Thierry: Salut à tous bienvenue sur l’entrepreneur lifestyle Thierry #HENRY. épisode numéro 28 avec un expert de l’immobilier et surtout de l’achat revente ce qu’on appelle marchand de biens pour être précis. Il va nous donner donc ces techniques. Bien sûr il est aussi infopreneur. Donc si ceux qui sont intéressés et aime le contenu il ne faut pas hésiter à cliquer sur son lien dans la description pour pouvoir se former et réussir dans l’achat revente. Donc Jean Laplace.
Ceux qui connaissent son blog investir-immobilier.com ou sinon n’ont la même chose avec Thierry: investir-et-immobilier.com encore tous les cas acheter tous les liens il a tout compris. Il va donc nous parler de son parcours il a commencé en 2014 donc dans l’achat revente pour se créer son business à deux millions cinq l’année dernière. et donc il continue à grandir. Beaucoup de bonnes informations. Quelqu’un qui a eu un parcours aussi avancé assez intéressant qui va développer là maintenant que j’ai remercié les partenaires audible mon partenaire du podcast pour ceux qui veulent. se développer avec des livres audio thierry-henry.fr/audible .
Sinon comme je l’ai dit j’ai un séminaire pour lequel je fais une levée de fonds. J’ai voulu tenté une levée de fonds. donc je mets le lien entre thierry-henry.fr/seminaire-2020 pour 2020. Parce que le séminaire est en mars ou avril 2020 tout n’est pas validé. Me voilà donc n’hésite pas à participer. Si tu veux faire partie de ceux qui ont aidé à monter ce séminaire. Voilà donc je te dis tout de suite avec Jean la place.
Thierry: Salut Jean comment tu vas.
Jean LAPLACE: Salut Thierry ça va être très bien.
Thierry: Merci merci d’avoir accepté l’invitation. On va parler aujourd’hui de l’immobilier de marchands de biens. et peut être aussi de l’activité d’un faux preneur à la fin. Quand tu vois quelqu’un qui redonne ce que tu as appris et ce que tu prends toujours tu continues à faire du business avec l’immobilier. Donc moi je te laisse te présenter.
Thierry: Pour ceux qui ne connaissent pas et puis après on est parti
Jean LAPLACE: Bah écoute je m’appelle Jean Laplace comme tu l’as bien dit. Actuellement je vis sur Bordeaux déjà c’est ma ville d’origine et j’y suis assez attachée. Je suis marchand de biens sur Bordeaux marchand de biens c’est à dire que j’achète des biens immobiliers tout type de biens immobiliers au prix du terrain de l’immeuble n’importe où en vue de les revendre. L’objectif étant de les valoriser au milieu pour faire un bénéfice une plus value.
Donc ça c’est mon activité principale depuis 2014 et en parallèle de ça en fait j’ai eu envie dans un premier temps de partager un peu mon expérience et ce qui m’arrivait dans l’immobilier un peu dans ma découverte de ce parcours là et finalement ça a créé une communauté et une audience et il n’y a pas mal de monde qui m’a demandé ce que tu ne pourrais pas faire des formations pour nous accompagner étape par étape pour justement se lancer dans la revente. ça a donné lieu à un site dédié et à des formations pour aider les gens vraiment à démarrer à démarrer dans la charmante voilà c’est investir -immobilier.com tu mais investir-immobilier.com sur ton moteur de recherche préféré tu tombera dessus ou tu tapes la place investir immobilier tu trouveras sans souci mon m’embrasser dans la pub pour ta petite présentation du nu bien motivé.
Thierry: Parce que moi je veux de l’immobilier donc j’ai plein de questions qui vont qui vont qui vont venir avec déjà tout de suite. Pas dis toi que ton créneau c’était un immeuble n’as pas vraiment de spécialité Toi t’es vraiment assez large et tu prends. Tu vas chercher l’opportunité de faire de la marque j’ai pas cherché.
Jean LAPLACE: Ouais en fait on pose souvent cette question et c’est pour ça que j’ai la réponse facile. En fait si tu es là aujourd’hui on fait l’interview on est là on a fini la cinquième année donc on est dans la sixième année de l’entreprise tout ce que je veux savoir je suis associé avec un ami depuis 2014. C’est une grosse force de cette société c’est notre association. Et si tu veux en fait la typologie de la société a évolué et au début on a commencé on n’avait quasiment pas d’argent. Et petit à petit. Forcément c’est tout l’intérêt de l’achat revente. On s’est créé du capital donc en fait quand tu commences tu vas pas du tout avoir les mêmes possibilités que par la suite.
Il y a des stratégies qui vont être un petit peu différentes et donc en fait le panel de nos activités évolue au fur à mesure. Au début on avait dit que nous on appelle les petites opérations forcément c’était des opérations qui sont toutes deux 100 200 donc 250 000 sur Bordeaux c’était un petit peu ça. Bordeaux est la région. Et petit à petit ce que l’on a cherché à faire c’est forcément à faire grossir les opérations pour essayer d’avoir plus de plus de bénéfices en faisant le même travail.
Si je te simplifie un peu les choses. Donc on a commencé pour te donner un peu d’idée on avait des maisons qu’on démolition et sur lesquelles on faisait des terrains. Et puis finalement on est passé sur des petits immeubles et maintenant on essaie de trouver des immeubles dans Bordeaux et là tu peux être facilement sur 1 million, 2 millions d’euros pour le prix de l’immeuble. Donc comme tu l’as dit il n’y a pas de ou il n’y a pas une idée et on vise pas un bien spécifique. On voit ça de manière très financière et on étudie tous les projets et c’est le tableau prévisionnel qui va parler. C’est ce que je conseille à tous mes élèves. C’est votre tableau prévisionnel qui dit si on se lance dedans ou si on se lance pas dedans.
Thierry: Encore plein de questions quand j’ai appris que j’ai de l’immobilier dans mon secteur qui est aussi un mélange de campagne de pub pas loin de Paris. Là bas c’était des terrains ou sinon c’était une grande maison qu’un bout de terrain on découpe on découpe le lot et on en vend un bout de terrain. Le toit a commencé un peu comme ça plutôt en détruisant une question parce que tout a en 2014. Souvent on conseille on dit aux gens de faire les premières opérations en nom propres pour éviter la grosse imposition parce que marchand mais on est quand même plutôt pas mal imposez vous vous avez directement aux sociétés.
Jean LAPLACE: Je réponds de manière générale. Pour faire simple en gros pour ceux qui ne connaissent pas forcément très bien en France il y a deux statuts fiscaux soit les particuliers du fait de la gestion patrimoniale résidence principale en investissement locatif secondaire soit professionnel. Dans ce cas là tu fais du commerce. Il faut être clair là dessus pour faire de la charpente il n’y a qu’une seule un seul statut légal l’achat revente c’est du commerce donc le seul statut légal c’est l’achat revente. Donc je ne pourrais pas dire de particulier parce que tu vois je mettrais en porte à faux.
