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#Episode 14 – COMMENT DEVENIR MILLIONNAIRE AVEC AMAZON FBA ? Interview Olivier ALLAIN

site de rencontre gratuit thiais Thierry Henry : Bonjour à tous ! Bienvenue sur l’entrepreneur lifestyle avec donc olivier Allain qui est mon invité pour l’épisode numéro 14. Si tu ne le connais pas, c’est un expert en Amazon FBA, qui a commenté il y a quasiment plus de 10 ans sur cette plateforme, qui a rapidement atteint les un million. Il va donc nous parler de son parcours parce qu’il y a aussi des échecs, mais il a quand même ensuite réussi à dépasser le million.

Puis dernièrement, il a voulu donc se mettre à partager un peu ce qu’il a appris. Donc, il devient infopreneur. Il a une formation à nous proposer, je vais vous montrer les liens à la fin ou dans la description pour pouvoir proposer des produits sur Amazon pour quitter la rat race et devenir indépendant tout simplement. Le lien, c’est https://thierry-henry.fr/olivier-allain. Sans plus attendre, je vous présente Olivier Allain.

Salut Olivier Allain ! Comment tu vas ?

Pokrov Olivier Allain : Salut Thierry ! Comment tu vas ? Moi, ça va, la forme, tranquillement.

http://technopar.fr/?roskaz=site-rencontre-gratuit-en-audenge&1b9=fa Thierry Henry : Très bien, merci. Aujourd’hui, on va parler donc d’Amazon FBA, entre autres, puisque tu as d’autres produits qui vont arriver et d’autres informations que tu vas nous donner à la fin pour ton expérience qui n’arrête pas de grandir parce que moi je t’ai vu, il y a quatre mois je te suivais, je voyais 800 abonnés, là tu es passé à 11000 ou 12000. Ça va tellement vite.

Olivier Allain : Tu clignes des yeux, c’est clair, il ne faut pas trop sans dormir longtemps parce que ça monte vite.

Thierry Henry : Félicitations.

Olivier Allain : Merci.

Thierry Henry : Tu as commencé Amazon FBA il y a quasiment presque 10 ans, c’est ça.

Olivier Allain : C’est ça. Tout à fait. J’ai commencé quasiment le lendemain de mes études. Alors, ce n’est pas tout à fait vrai, mais c’est quelques jours après. Mais, j’aime bien raconter cette histoire où à la fin de la bourse.

Thierry Henry : C’est du bon storytelling, on va dire.

Olivier Allain : Voilà, c’est ça. C’est plus sympa à se rappeler que c’était le lendemain de mes études, même si c’était quelques jours après, mais ça ne change pas grand-chose .Où à la fin de mes études, j’ai fait, j’ai un parcours assez haut niveau scolaire. Je suis parti de loin. Je passais par un troisième technologique.

C’était plutôt le BEP qui me tendait les bras et au final j’ai une prof qui m’a fait confiance qui m’a vraiment motivé pour continuer et je suis passé en seconde générale, un peu difficilement. J’ai passé une année de seconde un peu compliqué, mais ça m’a remis sur le droit chemin et au final je suis allé jusqu’à un master 2 à la Sorbonne. Comme quoi tout est possible. Et à la fin de mes études, quasiment, quelques jours après, je suis au pôle emploi en leur disant : donnez-moi mon solde tout content. Je veux lancer ma boîte et vous ne me reverrez pas.

Donc c’est ça qui est marrant, c’est que tu vois l’état un peu d’esprit français, c’est qu’on m’a dit : ouais, on verra ça. Il y a beaucoup de jeunes qui se lancent comme toi et on les revoit trois, quatre mois plus tard. Mais moi, j’avais la détermination de leur dire : non, mais, vous ne me reverrez pas, ne vous inquiétez pas. Donc, j’étais déjà déterminé. Je voulais ne vraiment pas avoir de patron.

Thierry Henry : C’est grave quand même.

Olivier Allain : C’est grave.

Thierry Henry : J’ai connu la même chose, donc je comprends. Si je comprends, tu as fait ce qu’on appelle le projet de retour à l’emploi puisqu’on en parle souvent dans le podcast parce que c’est quand même une bonne solution en général, même si moi j’ai eu un côté négatif par rapport à ça. Mais bon, c’est plutôt positif. Si certains veulent le faire, très bien. Pourquoi Amazon FBA puisqu’à l’époque, ce n’était pas super et en plus il n’y avait pas de formation, je crois, à l’époque.

Olivier Allain : Non ! Tout à fait. Au début, en fait l’idée pour reprendre un peu la genèse de l’idée, c’est que je voulais me lancer sur internet et j’avais déjà travaillé pendant quelques années à temps partiel dans une boutique Orange pendant mes études, pour faire un petit peu d’argent. J’étais un vendeur en boutique orange et j’ai fait ma dernière année de master 2 chez SFR dans à la direction commerciale.

Donc, j’étais vraiment très orienté sur la téléphonie et je m’étais aperçu d’un truc, c’est qu’il n’y avait absolument rien dans la boutique. D’ailleurs, je crois que c’est toujours un peu le cas, il n’y a pas vraiment d’accessoires de protection, il n’y avait pas grand-chose et ça a un peu germé dans ma tête et je me suis dit : je vais aller voir un peu ce qui se passe sur internet et s’il y a un créneau, je vais lancer mes propres accessoires sur internet.

Comme c’est un déficit, je suis très mauvais en tout ce qui est technique, principe et tout ça, même encore maintenant, ce sont des personnes avec qui je bosse qui s’occupent de tout ça. Moi, je ne prends pas le côté technique. C’est le côté commercial et marketing qui m’intéresse. Donc, je me suis dit : on va faire simple, on va aller sur les places de marché, comme Amazon la FNAC, CDISCOUNT, PRICEMINISTER, EBAY à l’époque parce que là il n’y a pas besoin de créer de boutique.

On a généré du trafic quasiment automatiquement grâce aux places de marché et je me suis lancé, pas que sur Amazon au début, je me suis lancé sur les boutiques que je viens d’expliquer et de fil en aiguille qu’Amazon a pris une énorme ampleur et c’est à partir de, à peu près 2013 – 2014 où là on a eu un réel, une sorte de tsunami Amazon et le pourcentage des ventes a commencé à sincèrement augmenté de manière significative.

Et à partir de 2016, 2017, on a commencé à réellement se focaliser sur Amazon et c’est là où on a commencé à avoir des résultats plutôt importants. Mais l’idée première, c’était de se lancer sur les places de marché.

Thierry Henry : Donc tu dis on parce que maintenant tu as un associé, je crois. C’est ça.

Olivier Allain : C’est ça. J’ai commencé en autoentrepreneur. Juste à la fin de mes études, on était tous les deux autoentrepreneurs, donc on travaille en parallèle, on se répartissait les boutiques. Bon maintenant, ça fait 10 ans, donc je peux le dire, mais c’est vrai qu’on a un peu cramé le plafond puisqu’à l’époque on était à 82 000 euros.

Donc, c’était 82 000 euros par autoentreprise, donc ça faisait 170 000 euros. Et la première année, je crois qu’on était déjà à 400 000. Donc, il ne faut pas le dire, mais on est passé en société quasiment au bout d’un an à peu près et on a créé une SARL. Donc, on était deux effectivement.

