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#EP35 – FAUT IL UTILISER LE BLACK HAT POUR DEVELOPPER SON ENTREPRISE ? Interview de Sébastien TISSIER

 

Thierry HENRY: Salut à tous, bienvenue dans l’Entrepreneur Lifestyle, Thierry #HENRY donc, aujourd’hui épisodes 35. Je reprends donc les interviews avec un invité spécial, dont Sébastien Tissier. Pour ceux qui connaissent un peu webmarketing et surtout la partie Black Hat, donc, surtout Email marketing, growth hacking, black hat et scraping. On va parler de cette partie là puisque il va donc le confirmer puisque moi, j’avais quelques connaissances du Black Hat, mais lui va nous parler spécialement en fin de compte de sa partie Email marketing et scraping et cela pourra vous décidez à ce que vous voulez rentrer dans le black hat ou pas.

Changer vers une vision, différente d’un spécialiste quelqu’un qui le fait, moi, d’un novice. J ‘ai plein d’information. J’ai fait sans le vouloir des fois du Black Hat. C’est aussi l’avantage de découter un peu et de savoir si on fait bien les choses. Donc voilà donc cet épisode sera sponsorisé par mon partenaire, qui est un service d’Email Marketing donc converkit. Allez donc tester pendant 14 jours gratuits donc Thierry-henry.fr/ckit. Ckit, à la fin de mon domaine?

 

Thierry HENRY: Thierry-Henry.fr/ckit. Vous avez 14 jours gratuits pour tester. Tentez de développer votre liste Email. Sinon, prenez donc les techniques de Sébastien Tissier, qui est un expert dans le domaine des logiciels pour le B-to-B. Scrapper. Faire de l’Email Marketing, c’est Linklead.io Sinon que BHMarketing.info. Canon. Je mettrai tous les liens dans le show. Note à la fin ou au début.

 

Thierry HENRY: Juste à préciser que malheureusement, en tout début et pendant 15, 20 secondes, un petit bug par rapport à la présentation qu’on nous entend mal. Tout le reste de l’audio est parfait. Donc n’hésitez pas. Comme je reprends les épisodes, je n’ai pas à télécharger, à partager. Donc là, on va rester donc vraiment sérieux. Donc on aura donc toute la semaine avec des invités, des fois je l’ai fairé en solo, mais là, j’ai un moins d’invités.

Et puis on va continuer à en faire plus. Et, comme je l’ai dit, de faire deux épisodes par semaine, envoyez moi des commentaires. Ce que vous voulez faire améliorer. Quel type de sujet vous voulez traiter de perte? Quel type de personne vou voulez que j’invite pour qu’on puisse développer ce podcast et avoir le  d’infos d’experts qui nous donnent le maximum d’informations. Donc, moi, je vous dis tout de suite avec Sébastien Tissier.

PRÉSENTATION DE SÉBASTIEN

 

Thierry HENRY: Sébastien comment tu vas ?

 

Sébastien TISSIER: Bien, merci à toi. Merci, aide! Le marché de présente rapidement.

 

Sébastien TISSIER: Alors moi, je suis un vieux du web puisque j’ai commencé il y a très longtemps. J’ai commencé en 2007 sur le web. J’en vie depuis 2007. Je me suis barré à l’étranger en 2010 en Thaïlande et je suis installé en Thaïlande depuis cette époque là grâce à mes activités sur le Net qui sont diverses. J’ai commencé par des réseaux de blogs, fait de l’affiliation, puis maintenant, je fais des produits d’information, des prestations et du coaching essentiellement axé sur sur tout ce qui est mail, tout ce qui est cold mailing, tout ce qui est scrap. Effectivement, qui est un peu plus notre notre cœur de métier qui permet effectivement de trouver des clients avec des voies alternatives et des méthodes un peu moins conventionnelles.

 

Thierry HENRY: Quand on a commencé, il y a une question qui est venue. Moi, je ne prépare pas automatiquement tout. J’aime bien le feeling, qui est une question qui est venue. Mais on va être pro, on va déjà définir pour toi ce qu’est le Black Hat puisque avant qu’on commence, j’ai voulu te poser des questions et j’ai même fait une erreur donc défini ce que c’est que c’est quoi le black hat pour Toi,.

QU EST CE QUE LE BLACK HAT ?

Sébastien TISSIER: C’est pas vraiment une erreur

 

Sébastien TISSIER: C’est une question de vision des choses pour moi, black hat. On a collé des termes qui sont juste des manières d’étiqueter un petit peu les gens. Et pour moi, il y a eu des grandes écoles qui sont effectivement Black Hat. Ça a été très, très porté par le SEO parce que le SEO, c’est toujours des mecs qui sont un peu démerdez pour trouver les moyens de gruger les algorithmes et surtout.

 

Et surtout excuse moi de te couper. Surtout que c’est ce que ça reste le gratuit. Donc, on aime tous les gratuits comme proche du gratuit. C’est pas celui qui est le plus connu black hat payant. Et l’email marketing, y’a pas de black hat.

 

Sébastien TISSIER: Ouais, il y a plein de Black Hat, mais Black Hat, c’est avant tout une philosophie. Après, on a parlé beaucoup de growth hacking parce que c’est un peu plus propre. Mais à la différence entre les deux, elle est très, très mince. Mais en réalité, çà a toujours été la même philosophie, à mon sens.

 

Sébastien TISSIER: Moi, j’ai commencé en tant qu’entrepreneur en 99, dans les années 2000. Au tout début, j’avais des boites en France. J’avais une SARL et on faisait déjà du growth hacking avant que ça n’existe ou du black hat. On envoyait des centaines de milliers de fax la nuit et c’était déjà black Hat. En fait si tu veux. C’est juste une philosophie, en fait, c’est trouver des moyens pour, effectivement, quand on n’a pas de moyens financiers et trouver un avantage compétitif, un avantage concurrentiel. Essayer de faire mieux ou différemment pour trouver des clients.

 

Thierry HENRY: Moi, on comprend quand tu dis toi, tu m’as dit que t’es plutôt un black hat email marketing, scraping Non, pas vraiment SEO. Quand je dis où tu m’as dit c’est pas vraiment ça, mais bon, c’est pour ça que je voulais que tu parles de ça. Donc, il y a différentes techniques. Donc toi tu es plus dans l’email marketing, linkedin et autres. Enfin de compte, dans mon esprit, mon growth Hacking, c’était aussi grey hat. C’est pas toi, c’est plutôt directement Black Hat. Grey hat , c’est pas plutôt growth Hacking

 

Sébastien TISSIER: C’est franchement la différence. Elle est très, très, très, très ténue. Il y a des gens qui vont me dire oui, mais c’est éthiques et morales, ces machins. La vraie vérité du truc, c’est juste que dans les deux cas de figure, les mecs qui sont un peu plus près de la ligne jaune ou pas. La vérité, c’est que tu mets un peu le curseur où tu veux, mais c’est la même philosophie. Pour moi, c’est juste des démerdeur. Quand on me demande ce que je fais pour moi, je me débrouille pour résoudre des problèmes.

L EVOLUTION DU BLACK HAT

Thierry HENRY: Souvent parce que moi, j’ai débuté plus tard, il y a presque 3 ans, et souvent, tu voulais savoir. Donc des fois, tu fais du black hat ou du grey hat sans le savoir. Et en plus de la l’algorithme peut changer dans le compte. Tu passes directement dans une tutus, tu stup, tu passes les limites sans le vouloir parce que tu sais pas ce que tu fais.