Maintenant ce qu’on sait pas faire de langue de bois parce que le but c’est d’avancer ce qu’on sait c’est que quand tu veux te lancer en professionnel la difficulté c’est d’avoir un financement professionnel c’est tout. Quand on ne sait rien faire. Voilà tout le monde le sait et en fait ce financement professionnel on arrive à l’obtenir souvent avec l’expérience en. Stratégie de relation avec son banquier etc. Et ça passe effectivement pour beaucoup. Par où commencer des opérations en gestion patrimoniale des opérations optimisées pour me mettre en porte à faux. Donc moi ce que je conseille tout le temps c’est effectivement d’avoir surtout une stratégie pour dire voilà moi ce que je veux c’est devenir marchand de biens professionnels.
Jean LAPLACE: Alors tout simplement il y a une bonne raison il faut bien comprendre que au final être professionnel est plus avantageux qu’être particulier. Contrairement à ce que les gens pensent déjà parce que les frais de notaire au lieu d’être à qui va être à 3% donc ça veut dire que sur chaque opération tu récupère 5 points de marge. Ce n’est pas négligeable du tout quand on essaie de faire 20% de marge sur les opérations. On va sûrement reparler de toi t’as déjà gagné 5 points sur les frais notaire. Ensuite si t’as envie de gagner ta vie avec ça de manière importante ce qui va être intéressant c’est d’enchaîner les opérations d’avoir plusieurs opérations en parallèle et si tu veux faire ça en tant que particulier ben ça va être compliqué ça veut dire que tu as déjà un très gros salaire qui te permet d’emprunter.
Thierry: Mais enfin je comprends ce que tu veux dire pour ceux qui s’y connaissent et ceux qui s’y connaissent pas c’est bien précisé quand je regarde des particuliers c’est que souvent c’est comme ça qu’on débute parce qu’au début compare la.
Thierry: C’est pour le financement des débutants en particulier pour faire main ou les premières opérations. Puis après on passe en gros parce que bien sûr il y a un intérêt sinon on sait très bien quand on fait du business. La structure te protège pour la fiscalité. Plein de choses. C’est évident et c’est vraiment pour commencer mais c’est pour ça que je voulais passer directement. Tu as été en propre parce que tu avais les techniques pour se faire financer en.
Jean LAPLACE: En fait un peu comme tout le monde si tu veux j’ai commencé j’ai commencé sans arrière pensée avec ma résidence principale sur Bordeaux. Si tu veux il se trouve qu’on a une démographie qui explose. Donc on a une demande qui explose quand on a un marché qui a complètement explosé en 10 ans. Donc pas besoin d’être un génie pour faire des plus values. Très très sincèrement la maintenance ça stagne un peu donc on voit un peu la différence entre celui qui connaît et celui qui connait pas mais en fait j’ai commencé par faire ma résidence principale.
Et quand je regarde mes résidences principales je prône des plus values. Donc forcément tu vois ça ça va te mettre un peu la puce à l’oreille. Et petit à petit de projet en projet on a obtenu le statut pro mais c’est vrai que quand nous on a commencé l’association on l’a fait tout de suite avec un financement pro mais parce qu’on avait déjà un petit background avec notre banquier. C’est quelque chose que moi j’avais anticipé depuis des années.
Thierry: Par deux fois du banquier donc pas vraiment un partenaire on en a plusieurs. C’est vraiment ton banquier.
Jean LAPLACE: Aujourd’hui on en fait aujourd’hui on a plusieurs possibilités parce que c’est mon rôle le financement de la société. Moi je m’occupe principalement des monticules fait vont se répartir les tâches comme dans toute la société et donc on travaille je peux dire entre la Caisse d’épargne y’a pas et c’est notre seule banque aujourd’hui qui nous finance parce que c’est eux qui ont les meilleurs qui me donnent les meilleures possibilités. Mais en fait ça fait déjà très longtemps qu’on a anticipé le fait d’avoir d’autres banques dispo.
Jean LAPLACE: Donc on pourrait avoir d’autres banques disponibles qui aimeraient travailler avec nous mais si on les as tu ne sais pas comment dire en backup au cas où les choses. Au cas où les choses se passeraient mal avec la Caisse d’épargne ou si on a un besoin spécifique où il y a une vérité c’est que tu es sensé à un moment donné était censé plafonner. Les banques ne veulent pas te donner jusqu’à un certain montant à nous ce qu’il y a c’est qu’on a tellement bien évolué que les montants auxquels on avait droit ont évolué avec nous. Moi je sais que si je respecte les règles les critères de base de travail que j’ai avec eux je peux aller jusqu’à 10 millions d’euros d’encours. Il n’y a pas de problème. Donc de quoi faire largement.
Thierry: Enfin de Compte qu’on va parler du secteur parce que on en avait parlé un petit peu avant il que Bordeaux et alentours ont augmenté. Que en tant que marchand de biens c’est un peu comme un investisseur classique qui fait du long terme ou du moyen terme. Parce que moi je te dis que ça me paraissait bizarre que tu achètes dans un secteur qui malheureusement plombé par les promoteurs. Alors qu’en tant que marchand de biens est un avantage.
Parce qu’en fin de compte un marchand de biens peut sous peu se rapprocher du promoteur parce que souvent il découvre qu’il fait du neuf on va dire qu’il y a une traction parce que tout le monde va acheter là bas ou est ce qu’en fin de compte c’est une stratégie à part parce que bien souvent moi j’ai entendu et je l’écoutais encore vraiment un Grant Cardone donner à d’autres investisseurs anglo saxons même si ce n’est pas un pays c’est quand les promoteurs viennent dès qu’on voit les convois des grues c’est que c’est pas bon c’est qu’ils vont faire monter les prix et donc ils vont aussi montrer les prix du terrain. Non ce c’est bien on ne sait pas bien ce qu’en fin de compte c’est une stratégie à pas ou est ce que tu t’es un tout petit peu de Bordeaux était aux alentours. T’es pas exactement là où c’est un peu cher.
Jean LAPLACE: Je pense que c’est une question super intéressante que t’as. Mais c’est vrai qu’effectivement l’élément dont tu parles est directement lié à la notion d’investissement. Si tu veux le fait ou est ce que tu vas placer ton argent dans l’achat revente on est pas de ces deux activités qui sont très proches mais qui n’ont pas le même objectif dans l’achat revente. On est sur du très court terme donc ce qui suppose une opération qui doit faire à peu près. Pour faire simple là l’idée que c’est une idée de dire est ce que je mets mon argent sur moi on va dire au minimum 5 ans mais idéalement 10 à 15 ans ou est ce que je. Pour que l’offre à la demande etc. etc.. C’est vrai que si tu veux comme il y a une forte pression démographique il y a forcément un marché qui est sous tension.
Donc on achète forcément cher également mais en achat revente que tu sois sur un marché tendu comme ça où que tu sois en ruralité etc. Ce qui m’a intéressé c’est juste la valorisation. Donc la question que tu dois te poser c’est quelle valorisation je pas mené sur bien la valorisation ça veut tout et rien dire ça peut la rénovation comme de la simple découpe comme démolir comme construire. Il y a plein de possibilités mais on n’a pas cette cette logique et cette problématique de marché.
