière dont ce système fonctionne et je me suis rendu compte que beaucoup de gens finalement ne savaient pas comment ce système fonctionnait.
Donc, soit ils essayaient de publier un livre et ils n’y arrivaient pas, soit ils publient un livre et il n’était pas bien marketé et finalement il ne se vendait pas. Donc du coup, je me suis dit : c’est dommage parce que finalement il y a normalement projet qui ne rencontre pas leur public, il y a énormément d’énergies qui a été mis dans ces projets-là et je pense que je peux vraiment aider les personnes vraiment à réussir leur publication et le marketing de l’offre.
Donc, j’ai créé donc un programme qui s’appelle book leader, qui est un programme d’accompagnement complètement structuré. Donc l’idée, c’est vraiment, une personne qui rend dans ce programme, il bénéficie d’un système complet d’accompagnement, mais qui repose sur trois piliers. Le premier, c’est le coaching. Donc tous les quinze jours, il y a donc un coaching de groupe qui rassemble tous les participants, sur lesquels tous les participants peuvent venir échanger sur les problématiques qu’ils ont eues dans leurs projets d’écriture de livres.
Cela, c’est vraiment très important parce que du coup cela les fait sortir de leur bulle seul. On est souvent seul devant sa feuille, face à ces difficultés. Donc, c’est des séances de coaching, donc collectif. Il y a un groupe Facebook aussi qui rassemble les participants donc du programme sur lesquels évidemment, moi j’interviens régulièrement, je fais aussi des vidéos, je peux faire des live sur tous les sujets tous les sujets qui concernent l’écriture, le marketing et la publication.
Puis donc, il y a aussi une masterclass, il y a une formation donc en ligne sur l’écriture et la publication marketing qui a été enregistrée. Il y a dizaine d’heures de formation sur tous ses aspects l’écriture, publication et marketing. Cela, c’est les trois piliers donc auquel les participants acceptent quand ils rentreront dans ce programme. Et ce programme rassemble aujourd’hui donc vraiment les entrepreneurs, des médecins, des conférenciers, les formateurs. Donc, il y a aussi une énergie collective qui est vraiment créée. On apprend et tous les participants apprennent aussi et partagent énormément. Et donc, cela permet d’être portée véritablement sur son projet et de donner toutes les chances véritablement de réussir son projet.
Et cela donne des résultats, cela donne des résultats puisque là, par exemple j’ai un professeur de krav maga qui a sorti un livre sur le krav maga et qui est vraiment dans le top 100 des ventes Kindle et qui est rentré dans le top 200 même des ventes de livres. Donc, il cartonne complètement. C’est un projet qu’il voulait écrire depuis très longtemps, voilà. Donc, je suis vraiment content de voir effectivement que cet accompagnement donne vraiment des résultats et permet aux participants vraiment d’accroître leur chance en tout cas et d’aller plus vite et d’avoir plus d’impact.
Thierry Henry : Tu dois être très heureux, enfin gratifiant et très heureux quand les gens arrivent à sortir leur livre parce que ce n’est pas toi qui l’a fait, mais indirectement tu te dis, c’est une bonne filiale, une sous-traitance, mais tu dis j’ai indirectement participé à ce livre, donc ce n’est pas mal quoi.
Folco Chevallier : Exactement. En fait, ce qu’ils m’ont dit, ce qu’ils apprécient dans ce programme, ils disent : c’est une aventure individuelle et en même temps c’est une aventure collective. Parce que moi, je suis très présent dans ce programme. Je veux vraiment que toutes les personnes réussissent à l’intérieur ce programme. Donc vraiment, c’est l’une de mes missions parce que je suis passé par là. Je sais que c’est difficile. Je sais qu’on peut ne pas y arriver, qu’on est seul, etc. Et ils disent : c’est vraiment grâce à toi qui j’ai réussi à aller au bout. Alors, tu as été l’élément déclencheur puis cela change ma vie.
Parce qu’effectivement publier un livre, cela peut changer une vie sur le court terme, le moyen et long terme. On a apporté quelque part au monde une nouvelle pierre à l’édifice et on participe à la conversation sur un support qui est assez pérenne. Donc les livres, on en vend depuis des centaines et des centaines d’années et cela va continuer. Donc, c’est un véritable actif que tu peux réussir véritablement à créer en rentrant dans ce programme et cela peut aller assez vite. Cela peut aller assez vite aussi quoi. Ce n’est pas des projets d’années et d’années quoi.
Donc pour moi, c’est la mission de l’académie et c’est en tout cas une grande satisfaction de voir qu’effectivement beaucoup de gens arrivent au bout de ce projet et de la manière la plus simple, la plus fluide possible.