 

Sébastien TISSIER: Une fois ça, c’est spécifique aussi haut. C’est à dire que si tu joues sur le terrain de Google, tu jouer avec ces règles. Donc, il n’y a pas à tu vpis, c’est la seule. A mon sens, le seul compartiment où tu vois où il y a des règles, on a mis des compartiments. C’est pour ça que là, c’est différent. La tu as le black hat, le grey, le white, vraiment. Mais encore une fois après, ça s’applique essentiellement ici, où il n’y a pas de graduation sur d’autres trucs ou même sur le regard, même sur les réseaux sociaux.

 

Thierry HENRY: Je pense que sur Facebook, ce n’est pas du y’a pas de, y’a pas de gris.

 

Sébastien TISSIER: En fait, c’est soit à soit blanc, soit noir. En réalité, tu as c’est , on a dit ouais, mais c’est gris, c’est bien non. C’est les règles et puis tu n’as pas les règles quoi c’est tout. Tout ça, c’est un peu comme les mecs qui discutent avec les radars. Ouais, mais je n’étais pas loin du truc. Oui, mais j’ était bien, pas dedans. C’est le gris. Il n’y a pas de toi quand tu veux. Les mecs qui ont fait des règles, ils ont fait des règles en disant c’est blanc ou noir, ils ont pas fait oui, mais ça, c’est un peu gris, c’est blanc ou noir.

 

Thierry HENRY: Donc moi, dans mon esprit, j’ai beaucoup parlé à mon audience,  qui est plus débutante. Des fois, on hésite, on veut tous créer du trafic. On sait que c’est un peu long, malheureusement, le SEO, ou même par les réseaux sociaux ou même par d’autres moyens. On a même créé une liste email. Ça prend du temps. Donc, toi qu’est que tu conseillerais à o un jeune qui commence et qui veut aller plus vite.

COMMENT TROUVER SA STRATEGIE BLACK HAT OU WHITE HAT ?

Sébastien TISSIER: Ça dépend de ta cible, c’est à dire que le canal que tu vas choisir est tributaire des personnes que tu as contactées et si tu cherches à contacter des boites, bah, c’est évidemment plus simple d’aller sur Linkedin. Si tu cherches à trouver des particuliers, c’est beaucoup plus simple d’aller sur Facebook ou sur Instagram. Donc, le choix des réseaux et des canaux, il est dicté avant tout par ça. Qui est ce que tu vise? Qui est ce que tu veux chercher? Et puis, il va où? Il va aller chercher là où ils sont si tes, clients.

Ils sont majoritairement dans la vraie vie. Il va aller chercher dans la vraie vie. Il n’y a pas de meilleure méthode. Je le disais tout à l’heure, on a utilisé le mailing, fax c’était le plus simple parce que nous, on cherche à joindre des boites. Et donc, à cette époque là du moins, il n’y avait pas beaucoup d’autres alternatives. Et donc, monétiser le mailing fax, c’était aide. C’était du growth  hacking ou du black out suivant comment tu le Mets .Mais en réalité, c’était juste un moyen de toucher les gens à moindre coût pour nous, surtout au début.

 

Thierry HENRY: Sauf que moi, j’ai beaucoup suivi de marketeurs américains, surtout comme ils disent. Au début, c’était le Far West. Techniquement, il n’y avait pas eu de pénalité. On va dire tout le monde faisait ce qu’il voulait. Tu pouvait  monter un site avec 3 mots tu pouvait ranker et ensuite ça a changé. Donc comment toi t’as vu évoluer le black hat et comment actuellement, en 2019, quelqu’un qui veut commencer ne veut pas entre parenthèses suivre les règles parce que c’est pas les règles de la police c’est les règles de Google. Donc après, on fait ce qu’on veut, on sera juste faché chez Googleet on sera dans la sandbox comme on dit. Qu’est ce qu’on fait car il y en ? Qui le font mal et qu’ils se font avoir ce qu’on doit faire,.

 

Sébastien TISSIER: À mon avis.

 

Sébastien TISSIER: En fait, il faut toujours avoir conscience des limites et apprendre quelles sont les règles, c’est à dire que tu peux transgresser les règles, mais tu dois savoir comment ça fonctionne et tu dois savoir comment ton adversaire réfléchit c’est à dire que Google en fait son objectif. C’est juste de fournir un résultat plus qualitatif aux gens en s’appuyant sur des recommandations sociales pour établir un classement dans le seul et unique but de gagner le plus d’argent possible en leur montrant le plus souvent possible de publicité parce qu’ils vont être contents de revenir. C’est comme ça que ça marche. Donc, quand toi t’es Google, bah, tu réfléchis au truc. Et puis tu vas pénaliser.

 

Sébastien TISSIER: Si tu ne vas pas dans ton sens, ça veut dire quoi? Ça veut dire que si tu veux durer. De toute façon, il va falloir que tu fasses de la qualité.

WHITE HAT AVEC UN PEU DE BLACK HAT POUR BOOSTER SON DEVELOPPEMENT

Sébastien TISSIER: Il va falloir que tu évite de trop manipuler la preuve sociale qui est l’élément principal pour rentrer, ça veut dire que c’est compliqué. Ce n’est pas forcément la stratégie la plus rapide, mais c’est la plus durable. En fait, il y a toujours des stratégies qui consistent à faire un peu des deux. Tu peux faire du blanc et introduire du black, mais ailleurs, c’est à dire que tu peux avoir des stratégies qui sont de fusibles.

Tu peux mixer les stratégies, mais aujourd’hui, tout miser sur le black hat, c’est une erreur, surtout en SEO ou en est. C’est encore un secteur très à part parce que La tu es soumis à des pénalités. Si tu utilises d’Email marketing, par exemple, il n’y a pas de pénalité particulière.

Quand je dis email  marketing, c’est du Cold mail spécifiquement à destination des professionnels. En fait, le seul truc que tu risques, c’est de flinguer une adresse mail. C’est tout. Une adresse mail en change et en est une nouvelle. Tu as pas beaucoup plus compliqué que ça quand tu t’adresses ou. En revanche, c’est beaucoup plus compliqué dans le sens où Google, une fois qui a cramé, a cramé. Donc, il faut savoir ce que tu veux, c’est à dire que si tu veux construire un business, il ne faut pas être trop pressé non plus. Il faut poser les fondations.

Rien ne t’empêche d’avoir effectivement un petit compartiment sur lequel tu vas taper sur du black ou du grey, comme tu l’évoquait tout à l’heure. Mais le grey, même dans une stratégie totalement blanche. C’est une erreur parce que tôt ou tard, ça va, ça va tomber dessus. Donc, à mon avis, si tu veux faire un truc qui est durable, tu construis du SEO. Comme tu construis une maison, tu construis un business comme une maison, tu fais des fondations solides. Et puis, quand tu veux t’amuser, tu fais une cabane à côté. Là, c’est pareil. Tu peux faire des trucs qui vont, qui vont pas nuire aux fondations.

 

Sébastien TISSIER: Un truc solide que tu mets en place et qui seront pérennes dans le long terme. Et puis il black hat  en SEO au spécifiquement. Ça ne dure jamais des années et il faut le savoir. Le grey, c’est pareil. Si on me dit que c’est gris, c’est déjà par essence. Les Sioux le savent, c’est que ce n’est pas blanc. Et si c’est pas blanc, c’est que c’est pas bon. Tu vois. En fait, Google ne réfléchit pas avec le gris gris. C’est noir ou blanc?

 

Ouais, mais comme que j’aime bien écouter des experts SEO que soi même. Soit parce que je vous donne un exemple d’un gars que j’aime bien que Greg Davis un peu spécial, mais lui, c’est payant, donc des fois en fin de compte. Certains disent qu’il faut faire des PBN neo, c’est bien, c’est pas bien. Donc réellement, quand tu commences ton tonton ton SEO ou tu peux commencer comme tu dis classiquement, mais un côté comme des outils que moi j’ai entendu qu’il faut certains outils pour bien faire les choses de scraper neo. Il faut donc tout à fait une formation où tu peux le faire tout seul. Que c’est risquer de tout apprendre tout seul.