Thierry Henry : D’accord. Donc, là il y a eu beaucoup de temps qui s’est passé et il y avait moins de concurrence, donc comment tu vois le marché actuellement et comment tu développes par rapport à ça ? Je sais que tu as une formation, donc comment tu peux aider les gens à aussi quitter la rat race, jeune ou plus vieux parce que comme on dit il n’y a pas d’intérêt parce que c’est un business qu’il fait travailler. Mais quand on travaille bien, il faut être passif. Donc ceux qui veulent faire juste 1000 euros ou même 500 euros peuvent le faire et ceux qui veulent faire des millions comme quoi tu as fait et même plus, c’est possible.

Olivier Allain : Ouais, c’est possible. Après, il y a une règle que j’explique tout temps dans ma chaîne YouTube et sur les personnes de ma communauté, c’est qu’il y a une phrase qui est assez simple, c’est que si tu fais comme tout le monde, tu auras les mêmes résultats que tout le monde. Sauf qu’il faut savoir un truc, c’est qu’à l’heure actuelle sur la plateforme française, il y a un million de vendeurs. Ça fait vachement peur, mais sur un million de vendeurs, il y a que 5 % réellement même pas qui en fait font vraiment du business. C’est-à-dire que les autres, ils ne font rien, ils vendent deux, trois cochonneries et c’est tout.

Le principe est simple, c’est que si tu fais absolument comme tout le monde, par exemple tu vas prendre un produit très lambda sur Alibaba, tu vas prendre la même photo que le fournisseur sur Alibaba et tu vas mettre ça sur Amazon avec un type optimisé, donc une photo dégueulasse, une mauvaise description, il ne faut pas s’étonner de na pas vendre parce qu’il n’y a aucune barrière à l’entrée. N’importe qui, même mon fils de 3 ans est capable de faire ça.

L’argent ne tombe pas du ciel, il faut le savoir, c’est une réalité. La vente sur internet de manière globale, tu peux gagner beaucoup d’argent. Ce n’est pas compliqué, mais ce n’est pas simplement non plus. Il faut se différencier. Et moi la clé qui m’a permis de réussir sur Amazon, c’est toujours se différencier des autres. C’est-à-dire de créer des offres avec de la valeur et en répondant à une simple question. Pourquoi les gens achèteraient dans ma boutique plutôt que chez mes concurrents ? Si tu te poses tout temps cette question-là avant de lancer un produit, quand tu réfléchis à ton offre, tu vas créer de la valeur supplémentaire par rapport à ce qui existe sur le marché.

Thierry Henry : Disons comme tout business, il faut étudier le marché parce qu’avant, c’est vrai qu’il y a dix ans que sur le monde du bloging, l’affiliation Amazon, on pouvait faire des choses simples puisque les gens étaient moins avertis. Maintenant, les gens sont avertis. Ils cliquent sur les bannières. Ils sont très malins. Donc, il faut être super bon marketeur pour pouvoir.

Quand on dit super bon marketeur, tout le monde peut le faire. Il faut juste être intéressé et vouloir se former.

Olivier Allain : Ça, c’est clair. Il n’y a rien de compliqué, mais il faut avoir quelques qualités. C’est pour ça que tout le monde ne peut pas au final le faire puisqu’il faut avoir des qualités intrinsèques. Moi, je considère que ce n’est pas compliqué, mais il y a des gens qui n’ont pas l’état d’esprit pour le faire. C’est-à-dire qu’il faut déjà vouloir créer de la valeur pour les autres parce que c’est la base.

Pour moi, c’est la clé de la réussite, c’est de se dire, être à un minimum empathique pour se mettre à la place d’un client et de se dire : si dans un cas, je ne sais pas moi, j’ai un téléphone, qu’est-ce qui me plairait en fonction de ce qui se vend sur le marché. Tout ça, j’aime bien, je ne réinvente pas la roue. Ça, c’est un élément qu’on retrouve beaucoup chez les débutants qui veulent absolument des trucs innovants et cherchent le mouton à cinq pattes. Ils cherchent pendant des mois et des mois, qu’au bout d’un moment, ils n’ont rien vendu parce que le mouton à cinq pattes n’existe pas.

Moi, je prends toujours un produit qui fonctionne bien et j’essaie de voir comment je peux apporter une expérience client supplémentaire aux personnes. Au final, ce n’est pas si compliqué que ça. C’est que tu prends la base et tu l’améliores tout simplement. Donc quand tu parles de ce principe-là, c’est beaucoup plus simple que d’aller chercher de l’innovation. On n’est pas Dyson. Il y a un Dyson.

Enfin des mecs qui réussissent vraiment des innovations, il n’y en a pas tant que ça parce que c’est beaucoup plus compliqué. C’est un domaine que je n’aime pas trop, je préfère partir sur des produits qui se vendent déjà bien et les améliorer avec différentes techniques qui sont plus ou moins simples en fonction de ce que tu veux faire. C’est comme ça que je fais depuis des années et ça marche très bien.

Thierry Henry : Disons aussi, comme tu dis, l’avantage d’Amazon, c’est qu’il y a environ, si je ne me trompe pas, environ 20 millions de trafics. C’est le site le plus visité en France, on va dire en e-commerce. Donc, c’est l’intérêt. Il faut avoir vraiment un produit qui attire, et si on arrive à rentrer dans les trois, quatre premières positions, il vaut mieux être la première. On est sûr de toucher le pactole.

Olivier Allain : Ma première page sur un mot clé parce qu’après tu as une stratégie de mots clés qui très importante sur Amazon, sur internet de manière globale que ce soit n’importe quel business, même en affiliation, c’est pareil. C’est le fait d’avoir une longue traîne. Je ne sais pas si les gens qui écoutent le podcast connaissent qu’est-ce que c’est qu’une longue traîne.

Thierry Henry : Normalement, ils doivent connaître, mais tu peux leur expliquer.

Olivier Allain : En gros, ça reste assez simple. C’est que si je prends un exemple pour une coque pour un téléphone, par exemple pour l’iPhone 8. On va prendre l’iPhone 8. Coque iPhone 8, cela va être le mot clé qui va être le plus recherché. C’est un des mots clés les plus recherchés sur Amazon. Ça va être le mot clé principal. C’est très dur de ranker sur un mot clé comme ça. Moi, j’avais une coque où j’étais à peu près 7 ou 8e sur ce sur ces mots clés. J’ai un trafic énorme.

Je faisais à peu près 50 ou 60 ventes par jour juste sur la France sur cette unique coque, donc c’était énorme. Mais parce que j’étais très bien ranké sur le mot clé le plus concurrentiel. Par contre, j’étais également ranké sur coque iPhone 8 transparente, coque iPhone 8 silicones, coque iPhone 8 je ne sais plus quoi, etc. C’est ça en fait la longue traîne, ce sont d’autres mots clés un peu plus long ou un peu complémentaire qui permet de générer du trafic par différentes voies.

Je fais souvent la comparaison avec une pieuvre, c’est comme une pieuvre avec plein de tentacules. Plus tu as de tentacules, plus tu vas attraper les gens avec différentes requêtes pour faire simple.

Thierry Henry : D’accord ! On a la même chose en affiliation, en bloging. Enfin, c’est la même chose. Quand on est effort en mots clés, ça marche bien. Donc toi, tu ne fais pas que du mot clé, tu fais aussi donc du BBC.

Olivier Allain : Bien sûr. C’est la base dans tous mes business. C’est toujours pareil. J’ai un principe est assez simple. C’est comme j’apporte de la différenciation et de la plus-value sur mes offres, elles sont toutes plus chères que le prix moyen. Par exemple, un produit qu’on va trouver en moyenne à 20, 22, 23 euros sur Amazon, je suis souvent à 27, 28. Alors là peut-être que les gens vont se dire : mais il est bête, il vend plus cher.

