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Episode 3 – Comment quitter la Rat Race avec Rémy Roulier ?

Comment quitter la rat race avec Rémy Roulier ? Aujourd’hui j’interview Rémy Roulier. C’est un YouTubeur mais surtout un super marketer qui a testé plusieurs business model et créer plusieurs actifs en ligne en quelques années.

Pour suivre Rémy voici les liens ci-dessous :

Webmarketingfrenchie:
http://www.webmarketingfrenchie.com/
Académie Infopreneur:
https://www.academie-infopreneur.com/
Auteur Star:
http://www.auteurstar.com/
Defoule-toi:
https://www.defoule-toi.com/

 

Salut à tous ! Bienvenue donc sur l’entreprenariat lifestyle, épisode numéro 3 avec Thierry #HENRY, moi-même. Aujourd’hui, comme j’ai dit dans l’épisode 2, j’interview Rémy Rouilier, webmarketeur, infopreneur très connu, et très performant aussi. Il va nous dire comment il a quitté la rat race il y a trois ans, et comment il a fait pour devenir indépendant. Donc, il va nous donner plein de petits conseils. Il a essayé plusieurs petits business. Actuellement, il est devenu entrepreneur, infopreneur, et a aussi quitté la Rat race. Donc, voilà pour cet épisode. À tout de suite avec Rémy Rouilier.

Thierry Henry : Comment tu vas ?

Remy Rouilier : Très bien.

Thierry Henry : Oui. Merci d’avoir pris le temps, en fin de compte, de t’arrêter pour parler un peu de ton activité. Comment tu as a quitté la rat race, il y a quelques années ? Donc, Rémy, moi je vais te poser quelques questions. Rapidement, présente-toi pour ceux qui ne te connaissent pas. Tu as une grande chaîne YouTube, tu as une expérience dans le métier.

Remy Rouilier : Oui. Donc moi, si tu veux, à la base, j’avais fait des études d’ingénieur informatique. Après, j’ai été salarié en tant que responsable marketing. Puis en 2015, j’ai voulu quitter le salariat parce que je ne supportais plus. Enfin, j’avais vraiment un besoin de liberté, j’adore voyager. Puis, c’est vrai que le salariat, on a des contraintes, par exemple. On est enfermé entre 4 murs. On a des horaires fixes. On est soumis à pas mal de stress. Il y a aussi les temps de déplacement qui pouvaient être grands surtout pour ceux qui habitent à Paris. Moi, ce n’est pas le cas.

Mais voilà, des fois, on n’a pas forcément envie de se taper les bouchons. On est tributaire d’un patron. Par exemple, on ne peut pas prendre forcément nos propres décisions. On ne peut pas utiliser notre créativité. Donc, tout cela, finalement, j’ai décidé de voler de mes propres ailes. Tu veux que je te présente un petit peu la suite comment j’en suis arrivé à l’infoprenariat ?

Thierry Henry : Disons que tu as commencé par-là puisque tu as le schéma classique de la personne qui veut quitter la rat race et tu auras pu faire de l’immobilier, tu auras pu faire plein de choses. Comment tu es venu à ce que tu as fait et pourquoi tu l’as fait ?

Remy Rouilier : Moi, si tu veux, le web, cela m’a toujours passionné. Contrairement, par exemple, l’immobilier, je suis moins sensible même s’il y a des très belles opportunités. Moi, c’est vraiment le web qui me parlait au début. Et surtout j’avais rencontré, enfin j’avais connu comme cela, découvert Christian Godefroy qui, pour moi, est le père un petit peu de l’infoprenariat francophone, qui est aujourd’hui décédé.

En fait, j’étais tombé sur des vidéos sur lui. Cela devait être en 2006, 2007. Tout de suite, cela a fait du sens pour moi. Cela m’a parlé. Du coup, voilà, je l’ai suivi pendant pas mal de temps. Et, cela doit être en 2011 peut-être, j’ai lancé comme cela un premier système, c’était une méthode de développement personnel, enfin plutôt d’efficacité personnelle destinée aux étudiants US. Donc en fait, j’ai écrit tout un livre en pdf qui doit faire 210 pages à peu près sur plein de techniques pour réussir ses examens.

Thierry Henry : 210 pages en pdf, c’est énorme.

Remy Rouilier : Oui. Mais à l’époque, cela se faisait parce que c’était vraiment, les PDF n’étaient pas perçus comme aujourd’hui, comme actuellement.

Thierry Henry : D’accord !

Remy Rouilier : Du coup, j’ai créé tout un site comme cela, avec une page de vente, cela s’appelle exams-success.com. Cela existe toujours. C’est toujours en ligne.

Thierry Henry : D’accord !

Remy Rouilier : Puis du coup, j’ai commencé comme cela mes premiers pas à diffuser ces connaissances auprès du marché américain exclusivement puisque tous les livres étaient en anglais. Après, j’ai découvert l’opportunité Amazon Kindle, cela devait être en 2012. J’ai commencé vraiment à bûcher, à développer une technique pour produire des livres extrêmement rapidement. Donc, j’ai publié plus d’une soixantaine de livres pratiques parce qu’en parallèle, je me passionnais sur le marketing, et etc.

Thierry Henry : En fin de compte, tu l’as fait en 2012. Tu étais encore employé, c’est cela ?

Remy Rouilier : Oui. C’est cela.