 

Sébastien TISSIER: Non ce n’est pas risqué, tout s’apprend. Après, c’est encore une fois, il faut bien connaître les règles du jeu et savoir quels sont les risques, c’est à dire que tu ne peux pas encore une fois avoir cette vision de dire je vais construire un truc solide qui est basé sur des plaquettes, surtout en ou parce que tôt ou tard, tu auras toutes les pénalités qui ont toujours eu lieu.

C’est juste des rattrapages sur des abus massifs qui ont été démantelés, c’est à dire qui, à une époque même Google, s’infiltrer dans les plateformes d’échange de liens et aller regarder parce que même ça, en fait, c’est violer les règles et la philosophie de Google. Donc, tôt ou tard, même les vrais sionistes le disent, c’est l’échange de liens, même triangulaires, même PBL. Même tout ce que tu veux, c’est déjà.

C’est déjà aller à l’encontre de la volonté ou du moins de la philosophie de fonctionnement de Google. Dire que Google, pour lui, l’échange doit être naturel, ne doit pas être sollicité et ne doit pas être une contrepartie de quoi que ce soit. Il doit être 100% %100 naturel, donc l’échange, même s’il est machin, fait propre ou pas, peu importe, même si l’effet propre, c’est déjà violer les règles et donc plus tard, ils arriveront à le remonter réellement.

 

Thierry HENRY: Ce que j’essaie de me rapprocher de ton niveau, c’est compliqué. Quand tu gagnes, personne ne lit ce qu’on appelle les grandes lignes, mais quand tu dis à l’Allemagne, tu dis mais ils sont fous, c’est pas possible. C’est très bien quand tu dis également que c’est quasiment impossible de respecter, sinon battable, sans jamais, se défend Todi. Oui. Le seul truc important, c’est le contenu parfait.

Il y a des super écrivains qui écrivent bien qui va faire un peu marketing et souvent, il faut faire un peu de choses. C’est comme le black hat, y’a marqué, roule à 90 ou 180. Et quand tu fais du bout en roulant à 95, ça passe pas tomber ça. Je voulait dire parce que d’Elliott en photo d’en faire d’enfer incident. Ben voilà que Coquerées du bon contenu, des bons articles. Il y a un an ou deux que ça marche. Le reste est galère. Vous faire un peu de faut, en fait, encore une fois, c’est juste là dessus.

COMMENT GÉRER LES RISQUES DE SA STRATÉGIE BLACK HAT ?

Sébastien TISSIER: Savoir jusqu’où est prêt à aller et connaître les conséquences du truc. Maintenant a des stratégies qui, elles, sont pérennes et qui permettent de pas aller trop loin dans le bac 4. Mais encore une fois, le principe, c’est essayer. Si tu veux un truc qui tienne la route, il ne faut pas jouer avec ton truc qui tient la route, c’est à dire si tu as une bagnole pour t’amuser, une bagnole que tu veux garder, ou alors si t’avais deux permis, ça serait ça.

 

Sébastien TISSIER: Donc, si tu veux avoir un site spécifiquement sur Google. A mon sens, c’est ça que tu peux pas faire n’importe quoi dans le sens où, encore une fois, c’est tôt ou tard, les pénalités remonteront, c’est à dire si pas aujourd’hui. Effectivement, le 95, y’en a, tu peux dire ouais, mais je voulais ca 95. Sauf que Google lui en fait, il revient en arrière et c’est ce qu’il a toujours fait.

C’est à dire que quand il y a eu Pingouins, quand tu y eu Panda, quand tu médique, c’est juste en fait un rattrapage des mecs qui roulent à 95, c’est à dire que tous ceux qui roulent à 95, il a tout subit parce qu’il roule à 95 et parce qu’il a découvert Franc-Comtois qui du tu concerne indirectement, donc de ne pas faire du black hat, mais d’en faire à côté. De ne pas, en fait, si tu veux Calais, c’est toujours pareil. Tu peux faire du black out, mais ça durera pas. C’est à dire? Ça durera un an, ca durera peut être deux ans., ca durera près de trois jours.

 

Thierry HENRY: Je me dis je veux te dire, je veux tout dire, le contraire, mais plutôt par rapport à SEA, parce que j’ai connu deux ou trois personnes que j’ai rencontrées à l’étranger qui font ça. Après, c’est vrai que par rapport à ce que tu dis, ils doivent recommencer lorsque directement, je n’en ai pas leur machine. C’est ce qu’on appelle le superflic. Ils dépense un million par mois en trafic. Mais c’est vrai que Mouhoub, tous les jours, ils rachètent 10 comptes Facebook reconduits par semaine. Tote trentaine de comptes Google. Mais ils n’ont pas le choix. Et comme ils disent, comme ça a évolué et bien souvent, ça coûte plus cher de faire du black out. Parce que oui, il faut des outils.

Il faut une équipe, même des médias, parce que c’est compliqué. Mais ce n’est pas impossible. Mais non, ce n’est pas impossible, mais c’est extrêmement complexe, car je ne confonds pas un débutant, des débutants qui ont un million de dollars de budget et qui peuvent jouer. C’est donc simpliste pour un débutant, donc vaut mieux commencer. C’est bien, tu fais bien un site ou deux sites propres Red Hat. Et à coté, si on veut apprendre de petites techniques souvent contre le recruteur, il faut apprendre à tester à côté de chaque côté. Mais qu’est ce qu’on fait? En fin de compte, on prend un logiciel de scraper. Bon, on va se former chez toi. Bien sûr, on a ton logiciel Link Lead iOS pour faire du scrap, une sorte l’Indy, donc c’est juste pour les pros.

 

Sébastien TISSIER: Ouais, là, non, on est dans le marketing, donc là, on est plus dans le SEO.

 

Sébastien TISSIER: Donc CCC, compliqué, Kammoun et moi et moi, je m’achète toujours.

 

Thierry HENRY: Il faut toujours faire du business. Même l’ARB, ce genre. J’écoutais y’a pas une semaine, pas Twinkle comme ça depuis un bout de temps et d’autres marketeur qui disaient que voilà, tout le monde part d’Olymel, limette le reste. Comme dit la valeur sûre, on parle souvent de chaque projet. On parle souvent de plein de trucs. Mal restaura que Francœur qui disait que les comprends pas, ils n’arrivent pas. Il a une liste de 70 70 personnes, a grossi son problème, mais tout le monde revient toujours et Kobel a estimé dans un Allemand coté rapport qualité prix et bien sur, une notoriété de marque.

 

Thierry HENRY: Y’a pas mieux.

L EMAIL MARKETING RESTE LA MEILLEURE DES SÉCURITÉS

Sébastien TISSIER: Quand c’est le seul truc qui t’appartient vraiment. C’est à dire que demain, si ton référencement y tombe, si Google te flingue tes positions, si Facebook te ferme ton compte, c’est pas grave. Il te reste un mailing list shot et pas des ventes du trafic.

 

Sébastien TISSIER: T’as besoin de personne, en fait,.

 

Thierry HENRY: Surtout que je vais aller dans le bon sens. Interlignes Vocalistes Propre est aussi la liste qui est un peu crapuleuse de moi. Je ne vais pas lâcher Harbaoui.

 

Sébastien TISSIER: On apprendra même à être crapuleux,.