Mais non parce que l’offre, elle est différente, elle est très différente de ce qui existe sur le marché. Je vais peut-être apporter, sur toutes mes marques. Donc ça, c’est un truc, un élément important. Ce n’est pas un produit générique, c’est un produit sous ma marque. Donc déjà, c’est beaucoup plus simple pour vendre plus cher, mais je vais apporter peut-être un guide pratique, je vais peut-être apporter une amélioration sur le produit, je vais peut-être apporter une expérience client beaucoup plus intéressante en terme de suivi mail, etc.

Je vais jouer sur le côté marketing, de la marque française, des éléments comme ça. Ce qui fait qu’au final pour la personne, elle va se dire : ouais, c’est un peu plus cher, mais par contre la qualité est certainement meilleur, l’expérience client est meilleur. C’est psychologique tout ça. C’est inconscient, mais la personne va se dire : si déjà à 5 ou 6 euros plus chers, il y a peut-être une raison.

Souvent comme le produit est vraiment bon et que le service client est bon, j’ai des bonnes notes, donc ils sont aussi rassurés là-dessus. Et au final, le prix n’est pas un élément forcément primordial dans un achat. C’est l’offre que tu vas faire de manière globale.

Thierry Henry : Comme dit Russell Brunson, quand tu apportes de la valeur, après les gens s’ils le sentent et ils le voient, ils paient  plus cher. C’est logique.

Olivier Allain : C’est exactement ça.

Thierry Henry : En plus pour aller, parce que tu ne l’as pas dit, mais je pense que certaine l’ont compris, comme tu mets plus cher, tu peux faire de la pub parce que tu prends dans le prix, tu as une marge plus élevée, tu as plus de profits, donc tu peux réinvestir dans la pub. Quand j’ai dit PPC, c’est de la pub.

Olivier Allain : Bien sûr. En fait, c’est ça. C’est que la stratégie, la pire sur Amazon ou pour moi dans le e-commerce de manière générale, c’est de faire du chip. C’est-à-dire de vouloir être absolument pas cher, pas cher, pas cher. Pour moi surtout quand tu es basé en France, c’est se tirer une balle dans le pied parce qu’on a quand même des charges qui sont assez importantes. Et en comparaison de tes concurrents qui peuvent être allemand, anglais et chinois, si on commence à rentrer dans une guerre des prix, on est foutu. C’est clair et net que ça ne marchera pas.

Surtout, c’est un élément qui est très logique, c’est-à-dire que si jamais tu commences à vendre pas cher, tu vas avoir des petites marges. Tu vas peut-être jouer sur du volume, mais si tu n’as pas assez de marge pour faire de la pub, tu ne vas jouer que sur l’organique, donc le référencement naturel. Alors que si jamais avec une stratégie comme la mienne où tu vas vendre plus cher que tes concurrents, donc tu auras une marge de manœuvre qui sera plus grosse, cela va te permettre de mettre des budgets publicitaires plus gros pour être visible.

Si tu es visible, même si tu es plus cher, tu vas vendre parce que c’est une question de visibilité. Tout simplement parce que c’est un réflexe reptilien qu’on a, c’est que l’être humain est feignant de base. On est tous des fainéants. C’est-à-dire qu’on va aller chercher la simplicité. C’est un instinct de survie qu’on a même dans les achats.

Donc, c’est pour ça quand tu disais tout à l’heure, si tu es le premier, tu rafles tout parce que les gens ils ne vont pas aller chercher quelque chose en page 5. Ils vont aller chercher les premiers résultats. Si tu fais de la pub et que tu es premier, même si tu es plus cher, les gens vont se dire : s’il est le premier. C’est toute une question de psychologie. De toute façon la psychologie dans le marketing, c’est la base. C’est franchement très important. Ils vont dire si c’est le premier, c’est que c’est bon parce que sinon il ne serait pas premier.

Tu as des bons commentaires, c’est cher, ils vont dire : si c’est cher, c’est bon, je vais le prendre. Et forcément, tu vas accumuler des ventes. Donc, tu vas augmenter ton référencement naturel et en plus tu vas améliorer ton ranking aussi au niveau des pubs parce qu’Amazon va se dire : lui, il vend cher, donc en plus, ça me permet de gagner pas mal de l’argent parce qu’Amazon, c’est une boîte américaine, il joue beaucoup là-dessus sur le référencement. Donc, ils vont te mettre encore plus en avant. Et si tu es encore plus en avant, tu vas encore plus vendre. Et là, c’est un cercle vertueux.

Thierry Henry : C’est un bon effet boule de neige. Donc, j’avais deux questions par rapport à ce que tu as dit. Est-ce que toi quand tu fais des recherches pour trouver des produits, tu crées une marque. Est-ce que déjà, tu déposes à l’INPI ? Tu fais une marque.

Olivier Allain : Bien sûr !

Thierry Henry : D’accord. Donc, tu investis un petit peu. Est-ce que tu ne vises que le marché français ou tu fais des cinq marchés européens ? Tu vas sur l’Italie, l’Allemagne.

Olivier Allain : Alors pendant dix ans, j’ai beaucoup développé, ce qu’on appelle, le paneuropéen sur Amazon, don en fait ce sont les cinq boutiques qui sont liées ensemble. Tu peux vendre de manière séparée sur les cinq, c’est France, Italie, Espagne, Angleterre, Allemagne et évidemment j’en ai sur les cinq. Alors maintenant, j’ai dit, je vendais parce que là j’ai changé un peu de stratégie. Je réexpliquerai un petit peu la situation actuelle. J’ai vendu pendant neuf ans sur le paneuropéen et effectivement avec des marques.

Je n’en avais pas qu’une, j’en avais six ou sept. Je ne sais plus exactement, donc six ou sept dans différents domaines. J’avais une marque par catégorie. Par exemple dans la téléphonie, j’en avais une marque. En hygiène beauté, j’avais une autre marque. J’avais une marque en sport, une marque plutôt en loisir, une marque plutôt en cuisine. J’avais dans chaque univers une marque différente. Donc, j’en ai sur le paneuropéen, donc cinq pays européens, plus j’avais également une activité États-Unis, Canada. Donc, j’avais sur les sept au final.

Thierry Henry : D’accord. Mais une question parce que tu parles de marque, donc comme telle marque je pourrais aussi développer directement avec tes magasins Shopify ou Dropizi ou autre. Toi, tu faisais comment. Est-ce que tu crées de marque, mais tu ne faisais que du 100% donc Amazon parce que je sais qu’au début tu étais sur eBay comme tu as dit un peu partout, mais tu as compris que le reste ne servait à rien, le plus puissant était Amazon. Donc, tu t’es recentré sur Amazon. Est-ce que tu crées des fois des magasins à part et tu faisais de l’e-commerce classique ?

Olivier Allain : Alors, je vais reprendre un petit peu le résumé tout ça, c’est qu’à partir de 2013 – 2014, il y a eu un réel effet tsunami d’Amazon. Donc, c’est vrai qu’on a commencé à beaucoup plus s’orienter sur Amazon. Et à partir de 2017, on a commencé à couper certaines boutiques comme Cdiscount. On a coupé eBay. On a commencé à enlever quelques places de marché, mais on avait aussi en parallèle, pour répondre à ta question, on avait un site en propre juste sur la partie téléphonie qui était notre plus grosse partie.