Thierry Henry : Ce sont des livres que tu as écrits toi-même ou tu as fait écrire par quelqu’un ?

Remy Rouilier : Non. J’ai tout écrit  moi-même.

Thierry Henry : D’accord.

Remy Rouilier : Et même d’ailleurs, le tout premier livre que j’ai écrit, c’était un petit peu, c’est d’utiliser un peu des techniques d’efficacité personnelle que j’avais appris. Le titre c’était : « comment se concentrer comme Einstein ? » Puis, le tout premier livre a été propulsé au 23e de toute la boutique Kindle, toutes catégories confondues. Donc, cela a super bien marché.

Après, du coup, cela m’a vraiment incité à continuer à dupliquer ce modèle avec d’autres thématiques qui me parlaient, notamment tout ce qui est marketing, tout ce qui est développement personnel pour partager finalement mon savoir.

J’ai commencé comme cela à écrire, j’en suis maintenant à plus d’une soixantaine de livres Kindle maintenant. C’est moins mon activité aujourd’hui, mais finalement tous ces livres, une fois qu’on les a écrits, c’est un petit peu comme une mini-rente, un peu comme dans l’immobilier. C’est-à-dire qu’on crée une fois le livre, et après, tous les mois, on reçoit des royalties de manière passive. Par exemple, le premier livre que j’ai publié en 2012, aujourd’hui, il me rapporte encore des royalties.

À un moment, je me suis mis vraiment à fond là-dessus et je sortais jusqu’à deux livres par semaine, deux livres pratiques que je publiais sur Kindle en faisant tout de A à Z. C’est-à-dire l’écriture, le formatage, créer la couverture, la page de vente, plus la publication. J’ai bossé énormément pour ensuite avoir récolté un petit peu du fruit sous forme de rente et de revenu passif. Du coup, tout cela, je l’ai transformé en une méthode qui s’appelle la méthode « Kindle Bank star ». On peut retrouver cela sur un de mes sites qui s’appelle : auteurstar.com.

Thierry Henry : Auteurstar.com, oui je l’avais vu puisque, moi, c’est un business qui m’intéressait. J’ai même fait un article dessus. Si je comprends bien, donc tu as environ 60 livres de sortis. Ce que tu as sorti après, ce sont plutôt des 00:06:23. C’est plutôt entre 30 et 60 pages, c’est cela ?

Remy Rouilier : Plutôt entre 50 et 120 pages, on va dire.

Thierry Henry : Tu es plutôt positif. Est-ce qu’actuellement quand tu étais sorti en 2015, tu as voulu quitter la rat race. Donc techniquement, tu avais déjà un actif qui te ramenait des revenus. Donc, tu as pu sortir plus tranquillement, on va dire.

Remy Rouilier : Voilà. C’est cela parce qu’au final, je savais qu’enfin, il faut d’abord quand on est sur le web, réussir à se construire quand même une audience et se faire connaître. Du coup, je me suis dit que cela peut être un super moteur l’Amazon Kindle vu que déjà on profite de la visibilité d’Amazon, qui est quand même le 5e site le plus visité en France, et également dans le monde. Du coup, le fait ensuite de se positionner comme auteur, cela peut donner une preuve d’autorité supplémentaire.

Donc, cela me paraissait être le modèle de business parfait, puisque même en étant particulier, et on peut quand même se lancer sur Kindle, c’est d’ailleurs tous les particuliers, par exemple, tu vois, qui veulent trouver une maison d’édition. Puis, souvent, c’est super galère de trouver une maison d’édition.

Les auteurs comme cela, ils ne sont pas forcément bien payés, ils ne touchent peut-être que 5, 10 % au bout de un an pour leur livre publié. Et encore, les éditeurs n’oublient pas de les payer. Donc, c’est super galère. Alors que vraiment, cette plateforme Amazon Kindle, cela donne une opportunité à n’importe qui de pouvoir se lancer comme cela, partager son savoir sur une compétente, une passion qu’ils ont puis se lancer comme cela.

Thierry Henry : Après cela, il faut aussi connaître le marketing. Toi, est-ce que ta compétence marketing t’a aidé en fin de compte à vendre mieux, plus facilement tes livres ?

Remy Rouilier : Oui. Si tu veux, c’est un petit peu comme toutes compétences. Je me suis formé, j’ai acheté beaucoup de livres sur le sujet, j’ai suivi moi-même plusieurs formations auprès de marketeur américain sur le sujet à l’époque. Et en fait, j’ai tout transformé en une méthode, du coup la méthode que je t’ai citée tout à l’heure, Kindle Bank Star, qui était un petit peu la synthèse de tout le processus que je faisais quand j’écrivais un livre.

C’est-à-dire de l’écriture, de la création, par exemple du titre, de tout le contenu du livre, finalement. Comment je crée ma couverture extrêmement rapidement ? Comment je formatais tout cela ? Comment je publiais ? C’est-à-dire avec une trame limite à recopier par la page de vente, la recherche de mot-clé, la recherche de concurrence. Bref, c’est tout un système, comme cela, qui est simplifié étape par étape pour produire un livre de A à Z.

Thierry Henry : Est-ce que toi actuellement, tu conseillerais une personne qui veut sortir de la rat race, de prendre la même méthode puisque même si Kindle, cela a un peu changé, on dit que c’est moins performant qu’avant ou est-ce que tu feras autrement ?