C’est un élément macroéconomique dont on tient compte parce que forcément tu vois si typiquement si le marché prend 10 pour cent par an ça va forcément nous aider par rapport à un marché qui perdrait 10%. ça c’est sûr ça va impacter prévisionnel mais on n’a pas cette logique de dire ah ben attends si les gros arrivent qu’est ce que ça change parce que les grues vont mettre si tu prends vraiment de manière factuelle les grues dont tu parles elles vont mettre trois ans à construire l’opération je suis en train de lancer aujourd’hui n’aura plus lieu soit elle sera plus là dans trois ans et sera terminée et quand les grues vont finir je voudrais faire un nouveau prévisionnel avec un nouvel état de marché à ce moment là.
Thierry: Justement et surtout comme directement au hasard on fait monter les prix pour vous en fin de compte à l’achat c’est un peu chiant donc il faut être bon en négociation et ne pas ne pas aller plus bas côté et coller à leur promotions mais aux alentours ça peut être pas mal. Si je comprends bien avec le temps un fonds font monter les prix ça aussi dans l’autre sens.
Jean LAPLACE: Oui ça marche dans les deux sens parce que tu dis ils font monter les prix c’est vrai mais mais peuvent aussi les faire baisser dans la mesure où il va y avoir plus de plus d’offres dans un marché où on avait beaucoup de demandes et donc ça peut aussi diluer ton offre.
Thierry: Donc c’est en général ça va ça peut être plus pour le locatif parce que quelqu’un qui occupe toi tu vas le mentionner rénover. Eux ils ont assez connu et c’est un grand lot et les gens vont aller voir ils sont ils sont intéressés par tout ce qui est un peu brillant Rabat ils vont prendre là bas. C’est plus intéressant. Et comme souvent ils ont des prix locatifs en déficit des prix moins chers donc c’est juste une comparaison.
Jean LAPLACE: Ouais moi ce que je dis c’est qu’il faut faire il faut faire. Surtout quand tu démarre quand tu démarres t’as pas une analyse macroéconomique machin tu ne prends pas la tête à tout ce qu’il faut. Il faut aller sur des opérations simples et toujours garder une marge. En fait le secret tout ça c’est pas d’être un expert en économie et encore moins spécifiquement marché immobilier en tendance etc.
C’est un peu trop compliqué au début c’est toujours intéressant après pour optimiser pour être plus précis. Mais non c’est surtout l’idée c’est d’avoir une marge qui fait que si tu prévoit que si ton marché n’évolue pas dans le bon sens et dans le pire du pire le pire des cas moins tu vas être break event tu vas pas perdre d’argent tu vas être neutre mais idéalement tu vas quand même sortir une marge. Nous on a toujours fonctionné comme ça et je pense que c’est ce qui nous a permis d’être des opérateurs qui restent sur le marché après plusieurs années parce que je peux dire qu’on a vu pas mal de monde passer gens font des super coups mais bizarrement ils disparaissent après donc ça ne fait pas de super c’est super comme ça parce
Thierry: Est ce que tu peux me donner un comparatif entre en 2014 quand on a commencé combien en opérations à l’année et combien d’opérations actuellement.
Jean LAPLACE: C’est très très simple. En 2014 on a commencé on n’a fait qu’une seule opération. Donc je dire J’ai passé l’année à faire faire des activités de loisir à côté parce qu’on a lancé l’opération et puis derrière le banquier il ne suivait pas.
Jean LAPLACE: On n’avait pas ni les fonds pour le coup en pro il nous fallait un apport. Il voulait voir comment ça se passait sur la première. Donc c’était une opération qui visait en tout prix revient technique on était à 250 000 euros donc on a sorti à peu près un peu plus de 20 ans alors c’est à peu près 60 millions de marge. Et puis petit à petit ce qu’on a fait ce qu’on a voulu augmenter le nombre d’opérations et à chaque fois également le volume de l’opération donc le prix.
Donc maintenant les opérations tournent plutôt idéalement autour d’un million d’euros. Parfois un petit peu plus parfois un petit peu moins ça dépend du marché. Donc on va dire 750 000 à un million cinq pour tout cela effectivement c’est mon marché qui c’est mon marché qui fait ça c’est à dire que l’on serait sur Paris je pense qu’on aurait des choses encore plus grosses sur Bordeaux Bordeaux centre. Voilà il faut tout de suite dans le gros immeuble et parfois des opérations très intéressantes un petit peu en banlieue de Bordeaux où tu es plutôt sur 750.000 euros et il n’y a pas de raison de passer à côté.
Jean LAPLACE: Donc plutôt ça prend augmente le volume d’opérations je crois que dernièrement là on est en train de clôturer un cycle d’opérations mais derrière moi je reconnais autour de cinq opérations donc tu vois là une dernière pour donner des chiffres concrets. La première année on fait 340.000 euros de chiffre d’affaires 2014 et la dernière année 2018 on est passé donc petit à petit fait 300 600 800 la quatrième année on était à 1 million d’euros sur neuf mois et 2018 donc l’année dernière on a 2 millions 5 de chiffre d’affaires.
Thierry: Et on moyenne en marge on arrive à %20.
Voilà allant jusqu’à jusqu’à aujourd’hui. C’est important de dire qu’aujourd’hui on est 20% de marge donc sur 2011 ça fait le calcul ça fait 500 jours quand est à 550. Dernière chose comme ça. Donc de marge opérationnelle pour les charges de la société. Mais il n’y a pas grand chose côté marchand de biens. Et après tu tu mets les salaires les dividendes comme t’as envie en fonction de la politique de la maison. Là maintenant on va rentrer dans dynamique Un petit peu différente.
On cherche en fait à prendre plus d’opérations sur le marché répondre beaucoup plus à notre réseau. Parce si on s’est créé un réseau et on a des opportunités qui se présentent et ce qu’on va faire c’est qu’on va chercher ça serait intéressant d’en reparler d’ici un an ou deux mais on va chercher à prendre plus d’opérations avec des rentabilités inférieures à ce que je déconseille mais très très très fortement à quelqu’un qui dit Si tu veux. Là nous on a la surface financière qui nous permet d’accuser le coup d’une opération par rapport à l’autre si une opération se passe un peu moins bien c’est qu’il y en a une autre qui va équilibrer équilibrer la situation.
Donc on est dans la démarche où on cherche plus la rentabilité annuelle on cherche la marge brute ce qui nous intéresse c’est un volume d’argent plus important à la fin de l’année. Au début il faut surtout mais surtout pas faire ça et c’est pour ça que les gens se plantent alors il faut vraiment être hyper sélectif prendre des fortes marges et prendre vraiment le produit parfait entre guillemets pour être sûr que tu vas pas tenter parce que tu ne peux pas tirer 14 cartouches.
Thierry: Il n’y a pas de temps pour augmenter la marge la marge en marge du sommet. J’ai quand même posé la question. Moi je voulais comparer l’ecommerces où plus on a de marge mieux c’est parce que tu connais un marchand de biens qui arrive à tirer du 35 du 30 40.