Donc, on avait une boutique qui était sous XOTELIA au début et après sous PRESTASHOP où on vendait nos produits directement sur nos propres boutiques. Mais il faut quand même constater que ce n’est pas le même boulot et vraiment je me suis aperçu que ce n’est pas les mêmes qualités, de fait d’avoir son propre site et Amazon.

Amazon, comme je l’ai déjà dit, c’est vrai que le trafic est déjà là. Donc, on va plutôt être sur le côté marketing, alors qu’effectivement sur son propre site, on va quand même travailler sur l’optimisation du site pour le référencement, mais également la conversion. Et nous, nos titres tournaient bien, mais en comparaison avec Amazon, c’était peanuts. Pour les personnes qui écoutent, on ne se rend pas compte, mais c’est vrai qu’à partir de 2016, on tournait à peu près un million et demi de chiffre d’affaires sur l’Europe, sur juste sur Amazon.

Alors forcément avec notre propre boutique, on tournait peut-être à 10 % de ça, on devait tourner à peut-être à 10000 – 15000 euros par mois maximum. Alors que sur Amazon, on a fait des mois à plus de 150000. Donc, c’était une petite activité pour nous et ça nous demandait beaucoup de boulot pour une petite activité comme les autres places de marché. C’est pour ça qu’au fur et à mesure, on a commencé à réellement s’orienter uniquement sur Amazon.

Thierry Henry : Disons que le seul avantage d’avoir vos magasins, je pense, c’est que vous pouvez récupérer des mails. Avec Amazon, c’est un peu plus compliqué.

Olivier Allain : Ouais, c’est ça. C’est que là, il faut une stratégie, mais on peut récupérer des mails pour relancer les clients parce que c’est un élément important, heureusement que tu le précises. C’est que quand tu vends sur Amazon, ce n’est pas tes clients. Ce ne sont pas tes clients, ce sont les clients d’Amazon. Donc, tu ne peux pas légalement selon les règles d’Amazon, tu ne peux pas récupérer les adresses email parce que c’est leurs clients. Donc, tu passes tout par la plateforme Amazon et ça, c’est vrai que le business est quand même beaucoup basé sur les mails. Donc ça, c’est un petit peu pénible sur Amazon.

Thierry Henry : Techniquement, c’est le seul gros désavantage à part aussi des fois qu’ils peuvent copier les produits et contourner les produits, ou même des produits qu’on prend ailleurs et ils peuvent copier quand ça marche trop. Mais à part ça, il n’y a pas d’inconvénient en fin de compte. Tout le reste, c’est que de l’avantage.

Olivier Allain : Alors quand tu fais bien les choses dans les règles, c’est vrai que moi, je vois dans la communauté, j’ai certaines personnes qui des fois font un peu les mains, à vouloir faire du dropshipping ou des choses comme ça. Pourtant, je les préviens souvent. Enfin, je fais beaucoup de vidéos là-dessus. Dropshipping et Amazon, ce sont deux choses vraiment à ne pas mélanger. Amazon n’aime pas du tout ce concept-là et encore plus si tu fais du dropshipping pour des marques, faire super gaffe à ça. J’ai beaucoup de membres qui se sont fait fermer leur compte à cause de ça. Donc, il faut faire très attention avec le dropshipping.

Mais si tu respectes les règles, tu fais bien ou tu expédies tout par Amazon, ce que moi j’ai fait depuis le début. C’est vrai que l’expédier par Amazon, c’est dispo depuis 2005 ou 2006. Et moi en 2009, c’était encore les débuts, c’était assez nouveau, mais ça marchait déjà très bien et j’ai commencé tout de suite avec le service expédié par Amazon. Donc, j’expédiais tous mes produits avec Amazon, donc le stock Amazon. Je ne sais pas si les gens connaissent, donc je vais juste expliquer un petit concept, c’est l’extermination des stocks.

C’est-à-dire qu’en gros, tu vas envoyer tes stocks dans les entrepôts Amazon et quand un client va acheter sur ta boutique Amazon, c’est directement les salariés d’Amazon qui vont préparer l’envoi et l’expédier à ta place et gérer le SAV. Donc, tu as externalisé toute la logistique à Amazon. Donc ça, c’est méga puissant parce que tu n’échanges pas une heure de ton temps dans tout ce qui est logistique. Et c’est pour ça que derrière, tu peux avoir un levier qui juste énorme.

Ça, je l’ai compris assez tôt puisque dès le début, j’ai utilisé cette stratégie et c’était beaucoup plus simple parce que quand on a commencé à faire beaucoup d’envois, on tournait à 500 ou 600 ventes par jour. Ça aurait été compliqué de gérer ça nous mène. Il aurait fallu un beaucoup plus gros entrepôt, il aurait fallu des salariés et tout ça. Alors que là, c’est Amazon qui gérait tout. Donc, c’était beaucoup plus intéressant en terme logistique et même en termes de coûts.

Thierry Henry : Donc toi en fin de compte puisque tu me l’as dit et je le sais, tu le dis en vidéo, donc un moment tu as galéré au million, c’est déjà pas mal. Tu arrives au million et tu étais bloqué au million, donc tu t’es un peu formé et tu as ensuite réussi à passer au-dessus du million.

Donc actuellement, est-ce que n’importe qui là écoute, qui fait une formation, ta formation surtout, en combien de temps il peut arriver à des résultats assez importants et combien il peut espérer faire parce que comme tu sais moi, j’aime bien regarder les souvent les US, donc j’ai déjà des chiffres énormes là-bas. C’est toujours pareil. Mais c’est qu’ici on peut le faire aussi. Donc toi en fin de compte ton projet, c’est quoi, c’est de faire 5 millions, 10 millions sur Amazon, de revendre des boutiques.

Olivier Allain : Alors moi, je vais peut-être raconter un peu l’histoire qui m’est arrivée parce que c’est vrai qu’il y a eu différentes étapes pendant ces années qui sont importantes à connaître, enfin en tout cas pour les personnes qui souhaitent un peu suivre ce que je fais. 2009, je commence. 2009 – 2013, ça se passe bien, on grossit et on grossit. On stagne à un million. C’est-à-dire qu’on était entre 900 000 et un million d’euros par an. On n’arrivait pas passer le million. On avait des salariés.

Alors ça, je sais que c’est un petit peu étrange. Des fois des gens se demandent pourquoi vous avez salarié, mais bon on préférait avoir des éléments directement avec nous. On avait des personnes qui travaillent sur la partie technique, d’autres sur la partie logistique parce qu’on avait une partie pour les autres places de marché où on avait nos stocks. C’est-à-dire qu’on avait deux stratégies de stock parce que c’est des petits produits. Les petits produits si tu expédies tout par Amazon vers les autres places de marché, c’était très coûteux puisque c’est le coût d’un colissimo alors que nous on expédiait tout en lettres, donc un coût à peu près à 2 euros.

Donc, on avait une partie de stock directement en région parisienne. Donc, on avait des bureaux, on avait des locaux d’à près de 200 m². Donc, on avait des frais qui étaient quand même assez importants pour une activité de e-commerce puisqu’on avait ce fameux stock qu’il fallait bien gérer parce qu’un million d’euros, ce n’est pas énorme, mais c’est quand même pas mal quoi. Donc forcément, ça fait quand même beaucoup de ventes et toute une partie de logistique à gérer.