Remy Rouilier : Je pense que cela peut toujours être utile, ne serait-ce que, tu vois, pour avoir une preuve d’autorité, parce que c’est vrai qu’à partir du moment où on sort un livre, on n’est plus forcément perçu de la même manière. Donc déjà, cela peut permettre, peut-être après, tu vois, en utilisant d’autres méthodes, par exemple, des communiqués de presse ou autres, pour se faire connaître auprès des journalistes que cela rayonne du coup davantage.

Donc, c’est un petit peu ce qui veut l’un des tremplins, parce que là maintenant, je me consacre beaucoup moins sur Amazon Kindle parce que j’ai d’autres activités, mais cela fait le lien justement pour se faire connaître. C’est que moi, j’avais sorti, il y a peut-être un ou deux ans des livres de coloriage vulgaire. En fait, j’ai voulu pousser le truc un petit peu plus. Enfin, j’ai cherché d’autres opportunités avec Amazon.

Mais tu as aussi les livres en papier. C’est-à-dire que maintenant on peut en plus publier le livre en format papier. C’est-à-dire ce qui permet pour plein de personnes qui ne veulent pas acheter au format numérique. Il y a aussi beaucoup de clients, en plus, pour un même contenu de l’avoir au format papier. Du coup, j’ai sorti des livres de coloriage vulgaire. Donc cela, il n’y en avait pas. J’étais le premier à les sortir. C’est-à-dire pour se défouler et pour déstresser. En gros, on colorie des gros mots.

Thierry Henry : Oui. J’ai vu le livre. J’avais été voir tout de suite avant de te contacter. C’est defoule-toi.com, c’est cela ?

Remy Rouilier : Oui, c’est cela, defoule-toi.com. C’est vraiment pas mal du tout. Enfin, le concept est assez fun. Donc, on colorie des gros mots comme « sale con » ou « casse-toi. » Enfin tu vois, des trucs comme cela, « va chier » vraiment pour se déstresser par exemple si on a des collègues toxiques ou des trucs comme cela.

Donc cela, c’est vrai, c’est beaucoup un public féminin qui achète cela. Mais du coup, j’ai lancé cela aussi sur Amazon et cela a complètement cartonné. J’ai mixé cela avec un communiqué de presse, ce qui a fait que je suis aussi passé un petit peu partout sur France 3, dans les radios, Virgin Radio, etc. Donc, cela a bien fait son petit buzz ce truc-là. Et c’est une autre opportunité finalement. Tu vois, il n’y a pas forcément que les livres Kindle, c’est un autre moyen par exemple de générer des rentes. Tu vois par exemple faire des livres de coloriage. Ce n’est plus trop l’activité. Maintenant que j’écris tout cela, je suis passé sur d’autres activités. Je t’en parlerai après si tu veux.

Thierry Henry : D’accord. Donc là, dans tous les cas, tu as bien résumé. Tu as eu deux activités très créatrices, dont une, en fin de compte defoule-toi.com, c’était une idée qui s’est faite aux États-Unis, si je ne me trompe pas, que tu as récupérée. Les Kindle pareils, cela faisait un carton aux États-Unis, comme quoi en fin de compte, il faut juste ouvrir les yeux et voir ce qui marche bien ailleurs et l’adapter « à la française ».

Remy Rouilier : Oui, voilà ! En fait, il faut être un petit peu créatif et on peut voir un petit peu. Alors pas forcément qu’aux États-Unis, des fois, il y a des pays, on peut prendre ou s’inspirer de concept qui se passe à l’étranger. On se dit, mais cela cartonnerait, par exemple, sur le marché francophone et cela permet d’avoir des idées comme cela.

Donc, il suffit que tu voies un petit peu de créativité puisqu’au final, les livres de coloriage vulgaires comme on l’avait aimé, c’est qu’au début, j’étais tombé sur une formation d’un marketeur américain qui montrait que les livres de coloriage pour adultes, mais des mandalas, des mandalas à colorier, cela cartonnait littéralement.

Donc, il apprenait comment faire des livres de coloriage en mandalas. Moi, au début, j’ai commencé à publier des livres de coloriage pour adultes sur le marché francophone de mandalas, sauf que j’avais rajouté une petite touche créative. J’avais mis cela sur fond noir pour que les couleurs puissent mieux ressortir.

Donc déjà, pour pouvoir se différencier, apporter une petite touche créative. En parallèle, j’ai fait un petit peu une étude de marché, voir ce qui cartonnait sur le marché US. J’étais complètement étonné de voir que les livres de coloriage qui ont déjà un marché qui cartonnait que les livres de coloriage qui marchaient le plus c’était colorier des insultes, des gros mots.

Donc, je me suis dit « mais cela serait génial d’apporter ce concept sur le marché français ». Du coup, j’ai mixé le gros mot avec les fonds noirs, avec l’expérience que j’avais avant, et notamment sur Kindle pour écrire des pages de vente, et etc. C’est un petit peu comme cela qu’est née l’idée défoule-toi. Il suffit de savoir regarder aux bons endroits d’être un petit peu créatif pour se constituer son propre modèle en fonction de ses passions, en fonction de ce qu’on aime faire aussi.

Thierry Henry : Donc toi, ton premier partenaire, enfin tes deux premiers partenaires, c’était Amazon, on va dire ?

Remy Rouilier : Oui.