Jean LAPLACE: En fait ça dépend vraiment ton marché. Moi dans mes élèves j’ai des élèves qui m’amènent des opérations où il y avait du sang du sang. Si tu veux c’est du 100% sur des petits souvent sur des petits montants dépassent rarement les 300 000 euros. Mais il faut voir si il y a deux choses il y a une notion de marché et effectivement sur le marché bordelais qui est un marché tendu. C’est quand même. Je ne dis pas que c’est pas possible mais je dis que ce qui m’intéresse c’est statistiquement toujours ce n’est pas de parler de d’humain qui a gagné une fois au Loto. L’idée c’est que si tu joues au loto tout le temps statistiquement tu perd.
C’est ce qui m’intéresse c’est le global. Si tout le monde s’y met qu’est ce que ça fait quoi. Si ça arrive maintenant. Maintenant c’est vrai que statistiquement on est plutôt sur des chiffres du 20 30 ans. ça dépend des marchés a t elle déclaré sur des marchés un peu tendus à l’avantage coûtant beaucoup plus de liquidités au niveau des reventes au niveau des opportunités que tout ça tu vas avoir des pourcentages qui sont inférieurs.
Thierry: Voilà donc à côté de ce que tu fais puisque maintenant c’est plus gros soit tu essaies de sécuriser le business avec de l’investissement classique ou des choses que tu fais du moyen ou long terme. Ou est ce que tu reste sur le plan marchand de biens.
Tu es en train, tu es en train d’appuyer là où ça fait mal. En fait pour expliquer la stratégie par rapport à ça parce que je pense que mon cas particulier n’est pas forcément plus intéressant. La stratégie effectivement c’est moi je suis parti en achat je suis vraiment très financier très mathématique dans ma façon de voir les choses.
Je suis parti dans l’achat revente parce que pour donner un exemple quand tu commences souvent en professionnel on demande de mettre 20% d’apport pour donner des chiffres. Après ça se discute on va passer une soirée avec tous les cas particuliers de chacun et de son banquier mais tout le monde est derrière on a dit qu’on faisait 20% de rentabilité donc j’ai vite compris que si je mettais 20 euros je récupérer 20 euros derrière sur des opérations qui durent un an ça voulait dire que je faisais 100 %100 de rentabilité sur mes fonds propres.
Forcément ça m’a tout de suite dit En fait c’est ça qui est plus intéressant et c’est vrai que l’avantage de la revente c’est que tu vas avoir une très forte croissance et tu a une capacité à créer beaucoup plus d’argent. Donc l’idée c’est qu’une fois que t’as fait ça t’as des revenus qui sont intéressants. Donc tu vas pouvoir avoir un effet levier et emprunter tu es censé en parallèle. Typiquement sur une SCI faire l’investissement locatif idéalement en cash flow positif je fais pas le schéma je pense que tout le monde connait un peu les stratégies mais le problème c’est qu’aujourd’hui ce qui se passe jusque là tous les investissements locatifs que j’ai fait vraiment pour du locatif.
Jean LAPLACE: Fait le marché explose tellement que au bout de 2 ans j’ai pris j’ai pris les plus values donc je n’ai pas réussi à les garder les historiques les premiers que j’ai fait sur Bordeaux et ensuite j’ai mis une nouvelle stratégie en place comme le marché est sur Bordeaux je suis allé je suis allé chercher un petit peu plus loin que Bordeaux. En fait j’ai un copain informaticien à qui j’ai donné un petit job à faire et il a scrapé comme on dit il a récupéré toutes les annonces qu’il y avait sur Leboncoin SeLoger etc à la vente à la location.
Il m’a fait une statue une base de données comme ça de moyenne il m’a sorti les villes où il y avait le plus gros différentiel entre l’achat et la location donc ce qui permettait de voir ce qu’on pouvait faire du cash flow positif plus facilement et donc c’est comme ça que j’ai acheté l’année dernière un petit immeuble mais mon problème c’est que j’ai pas le temps. Parce que quand tu fais du cash flow positif même si c’est super intéressant Bah c’est toujours moins intéressant que l’achat revente. J’ai du mal à me fascine car.
Thierry: Ça dépend de ce que cette philosophie exprime. Si tu prends un immeuble de 20 ou 30 logements et que tu le laisses dormir tu pourrais même s’il augmente tu pourrais dire Bon ben ça c’est ma sécurité. Je sais que toi tu vois directement tu peux le revendre le jour ou prendre prendre le vois tu veux me sentir le cash pour l’utiliser.
Jean LAPLACE: Mais même ce n’est même pas ça c’est qu’on a un réseau qui est vraiment travaillé pour ça sur un secteur menant des opérations si tu veux pas être ton tout seul parce que ça va faire un magicien il y a du boulot. Mais. On est aiguisé pour ça il faudrait mettre en place. Tu me parles de 20 à 30 logements. Mais en fait je peux trouver le même sur l’achat revente et je vais prendre du cash tout de suite donc d’appuyer là où ça fait mal. Effectivement j’aimerais développer beaucoup plus d’investissement locatif. C’est juste qu’aujourd’hui il faudrait il faudrait carrément que je prenne quelqu’un et que je délègue pour qu’il aille chercher les opérations. Et c’est une histoire de priorisation dans mon emploi du temps et tu vois j’ai choisi de faire une interview avec toi plutôt que d’aller faire de l’investissement locatif.
Thierry: Merci c’est gentil mais en plus c’est comme tu dis juste pour aller dans ton sens. Après chacun sa stratégie il y en a qui font du bitcoin il y en a qui font des erreurs d’affiliation pas de stratégie de la garde entre parenthèses ou One thing une pensée qui garde est un processus libre et c’est la seule question qui va venir après c’est pas un gros marché marché qui marche bien.
Thierry: Mais comme disait Xolali de personne moi je pense qu’on est en crise depuis un petit bout de temps. C’est pas une vraie crise bien des biens annoncés des politiques font ce qu’ils font pour que tout ne paie pas mais comment tu fais. Jean Marchand marchand de biens sait mieux quand ça monte mais quand ça descend c’est un peu compliqué. Tu peux toujours gagner mais ils sont très bons donc à ce que tu prévois ça ou tu dis que si ça tombe tu vas aussi en profiter mais différemment puisque les prix ne montent pas. C’est un peu compliqué.
Jean LAPLACE: Alors moi j’adore cette question et on pourrait on pourrait en fait on pourrait être sur n’importe quel marché tu pourrais me parler d’ Ecommerce, d’infopreneur de vendre vendre des jus ou des pizzas je te répondre la même chose en fait. Il y a deux il y a deux sujets dans lesquels je me préoccupe pas je ne te dis pas que je ne suis pas attentif que ce n’est pas une question pour moi et c’est une vraie réponse. Je ne cache pas la réponse à ma réponse. C’est ça le premier c’est la crise.
Le deuxième c’est les impôts parce que je te cache pas forcément sur le site. J’ai énormément de lecteurs qui reviennent vers moi en me disant mais comment tu fais pour les impôts ou comment je fais ça. Mais en fait je pense que si tu veux avancer la vie elle est ce qu’elle est. Le marché est ce qu’il est.