 

Sébastien TISSIER: Le crapuleux. Encore une fois, c’est toujours pareil. Après, ça dépend avec qui tu veux jouer. Mais encore une fois, il faut comprendre une chose, c’est qu’il y a 10.000 techniques pour avoir du trafic. Mais le trafic pour du trafic, ça sert à rien. C’est à dire? Tout dépend de ce que tu veux vendre et tout dépend de ce que tu veux en faire. Moi, je suis de dire j’ai commencé par des réseaux de blogs. J’avais jusqu’à 80.000 visiteurs par jour. C’est pas des gens qui auraient acheté des formations si c’était une autre époque.

Les gens, la monétisation que j’en faisais, elle était totalement différente. Je monétisé avec de la pub et un peu après, avec de l’affiliation. Et c’est un truc qui est forcément un raccordent avec toi entre 80.000 visiteurs non ciblés, non qualifiés et sans visiteurs sur une page de vente ou un produit à 1000 balles en marketing, je choisis forcément la deuxième. Donc, le trafic et les cibles et les méthodes et les canaux que tu veux utiliser, ils sont tributaires de ça.

C’est à dire qu’est ce que tu veux vendre? Si demain, je t’envoie autant de clients que tu veux, tu me dis voila, j’ai besoin de 100 directeurs commerciaux. Je t’embrasse en directoires commerciaux. T’en fais quoi? Tu les monétise comment? C’est quoi, ta stratégie? C’est quoi ton produit? C’est ça, le fond du business. C’est de savoir ce que tu veux en faire.

 

Thierry HENRY: D’abord, le jeu qu’il faut trouver, donc, dès le départ, le produit qui va en lien avec la cible. Ouais, ouais. Donc, toi, je crois que le blocage comme moi pour tout ça dépend de la stratégie anormale.

 

Sébastien TISSIER: Black Hat, ça n’a jamais réveillé un mort, c’est à dire que c’est comme si tu sais pas de la magie. C’est juste le truc. C’est un accélérateur, mais c’est pas le moteur. Le Black hat, encore une fois, c’est juste un moyen d’avancer plus vite. Mais si c’est pas la voiture, si tu veux, si c’est juste un coup de boost, c’est le turbo. Mais c’est tout. Donc, évidemment, il faut avoir des choses à vendre. Évidemment, il faut que ton produit convertisse.

Évidemment, faut que tu trouves la bonne cible et si tu as ça, oui, tu pourras aller plus vite. Mais le truc, c’est pas, ça ne va pas rendre un produit magique. Ça va pas vendre un truc qui se vend pas et ça va pas te rendre plus beau et ça ne va pas te faire grandir non plus. Tu as essayé, c’est toujours pareil. Il y a des limites à chaque chose. L’exercice, c’est que tu peux accélérer.

 

Sébastien TISSIER: Oui, mais encore une fois, ça fait pas tout le boulot, c’est à dire une stratégie Black hat, c’est dire bon, voilà, j’ai un produit qui convertit à temps. Il me faudrait tant de personnes qui viennent de tel truc. Ou alors faut que je trouve un moyen de toucher ces personnes là. J’ai un peu ça en idées et voilà, c’est oui. Là, tu peux faire quelque chose, mais si pas, ce n’est pas encore une fois une baguette magique.

 

Thierry HENRY: Ce qui est logique aille bien sur des techniques et du travail derrière ce que l’on va plutôt parler d’affiliation, par exemple sur un produit récurrent. Qui entre parenthèses les produits les plus intéressants d’affiliation? Plus jamais ça, c’est un peu différent. Un produit récurrent à 30, 50 euros. Comment tu pourrais faire plus? Deuxième question j’espère va pas se perdre. Est ce que tu ne t’es pas grillé par les plateformes d’affiliation ou pas? Parfois, on génèrerait qui ne disent rien, qui s’en fout. On s’en fout, on prend.

 

Sébastien TISSIER: C’est une question encore une fois de mesure mesure. Je pense que c’est toujours une question d’organisation et d’agencement, c’est à dire qu’il faut comprendre. Encore une fois, tu parlais tout à l’heure de comprendre les règles du jeu et de comprendre Google pour comprendre également les motivations et les limites de chaque plateforme que chaque personne est en à un certain moment. En fait, comme Facebook, Facebook, tu pouvais l’utiliser d’une manière totalement différente il y a cinq ans, parce qu’il était dans une politique où les plus d’utilisateurs.

Donc, il nous laissait faire n’importe quoi. Aujourd’hui, il entre dans une politique où ils savent qu’ils ont fini des soirées de marché. Ils veulent plus que les utilisateurs sans e-mails, donc, qui font la chasse à ceux qui sont des nuisances. Les plateformes et les gens qui font de l’affiliation, c’est la même chose à des phases pendant lesquelles les gens sont en phase d’acquisition. Donc là, ils s’en foutent, ils prennent tout. Open bar, clic final. Il y a quelques années, c’était le cas, c’est à dire que tout ce qui passait y prenait. Il prenait, il prenait, il prenait, il prenait.

QUELLE PLATEFORME CHOISIR POUR CROÎTRE AVEC LE BLACK HAT  ?

Sébastien TISSIER: Et puis aujourd’hui, ils veulent être une boite respectable et qui font le ménage. Donc, ça dépend à quel moment tu arrives et ça dépend sur quel type de truc tu arrives après. Libre à toi d’organiser des chinels qui permettent de blanchir le trafic. Ça se peut aussi. C’est à dire du trafic blanc. Tu peux le transformer en gris blanc, de noir et blanc. Il suffit simplement de le faire passer par des filtres d’arrivée avec des produits qui masque les trucs que tu ailles. Il y a des trucs qui sont non probables sur Facebook, par exemple, mais rien ne t’empêche de faire un écran de fumée avec un produit qui n’est pas le même que tu à vendre. En revanche, le vrai produit, tu voulais publier, tu vas le mettre en obstacle. Par exemple, tu as fait un petit produit à ou sept balles. Et puis, derrière le vrai produit que tu voulais vendre, celui que tu ne peux pas publier sur Facebook, tu me mets derrière. Par exemple, il ne faut pas un écran de fumée qui te permet de casser un peu les limites.

 

Ce qu’il faut préciser à ceux qui écoutent parce que c’est un peu trop technique, c’est que Facebook va aller sur Google, laissant la première page, mais n’ira pas sur les pages qui suivent. Donc, voilà mon compte directement. Tu tu mets un écran de fumée, pas un écran de fumée. Tu mets une page propre. Tu récupère le mail ou et ensuite, il y a une suite par rapport à ça. Pour que les gens comprennent ce qui est bien, ce que tu ne pas dit ouvertement. Mais bon, j’ai compris que c’est souvent simple. Ce sont des plateformes qui s’ouvrent.

Bon, Instagram ne marche pas encore. Moi, je ne suis pas fan d’Instagram. Il y a des personnes qui sont nouvelles. Je suis pas sur Facebook, TalkTalk ou Snapchat, Snapchat, Snapchat. Donc, si je comprends bien, dès peuvent faire de nouvelles ou un produit nouveau, quand on est un peu vicieux, on y va à fond. Faire du cash. Et puis, logiquement, ils vont laisser faire. Parce que c’est logique si vous s’agrandisse. Puis ensuite, ils veulent rentrer dans les coûts. Ils vont dire aller affilier un peu trop, un peu trop simple entre parenthèses, si mon enfant prend Posternak et va en profiter, comme souvent en ouverture.

 

Sébastien TISSIER: C’est ça, toujours ces phases qui sont dans tous les marchés. C’est toujours la même chose à chaque fois. Facebook au tout départ, c’était génial. Il n’y avait pas de d’oreilles. Tu publie n’importe quoi et te laisser faire n’importe quoi au niveau Groza. Qu’on faisait n’importe quoi aussi. Aujourd’hui, ça a beaucoup, beaucoup, beaucoup changé et c’est normal.