Thierry Henry : Puisque le premier Kindle et là ensuite, c’est encore Amazon. Donc, des systèmes qui étaient un peu à la mode, un peu moins maintenant. Est-ce que toi, tu as pensé aux autres systèmes qui sont venus : Amazon FBI ou autre, ou sinon tu as préféré, comme j’ai vu un peu sur Internet : restez sur ta niche marketing avec webmarketeurfrenchie.com.

Remy Rouilier : Oui. Alors, si tu veux, à un moment donné, j’avais fait un petit peu d’Amazon FBI oui. Finalement, cela ne m’avait pas, j’avais suivi d’autres formations un petit peu comme cela sur créer du stock, enfin maîtriser Amazon FBI. Finalement, cela ne me parlait pas forcément dans le sens où je ne voyais pas trop l’intérêt d’acheter bêtement des produits puis les revendre comme cela sans apporter une valeur ou une touche personnelle.

Thierry Henry : Oui. Tu n’es pas trop e-commerçant à l’ancienne. Tu es plutôt e-commerçant classique, moderne, on va dire, plutôt infopreneur avec du numérique et pas du stock. Dans ton esprit, ta façon de faire, c’est plutôt du numérique.

Remy Rouilier : Oui. Alors, déjà, il y a cela. En plus, c’est que j’ai besoin d’exprimer une certaine créativité, et surtout d’apporter de la valeur aux gens, que je puisse apporter quelque chose qui leur change la vie, parce que moi, acheter, par exemple, des glaçons en forme de tête de mort ou des cendriers fluorescents, cela ne touche pas forcément la vie, c’est juste que tu fais une marge. Bon maintenant, le dropshipping, cela commence à être de plus en plus connue.

On sait que 99 % des gens fournissent sur AliExpress, puis montent un site sur Shopify, et rouler jeunesse. Voilà ! Moi, ce n’est pas forcément un modèle qui me plaît en termes d’apport de valeur.

Thierry Henry : Enfin ta solution, ce sera de créer ton propre produit physique et de le vendre par toi-même ou par Amazon FBI si tu as envie plutôt de te faire aider, puisque j’ai des amis qui font cela et qui ont créé leurs propres produits. Ils utilisent FBI parce que cela a un pouvoir énorme, c’est la plateforme Amazon qui est énorme. Mais de leur côté, ils peuvent vendre aussi par eux-mêmes.

Mais toi, en fin de compte, dans l’esprit et dans ce que tu me dis, ce sera de créer ton propre produit de A à Z, comme cela, au moins, tu as l’impression d’apporter de la valeur.

Remy Rouilier : Oui, voilà exactement ! Moi, en fait, c’est justement le côté infoprenariat qui me parle plus, parce que cela, tout ce que je te disais là sur Amazon, sur les livres de coloriage, ce n’est qu’une partie de mon activité parce qu’en parallèle, j’ai aussi fait beaucoup d’affiliation. Du coup, maintenant, mon activité principale. Alors, j’ai développé aussi toute une académie, qui s’appelle l’Académie infopreneur. Je peux citer le site : academie-infopreneur.com.

Là, j’ai développé tout un programme autour de l’infoprenariat pour toutes personnes qui veulent en fait diffuser leur savoir, leur passion et pouvoir en vivre sur Internet. Ce programme, c’est 7 mois pour diffuser, pour apprendre à diffuser son savoir sur le web et changer de vie. C’est vraiment ce qu’il y a de plus complet. Enfin, j’ai vraiment regroupé toutes les techniques les plus modernes et les plus complètes pour devenir infopreneur en partant de zéro.

Ce programme, c’est vraiment sur 7 mois. Il y a trois grands piliers dans cette académie. Le premier gros pilier, c’est la première et la deuxième semaine de chaque mois, on met en place un système à long terme. Quand je dis système à long terme, c’est-à-dire que les deux premiers mois sur les 7 mois, on va d’abord créer toute une stratégie de contenu, voir comment organiser de contenus, sur quelle plateforme les diffuser par rapport à la passion de la personne.

Les deux mois suivants, on va créer toute une stratégie d’audience, c’est-à-dire comment faire pour amorcer une audience le plus rapidement possible. Cela, c’est sur deux mois. Les trois derniers mois, du coup, on fait toute une stratégie de produits. On apprend à créer un produit d’information, on apprend même à vendre des produits d’information avant, sans même les avoir créés. Donc plein de techniques comme cela de création de produits où là déjà on peut commencer à générer des revenus. C’est un système à long terme qui crée vraiment un système extrêmement stable qu’on peut aussi longtemps continuer à l’alimenter. Du coup, il est complètement indépendant.

Au bout des 7 mois, le but c’est de pouvoir quitter un job salarié et que cela tourne déjà tout seul. Mais en parallèle de cela, il y a aussi un autre pilier qui est un système à court terme, où là, du coup, c’est la troisième semaine de chaque mois. On a en fait un système qui est complètement indépendant, qui permet de générer des revenus immédiatement en le mettant en place.

Cela permet d’avoir des revenus immédiats, contrairement au système à long terme, où on prend le temps vraiment de construire, et que c’est au bout du 5e mois, où là on va déjà développer une stratégie de création et de vente de produit.