Jean LAPLACE: Chaque époque a ces pseudo problèmes mais moi je pense que ce sont des constantes. En fait je m’en préoccupe tout simplement pas. Je pense que si tu veux performer si tu veux réussir et tu te fais des interviews de mecs qui ont réussi. Je ne suis pas je ne suis pas sincèrement convaincu que ces gens là s’intéressent à savoir si c’est la crise ou pas la crise.
Si on paie des impôts si l’on ne paie pas des impôts alors tout ça tu peux tu peux optimiser tu peux faire attention à la crise et tu peux essayer de payer moins d’impôts. Mais je crois qu’en fait le secret pour réussir c’est surtout de hardwork c’est de travailler c’est de foncer c’est densité et surtout pas de poser ces questions là parce que.
Thierry: Être dans l’action. Quoi exactement.
Jean LAPLACE: Non mais c’est surtout et puis également il y a plein de façons d’aborder cette réponse. C’est la pensée positive. Si tu veux si tu passes ton temps à focaliser je ne sais pas. Je n’accuse pas de ça. Au contraire c’est justement l’intérêt de ta question c’est une super.
Thierry: Moi je suis pas juge mais je me vois un truc de journaliste je passe pour les gens.
Jean LAPLACE: C’est clair mais justement l’idée c’est que les gens focalisent tout le temps sans ça. Mais les difficultés de difficulté mais en faisant ça je pense que je m’en rends compte vraiment avec mon audience c’est que tu grossis la difficulté bien plus grosse qu’elle ne l’est tu essais d’anticiper un truc que personne ne peut anticiper. Je pense aux crises essaies de contourner un truc tout le monde sait qu’il n’est pas possible de contourner les impôts tu vas peut être optimiser mais façon tu vas en payer partir le moment où tu vas entrer dans une démarche normale et classique.
Alors tu vas faire un coup de filet ou deux mais déjà tu risques de te faire prendre et puis on ne va pas le faire dix fois. Donc pour moi ça n’a aucun intérêt. Faut mettre son énergie dans la production de valeur dans le travail à fond et créer quelque chose qui a du sens sur le long terme et je pense que c’est vraiment comme ça que tu vas que tu vas t’en sortir te démarquer avancer et trouver dans la situation où je suis aujourd’hui à être super épanoui en perso et en pro et à éclater dans ce que tu fais quoi.
Thierry: En plus dans ton sens mais plus ses ce n’est pas vraiment la question ce n’est pas par rapport aux impôts. Mais c’est le le jeu mais là j’ai connu ça j’ai connu la période où j’ai payé beaucoup d’impôts et où j’en ai payé moin je préfère payer plus d’impôts. j’étais vraiment bien je me plénières mais j’avais beaucoup de cash mais aussi souvent.
Jean LAPLACE: Souvent les gens qui me dit ça sont des gens qui ne paient pas d’impôts qui même paient moins d’impôts et c’est dommage d’avoir peur d’un truc qui en fait. Voilà qui est vachement mieux. Moi je préfère payer 10 000 d’impôts en ayant 10000 euros de salaire mensuel plutôt que de ne pas payer d’impôts et de 1000 euros mensuels. Il n’y a pas il n’y a pas de sujet là dessus c’est une évidence.
Thierry: Je fais un parallèle quand les gens n’ont rien comprendre c’est comme j’ai fait une vidéo il y a quelques mois je suis dégoûté. J’ai passé deux étés j’ai plus de temps j’ai plus de haters j’ai plus de gens qui me regardent. Et comme je n’ai pas assez de lecteurs c’est que je n’ai pas assez de bruit pour pas grand chose donc il faut avoir quelques petits problèmes comme on dit comme on dit un peu plus d’argent. De problème c’est ça des problèmes de plus même niveau.
Jean LAPLACE: C’est avant tout parce que l’argent c’est une finalité. Dans le cadre professionnel mais ce n’est pas une généralité c’est qu’un outil pour le reste de notre projet de vie. Mais c’est un état d’esprit. L’idée c’est de pas focaliser sur un truc qui est peut être même pas un vrai problème aujourd’hui tu vois quand on parle de la crise des impôts moi je prends les deux je les mets ensemble parce que pour moi c’était la même attitude Voilà essayez juste de focaliser sur ce qui va apporter dans la vie sur ce que tu vas mettre en place sur les énergies positives. Vraiment ce n’est pas pour rien que quand tu.
Dans tous les MasterMind avec tous les mecs qui réussissent super bien dans leur domaine. Ils sont tous dans le dev perso et dans les énergies positives et dans des trucs plus ou moins ésotériques. Parce qu’en fait c’est un facteur déterminant de ta réussite. Au delà de chacun sait.
Thierry: Quand tient un arbre le moindre c’est la racine. Parmi les bonnes affaires tu auras pas ta rose avec des bonhommes mais tu vas grandir. C’est exactement ça complètement. Avant d’aller aux questions les 5 questions que je pose à tout le monde. Donc j’ai une question qui va plaire parce que c’est vrai que toi en fin de compte t’es pas t’es pas de l’immobilier souvent et de l’immobilier. Il y avait beaucoup de marchands de biens qui était un agent immobilier qui devenait marchand de biens en fin de compte. Tu ne m’as pas dit si je me trompe pas pompier c’est un gendarme.
Jean LAPLACE: Ouais enfin après on peut faire le truc en une minute. Après mon bac je jouerai ma stratégie et j’avais envie de faire des métiers vocation de métier qui me plaisaient et je faisais énormément d’arts martiaux au lycée donc j’ai décidé d’aller en pleurant l’intervention de gendarmerie donc j’ai fait mon bac en promotion le temps d’intervention de gendarmerie alors que j’étais vraiment un cancre au lycée. Ensuite j’ai voulu changer je te passe pour être rapide. J’ai voulu faire pompier et finalement j’ai eu un accident de moto qui m’a valu un an de rééducation préparation physique pour les pompiers je suis finalement rentré aux pompiers de Paris où j’ai fait deuxième aux pompiers de Paris j’ai quitté les pompiers de Paris.
En fait c’est tout le temps les mêmes raisons. La mission était extraordinaire à chaque fois mais c’est le cadre d’emploi. J’ai besoin de beaucoup plus de liberté et beaucoup plus d’indépendance et je le comprends bien mieux aujourd’hui. Ce n’est pas forcément évident à comprendre à l’époque et finalement je me suis retrouvé typographe géomètre. Je passe les détails de topographie géomètre je me suis dit Bon le mieux c’est de gagner plein d’argent pour pouvoir faire ce que tu veux. J’ai cherché j’ai cherché j’ai essayé agent immobilier dans l’ancien.
Jean LAPLACE: Je suis arrivé en 2008 en pleine crise justement la crise des subprimes. Et au bout d’un an et demi je suis passé dans le neuf d’une opportunité de poste plus intéressant. Donc la Journée de la phase de la vente sur plan tout ce qui est nouveau c’est la galère.