Et ça sera encore pire demain. Et l’avantage compétitif de Facebook au départ, c’était dire ouais, mais tu vois avant et avec Google? Google, c’était compliqué. L’interface a été chiante. En plus, il était emmerdant, il validait pas les campagnes. 8 Facebook est arrivé, c’était simple, c’était facile, c’était rapide. Tu pouvais toucher plein de gens avec des trucs sans règles, quasiment sans filtre. Ça a évolué et ça évoluera toujours de cette manière là. Oui, il y aura toujours une nouvelle plateforme et la nouvelle plateforme, elle, sera toujours moins chiante que celle qui est bien établie et qui brassent déjà des milliards.

 

Thierry HENRY: Actuellement, tu consolés sur quelles formes et quels types de produits?

 

Sébastien TISSIER: Tout dépend la plateforme, encore une fois, n’est plus la cible tu parlais de Tik Tok, Tok Tok. C’est bien, mais c’est les moins de 18 ans. En quoi donc? C’est pas, ce n’est pas le. Actuellement.

 

Thierry HENRY: Tu peux faire. Tu peux faire du marketing et des produits gratuits. On aura pas de grosse rémunération des rémunérations à 1 euro, mais il faudra faire du volume pour avoir beaucoup de boulot.

 

Sébastien TISSIER: Nan, nan, je fais pas moi, beaucoup de petits trucs comme ça. Ouais, mais après, encore une fois, ça, ça revient à dire que c’est ce que t’as à vendre à l’audience que tu vises, qui dicte le choix de la plateforme. Si tes utilisateurs sont sur Linking Linguine, si tu as des filles qui sont sur un stade, tu vas sur instar. C’est toujours pareil, quoi. Il faut te mettre là où sont les clients potentiels et il faut majoritairement viser ceux qui ont de l’argent parce que c’est plus simple majoritairement de vendre quand même un produit.

 

Sébastien TISSIER: Ça ne monte pas beaucoup plus d’efforts de prendre un balle et une gamine de 15 ans que de vendre un produit à 500 balles et une entreprise, si tu veux, c’est à peu près. C’est la qualité du produit qui fait la différence. C’est pas toi. Toutes proportions gardées, c’est pas forcément toujours le moins cher qui est le plus intéressant à l’achat. C’est plus facile. Mais en fait, c’est pas toujours le cas, comme on dit.

 

Thierry HENRY: Ou plutôt, c’est le même effort pour vendre un produit à un euro 15000 euros, logiquement sous tous automatisés. Donc, on va revenir un peu sur ton ton, ton métier de base en matière de base, qui est plutôt professionnel, dont tu m’as dit.

 

Thierry HENRY: Donc on a donc Linking Link. Link Lead Poyau, dont on cite W Wh Marketing pour info. Donc toi, t’es plutôt de marketing Bh Marketing.

 

Thierry HENRY: Pour info, on est plutôt sur le même marketing. Du coup, tu peux me donner comme infos comment on peut se mettre dans cette niche là et comment tu peux nous aider.

COMMENT SE LANCER EN BUSINESS EN 2019 ?

Sébastien TISSIER: Quand on pose la question de savoir quel type de Business  je lancerai.

 

Sébastien TISSIER: Moi, si je repartais de zéro, je parle toujours de commencer par les entreprises. Pourquoi les entreprises? Parce que quand tu veux essayer de vendre un produit, même à 100 balles, à des particuliers, tu as tapé dans leur budget loisirs, leur budget resto, leur budget machin. Bref, ça sort de leur poche. Un professionnel, une entreprise, déjà, c’est pas son budget. Tu vois le mec qui te fait le chèque entre guillemets, le chèque ou la carte bleue, ça ne sort pas de sa poche. Donc lui, c’est une facture, c’est un frais déductible.

Mais au delà de ça, si tu parles de business et de marketing, tu vas donner le même conseil à quelqu’un qui est un petit entrepreneur qui fait de 1000 balles par mois. Si ton conseil tu vois, il lui permet de doubler son chiffre d’affaires. Tu as fait gagner 2000 balles par mois si tu t’adresses à une boite et tu donne le même conseil. Mais cette boite, elle fait 1 million par mois. Ton conseil, il vaut un million et donc forcément, ton conseil vaut un million. Il a plus de valeur, donc tu es au pouvoir.

 

Sébastien TISSIER: Le vendre plus cher.

 

Thierry HENRY: Peut logiquement avoir plus de récurrence avec une boite, comme quand tu fais du grand comptes dans la vente. Quand un bon client qui grandit, il va continuer à travailler avec toi. Content, évidemment.

 

Sébastien TISSIER: Et les boites? Encore une fois, un besoin qui est différent, c’est pour une boite, trouver des clients, par exemple. C’est une question de survie. Un particulier a acheté une formation ou acheté un produit. Ce n’est pas une question de survie. Il y a deux choses qui sont importantes pour l’être humain. C’est de la flotte et de la bouffe. Le reste, c’est pas vraiment la survie tout à fait. Pour une boite, on va avoir des clients demain. En revanche, si t’as pas de client, tu dépose le bilan.

Ça, c’est un besoin urgent, impérieux et immédiat. Et là, pour le coup, les boites s’emballent. C’est pas grand chose à leur échelle. La plupart des boites quelques milliers d’euros pour des boites aussi en récurant pour gérer une partie leur marketing, s’occuper des réseaux sociaux. Pour eux, par exemple, c’est un truc qui est extrêmement lucratif, qui est qui est généralement très mal fait dans les boites et qui peut se mesurer.

Tu vois, tu peux dire par tel canal, il y a tant de personnes qui sont arrivées, ça a généré autant de chiffre d’affaires et c’est des trucs qui sont vraiment à la fois utiles et pour lesquels les boites vont pouvoir effectivement te payer beaucoup plus facilement qu’un particulier.

 

Thierry HENRY: C’est ce que tu proposes au service marketing général. Ou plutôt, donc, on en revient toujours au black hat côte de Marketing Escola. Chaque fois que je pose une question, tu peux comprendre comment tu te cuiseurs en fin de compte. Des techniques de Black hat pour rendre service entre parenthèses pendant 24 heures, ça va du sommet du col du Col fendu essentiellement du col M’aligne.

 

Sébastien TISSIER: C’est à dire qu’en fait, la différence fondamentale entre les particuliers et professionnels, c’est que dans un cas, quand tu t’adresses à des particuliers, ça s’appelle du spam. Et quand tu t’adresses à des professionnels, ça s’appelle de la prospection commerciale. L’arrivée d’une nouvelle règle avec les GPD, etc. Bref, je vais pas rentrer dans tous les détails techniques du truc, mais aujourd’hui, le cold mailing est toujours légal, c’est à dire qu’il y a une partie sur les données personnelles qui sont qui a évolué.

Mais le cold mailing est toujours légal, c’est à dire que tu peux envoyer des email sous certaines conditions à des professionnels, alors que tu n’as pas le droit de le faire, les particuliers. Donc, la notion en fait, la dedans, c’est de dire que plutôt que d’attendre que les gens ils arrivent, tu attachaient du trafic, tu les envoie sur ta page de capture, tu capture Himmel et ensuite aura le droit de leur envoyer des email. Bon bah, tu peux appeler toute la partie de la capture. Déjà, si tu avais déjà les listes des gens, si tu avais, je ne sais pas.