Là, les systèmes à court terme, cela permet d’avoir des revenus immédiats, chaque mois d’avoir un système complètement indépendant et autonome, qui permet de multiplier les sources de revenus. En plus de cela, il y a un troisième pilier, c’est la 4e semaine de chaque mois, qui me semble essentiel et qu’on ne retrouve pas forcément ailleurs. C’est un pilier sur le leadership, c’est-à-dire tout ce qui est le mindset qui est vraiment essentiel. Cela fait pour moi 80 % de la réussite d’un infopreneur.

Notamment, on fait tout un travail sur la clarté, c’est-à-dire savoir exactement pourquoi on s’engage, parce qu’il y a beaucoup de personnes. Aux premières difficultés, ils vont se dire soit ce n’est pas pour moi, ou c’est trop dur. Donc, tu vois, c’est plein de facteurs psychologiques comme cela qui vont pousser les gens à abandonner avant l’heure, finalement. Une fois qu’on a bien fait la clarté et qu’on sait pourquoi on s’engage, chaque fois qu’on aura envie d’abandonner, on repensera pourquoi on s’est engagé.

Thierry Henry : Oui. C’est bien d’avoir mis la base du pourquoi 00:20:05 qui oublie qu’il offre beaucoup de techniques, mais qui oublie que la base, c’est ce que je dis dans mon blog, parce que mon blog, le titre c’est business immobilier et développement personnel. J’appuie toujours sur la base que si on n’a pas le socle comme un arbre qui a ses racines dans la terre, cela ne sert à rien. On va faire des choses, mais on ne saura pas pourquoi. Donc, c’est très bien.

Remy Rouilier : Oui. Donc en fait, c’est le fait de faire de la clarté, c’est dès le premier mois d’entrée de jeu où on attaque avec cela. Après, chaque mois, il y a un aspect spécifique du leadership, notamment le travail sur les émotions : gérer ses émotions, gérer ses peurs, gérer son entourage aussi puisqu’il y a Jin Nguan aussi qui l’avait bien dit. C’est qu’on est un petit peu… on tend à devenir la moyenne des 5 personnes avec qui on passe le plus de temps.

Donc, il faut bien savoir s’entourer. Par exemple, c’est vrai que si on un conjoint ou une conjointe qui est complètement, qui nous dit que ce qu’on fait, ce sont des conneries et autres, qui ne soutient pas. C’est vrai que cela va être difficile d’être performant. Toutes les peurs aussi à gérer, par exemple, il y a plein de personnes qui veulent se lancer sur YouTube, mais ils ont peur de malfaire, ils ont peur de se lancer. Tu vois c’est autant de fois qu’il faut absolument lever pour pouvoir réussir.

Thierry Henry : Et le seul moyen, c’est le développement personnel, le pourquoi et la formation, c’est ce que tu proposes ?

Remy Rouilier : Oui.

Thierry Henry : Donc, c’est academie-infopreneur.com, c’est cela ?

Remy Rouilier : Oui, c’est cela. Cela, je l’ai créé en fait cette année, parce qu’il y avait une grosse demande en termes d’infoprenariat pendant quelques années. Ma chaîne YouTube, je l’avais créée en 2015, je crois. J’avais beaucoup parlé d’infoprenariat. J’avais aussi fait pas mal de vlogging pour montrer qu’on pouvait vraiment avoir un style, passer son temps aussi à voyager, vraiment profiter de la vie, se sentir libre tout en exprimant sa propre créativité.

Maintenant que cela s’est créé, cela tourne automatique et ma grosse activité en fait, j’ai un gros focus maintenant, c’est tout ce qui est logiciel marketing, avec mon site phare qui est webmarketingfrenchie.com où là je propose des logiciels marketing qui sont hyper innovants, hyperpuissants et qui sont complètement inédits en France pour permettre à toutes personnes qui veulent lancer une activité en ligne d’avoir des résultats qui devancent considérablement la concurrence.

Parce qu’ils vont aller beaucoup plus vite que d’acheter des formations pour se former, par exemple, pour créer des publicités Facebook ou des vidéos de produits. Il y a des outils qui existent, qui leur permettent de créer des vidéos pour faire la promotion de leurs produits en seulement quelques clics, plutôt que, aussi par exemple, passer par une agence marketing qui va leur prendre 300 ou 400 euros, pour chaque vidéo, pour chaque produit dont ils veulent faire la promotion.

Là, ils peuvent avoir un outil à prix cassé. Puis, ils utilisaient pour autant de vidéos qu’ils veulent et faire la promotion, créer des vidéos professionnelles pour promouvoir leurs produits extrêmement facilement.

Thierry Henry : L’inconvénient, le problème, c’est que souvent ces logiciels sont anglo-saxons. Donc, est-ce que là, tu as des logiciels français ou seulement tu fais de la traduction, tu fais des tutos pour pouvoir utiliser ces logiciels ?

Remy Rouilier : Oui. Alors, il faut savoir effectivement tous ces logiciels. Ce sont souvent des outils qui cartonnent à l’étranger, notamment aux États-Unis. En fait, chaque personne qui fait l’acquisition d’un logiciel avec moi, elle a accès en plus à un espace membre où là je leur offre un bonus gratuit. C’était une vidéo de formation complète en français pour prendre en main un outil vraiment en français, comme si j’étais derrière eux pour pas à pas le prendre en main facilement.

Thierry Henry : D’accord, c’est intéressant !

Remy Rouilier : Oui.

Thierry Henry : D’accord. Cela c’est donc sur le site webmarketingfrenchie.com ?

Remy Rouilier : Oui, voilà !