Jean LAPLACE: On là une boite sympa c’était cool mais effectivement il y a toujours cette problématique d’être salarié et d’être limité.
Thierry: Non ce n’est pas ça. Que ce n’était pas ça. C’est le fait de vendre de la bonne foi. Tu sais que ce n’est pas un truc qui est rentable alors tu vends des trucs aux gens tu sais que toi toi tu connais que tu connaissais Robert Kiyosaki qui est investissement et tu disais tu vends un truc où les gens font un effort il n’y a pas de sens. Ouais moi je l’ai fait mais je vendais du principal parce que j’avais un problème.
Jean LAPLACE: Moi je suis chez moi violent sur ce point de vue alors c’est évident que je ne sais pas ce que je prendrais. Je pense qu’il y a effectivement beaucoup de gens qui n’ont pas besoin de ça mais les profils que j’avais moi c’est des gens si tu veux qu’ils n’allaient pas s’amuser à faire des investissements à côté et qui avaient ce besoin de défiscalisation.
Thierry: Donc je pense qu’on a ce qu’on appelle des cadres fainéants.
Jean LAPLACE: Non mais sur certains profils je pense que c’est intéressant parce que la question souvent une donnée intéressante. La question souvent quand tu fais de l’investissement ce n’est pas forcément de savoir si ton investissement est rentable puisqu’ils le sont souvent. La question c’est en faisant celui là tu vas te priver de quel autre investissement tu vois et c’est là dedans dans certains cadres certains cadres dont certains profils d’acheteurs. En fait c’est un très bon investissement pour toi donc effectivement souvent les gens qui écoutent et qui nous écoutent aujourd’hui c’est probablement pas le cas parce qu’ils ont des objectifs différents. Mais moi je te parle de gens qui avaient déjà une gestion patrimoniale aboutie et donc qui n’était pas forcément une mauvaise chose pour moi.
Thierry: J’ai fait l’erreur de poser la question ce que je pensais que tu n’avais pas de background parce qu’on a pas de développeur en immobilier quand tu me dis un géomètre il y a une grande logique un marchand de biens comme ça.
Jean LAPLACE: En fait c’est quand je me suis retrouvé dans le neuf je raconte tout le temps l’histoire en fait aller à des cocktails j’ai jamais bu autant de champagne qu’à cette époque là il y avait toujours les cocktails machin pour que les commerciaux ils vendent plus etc.. En fait j’étais au contact de mecs qui roulaient en Aston Martin et qui s’habillait comme ils voulaient et qui n’étaient pas en costard d’achat et qui faisaient ce qu’ils voulaient de leur vie. Et là je dis autant maintenant il y a un truc qui cloche au bon endroit quoi et surtout avec des rémunérations qui sont et qui était super important. Donc je switch le choix je me dis bah écoute c’est ça c’est ça qu’il faut faire.
Jean LAPLACE: Toujours c’est toi je suis pas un fan de luxe les belles montres et les voitures c’est cool mais ce n’est pas ma priorité mais c’est en fait toute la liberté que ça m’a amené derrière toute la liberté l’indépendance le choix de vie parce que je vis aujourd’hui et qui est super chouette quoi.
Thierry: Mais qu’il a fallu aller chercher ça ça confirme parce que moi je voulais plutôt mettre en avant le fait que tout le monde pouvait s’y mettre mais bon il montre que t’as quand même. Mais bon dans ces cas là au moins ça va.
Jean LAPLACE: Non mais je n’avais jamais vu ça rien. Oui mais la preuve c’est que je ne fais pas de vrai avec eux même les géomètres et tout ça.
Thierry: Donc comme moi je trouve que je suis passé par là. J’ai fait aussi du neuf en construction donc j’ai appris les terrains à connaître ce qui est tout ce qui est immobilier aller voir l’urbanisme. Mais ce qui est bien c’est que l’information ce qu’on fait que ce qui est information c’est du vrai contenu puisque l’expérience du passé plus que je suis actuellement. Donc tu vois sais pas de l’infoprenariat de base des gens comme n’importe quoi.
Jean LAPLACE: Moi l’idée l’idée justement moi ce que je trouve génial dans le projet parce qu’il y a à titre perso. Qui me plaît dans le projet d’un repreneur qui m’a amené sur ça c’est un peu c’est un peu de la psychanalyse. Quand je jette mes élèves j’aide le mec que j’étais il y a cinq ans et qui a galéré parce que tu me parles braves géomètres.
Mais moi je peux te que tu faisais de ce qu’on appelle la verdure. Serge prenais des routes mesurées des routes tu n’as rien à voir avec le cadenas ça n’a rien à voir avec l’urbanisme. Pas le plus responsable je le dis en fait tu me dis pas grand monde mais en fait j’en avais pas dans mon métier spécifiquement. Les termes sont effectivement le géomètre le vrai géomètre il fait de la parcelle du calme ça mais en fait il n’avait pas du tout fait cette partie là. Donc quand on a attaqué je me suis pris on a fait pas mal d’erreurs ça m’a coûté pas mal de milliers d’euros il y a eu un contrôle fiscal au milieu j’en parle. Ensuite il y a eu l’idée c’était vraiment de dire Non tu ne mets pas la dedans et je vais vous donner le chemin pour aller plus vite et c’est ce qui se passe aujourd’hui avec les élèves et c’est super chouette.
Thierry: Près de moi je sais que les gens vont qu’on va attaquer les question pour la fin. Malheureusement ça a été la question à plusieurs reprises. Quel est le business à part celui là.
Jean LAPLACE: Ben non justement c’est ce que je dis ici c’est que je voulais voir les questions Web chez qui a le livre ça choque mais pas les autres Dis moi excuse moi pour.
Thierry: Quel est le business dont tu rêves à part celui qui voit actuellement la suite.
Jean LAPLACE: En fait ce qui m’intéresse depuis le début qu’on dit souvent c’est qu’il y a plusieurs niveaux dans l’investissement en moi ce qui m’intéresse c’est de passer au stade justement de l’investisseur le moment où financier où tu vas lancer des projets sans forcément et sans forcément les gérer derrière toi. Moi ce que j’aime c’est les créer se dépenser. Aujourd’hui je n’ai pas encore la surface financière qui me permet de faire ça. Il y a pas mal de copains qui sont à ce stade là mais c’est passé au Next cap et il n’y a pas un business. C’est vraiment une constante chez moi c’est une constante que je suis pas constant. Il n’y a pas il n’y a pas un business spécifiquement qui me parle toi.
Thierry: C’est vraiment devenir un. Moi j’adore pas vraiment un financier ou. Tu donnes les directives tu l’as fait.
Jean LAPLACE: Mais en fait ça va dans le sens tu vois ce qui est bien c’est d’avoir un alignement entre le perso ou le pro et d’un point de vue perso ce dont j’ai toujours rêvé c’est d’être rentier mais pas rentier pour gagner plein d’argent en rentier pour avoir toute ma liberté. Finalement il y avait le côté pro de dire je mets de l’argent quelque part j’aide des gens à démarrer et je l’écoute je prends des décisions stratégiques etc.