Tu me dis Bon bah moi, j’ai un service à vendre, je ne sais pas à tous les mecs qui sont plombier, par exemple, si je peux te fournir les images de plombier de tous les plombiers de France ou d’une région particulière ou de tous les. Commerciaux bah, ça aiderait sans doute à aller beaucoup plus vite. Plutôt que de faire une campagne Facebook, ou alors met un site de capture machin. Et puis perdre les trois quarts de ton temps et de ton argent là dedans. Une page de capture, sa capture entre 20 et 50 ans, ça veut dire que tu perd entre 50 et 75 du trafic qui arrive dessus.

 

Thierry HENRY: Et pour vivre correctement, il faut combien de listes de noms pour une liste de 1000, 10000 pour le pro ou quoi? Ça dépend du produit par produit 1 500 euros.

 

Sébastien TISSIER: Si c’est du récurrent, tu n’as pas besoin de beaucoup de clients. On a besoin de 2 ou 3 clients pour bien vivre. Après, ça va dépendre de ce que tu vends et à qui tu le vend. Mais il y a des professions. Tu vas pas pouvoir trouver à hauteur de 2 000. Si tu tada, je sais pas. Au plombier chauffagiste d’un département, d’un truc que tu veux rester local et peut être que tu auras besoin d’aller les voir physiquement.

Enfin, tu as l’air difficile à trouver. Ça dépend vraiment des trucs. Disons qu’une base de 10 000 personnes, oui, c’est pas mal pour commencer. Ça permet de faire des tests. Ça te permet d’avoir des retours qui sont statistiquement intéressants. C’est à dire que en 2, ça, t’as pas forcément une cohérence lisible. Si tu envoies 500 email, bon bah, tu vas avoir des résultats ou pas, mais sauf Cronstadt en dessous de 1000 euros, ça veut rien dire.

 

D’accord. Et donc, par rapport à ces CML, quand tu défends cocooning, il y a certains qui vont dire qu’ils vont qu’ils vont mettre Lourmel parce que tu les récupère dans un tunnel ou en fin de compte, ils deviennent des propres. Simplement Colling sur 2 000, couteau coincé. En général, le taux de %100 de %5, puisque ça.

 

Sébastien TISSIER: Alors, ça peut être beaucoup plus que ça. Mais encore une fois, c’est un canal à part qui s’apprend, comme la pub. Tu peux pas. Ça va dépendre de ta capacité à faire comprendre aux gens qu’ils ont intérêt à lire un email. Ils ne n’ont pas demandé. Compliqué?

 

Sébastien TISSIER: Quand je dis comme ça, mais il faut avoir une belle accroche, faut sentir à sentir ce qui L’Houmeau qui va attirer les 10.000. Bon, ça, c’est compliqué, mais à moins que tu fasses de l’analyse marketing. Fin du fin, c’est juste connaître une marque, le problème des gens.

 

Sébastien TISSIER: C’est juste connaître les problèmes des gens, c’est à dire que tu sois assis ici, tu arrives en disant j’ai une solution géniale, ça part au carton parce que tout le monde s’en fout. En fait, les gens ne s’intéressent qu’à une chose c’est leur problème. On est tous pareils.

 

Tu il ce que moi, c’est mon métier? Depuis quelque temps, je suis venu un peu dans Pro. J’ai fait beaucoup de particulier à particulier Madhouse. Et le pro, c’est bien ce que tu dis. C’est toujours dans l’intérêt de faire plus de profit, à faire plus de chiffre d’affaires, voire plus de profits. Donc, si tu tu tapes dans ces trucs émotionnels de gagner de l’argent sans parler monnaie, tu coincide vraiment. Logique, quoi?

Vous allez faire une économie, gagner plus de temps et d’argent pour entretenir tous ces mots là? Ces mots clés sont aussi important de rester dans une niche. Ne pas changer les mots clés, tu les connais? Tu sais comment parlote l’audience exactement?

LE BONNE AVATAR PLUS DU BLACK HAT

Sébastien TISSIER: On en revient toujours à ça, mais tous les business fonctionne de la même manière, c’est à dire reconnaitre ton avatar, connaître ton produit et ton produit doit être en parfaite résonance avec ton avatar. Sinon, effectivement. Encore une fois, que ce soit du black, ça soit du gris ou soit du pur. Du White, ça ne marchera pas. A quoi tu as essayé?

Encore une fois, c’est l’équation de base. C’est ça des gens qui ont un problème. Et toi, tu arrives avec une solution et ça doit marcher à partir de là. Apprête à des trucs qui me permettent d’aller plus vite, qui vont coûter moins cher. Oui, mais si t’as pas cette équation, ce product market fit, ça ne marchera jamais. Mais en réalité. Ouais, c’est ça. Tout part du client, tout part du besoin. Si tu dis je vais ouvrir un service parce que tu connais bien les problématiques de tel SIP.

Peut être que c’était ton métier avant et tu sais que les plombiers à tel endroit, ils ont tel problème parce que c’est comme ça. Toi, tu le sais et tu connais les problèmes. Et c’est là dessus en tu as pouvoir jouer justement en leur disant Voilà, moi, je l’ai été. Je connais bien la profession et je sais que toi, tu passe par ces étapes là. Je sais combien c’est chiant tous les matins de devoir.

Tu n’as tu pas appuyé sur ces éléments là qui sont effectivement très, très puissants d’un point de vue, copiaient Rethink et qui font résonance chez les gens et qui permettent de convertir, c’est à dire que le mercantilistes truc qui soit? Oui, j’ai envie de répondre, de lui prendre le téléphone, de faire ce que tu demandes. Mais il faut que le mec qui dit oui, oui, vraiment, j’en veux quoi? Enfin, faut qu’il comprenne très vite ce que tu peux lui apporter et quel intérêt pour lui.

 

Thierry HENRY: C’est des techniques de vente qu’on je de la mais en plus du porte à porte, le Loukos, le codec, le code méningocoques que je continue à faire un peu d’aller chercher mes 10 15.000 euros en développeurs pour une startup et donc ça m’intéresse beaucoup. Moi, tous les jours, je fais de 200 à 300 appels à l’ancienne aux dirigeants. Pas des fois, pas toujours parce que j’ai Lamaque mon activité en salle là aussi.

Des fois, j’ai des missions que j’appelle les gens. Bonjour, c’est un peu la même chose en 30 secondes. Faut être rapide, il faut l’accroche et je me dis en fin de compte, quand tu me parles de bloquantes mailing, c’est quasiment pas du black, quoi, comparé au black destino et black out. Quand on voit le col bowling, il y a un méchant en fin de compte se bat pas. Après les propos de Norman Norman Moment effectivement, ça l’est pas.

 

Sébastien TISSIER: C’est juste une catégorie des gens qui nous ont mis un peu la dedans.

 

Sébastien TISSIER: Mais en réalité, c’est une croyance un peu populaire. Tu vois, tout le monde a un peu peur d’envoyer ou de décrocher le téléphone ou de truc. Ça, c’est un espèce de talent, un peu comme ça. Mais oui, t’as raison. On ne sait pas si elle n’est ni méchant ni particulièrement dégueulasse.

 

Personne n’a pas envie de répondre à quoi ça? C’est plus le téléphone, c’est un peu Jean-Coutu. C’est vrai que c’est un peu intrusive, mais du coeur du génie logiciel. Pourquoi ne pas avoir le numéro de téléphone, le mail tout encore pour avoir quoi que ce que tu connais? Et donc, j’ai le numéro, j’ai le nom. Et quand vous connaissez bien Internet, donc voilà, je fais de la pub en plus, mais en fin de compte, le mail, la personne reçoit le mail ne pas. Donc il n’y a rien de plus. Des fois, c’est sûr, mais les choses n’avancent pas. N’y a rien de méchant, d’agressif.