Thierry Henry : En tout cas, je mettrais un lien donc dans la transcription. Donc là, je vais te poser donc les questions, les fameuses questions que je pose en fin de l’interview. En général, donc à tourner autour du livre. Moi, j’ai déjà là une de tes réponses parce que donc j’ai écouté le podcast d’un confrère en espérant que tu puisses changer. Pour toi, quel est le business dont tu rêves que tu n’as pas encore créé, à part que tu as actuellement ?
Folco Chevallier : Donc, il y a effectivement le business d’accompagnement, de coaching puis il y a le business concernant mon activité d’auteur effectivement que je voudrais créer, que je continue à créer puisque je suis en train d’écrire un troisième livre et j’ai une dizaine de livres derrière. Donc pour moi, c’est le deuxième étage de la fusée, c’est aussi créer un business autour de mes activités aussi créatives en propre.
Thierry Henry : Donc à voir, donc la maison d’édition, ta maison, là où il y a plusieurs projets de livres ou tu as 10, 15 livres, des actifs qui marchent.
Folco Chevallier : Exactement. Dans une logique de production. C’est vraiment pour moi la clé sur la maison d’édition, c’est de créer des séries, de créer des nouveaux formats en fait dans ce domaine.
Thierry Henry : Donc, tu n’as pas eu encore de propositions par-delà donc des apparences pour un film pour l’instant.
Folco Chevallier : Alors, écoute, à leur écoute c’est une remarque que m’ont fait beaucoup de gens. Donc, on va voir. On va voir comment cela va se faire. Il y a des discussions pour que le livre soit déjà adapté à l’étranger et pour que cela devienne un film, il faut une adaptation en anglais en fait.
Thierry Henry : D’accord. Quel est pour toi actuellement que le meilleur business que tu as créé ou le meilleur investissement que tu aies fait ?
Folco Chevallier : Le meilleur investissement, tu parles en termes de ROI ?
Thierry Henry : Tout. En fin de compte, ce que tu as aimé. Là, je ne parle pas automatiquement d’argent, mais quel est celui que tu as aimé, que tu as préféré ?
Folco Chevallier : En investissement ?
Thierry Henry : Comme tu veux, business ou investissement.
Folco Chevallier : Pour l’investissement, en fait quand j’ai commencé à m’intéresser à l’autoédition, je me suis formé aussi, donc je me suis formé dans ce domaine, notamment auprès de Christian Godefroy. Je ne sais pas si tu connais, qui est un fameux marketeur et qui avait sorti donc un programme qui s’appelait Kindle 00:31:07 qui était vraiment extraordinaire. C’est vraiment justement l’autoédition et justement il m’a fait comprendre que c’était possible, c’était tout à fait accessible et cela a été vraiment le démarrage finalement de l’aventure que j’ai aujourd’hui et qui m’a menée à finalement…
Alors j’avais publié initialement mon livre, en papier, et chez un éditeur et j’étais très déçu par le travail qu’il avait fait parce que très souvent les éditeurs ne sont pas très câblés pour le marketing. Cela, c’est quelque chose qu’il faut garder en tête. On peut être assez déçu sur le travail marketing qui est fait par son éditeur.
Mon livre vraiment, le premier roman qui s’appelait « le chant des anges » avait moyennement rencontré son public. Du coup quand j’ai accédé à cette formation, j’ai décidé de republier mon livre en numérique et il a décollé. Il a vraiment décollé. Cela a été un best-seller pendant l’été. Donc, c’était incroyable et mon livre continue à se vendre. Là depuis cinq ans maintenant il continue à se vendre, à avoir de nouveaux lecteurs. Il m’a incité à sortir ce deuxième roman qui lui aussi a très bien marché.
Thierry Henry : Une bonne formation parce que j’ai à moi une personne que j’ai interviewé il y a un peu moins d’un an, deux fois même, Éric Crépeau qui a créé un livre et qui est passé par la formation. Puis un autre qui est très connu dans le business, c’est Sébastien Cerise qui est passé par lui puisqu’il faisait son copywriting à l’époque. Donc, il y a plein de gens qui sont passés par la formation, comme quoi c’était une bonne formation.
Donc pour toi, je n’ai plus mes questions sous les yeux, malheureusement il y a un problème avec le PC, donc j’essaie de me rappeler. Quel est pour toi le meilleur levier pour réussir en général ? Là je pars plus de business, le meilleur levier pour réussir. Je ne t’entends plus.
Folco Chevallier : Je réfléchis. Moi, je pense que le meilleur levier pour réussir, en tout cas le meilleur point de focus, je pense, c’est vraiment la connaissance de son client. Donc vraiment connaître en profondeur les besoins de ses clients. Échanger au maximum, proposer son offre, réagir ensuite après itérer progressivement. Mais pour moi, c’est la clé. Trop souvent, on entreprend en ayant son idée et en fait c’est vraiment le marché qui donne la réponse.
Plus rapidement on va au marché au contact de ses futurs clients et de ses futurs prospects, plus on accroît ses chances de réussir.