Thierry Henry : Qui est lié à ta chaîne YouTube, c’est cela ?

Remy Rouilier : Oui, voilà ! C’est exactement cela. Donc, il y a énormément d’outils qui peuvent permettre de faire plein de choses. Ce n’est pas que des vidéos de produits, c’est tout ce qui est graphisme pour créer ces graphismes professionnels. Tout ce qui est référencement. Tout ce qui est aussi pour trouver des clients. Par exemple, si on est freelance, on veut se lancer, on cherche plein de clients sur une ville ou une région donnée que ce soit en France ou ailleurs.

Toutes les personnes, par exemple, qui ont un site web ou qui n’ont pas de site web, ou qui ont un site web sécurisé ou pas, si on veut proposer des services de sécurisation. Ou toutes les personnes qui ont un site web, mais pas de vidéo dessus, si on veut proposer par exemple de service de création de vidéo. Il y a des outils pour gagner du trafic, pour trouver des produits d’e-commerce gagnant sur des plateformes comme AliExpress par exemple ou pour capturer des contacts ou pour automatiser finalement, tu vois, toutes ces choses-là, pour que la personne puisse se focaliser à 100 % sur la création de contenus et ne pas perdre de temps dans des choses qui n’ont pas forcément eu lieu d’être.

Thierry Henry : C’est vrai qu’on est vraiment dans une période charnière, on va dire, de business en ligne. C’est qu’il y a tellement de systèmes pour automatiser. Il suffit de choisir les bons puis on peut quasiment gagner 50 à 100 000 euros de plus parce qu’on est focus sur le cœur du métier, on va dire. Il faut vraiment les connaître. Parfait !

J’ai fait un petit récapitulatif. Pour ceux qui veulent apprendre dans tout ce qui est Kindle, investissement, sur Amazon et Kindle Publishing, ils peuvent aller sur ton site. C’est kindlebankstar.com ?

Remy Rouilier : Non. C’est auteurstar.com.

Thierry Henry : Auteurstar.com. Heureusement que tu l’as précisé. Ensuite, ceux qui veulent acheter tout ce qui est bande dessinée pour se défouler, donc defoule-toi.com. C’est cela ?

Remy Rouilier : Oui. C’est cela. Livres de coloriage adultes vulgaires.

Thierry Henry : Et pour ceux qui veulent devenir infopreneur, donc academie-infopreneur.com ?

Remy Rouilier : Oui. C’est cela.

Thierry Henry : Voilà ! Donc, là, ceux qui veulent connaître les bons outils d’automatisation, ils vont sur webmarketingfrenchie.com.

Remy Rouilier : Oui. C’est cela, frenchie « i e » à la fin.

Thierry Henry : Parfait ! Là, on a plein d’outils pour ceux qui veulent, comme Remy qui a quitté la rat race. C’était donc le but de ce podcast. Je vais finir par 5 questions pour savoir où tu en es ou où est-ce que tu vas ? Quel est le business dont tu rêves à part celui que tu fais actuellement ? Comme je vois que tu as plein d’idées, donc je pense que tu en as d’autres peut-être qui vont venir.

Remy Rouilier : Oui. Le business dont je rêve, vu que j’aime beaucoup voyager, notamment, j’aime beaucoup aller à Bali, à Ubud. Je ne sais pas si tu connais, c’est un petit peu le cœur culturel de Bali.

Thierry Henry : Non. Je connais Bali parce que je sais que les plus grands marketeurs sont soit en Thaïlande soit à Bali. Voilà !

Remy Rouilier : Oui. Là-bas, du coup, à Ubud, il y a un espace de coworking qui est absolument génial. Pour moi, c’est le meilleur au monde. J’en ai vu pas mal, notamment en Thaïlande et ailleurs. Mais celui-là, j’adore. Il est tout en bambou et vraiment super écolo. Il s’appelle hubud. Là-bas, j’ai rencontré des gens de partout dans le monde, de haut vol, si tu veux.

Tous les midis, tu as une conférence pour apprendre, pour te former sur une thématique donnée des gens qui sont un petit peu, aussi bien infopreneur, enfin des gens qui bossent sur le web partagent comme cela. C’est énormément de qualité là-bas, en termes de personnes qu’on peut rencontrer. Moi, j’adorerai. En fait, mon projet c’est de peut-être créer une sorte de mini-école intensive sur une semaine par exemple, m’entourer avec d’autres marketeurs et trouver peut-être une île.

Alors, je ne sais pas, La Réunion ou Bali ou autre, pour passer une semaine vraiment intensive, pour former les gens, par exemple, à l’infoprenariat et qu’ils repartent en ayant un business complet, clé en main qui tourne avec une formation intensive, avec moi et avec d’autres marketeurs qui sont aussi spécialisés dans leur domaine.

Thierry Henry : Le message a été entendu dans le podcast s’il y en a qui sont intéressés et qui te rejoignent. Moi dans tous les cas, je serai le premier client. Ce n’est pas un problème. Surtout, si tu arrives à nous faire un prix pour l’hébergement et le vol, je viens tout de suite.

Remy Rouilier : Avec plaisir ! Une autre chose dans laquelle j’aimerais bien évoluer, parce que finalement le marketing en ligne, tout se fait sur Internet, c’est aussi, pourquoi pas, tu vois, donner des conférences plus en physique, speaker par exemple pour inspirer les gens, pour inciter vraiment les gens que c’est vraiment possible aujourd’hui de quitter la rat race.