Mais au final je ne suis pas moi au quotidien qui fait tourner la boutique forcément y a un alignement entre ces deux trucs là. Donc à terme je pense que ça serait chouette d’aller parler à prix. Après si tu veux des idées business. Il y a 12 000 de commerce pourquoi pas. A plein de trucs à faire. L’immobilier ça serait bien je me mettais à l’investissement locatif. Il y a plein de trucs à lancer dans plein de domaines c’est ce qui est passionnant c’est que tu sors de la pensée de la pensée unique.
Thierry: Deuxième question quelle est la meilleure expérience en tant qu’entrepreneur ou investir.
Jean LAPLACE: Ou punaise on rentre dans les questions à choix uniques. Ben justement je suis assez je crois je vais prendre un peu la même chose à chaque fois c’est que justement il n’y a pas une ce qui est vraiment intéressant pour ça j’anticipe les questions sur le bouquin. Ce qui est intéressant c’est justement l’ensemble de l’expérience si tu ne peux pas dire une expérience il n’y a pas une spécifique. L’idée c’est que tu te construit par rapport à toutes ces expériences et c’est bien pour ça qu’il faut passer l’action et avancer. C’est un truc que j’ai constaté encore récemment c’est que c’est impressionnant comme à chaque fois que tu mets quelque chose en place une initiative Sortir de chez toi pour aller à un séminaire écrire un article faire une visite de l’immeuble quel que soit ton domaine.
C’est impressionnant comme tu peux avoir. Plus tu mets en place des initiatives plus tu vas avoir des retours et des retours qui me sont complètement inattendus et c’est souvent quelque chose qui encore aujourd’hui me choque. Comme à partir du moment où tu te bouges tu vas avoir des retours inattendus. Donc si je devais te dire pour essayer de rester sur ta question en fait je pense que ce qui m’a le plus marqué c’est plutôt à l’idée que à chaque fois j’ai mis plein de choses en place que ce soit sur le blog. En fait j’ai eu des retours mais ca n’a rien à voir avec ce que j’avais prévu au début. Les opportunités qui se sont créées et qui n’étaient pas du tout en lien avec mon objectif initial.
Thierry: Plusieurs ont compris qu’il faut juste se bouger.
Jean LAPLACE: Mais c’est bizarre à toi tout le monde dit ça et je sais que j’ai entendu déjà dire ça oui c’est la même chose même si on dit tous la même chose il y a peut être une raison mais peut être que oui peut être l’élément majeur qui fait toute la différence c’est surtout que ça coûte rien d’essayer il faut juste mettre en place. Quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur.
Thierry: Meilleur levier pour devenir entrepreneur. Question Tu me demandes de l’immobilier les commerces le machin ou l’état d’esprit trop souvent défavorable à s’inventer des fonds. On n’arrête pas de poser la question les gens tu vois ce que tu veux.
Jean LAPLACE: Alors je pense que va répondre en termes d’activité je pense que clairement on le sait et ce n’est pas pour rien. Il y a l’immobilier d’un côté Internet de l’autre c’est vraiment les deux leviers les plus les plus faciles pour démarrer.
Jean LAPLACE: Je ne rentre pas dans le détail parce que tout le monde connaît les stratégies. L’avantage de la revente c’est que tu peux te créer du cash très rapidement. Je pense qu’il faut avoir dans un premier temps cette idée de créer un patrimoine et dans un second temps de faire marcher ce patrimoine de l’investir dans d’autres trucs. Après pour ce qui est de haut niveau de l’état d’esprit je pense qu’on te l’a déjà dit j’en suis persuadé. Mais c’est clairement ce qui fait la différence c’est un passage à l’action de la persévérance et la persévérance. En fait c’est le fait d’être encore encore encore dans l’action.
Il y a tant parlé tout à l’heure il y a beaucoup de marchands de biens qui se lancé en même temps que nous il y a beaucoup de gens qui ont qui ont commencé après nous. Aujourd’hui il n’en reste pas tant que ça. Parce qu’ils ont parce qu’ils ont lâché quoi. C’est vraiment une constante de gens qui abandonnent. Voilà j’ai dans mon entourage en fait ceux qui ont pas réussi soit c’est parce qu’ils n’ont jamais rien fait soit c’est parce qu’ils ont arrêté de faire quoi.
Thierry: Pour revenir sur un épisode que ceux qui écoutent il faudra mettre le lien d’inscription allez voir un épisode que j’ai fait avec Eric Behanzin. Comprendre que la persévérance a pas mieux quand tu vas quand tu vas perdre beaucoup beaucoup l’ont dit mais lui préciser que c’est aussi son métier dans le développement personnel tout au moins cent fois et il l’a détaillé sans la persévérance. Si tu n’abandonne pas tu ne peux pas perdre.
Jean LAPLACE: Non mais même aujourd’hui parce que j’ai souvent des gens dans mon audience y a forcément des gens parfois qui me sur pierre et qui me mettent un peu sur un piédestal tout ce que tu as fait. Mais même aujourd’hui je veux dire la semaine dernière j’ai eu des déconvenues il y a toujours des moments où tu dis non mais ce que je fais c’est nul.
Je suis vraiment mauvais. Bon achat revente je suis quand même en millions d’euros donc je n’ai pas mais ça t’arrive encore en fait et je crois que c’est une constante je suis là autant que tu dois en parallèle. Ben justement pas lâcher avancer et juste pas faire attention et tu dis ok c’est normal ça fait partie d’un cycle c’est logique je m’en fous je continue quand je pense que je continue parce que si tu continues ça va pas s’améliorer.
Thierry: Donc quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur et pourquoi.
Jean LAPLACE: Je dis non.Je ne te donnerai pas le livre justement le choix. Le secret c’est surtout de ne pas prendre qu’un seul livre parce que tout le monde le sait mais souvent dans les bouquins qu’on lit. Il y a une idée qui est hyper intéressante et il y a il y a beaucoup de blabla autour. Je pense que vous l’avez tous constaté il y a toujours entre le titre et marketing soit une idée de génie ce qui va faire que ça va devenir intéressant c’est comme pour l’expérience c’est le fait d’accumuler les idées de pouvoir les comparer et de pouvoir parler avec ça parce que je fais pas mal de sport à côté.
Quand tu cherches des bouquins sur l’entrainement Tintin qui dit il faut surtout s’entraîner le matin l’argent et l’autre qui dit surtout évitez de vous entraîner. Donc tu fais quoi avec l’expérience encore récemment. C’est vraiment plein de bouquins. Après je vais te citer tous les gros classiques si j’en prends aucun je reste quand même convaincu que face à une millionnaire la loto du millionnaire bien sûr ça me fait mal ça m’embête un peu parce que c’est un peu facile mais c’est.
Thierry: Mon idée pour les gens comme nous qui dirait qu’ils ne font pas de fluffe on dire que ton sac même si il y a plein de choses qui paraissent bizarres devant de déformation Joseph ou pas.