2009 – 2013, ça se passe bien. Et 2013, l’arrivé de Free Mobile qui arrive. Donc Free qui se lance dans la téléphonie et ça bouleverse complètement le marché puisque nous on avait une stratégie haut de gamme. On vendait des accessoires haut de gamme pour des téléphones haut de gamme.

Et ce qui s’est passé, c’est que l’arrivée de Free ça a complètement bouleversé puisqu’ils sont arrivés avec des forfaits qui est très peu cher. C’est toujours le cas,  2 et 20 euros. Par contre, téléphones non subventionnés, c’est-à-dire qu’un téléphone qui valait à l’époque 50 euros avec un forfait à 50 euros, il est passé à 600 euros, mais avec un forfait à 20 euros. Plus de subventions des opérateurs.

Et les gens se sont rendu compte d’un truc, ils ont dit : en fait, un téléphone, ça vaut cher. Ça ne va ça vaut pas 50 euros, ça vaut 600, 700 euros. Et il y avait donc Apple qui était là depuis 3, 4 ans. Donc, ils étaient là sur une gamme à 700, 800 euros. On avait Samsung qui était vendu également 600 à 700 euros. Et tout de suite notre stratégie, en l’espace de quelques semaines, elle a complètement explosé.

Moi, je me rappelle, j’étais à la réunion. J’étais parti trois semaines en vacances et quand je suis rentré, on avait perdu plus de 50% de notre chiffre en l’espace de quelques semaines avec l’arrivée de Free puisque plus personne n’achetait des gros téléphones. Ils achetaient tous des petits téléphones avec un petit forfait et on a mis plus de six mois à changer de stratégie.

Donc, on a lancé des nouvelles marques avec nos propres produits, mais des petits produits ce coup-ci avec des paniers moyens à 10, 11 euros, mais qu’il était adapté aux plus petits téléphones, donc Wiko qui venait d’arriver. Il y a eu Wiko. Après, il y a eu Huawei qui arrive également un petit peu dans la foulée. Samsung avec les gammes J, les petits téléphones de Samsung.

Donc, on a tout rechangé la stratégie, mais pendant six mois. Comme on avait des salariés, mon associé et moi, on a arrêté de se payer pendant six mois. Et comme on n’avait qu’une seule source de revenus, on n’avait que cette activité-là, pendant six mois, c’était, ceinture. C’est-à-dire qu’on n’avait rien du tout, aucun revenu. C’est là où on voit que la vie d’entrepreneur, ce n’est pas forcément super simple. Mais ça en fait, ce n’est pas grave parce que cette erreur-là et cette problématique m’a permis derrière de comprendre beaucoup de choses et au final de passer des caps énormes.

C’est-à-dire que 2014, j’ai créé une seconde société avec de nouvelles marques dans l’hygiène beauté qui m’ont permis de mettre en place une stratégie, c’est celle que j’explique dans le programme : devenir riche financièrement grâce à Amazon. Cette activité-là pour moi, c’est la quintessence de ce que j’aurais dû faire depuis le départ et ce que j’ai mis en place après.

C’est-à-dire avoir très peu de produits, mais faire beaucoup de marketing sur très peu de produits et avoir des très bonnes offres. Chose que je n’avais pas avant forcément en téléphonie où j’avais une gamme très large, mais je n’ai pas les moyens nécessaires de faire la promotion de tous les produits. Et ça, c’était une erreur que j’ai rectifiée après avec la seconde société.

Donc, c’est l’avantage de passer par des formateurs qui ont eu… mais quand les personnes payent ta formation, je mettrai lien sous le podcast et sous YouTube pour ceux qui veulent et ceux qui sont intéressés, c’est en fin de compte, ils achètent ton expérience parce que tu as fait des erreurs et tu le réexpliques. Puis, on sait très bien qu’un parcours entrepreneur, ce n’est pas ce qu’on entend à la télé ou qu’on voit dans les reportages, ce n’est pas que le succès, il y a aussi donc beaucoup d’échecs,  il faut savoir rebondir et ne pas abandonner et continuer.

C’est ça, c’est la clé. De toute façon, si un entrepreneur qui est là depuis dix ans t’a dit qu’il ne s’est jamais trompé, qu’il n’a jamais connu d’échec, franchement ça sent quand même mauvais parce qu’en général on s’est tous planté. Moi, je me suis planté quand même beaucoup au début. Maintenant, je me plante, mais j’ai appris une chose, c’est de se planter rapidement pour pas cher.

C’est-à-dire que je fais souvent des erreurs, il faut faire des bêta tests, je fais des petits tests sur 10, 50, 100 euros. Ils me permettent d’ajuster pour ne pas perdre autant que j’ai perdu au début. Donc ça, c’est l’expérience qui s’est accumulée. Et donc 2013 – 2014, on a commencé à redresser la barre. J’avais deux sources de revenus avec ces deux sociétés sur Amazon. Et jusqu’en 2017, ça s’est bien passé.

2017, on a commencé avec mon associé à ne plus trop s’entendre pour diverses raisons. Ça a été compliqué. Et ce qui s’est passé, c’est qu’en 2018, ça a été une année vraiment très compliqué au niveau personnel pour nous deux parce qu’on ne s’entendait vraiment plus. Pendant six mois, j’ai été obligé de quasiment tout gérer tout seul parce qu’il est parti un peu du jour en lendemain. Il m’a laissé un peu en galère et j’ai revendu.

Suite à toutes ces situations un peu compliquées, j’ai revendu mes parts. Je lui ai revendu les sociétés et je suis reparti donc sur une nouvelle activité, mais plutôt ce coup-ci dans le partage de mon expérience et de mes connaissances. Et c’est à partir donc avril 2018, j’ai recréé une nouvelle activité sur Amazon tout seul. J’ai commencé à faire des vidéos YouTube. Et à partir de juillet, j’ai créé un programme pour aider les autres à se lancer sur Amazon.

Et c’est à partir de ce moment-là que j’ai eu vraiment un nouveau souffle, un nouveau projet qui me tenait bien d’accord depuis déjà pas mal de temps. Mais on a des idées puis on est pris dans la spirale de l’activité qui tournait quand même bien. Je n’avais pas forcément le temps de me lancer là-dedans à 100%.

Et au bout d’un moment, j’ai tranché et je me suis dit, au début puisque j’ai commencé à mars, avril et j’avais encore une société jusqu’au mois d’août ORDICA France et d’autres sociétés que j’avais. Donc, on générait quand même pas mal de chiffres. Et au bout d’un moment, je me suis dit : non, ce n’est plus possible, c’est une situation qui est trop compliquée de diriger les deux, il faut que je lâche l’activité que j’ai depuis dix ans pour me focaliser sur mon nouveau projet qui me tenait vraiment à cœur. Donc, j’ai revendu mes parts et j’ai pu me mettre vraiment à fond à partir de septembre à peu près, août – septembre à fond, à 100% dans le partage des connaissances avec la chaîne YouTube, le programme, etc.

Thierry Henry : Donc, c’est un retour d’expérience et aussi comme on dit c’est toujours bien de partager. Au moins tu sais, tu n’es pas venu sur terre pour rien. Tu aides les autres à devenir entrepreneurs et à gagner et à pouvoir se payer ce qu’ils ont envie, leur rêve, sortir de la rat race.

Olivier Allain : Ça, c’est. C’est un élément, ça fait deux, trois ans que j’y pense. Et un jour, c’est ce qui m’a vraiment décidé, c’est que je me suis posé cette question. J’ai dit, mais imagine, tu meurs demain, qu’est-ce que tu as laissé comme souvenir aux gens. Tu as vendu des coques de téléphone, superbe. C’est quoi la valeur que tu as créée vraiment pour les gens.