Thierry Henry : D’accord !

Remy Rouilier : Donc, c’est aussi un endroit vers lequel j’aimerais bien me diriger aussi. C’est plus en physique.

Thierry Henry : À bon entendeur, ceux qui écoutent le podcast qui veulent le transférer ou indiquer qu’il y a un nouveau speaker qui veut faire webmarketing et du business en général, pourquoi pas. Ensuite, quelle est ta meilleure expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur ?

Remy Rouilier : Ma meilleure expérience, je ne peux pas répondre à cela parce qu’en fait, chaque expérience, chaque mini-business qu’on lance, c’est une aventure en soi. Donc, il y en a qui nous apprend quelque chose. À partir du moment où on apprend quelque chose, on a l’impression de progresser, d’évoluer et de se dire : « on a appris, on est le meilleur, on est quelqu’un de meilleur que la veille ».

Tu vois, on ne peut pas vraiment dire quel domaine peut plaire plus qu’un autre puisque chaque domaine, finalement, nous apporte quelque chose qui nous enrichit sur un plan global, sur les autres business ensuite qu’on va développer. On a acquis une expérience de par la combinaison de toutes les autres expériences qu’on a eues.

Thierry Henry : Parce qu’il y en a une que tu as préférée, tu as une petite préférence en général ?

Remy Rouilier : Moi, j’ai beaucoup aimé l’aventure Kindle, même si maintenant je n’écris plus forcément des livres, puisque je suis pris sur d’autres domaines, notamment webmarketing frenchie. Mais ce que je fais actuellement, de toute façon, je ne fais que les choses qui me plaisent, si tu veux.

Thierry Henry : D’accord ! Tout le plan général, on va dire.

Remy Rouilier : Actuellement, je suis sur webmarketing frenchie. Faire découvrir des nouveaux outils comme cela, pour l’instant, c’est vraiment ce qui me passionne. Après, on verra dans le futur. Probablement, cela évoluera également. Mais pour instant, oui, je suis satisfait de ce que je fais.

Thierry Henry : D’accord ! Donc, quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur ?

Remy Rouilier : Le meilleur levier, je dirais, je repars encore sur le mindset parce que finalement le mindset, c’est un truc qui ne changera pas. On sait que le monde d’Internet, c’est un monde qui bouge extrêmement vite. C’est-à-dire qu’aujourd’hui, c’est peut-être YouTube, c’est peut-être Facebook. Demain, on ne sait pas du tout comment ces plateformes vont évoluer. Et le seul socle, finalement, qui ne bouge pas, c’est le mindset.

Il faut vraiment savoir avoir cette fois au ventre un petit peu d’avoir envie de réussir, de savoir pourquoi on s’engage. Et après, finalement, si tu veux la technique, le levier qu’on ne peut pas choisir, cela ne fait peut-être que 20 % du job parce qu’on se forme. Le côté technique, c’est 20 %. Mais le mindset, c’est-à-dire trouver du temps, s’allouer du temps, ne pas abandonner malgré les obstacles, c’est ce qui va faire qu’un entrepreneur va réussir sur le long terme, parce qu’il ne faut pas miser sur le court terme et de se dire qu’au bout d’un mois, cela ne marche pas. Du coup, j’abandonne tout.

Il faut aussi garder le focus. C’est-à-dire l’un des gros problèmes pour les gens qui veulent se lancer, c’est qu’ils regardent et cherchent 36 000 opportunités. S’ils commencent à suivre 20 marketeurs par exemple, ils vont recevoir 20 e-mails par jour. Chaque e-mail va leur proposer une opportunité différente.

Donc, s’ils se lancent, beaucoup de personnes se lancent un petit peu, ils vont faire 3, 4 jours une opportunité, puis 3, 4 jours une autre, et etc. Au final, ils ne vont jamais aller à l’aboutissement, achever chacune des opportunités. Donc, c’est autant de temps perdu. Il faut se focaliser sur un modèle puis le faire jusqu’à ce que cela fonctionne pour la personne en question.

Thierry Henry : Tout cela, c’est grâce au pourquoi oui. Quand on sait ce qu’on veut, on a plus de facilité à avancer. Comment dire, le pourquoi et tout ce qui est mindset, c’est un peu comme un GPS. On se met une adresse et on va y aller automatiquement parce que dans le cerveau c’est marqué qu’on veut réussir et on veut aller à ce point-là et on ira à ce point-là tout simplement.

Remy Rouilier : Oui. C’est exactement. En fait, c’est une décision. Il ne faut pas croire qu’il faut 5 ans pour prendre une décision. Une décision, cela se prend en un claquement de doigts, cela se prend en une seconde, une fraction de seconde. C’est comme une boussole en fait. À partir du moment où tu prends une décision, tu as ta boussole qui est aiguillée vers la direction. Après, c’est à toi effectivement de faire le chemin pour atteindre cette direction.

Mais une fois que tu as pris la décision, c’est quelque part tu as focalisé ta boussole sur la direction que tu vas atteindre. Après, une fois que tu es focalisé, il faut tout le temps garder cet axe pour ensuite pouvoir chaque pas que tu fais, que cela te rapproche un petit peu plus de ton objectif final.

Thierry Henry : Quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur et pourquoi ?