Jean LAPLACE: Lorsque je vois un très bon exemple de ce que je pense de bouquin c’est que c’est un bouquin déjà le début du bouquin il est un peu différent tu accroches ou t accroche pas mais c’est vraiment mon bouquin y’a vraiment des pépites dedans et au milieu il y a des trucs pas des trucs pas forcément intéressants pas forcément bien dit extra ce qu’il faut s’attacher. Moi je pense que je conseille à mon avis ce que je conseille dans la lecture d’un bouquin c’est d’aller chercher l’idée maîtresse celle qui va vous aider et ne pas se prendre la tête sur le reste.
D’ailleurs je vais en citer un deuxième si tu me permets parce que c’est marqué c’est un très bon exemple de ça c’est quand même la semaine de quatre heures la semaine de quatre heures qui est une légende absolue en terme de bouquins et qui a amené douze critiques à dire tu te doute bien moi je ne travaille pas quatre heures par semaine je travaille comme un malade et parce que si je travaille pas tous les jours je me dis juste pourquoi tu t’arrêtes quoi. Mais ce qui est intéressant dans le bouquin c’est de comprendre l’idée de l’automatisation de la délégation. L’idée de travailler avec efficience pour un même travail avoir un résultat démultiplié. Tu prends cette idée maîtresse dans le bouquin et tu es tu là tu l’as tu la cale sur ton sur ton truc sans prendre le bouquin au pied de la lettre. Chaque ligne aussi aller de plusieurs à l’échelle d’Indy influence manipulation dont le titre pourrit par rapport au bouquin. Mais super.
Thierry: Je suis en train de le lire parce que compte les trois cités sont toujours. Souvent après le dîner on me disait souvent et je l’ai pris en poche 8 euros donc voilà je me suis dit Maintenant je vais prendre ma discipline de m’acheter un bouquin tout tous les mois parce que souvent j’ai la bibliotheque mais pas les livres que tu veux donc maintenant je vais prendre le réflexe de chaque mot chaque mois. Une discipline que soit les douches froides le jeûne deux ans que je fais le jeûne. Je me suis la discipline c’est tous les mois de prendre le réflexe d’acheter un bouquin. Des fois je dis moi parce que moi je suis moins lectures qu’avant j’étais plutôt en lecture audio. J’aime mieux comme je l’ai lu en audio mais je le rappelle au moins d’avoir lu le papier ou le bouquin d’avoir en main et des fois comme ça c’est mieux. J’adore ça mais.
Jean LAPLACE: Tu sais que c’est une grosse erreur que je faisais avant. Il y a 10 ans je me disais mais 15 balles dans un bouquin ça c’est trop cher ça vaut pas le coup je vais aller m’acheter une bouteille de chips à quoi tu sais. Autre époque autres mœurs mais mais en fait franchement quand tu vois le contenu que ça porte c’est hyper fondamental. C’est là la façon la moins chère d’avoir de la très bonne information c’est le bouquin qu’on donne des idées.
Thierry: Et surtout. Quand tu un peu donnes comme tu te dis à 5 minutes tu prends le bouquin tu te poses d’un appareil autour de la pose. Après c’est difficile. Maintenant de se poser ce qu’on est tellement il y a tellement de choses qui nous empêchent de lire. Tu prends tu étais reparti acheter.
Jean LAPLACE: Un bonus comment se faire des amis. Oui c’est bien. à chaque fois c’est ce qui est génial c’est que les titres sont vraiment des titres pourris quoi. Et par rapport au contenu. Mais l’idée c’est accumuler. Moi je pensais plutôt l’inverse accumuler des bouquins parce que vous allez avoir des déclics à chaque de bouquins à faire passer ça ouvre des voies ou des idées ça vous étends votre territoire.
Thierry: Donc Dernière question. Quelle est la compétence que tu rêves d’avoir ?
Moi je suis plein c’est toujours pareil étant donné que je suis je suis assez attaché à la compréhension de l’humain au sens psychologique.
Jean LAPLACE: Je pense que c’est un élément qui te permet de performer dans tellement de domaines dire d’être plus épanouis à titre personnel dans ton couple avec tes amis et à titre professionnel dans la négociation dans la vente voilà on vit dans un monde dans un monde social et le fait de bien comprendre les mécanismes de l’humain permet de mieux vivre et d’obtenir plus facilement ce que tu aimerais de manière bienveillante. Bien évidemment mais je suis assez fan de ça et je me rends compte aujourd’hui pas mal de mes réussites tiennent à sa capacité à convaincre la capacité à comprendre les besoins de l’autre.
Jean LAPLACE: C’est vraiment ça qui est génial c’est qu’il y a une forme d’empathie dans cet état d’esprit c’est que l’idée c’est vraiment de chercher à comprendre et de s’adapter à ce que l’autre veut que ce soit pour le groupe pour lui vendre quelque chose parce que t’es là pour gagner de l’argent et ta vie où que ce soit pour le perso. Pour bien t’entendre avec ton entourage ou autres pour ça.
Thierry: C’est important qu’on n’est pas tout seul mais quand même 7 milliards ou même plus. Donc ça va pas comprendre son prochain donc Jean grand merci beaucoup de bon contenu. J’espère que les gens vont aimer partager la formation.
Thierry: C’est quoi le nom de l’information à l’information.
Jean LAPLACE: Larris. Larris pour comment se lancer dans l’achat revente immobilier sereinement et donc je le répète investir. Ouais vous aurez tout directement sur le site. Tous les articles gratuits vous avez le lien pour la formation. Ce sera avec grand plaisir.
Thierry: Bonjour je te dis grand merci. Encore un d’investissement et à bientôt.
Jean LAPLACE: Merci à toi et à très bientôt.
Thierry: Ciao
Thierry: MERCI à jean marc c’est vraiment un échange très intéressant pour le marchand de biens. Qui est vraiment une technique pour gagner du cash assez rapidement. Il faut bien sûr faire attention comme il l’expliquait il y’a des techniques. Lui il a une formation qu’il te propose donc tu peux aller sur son site investir retirer du système immobilier comme tu Pape Jean la place sur un ton toujours directement. Donc si tu es toujours intéressé comme t’as vu à la fois appareil de nos livres. Je remercie encore mon partenaire. Thierry-henry.fr/audible fnon pour avoir des livres gratuits et pouvoir faire un livre gratuit tous les mois surtout dans le premier mois de 30 jours gratuit. Et ensuite tu pourras. continuer à éduquer te développer comme tu le fais quand tous mes invités des livres. tu es aussi invité à participer à main levée de fonds pour un séminaire que je vais faire l’année prochaine. à l’heure où j’ai fait le podcast, je ne sais pas si on a dépassé le montant encore qu’on leur a dépassé mais ce n’est pas gênant. Donc thierry-henry.fr/seminaire-2020 donc 20/20. Donc thierry-henry.fr/seminaire-2020
2 0 0. Moi je te dis très bientôt pour la semaine prochaine avec un expert du commerce qui va expliquer comment gagner du cash en faisant dans le commerce dropShipping et donc du prix le temps de demande. parce que depuis quelques années il a. dépassé le million vente de l’Union avec ses techniques. Je te dis la semaine prochaine.
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