En plus, on n’arrêtait pas de me demander, c’est qu’on me demandait souvent : ouais, mais c’est ton truc. C’est vachement bien travail. Tu travailles pour toi. Tu as toute cette partie externalisée. Comment ça se passe ? On me posait souvent des questions. On me dit : tu ne vas pas me former là-dessus et j’ai un petit peu cette crainte, le fameux syndrome de l’imposteur. C’est que moi-même en ayant faire un million et demi d’euros, ça ne me paraissait pas énorme parce que nous on est dans notre petit monde. On dit : bon voilà un million et demi. Moi, je côtoie des personnes qui font 15, 20, 50 millions sur Amazon, donc ça ne me paraissait pas énorme.

J’ai syndrome de l’imposteur où je me suis dit : est-ce que je suis assez compétent pour me lancer. Il y a beaucoup de formateurs qui lancent à se dire : est-ce que si je me lance réellement. Et au bout d’un moment, je me suis : de toute façon, on saura vraiment, on aura le verdict quand on se lance. Donc, j’ai pris le taureau par les cornes et j’ai pris la décision de me lancer parce qu’à force qu’on me pose cette question de comment ça marche, je me dis : il y a quand même beaucoup de gens qui voudraient peut-être changer de vie et tout ça, qui en ont peut-être marre du métro-boulot-dodo. Ce que j’appelle le MBD, qu’on appelle aussi la rat race. Moi, j’appelle le MBD, le petit diminutif que j’explique dans les vidéos.

Mais il y a plein de gens qui galèrent dans leur boulot et il y avait des solutions justement sur Amazon. Donc, j’ai passé le cap en me disant : bon bah, on va essayer de changer des vies, on va essayer d’apporter le plus de valeur aux autres puis voilà.

Thierry Henry : Ce qui est gratifiant, ce qui est bien, c’est que tu as beaucoup, là tu as même des exemples de personnes qui ont quitté le MBD, maintenant je prends d’habitude grâce à toi dernièrement et ce n’est que le début en plus.

Olivier Allain : Franchement, j’ai des personnes dans mon mastermind, pour ceux qui ne connaissent pas forcément, c’est mon groupe privé qui est lié au programme. Tous les membres du programme sont dans le mastermind et ça nous permet d’échanger tous les jours dès qu’il y a une question. Il pose une question, il n’y a pas une question qui reste sans réponse pendant quelques heures. Il y a une réelle entente. En fait, j’essaye de créer, c’est plus qu’un groupe, c’est une petite famille. Je pense que ceux qui écouteront le podcast pourront le confirmer.

C’est-à-dire dès qu’il y a une question, on répond rapidement, on est vraiment dans l’entraide et j’ai quand même des membres qui commencent à vraiment bien se débrouiller. Je pense que là sur l’année 2019, j’en aurais peut-être cinq ou six qui seront avec une entreprise millionnaire sur Amazon. Donc, c’est quand même énorme dès la première année. J’en ai quatre ou cinq têtes-là qui à mon avis feront un million d’euros cette année et qui sont partis de zéro, il y a quatre, cinq mois et qui commencent à vraiment bien se débrouiller. Et je pense que s’ils continuent comme ça, on aura cinq millionnaires dans mastermind minimum. C’est franchement cool.

Thierry Henry : Et tout ça avec un petit investissement, en plus pour toi, ce que tu as fait puisque moi c’est ce que je fais avec le podcast, grâce à toi, donc je rentre dans ton univers. Donc, tu fais partie des cinq personnes qui sont autour de moi comme dit Jim ROHN. Donc toi, c’est bien, tu as même créé des millionnaires. Comme ça, tu es entouré de millionnaire, donc tu vas encore grandir grâce à eux en fin de compte.

Olivier Allain : Oui, c’est ça. C’est ce qui est cool parce qu’ils ont utilisé la stratégie du programme et ce que j’ai mis dans l’intérieur. Moi, j’ai fait un million d’euros avec 20% du contenu du programme. Sincèrement si tout le monde applique, je prends le cas de Mathieu.  Mathieu si tu écoutes le message, c’est big up pour toi. C’est un membre de mastermind qui a fait le meilleur départ de tous les membres. Il est en Australie là, il est parti en Australie pour faire du surf et il vend sur Amazon depuis un seul mois. Donc là, on fait le podcast début février, il s’est lancé mi-décembre.

Premier mois sur sa boutique Amazon France, juste sur la France, premier produit 10 000 euros de chiffre d’affaires, dès le premier mois sur une seule boutique. C’est juste un départ qui est énorme. C’est-à-dire que quand tu fais 10 000 euros sur une seule boutique, c’est-à-dire que si tu développes le paneuropéen, les cinq boutiques européennes et que tu commences à développer d’autres produits, rien qu’un produit par mois, c’est ce que je lui ai dit quand j’ai fait un coaching, il y a à peu près un mois avec lui, moi je suis certain qu’il fera un million d’euros cette année parce qu’il est tellement parti à suivre exactement, mais là c’était l’élève parfait. C’est-à-dire qu’il m’a montré son produit. Sincèrement, j’ai eu du mal à trouver des choses à améliorer. C’était parfait. Les mots-clés étaient parfaits. Les photos étaient parfaites. L’offre était top.

Thierry Henry : Est-ce que c’est le même que tu m’as dit qui était un peu flippé, qui n’arrêtait pas de te poser plein de questions.

Olivier Allain : Non ! C’est Manu. C’est un autre gars. C’est l’exemple même de l’état d’esprit et du petit chaton qui est devenu un lion. Et pourtant j’en ai dit, franchement, j’ai transpiré deux, trois gouttes au début avec lui. Et c’est l’exemple aussi qui montre qu’il ne faut jamais rien lâcher, il ne faut pas laisser forcément des personnes, au début on ne croyait pas trop parce que cette histoire, elle est folle, c’est une personne qui nous a rejoints peut-être au mois d’août ou septembre, je ne sais pas.

Le programme, il était là depuis un mois un mois ou deux mois, donc je ne sais pas, il doit y avoir 30 ou 40 membres et il me contacte, il m’envoie, un mail, deux mails, dix mails. Il a toujours plein de questions et tout ça. Donc, je lui réponds tout le temps et je vois qu’il est vraiment flippé. Je crois que je l’appelle en plus. Je ne me rappelle plus exactement comment s’est passé, mais bon je le rassure. Il rejoint le programme, mais sincèrement il était quand même très méfiant en mode : ouais, ça sent que je ne vais pas y arriver. Il était tout temps dans l’échec.

Dès qu’il posait une question dans le mastermind, c’était l’échec. Il était tout le temps dans la galère, dans la loose et j’ai hésité sincèrement. Maintenant, on en rigole. Maintenant, franchement, c’est un de mes exemples forts, donc on peut rigoler de ça. Mais pendant le premier mois, j’ai failli le rembourser les 5 ou 6 fois. Je me suis dit : là, je pense que c’est mort, je n’arriverai pas. Mais au final, j’ai fait un coaching avec lui. Je lui ai expliqué. On a fait un coaching. En fait, j’ai fait plus un développement personnel que la vente sur Amazon parce que problème n’est pas la technique, c’était l’état d’esprit.