Remy Rouilier : Le livre c’est celui qui m’a le plus inspiré : La semaine de 4 heures de Tim Ferriss que j’ai absolument adorée. C’est un petit peu lui aussi qui m’a poussé à montrer que c’était bien possible de réussir sur le Web. Il explique son expérience. Il explique plein de trucs dans ce livre. C’est une vraie bible de l’infopreneur, pour moi, de la personne qui veut monter une activité en ligne.

Thierry Henry : Comme beaucoup de webmarketeurs, d’e-commerçants, c’est souvent le livre qui est cité. Si ce n’est pas cela, c’est : Père riche, père pauvre. Donc, c’est l’un ou l’autre.

La dernière question, quelle est la compétence que tu rêves d’avoir et que tu n’as pas encore ?

Remy Rouilier : La compétence, ce serait plus de développer mes capacités de speaker en physique. J’en ai parlé un petit peu tout à l’heure. Mais je n’ai pas encore fait de conférence en physique. J’aimerais bien me tourner aussi en partie par-là parce que je trouve que ce n’est pas mal aussi de rencontrer des gens en physique.

Alors, je le fais sur certains salons : salon des entrepreneurs, ou certains salons spécialisés sur le marketing en ligne. Mais c’est vrai être speaker, par exemple dans un TEDx, tu vois, cela pourrait me plaire.

Thierry Henry : Oui. On a toujours dit que la scène, c’est un moment d’échange avec le public. En plus, tu as la réaction tout de suite. Surtout, on dit souvent, puisque moi j’ai fait beaucoup de développement personnel parce que moi j’ai lu beaucoup de livres et écouté beaucoup d’audio et j’ai fait des scènes. C’est vrai que les scènes, comme on est tous ensemble, on est dans une salle, il y a 2000, 3000 personnes ; c’est vrai qu’on dit que c’est l’endroit où il y a souvent le plus de déclics parce qu’on est tous ensemble, on est tous motivés. 00:35:56 ou je ne sais pas qui. Et en fin de compte, on est là et on sort de-là et voilà c’est parti. On a la flamme sacrée. Il n’y aura jamais de retour en arrière.

Remy Rouilier : Oui. Tu as une énergie incroyable qui se dégage et qu’on garde des jours après quand on assiste à ce genre d’évènement. Mais c’est pour cela que le présentiel, la scène, cela m’attire aussi énormément pour cela.

Thierry Henry : Bon, j’espère que ce sera… Aux prochaines interviews, tu me parleras de cela. Tu auras commencé ta scène. On t’aura invité grâce au podcast. Donc, merci pour tout !

Remy Rouilier : Oui. Merci.

Thierry Henry : Je répète donc les sites et ensuite, je vais te laisser le dernier mot. webmarketingfrenchie.com ; webacademie-infopreneur.com.

Remy Rouilier : Non. Ce n’était pas webacademie, c’était webacademie-infopreneur.com.

Thierry Henry : Voilà. Heureusement que tu es là pour me reprendre. Donc defoule-toi.com ; auteurstar.com. Donc, 4 sites pour ceux qui veulent sortir de la rat race. Je te laisse donc le dernier mot.

Remy Rouilier : Le dernier mot, c’est pour toute personne, finalement, qui a envie de se lancer, notamment, sur le web, c’est de savoir pourquoi vous vous engagez. Surtout à partir du moment où vous prenez cette décision, comme cette boussole, cette direction, surtout ne lâchez pas tant que vous n’avez pas réussi. Parce que, finalement, on n’a jamais échoué tant qu’on n’a pas abandonné.

C’est-à-dire qu’il peut se passer certaines périodes où on ne va pas forcément travailler sur son business. Mais à partir du moment où on ne décide pas d’abandonner clairement, on n’a pas échoué, c’est juste des contretemps. Mais dans tous les cas, il ne faut pas lâcher si vous êtes convaincus que c’est cela que vous voulez.

Thierry Henry : Tout à fait ! Je confirme. C’est vrai que c’est une phrase que je me répète souvent : « tant qu’on n’abandonne pas, on ne peut pas perdre. » Donc, si on continue à rouler, on est obligé d’aller quelque part.

Merci pour tout Rémy.

Remy Rouilier : Merci beaucoup Thierry !

Thierry Henry : J’espère que tous les projets vont décupler fois dix et que grâce à podcast, on va t’inviter à différents évènements, et que tout le monde ira te voir. Donc, grand merci. Puis, je te dis à très bientôt sur tous tes sites !

Remy Rouilier : Cela marche Thierry. Merci beaucoup à toi !

Thierry Henry : Tchao !

Merci à Rémy Rouilier d’avoir pris le temps de nous donner des conseils pour quitter la rat race. Épisode 3, terminé. Le prochain épisode, on change un peu domaine, on reste un peu dans le domaine de business. Mais là, on parle plutôt d’investissement immobilier avec Anicet Honvo que vous connaissez aussi sur YouTube. Il a un business sur des sites Internet.

Donc, il va nous parler du comment quitter la rat race et d’Entrepreneur Lifestyle avec l’immobilier. Voilà ! Donc, merci à tous. N’hésitez pas à télécharger l’épisode en faisant enregistrer sur les pages Stitcher, iTunes, toutes les plateformes de Podcasts et à me suivre sur le vlog, ma chaîne YouTube et sur mon blog thierry-henry.fr.

À très bientôt pour l’épisode numéro 4. Tchao !