 

Sébastien TISSIER: On va dire non, non, ce n’est pas agressif, mais il n’y a aucune technique qui a nécessairement besoin d’être agressive en réalité. L’agressivité du truc, elle, est toujours en français, déployée de la force inutilement et c’est gâcher de l’énergie. Mais c’est une question de juste, de canal et philosophie. C’est à dire que là où les mecs, tu vois, ils vont plutôt partir, valider. On va faire une campagne, faire machin. On va mettre une landing en place de case pas mec es scrap. Et puis on voit des mecs, tu oublies la page, elle te sert à rien. Ca va plus vite.

 

Thierry HENRY: D’accord. Et donc, il n’y a pas de limite au scrapper chaque fois. Toi, tu trouves une liste ou tu un moment y’a pas. Quand on a un métier à toi, t’as capté tous les mails. Comment?

 

Sébastien TISSIER: Tu ne peux pas capter tous les métiers, mais en fait, il y a des processus qui ne sont pas basés sur le scrap, c’est à dire que tout ça fonctionne selon le principe de construction d’une adresse email, par exemple.

Pour un particulier, c’est très aléatoire. Tu peux avoir un Robert 1973. Autre point faire aucune espèce de logie dans le truc. Sauf que quand tu es dans une boite en général, quand le mec qui s’appelle Robert Durand et qui bosse chez Carrefour, il y a de fortes chances que son adresse mail soit une variation autour de son nom prénom et de Carrefour pour faire vois un point durant un @Robert pour un Durán ou un r d. AT. Tu sais, c’est toujours ça. Et notre métier, c’est de trouver en fait la vraie adresse email parmi toutes les combinaisons possibles qui sont des probabilités. Mais qu’on vérifie quoi?

 

Mets toi toi avec toi, mais toi, tu le fais parce que moi, je fais ça en France, mais j’ai un trio et sur différents sites. Mais toi, tu le fais de façon automatique, comme je le fais manuellement. Je pense.

COMMENT AUTOMATISER SA PROSPECTION ?

Sébastien TISSIER: Non, en fait, on a effectivement un service qui nous permet de le faire en automatique et de délivrer le résultat final aux utilisateurs, c’est à dire de donner, de donner directement le résultat sans que tu passes par la partie manuelle. Et au delà de ça, on peut enrichir les données, c’est à dire avoir beaucoup plus d’infos que juste l’adresse email. Savoir si les personnes, elles, ont un Skype, par exemple.

Peut être, dans certains cas, numéro de téléphone. Dans d’autres cas, une adresse postale et peut être, pourquoi pas, certains centres d’intérêt. Enfin, bref, on peut remarcher aujourd’hui. Pas mal de data, effectivement. Et ça, c’est plus Blackfoot dans l’idée et dans la philosophie, parce que ça permet d’aller plus loin.

 

Thierry HENRY: D’accord. Bon, ben, je pense qu’on a bien parlé du black catéchumène. Je ne sais pas ce que je voulais et j’ai l’impression que j’ai déjà eu une idée, une image du style du black hat. Mais c’est pas grave. J’espère que ça intéresse tout le monde, donc je redonne laicite parce que je me suis trompé. Donc link lead yo BH marketting. Pour info, ceux qui veulent plus d’infos et donc aller vers toi. Surtout, j’ai bien compris tous les pros en fin de compte, un plus pros qui veulent aller plus vite dans leur business.

 

Sébastien TISSIER: L’éperon avantage encore une fois les débutants, un défaut a un avantage, mais le principal défaut, c’est que tu n’as pas de produits à vendre. C’est compliqué de faire des trucs pour les raisons que j’ai évoquées plus haut. C’est à dire que même si je te file du trafic, si t’as rien à vendre, ça ne sert à rien. Pour moi, c’est pas ça. Il faut d’abord construire les bases d’un business, c’est à dire qu’il faut avoir impérativement un truc qui se vend et un truc à vendre, un truc dont on est sûr que ça se vend à partir de là.

Oui, tu peux aller beaucoup plus vite, Oui, tu peux faire des campagnes,Oui, tu peux faire du scratch, du col. Tu peux faire tout ce que tu veux. Tu peux monter des sites satellites sur des plébéienne pour faire du black si tu veux. Mais en attendant un business, ça doit avoir au moins une finalité de départ avec au moins un produit et un avatar, c’est tout. Si t’as pas ces éléments là, en fait, c’est compliqué.

Après, si tu as déjà des éléments, effectivement, si t’as déjà une petite audience, une petite liste et surtout quelque chose dont tu sais que ça se vend parce que les gens l’achètent, parce que ça répond à un problème. Oui, ça, c’est bon, parce qu’après derrière, tu peux accélérer beaucoup plus vite. Il ne faut pas confondre encore une fois le moteur et l’accélérateur. C’est toujours ça la problématique. Et c’est ça ou effectivement, les gens qui ont déjà au moins un petit business qui tourne. C’est beaucoup plus facile de les faire avancer très, très vite. Après, plus que de lancer quelqu’un parce que tu n’as pas cette phrase, toi, tu as toute la phase de découverte initiale à faire quoi comme compo pour être plus précis?

 

Thierry HENRY: On ne part pas de zéro pour Black HAT. Ça n’a pas de sens. Il faut avoir une base de business et mieux. Et ça marche mieux quand j’ai déjà du contenu, des choses qui font que ça va accélérer et que les gens ne vont pas arriver à quelque chose d’intéressant.

 

Sébastien TISSIER: Oui, parce que sinon, on Blackshades. Enfin, tu as si tu sais pas qui cibler et ce que tu veux leur vendre. Si t’auras jamais aucune espèce de résultat, par exemple, tu n’as pas monté, tu a monté un site, mais que ce soit en bla bla, car c’est pareil exactement.

 

Thierry HENRY: Tout à fait exactement. Donc, je vais attaquer les questions que je pose à tous les entrepreneurs que je m’étais rendu ici. Bon, quel est donc le business dont tu rêves parce que tu fais actuellement?

 

Sébastien TISSIER: Oh, terminer enfin Linking! Poyau, puisque c’est un projet de longue haleine, c’est un essai, c’est ça. Ça se développe sur des années et des années, tu vois, quand tu fais des formations, quand tu fais du coaching du consultant, c’est des opérations qui sont courtes. Tu peux lancer ça demain matin, tu dis demain, j’envoie un email, j’ai une idée de produit.

Tu vois si les gens achètent quand tu développe un SS, un service en ligne. En fait, ça prend des années à développer, c’est à dire que tu sois entre le moment où tu dis l’idée, je vois à quoi ça ressemble. Je veux que ça soit ça le jour où je ne sais pas quelle bande son il a. Il a dit Je vais faire clic final et le moment où il est maintenant. Et par toutes les étapes par lesquelles il faut passer avant d’arriver au produit dont tu rêves, avec quoi tu vas faire une formation dont tu rêves. C’est assez facile.

Finalement, ça demande quelques semaines de travail quand tu es dans les 16. Bah, il faut des développeurs. Faut une vision pour un truc pareil. C’est les projets de longue haleine qui sont extrêmement chronophages et gourmands en argent aussi pendant le temps.

 

Thierry HENRY: Des bons business qui ont souvent du récurrent et qui peut être très, très bien.

 

Thierry HENRY: Comme ça marche bien, on n’a rien sans rien, mais bref.

LES 5 QUESTIONS POUR FINIR L INTERVIEW

Sébastien TISSIER: Quelle est la meilleure expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur?

 

Thierry HENRY: En tant qu’entrepreneur aux investisseurs, expérience à quel point de vue financier ou humaine?

 

Sébastien TISSIER: Comme souvent, on me demande de préciser Moi, j’ai fait la question presque comme tu veux.