Dès qu’il flippait de tout, il n’était pas confiant lui, donc on a travaillé ça. On a beaucoup travaillé avec ça. Les autres membres l’ont beaucoup boosté aussi parce qu’il a vu qu’il y en a certains qui commençaient à réussir. Donc de fil en aiguille, il a commencé à prendre confiance puis en trois, quatre mois, maintenant c’est devenu un lion quoi. Ça veut dire qu’en plus, je ne sais pas, il a eu pas de bol. C’est-à-dire qu’il a eu des emmerdes sur Amazon que je n’avais jamais vu.

Mais à chaque fois, c’est ça qui est vraiment fort et pour ça que je te fais un big up Manu. C’est qu’à chaque fois qu’il a eu une difficulté sur Amazon, il a dit : ce n’est pas grave, je vais m’en sortir. Pourtant des fois, c’était il y a son premier produit qui a été désactivé pour une raison assez incroyable de licence, de dépôt de marque d’une autre entreprise, un bordel pas possible, un truc franchement bordélique. Il a pris le taureau par les cornes, il a réussi à se débrouiller.

On est passé par le directeur UK Amazon, qui a débloqué le truc, un truc de malade. Je n’ai jamais vu ça et il a réussi à débloquer ça comme ça, un truc de fou. Après sur  le mastermind, on s’est rendu compte que le gars, il était inarrêtable. C’est-à-dire que là quand tu as passé ça, après derrière c’est. Et dès qu’il y a une difficulté, il se dit : ouais, ce n’est pas grave. Les difficultés, ça forge le moral. Mais maintenant, il commence à bien vendre. C’est-à-dire que là, le premier mois, il commence à un vraiment bien vendre. Donc là, je pense que lui, on va faire des gros chiffres en 2019 et ça va être cool.

Thierry Henry : Il lui doit vraiment te remercier tous les jours. Donc là, j’ai posé toutes les questions. Donc ceux qui veulent évoluer, comment on dire, vous ne ferez pas tous les millions, mais bon peut-être même si vous faites un peu moins, l’important c’est de réussir et de se former. Donc, je mettrai tous les liens de tous les évènements. Donc là, je vais te poser les cinq questions que je pose à tous les entrepreneurs et les investisseurs qui passent dans l’émission. Quel est le business dont tu rêves à part celui que tu fais actuellement ?

Olivier Allain : Alors le business dont je rêve, c’est plutôt un complément, c’est de faire un club élite. Ça veut dire d’avoir une sorte de club ultra select avec uniquement peut-être 10, 12 membres, mais que des millionnaires sur internet. C’est-à-dire que vraiment un club où on est là avec des personnes qui ont eu des énormes succès et on se partage nos connaissances là-dessus, on se rencontre sur des mastermind physiques dans les quatre coins du monde. Un truc vraiment tu vois un très haut de gamme avec uniquement des très gros businessmen sur internet. C’est un élément qui me plaît bien et je pense que je mettrais peut-être ça en place si ça se passe bien en 2020. Ce n’est pas impossible. Ça me plairait bien.

Thierry Henry : Tu reviens nous redire pour qu’on puisse s’inscrire si on a fait le million. Deuxième question, quelle est donc ta meilleure expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur ?

Olivier Allain : Clairement, c’est le fait, la nouvelle activité de se lancer même si ce n’est pas facile tous les jours parce que dès qu’on est exposé sur internet, on prend quand même beaucoup de critiques. Ce n’est pas forcément simple à gérer, surtout quand on débute. Maintenant, ça va mieux, mais c’est vrai que les premières semaines ont été assez compliquées, même les premiers mois. Quand tu es un peu visible, tu prends beaucoup de critiques même si tu as beaucoup de personnes qui te remercient, mais tu as des personnes qui n’ont pas forcément un très bon état d’esprit, qui vont te critiquer pour des choses un peu.

Donc, c’est un peu compliqué, mais en tout cas, ça reste quand même la plus belle expérience de recevoir des mails tous les jours de personnes qui disent : merci grâce à tes vidéos, ça m’a permis de me lancer, ça m’a permis de comprendre pas mal de choses, qu’on pouvait ne pas forcément échanger son temps contre de l’argent qu’on pouvait automatiser des choses sur internet, pas que sur Amazon.

Je dis souvent mon objectif, ce n’est pas de former des vendeurs Amazon, de former des entrepreneurs, des personnes qui veulent prendre leur destin en main. Tu vois mon pourquoi est beaucoup plus gros que juste des vendeurs Amazon. Donc, c’est ça en fait qui motive vraiment beaucoup, qui m’inspire.

Thierry Henry : D’accord ! C’est pour ça aussi que tu as d’autres formations hors Amazon qui va arriver bientôt sur la filiation. Tu as aussi donc un séminaire le 2 mars, c’est ça.

Olivier Allain : C’est une soirée pour les personnes de la communauté, donc les personnes qui me suivent. Même s’ils ne me suivent pas, ils peuvent venir. C’est une soirée entrepreneur, donc là c’est une soirée pour réseauter, pour partager avec des gens qui ont le même état d’esprit parce que je pense que tu vas confirmer, mais quand tu es entrepreneur, tu es souvent un peu esseulé. Les personnes autour de toi ne te comprennent pas forcément.  Même ta famille des fois vont plutôt de freiner parce qu’ils ne comprennent pas forcément que tu peux gagner d’argent sur internet.

Donc, le fait d’être avec des personnes qui ont le même état d’esprit, c’est très important pour garder la motivation. Donc, j’ai fait cette soirée qui sera le 2 mars à Paris à 100 mètres de la tour Eiffel, vraiment un endroit super chouette. On sera à peu près 150. Et voilà le but, c’est de partager. Il y aura des interventions. Il y aura le fameux Manu. Il y aura Emmanuel qui va nous expliquer son parcours.

Il ne faut pas le louper. Franchement, si vous écoutez, il faut être dispo le 2 mars. Si vous êtes dans la région, il faut absolument venir parce que rien que l’histoire de Manu, ça vaut le détour. Il y aura d’autres interventions aussi. Puis voilà, il y aura une bonne soirée dans un endroit vraiment stylé.

Thierry Henry : Je mettrai donc tous les liens. Je repose donc le reste des questions. Quel est pour toi donc le meilleur levier pour devenir entrepreneur ?

Olivier Allain : Le meilleur levier, c’est d’investir sur soi, d’investir sur soi-même. C’est un élément un peu bête que l’on dit souvent, mais c’est la clé pour moi.

Thierry Henry : Vraiment, c’est important. Il faut le répéter malheureusement, il y en a qui n’a pas compris.

Olivier Allain : Ouais, c’est ça. C’est qu’au lieu d’investir dans une bagnole ou dans une grosse télé, investis dans des bouquins, investis dans des formations, dans ce que tu veux, mais investis sur toi-même. Parce que si ne t’as pas confiance en toi, il y a personne qui le fera à ta place. C’est-à-dire qu’il faut avoir confiance en soi, et la meilleure confiance, ce sont des connaissances.

Si tu as les connaissances derrière, tu es quand même beaucoup plus serein. Moi maintenant, je sais avec les années, j’ai des connaissances dans beaucoup de domaines, donc je ne suis pas inquiet pour l’avenir. Parce que si jamais, j’ai une activité qui s’arrête, je sais que je peux relancer dix autres parce que je connais beaucoup de domaines. Donc, c’est cool. C’est beaucoup plus serein que quand tu es un peu dans l’ignorance comme je l’ai été pendant des années. Je prends même dans mon cas personnel. Quand je n’étais que vendeur Amazon, j’étais très bon dans la vente Amazon, mais je n’étais très bon dans le reste.