Thierry Henry : On sort le marketeur. Comme je n’ai plus des questions, j’ai oublié la dernière question que je pose en général. Si, une que j’aime bien poser : quelle est la compétence que tu n’as pas que tu rêverais d’avoir ?
Folco Chevallier : C’est une bonne question. Je travaille à tous les niveaux en termes de compétence, donc m’améliorer en marketing, acquisition de clientèle. Donc, je pense que clairement en tout cas, ce sont les compétences que j’aime et sur lesquelles j’ai envie de continuer à progresser.
Thierry Henry : C’est plus améliorer ce que tu as actuellement pour devenir encore meilleur.
Folco Chevallier : Exactement. Même si effectivement j’ai une bonne sensibilité marketing, véritablement arrivée à parler correctement avec le cœur. Très souvent, je pense que c’est vraiment cela, à ses clients. Je pense que c’est un vrai travail. Je ne sais pas si c’est vraiment une compétence, mais en tout cas cela se travaille et j’y travaille.
Thierry Henry : Toujours continuer à apprendre. La dernière question : quel est le livre que tu conseillerais à tout le monde, que tu aimes et que tu conseillerais ?
Folco Chevallier : J’en ai beaucoup. Si on parle business, développement, marketing. Vraiment le livre qui m’a marqué, mais j’en ai déjà parlé, il s’appelle « Clarity. » C’est vraiment un livre que je conseille à tout le monde parce qu’il permet d’avoir une réflexion asse profonde sur la manière dont on fonctionne et dont notre système fonctionne notamment sur les sentiments. Quand on est entrepreneur, moi je suis assez émotionnel, on peut avoir tendance à être vraiment très vite pris dans ses problématiques émotionnelles, qui ne sont que des signaux finalement, mais qui sont des signaux assez forts qui peuvent empêcher d’avancer.
Clarity, c’est en tout cas un livre qui justement permet de décoder ces signaux et qui donne des clés pour continuer à avancer. Je pense qu’une bonne partie de la réussite entrepreneuriale, cela, ce n’est pas nouveau, mais je pense qu’il faut vraiment l’avoir en conscience, elle vient quand même de l’intérieur, de ses capacités à mobiliser des ressources intérieures, indépendamment de son marché et de son offre.
Très souvent, on est confronté quand même à énormément de blocages, je pense, interne, et se faire accompagner ou avoir des lectures justement pour être en capacité d’identifier ces blocages, comprendre qu’ils sont là, ensuite après les surmonter, je pense, est clé, dans la voie de la croissance personnelle puisqu’entreprendre finalement, c’est un chemin de croissance personnelle. Clarity, c’est vraiment le livre qui, ces dernières années en tout cas, m’a le plus éclairé là-dessus.
Thierry Henry : Clarity, l’auteur c’est ?
Folco Chevallier : Je ne l’ai plus en tête.
Thierry Henry : Je le mettrai parce que la dernière fois…
Folco Chevallier : Je le mettrai en lien.
Thierry Henry : Merci à toi. Je mets tes liens : folcochevallier.com, le groupe Facebook book leader. Puis tout le reste, tu me l’envoies puis je le mettrai. Donc si vous avez aimé, n’hésitez pas à partager ce podcast. Allez voir dans tous les liens de Folco.
Folco Chevallier : Avec plaisir.
Thierry Henry : Moi, je te dis à bientôt.
Folco Chevallier : À très bientôt Thierry. Merci beaucoup pour ce podcast.
Thierry Henry : Pas de souci. Tchao.
Folco Chevallier : À bientôt.
C’est tout pour l’épisode numéro 11. Merci à Folco d’avoir partagé toutes ces bonnes informations. Si vous voulez en savoir plus sur l’édition, l’autoédition et sur la création d’un livre pour votre business, vous pouvez aller sur son groupe Facebook, book leader ou directement sur son site : folcochevallier.com. Sinon, commentez sous le podcast pour nous dire ce que vous avez pensé de l’interview. N’hésitez pas à télécharger l’émission sur iTunes, Stitcher. Je suis inscrit un peu partout pour supporter le podcast.
La semaine prochaine, on a un entrepreneur et un Youtubeur, Vannak Tok très connu qui devait en fin de compte faire l’épisode 11, on avait des petits soucis. Comme j’ai eu même pour celui-là, donc comme quoi il faut continuer à apprendre. Moi, je débute toujours dans le podcast, donc toujours le but d’améliorer et d’être meilleur. Il y a encore plein d’interviews qui arrivent. Vannak Tok, il va nous apprendre le développement personnel et surtout savoir comment passer de salariat à l’entrepreneuriat sans trop de risques, ce qu’il a fait. Vraiment, une très bonne interview. Je vous dis à la semaine prochaine avec Vannak Tok. Tchao.
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