Ce qui fait qu’en 2013, quand j’ai eu la galère avec l’arrivée de Free, j’étais dans une situation qui était assez compliquée parce que moi je ne savais juste vendre sur Amazon. J’étais vraiment vendeur Amazon, que maintenant je suis marketeur entrepreneur. Donc, je peux commencer n’importe quel business, quasiment du jour au lendemain. Quand tu as ces connaissances-là, tu es beaucoup plus serein.

Thierry Henry : Tu es mieux armé.

Olivier Allain : Bien sûr.

Thierry Henry : Tu n’es pas en stress. Tu es en stress parce que tu es entrepreneur, mais bon tu sais il faut y aller et tu verras après. Donc moi comme je connais ta réponse, quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur et pourquoi.

Olivier Allain : L’autoroute du millionaire de MJ DEMARCO. Clairement, c’est le bouquin qui a changé ma vie radicalement. Je ne sais pas, je n’exagère pas, c’est qu’il y en a un avant bouquin et un après. L’avant c’était la vente sur Amazon, un peu le mono revenu, donc le fait d’avoir une seule source de revenue. Après derrière, ça était l’explosion, le développement de l’affiliation, source de revenus, investir dans l’immobilier, automatiser encore plus de choses. Et derrière, ça a radicalement changé ma vie. Ce bouquin, c’est le bouquin, the bouquin.

Thierry Henry : En plus, ils l’ont ressorti à trois, quatre mois en français puisqu’il a édité puis ils l’avaient arrêté et là, ils l’ont fait en français parce que moi je l’ai toujours écouté en anglais en audio puisque j’aime bien les audio et j’ai vu qu’il l’a ressorti. Il faut y aller. C’est vraiment un super livre, facile à lire, très intéressant, un vrai livre d’entrepreneur.

Olivier Allain : Sincèrement, si l’investissement à faire, c’est 20 balles sur Amazon, il est en français, il n’y a aucune excuse de ne pas l’acheter sur Amazon à 20 balles. Il est en français maintenant autoroute du millionaire. Avant, c’était The millionaire fastline.

Thierry Henry : Sinon, vous pouvez lire mon article, j’ai fait un article dessus, si vous le trouvez, je pense que oui.

Olivier Allain : C’est le bouquin qui a radicalement changé ma vie. Donc là, il n’y a pas à tortiller.

Thierry Henry : Dernière question, quelle est la compétence que tu rêves d’avoir ?

Olivier Allain : Alors la compétence, ce n’est pas vraiment une compétence, c’est plutôt un élément qui me fait un peu défaut. D’ailleurs pour mes nouveaux projets, là je vais vraiment m’y pencher, c’est que j’ai plutôt un bon niveau d’anglais à l’écrit parce que c’est vrai que j’ai beaucoup bossé à l’écrit. À l’oral, je me débrouille, mais j’ai l’idée, enfin j’ai comme projet d’aller outre-Atlantique, aller sur le côté formation, mais également sur le côté vente que j’ai un petit peu abandonné depuis une grosse année, un an et demi donc, je vais retourner sur le marché US pour revendre des produits.

Mais j’aimerais bien également attaquer la partie formation en anglais. Donc là, il va falloir que je re-bosse un peu tout ça parce que j’ai accent vraiment pourri et je n’aurais peut-être pas forcément le niveau de fluidité nécessaire. Ce n’est pas vraiment une compétence, mais c’est un élément qu’il va falloir que je bosse dans les prochaines semaines ou mois.

Puisque j’avais dit à 5 000 abonnés que j’allais commencer les vidéos en anglais, sauf comme je suis passé de 1000 à plus 10 000 abonnés très rapidement, le problème c’est que ça m’a pris un peu de cours et je n’ai pas eu forcément le temps de mettre en place les formations nécessaire pour booster un peu mon niveau d’anglais. Voilà, c’est ça le prochain objectif, ça va être de développer un peu cette compétence. Je ne sais pas si c’est vraiment une compétence, mais bon tu as compris.

Thierry Henry : Je vois. Surtout que moi, comme je t’ai dit, j’étais il y a un mois à Las Vegas, donc pareil. Heureusement, je n’ai pas ces problèmes-là, même si souvent les gens me regardent bizarrement puisque j’ai un problème d’accent naturellement, c’est-à-dire que ne je fais pas d’effort. Mais les gens comprennent en général. Quand on parle business, c’est ça qui est bien, les gens comprennent.

Certains sont un peu fermés, surtout les Américains. Quand ils voient que tu parles moyennement bien, mais quand ils voient que tu comprends, c’est déjà pas mal. Donc après, il faut juste se forcer et je ne m’inquiète pas. Je pense qu’immerger dans un pays un ou deux mois, ça va revenir facilement.

Olivier Allain : C’est ce que j’ai prévu. Je vais peut-être aller voir mes compatriotes américains ou canadiens dans quelques mois parce que j’ai beaucoup de gens qui me suivent au Québec. D’ailleurs, si vous écoutez les messages, je vous fais un petit big up également. J’adore le Québec, j’adore les Québécois qui sont tellement gentils.

C’est des amours sur YouTube et sur les réseaux. Ils sont vraiment super cool. Bon après, il n’y a pas qu’eux, mais les Québécois sont vraiment des gars et des filles super cool. Donc, je vais peut-être aller, Québec, ça ne va pas trop m’aider pour l’anglais, mais je vais peut-être aller par là-bas. J’irais voir les Québécois dans quelque temps.

Thierry Henry : Parfait. Mais dans tous les cas, merci d’être passé dans l’entrepreneur lifestyle. J’espère que tout le monde a été motivé par ton parcours. Donc, on met tous les liens puis tu reviens nous voir début d’année dans un an pour nous dire le prix du mastermind, comment on peut rentrer, puis voir si moi je peux rentrer si j’ai fait mes 500 000 euros que j’ai prévu cette année dans l’affiliation.

Olivier, je te dis à bientôt.

Olivier Allain : Merci beaucoup.

Thierry Henry : Merci à Olivier Allain pour nous avoir partagé toutes ces bonnes informations sur Amazon FBA. Donc en 2019, comme il l’a dit, c’est toujours aussi intéressant de travailler sur cette plateforme, mais le mieux c’est de se former, de bien faire les choses avec les bonnes techniques pour réussir à faire des chiffres très intéressants puisqu’il y a un trafic énorme sur Amazon. Et là, en général, il n’y a pas que la France, on peut aussi faire, comme il le disait, le paneuropéen, donc développer sur cinq pays.

Je vous redonne le lien pour la formation thierry-henry.fr/olivier-allain. N’hésitez pas à commenter, à partager l’épisode et à aussi vous abonner sur toutes les plateformes, iTunes, Stitcher, SoundCloud. Je suis à peu près partout et aussi bien sûr sur YouTube si tu veux écouter l’émission sur YouTube, commenter et poser des questions que je reposerai directement à Olivier Allain. Il a ces différents évènements.

Donc, allez sur son site. Il a un événement le 02 mars à la tour Eiffel. Je mettrai le lien dans la description sinon tu peux aller sur son site : www.jesuismonpatron.fr pour voir toutes les informations puis sur le groupe et sur sa chaîne YouTube bien sûr. Je te dis à très bientôt pour l’épisode numéro 15, à la semaine prochaine. Tchao.