 

Sébastien TISSIER: Humainement, c’est sans doute d’avoir toujours, au travers du parcours, pu trouver des gens avec qui j’ai pu monter des projets et notamment mon associé qui lui est dev et sur lequel tu nous a permis de créer des choses qu’on n’aurait jamais pu faire tout seul. Donc, tu veux vraiment d’avoir, au travers du process, trouver des gens? Tu vas au delà des idées de business et des vraies aventure humaine.

 

Thierry HENRY: Quel est pourtant le meilleur levier pour devenir entrepreneur?

 

Sébastien TISSIER: Le meilleur levier le la volonté de le devenir, c’est à dire que ça a beaucoup d’avantages, et c’est vrai que sur Internet, il y a beaucoup, beaucoup de gens qui vendent le like stalle avant de vendre. Finalement, la finalité. Mais entrepreneur, c’est quand même autre chose que tu vois souvent les gens qui sont arrivés, c’est à dire tu vois le côté un peu pimpant de l’iceberg. Le truc, c’est génial, sa vie. Bon, on a oublié aussi de voir un peu les 5, 6, 7, 10 années. Peut être, où il en a chié, où il a fait beaucoup de sacrifices.

Donc, le meilleur levier, c’est trouver une espèce de mission ou du moins quelque chose qui l’anime, au delà simplement de la volonté de gagner de l’argent ou d’avoir le Lakeside parce que le l’installent. Une fois que tu lafay fait, finalement, tu vas, tu dis oui, bon bah, tout ça pour ça, à quoi? Il faut que ça soit tenu par autre chose. Parce que finalement, même les gens qui rêvent d’une grosse grosse bagnole Port-Bouet, une fois que tu like ta joue une semaine avec Bob, c’est plus qu’une voiture.

 

Thierry HENRY: Je te confirme que ça m’est arrivé après. Y’a de toutes plus importantes et ce sont les armes qui fait son business de se plaisir. Et souvent, ils n’arrêtent pas et continuent parce que s’arrêter aurait faire le tour du monde après avoir fait le tour pour rien faire.

 

Sébastien TISSIER: C’est exactement ça et c’est un vrai problème récurrent chez les entrepreneurs. Donc, si tu veux durer, il faut une vision, quelque chose, une mission, une forme de mission. Fouqueray, tu as un truc qui transcende un peu parce que sinon, effectivement, tu vas passer par des cycles où tu veux dire bon bah ça y est, j’ai atteint l’objectif. Qu’est ce que je fais maintenant?

 

Thierry HENRY: Je comprend donc quel est le l’Evoque que tu conseillerais à tout. On comprend alors pourquoi. Si tu dis, parce que c’est toujours la question, il y en a qui n’aiment pas les Arabes, parce m’arrive.

 

Sébastien TISSIER: Twenty et principal hors la loi des ventes et au marketing et à la vente, je confirme parce qu’en fait, on apprend que Pareto s’applique y compris à la vente, au marketing.

 

Sébastien TISSIER: Mais au delà de ça, il y a eu même une deuxième, une deuxième partie qui était faite où tu peux le faire aussi avec tes amis, c’est à dire que tout s’applique et en fait apparaître et que finalement, ça te permet de voir au delà du système et qu’il y a une espèce de magie. Il y a tout ça. C’est à dire qu’effectivement, on parlait tout à l’heure des chiffres sur des produits, par exemple. Tu t’aperçois, tu avais 1000 personnes qui ont acheté un produit à 10 balles.

Mais parmi ces 1000 personnes, on avait sans doute à peu près de 200 qui auraient acheté 5 fois plus cher, 4 à 5 fois plus cher et que sur encore 20% 20%, on aurait encore quelques uns. Une bonne paire qui aurait acheté jusqu’à à peu près 150 balles si tu partais d’un truc. Donc, ça veut dire qu’en fait, quand tu connais un peu ces règles là, si tu les applique à la vente, au marketing, bah, tu t’aperçois que déjà tu laisses beaucoup d’argent sur la table et qu’après surtout, tu passes beaucoup d’énergie pour des choses qui ne méritent pas nécessairement à savoir que tu fais le compte de gens qui arrivent au support et tu t’aperçois que t’as toujours sur 80% du temps, tu as passé au support.

C’est 20% des gens qui disent t’entends quoi? Et que finalement, si tu fais des bons ratios partout où tu peux déjà t’amuser, optimiser vraiment des trucs, il y a déjà des anecdotes là dessus et des gens qui sont concentrés uniquement, qui ont viré 80% de leurs clients, qui ont gardé 20% les bons et qui on sont allés chercher des nouvelles idées de prestations pour ne bosser qu’avec eux et qui ont multiplié leur chiffre d’affaires comme ça, juste en travaillant avec des gens qui leur faisaient déjà confiance et juste en regardant un peu cette mécanique là.

 

Thierry HENRY: Faisant la différence entre les boites qui qui s’enrichissent, celle qui fait tout seul, qui ferme, pense qu’on nomme les mauvais vendeurs marketeurs qui pensent parce qu’ils ont des listes, des gens qui viennent, qui sont intéressés. Mais il faut juste trouver les vrais bons clients et rester avec eux. Quoi s’embêter à chercher l’argent qui sont juste des visiteurs. Mais bon, après ça, c’est autre chose. On a bien senti le marketers et je suis pas étonné. Mais bon, voilà bien, quand tu mets le marketing avec les boites, on s’amuse bien avec les 24% et ça marche toujours. Dernière question quelle est ma compétence que tu rêves d’avoir?

 

Sébastien TISSIER: Développeur du développeur.

 

Sébastien TISSIER: Moi, je ne suis pas dev, on ne peut pas être partout. Et puis, encore une fois, c’est une compétence, mais c’est une compétence intéressante. Après, elle a des défauts qui sont un peu tendance à enfermer dans une cave. C’est à dire que effectivement, le code, c’est un peu un truc qui retourne le SIAO et qui trouve assez peu sociable. A contrario, le fait de passer du temps au téléphone ou de faire du coaching ou du consultant, ça rend beaucoup plus, beaucoup plus ouvert au monde.

Le code est beaucoup plus isolant. Enfin, je dis ça parce que j’ai un associé développeur. Donc, du coup, je sais un peu les nuances que ça et en fait à la fois. C’est une compétence qui m’intéresse parce que effectivement, on a besoin pour plein de choses. Et oui, tu pourrais l’apprendre comme plein d’autres trucs. Mais après, tu as essayé, tu vas acheter du pain. Mais est ce que t’as envie d’apprendre à faire le pain tout le temps?

Est ce que t’as envie d’apprendre tout ce que tu utilises au quotidien? Pas nécessairement. En quoi on ne peut pas tout apprendre non plus. Parce que parce que sinon, tu passes ton temps à ne faire que ça. À quoi? Et encore une fois, c’est bien de savoir construire des choses. Après, il faut savoir aussi sortir un peu de trucs. Le code. Pour moi, c’est juste un truc. C’est le prolongement du business, parce que ce que je voudrais faire, c’est juste ça. Donc ça, ça m’en fermerait plus que m’ouvrir vers des trucs Guichard.

 

Thierry HENRY: Ce qui confirme.

 

Thierry HENRY: J’étais content d’avoir trouvé le bon associé qui fait que près de chez moi, quand tu fais exactement ça, oui, il faut savoir s’appuyer sur d’autres talents que juste les tiens. Parce que sinon, effectivement, tu limites et tu rencontres vite des plafonds de verre.

 

Thierry HENRY: Sébastien Grand merci, je redonne le métro dont tous les liens dans le champ note et non Bannister, pas les voir. BH Marketing pour info Link que. Pourquoi?

 

Thierry HENRY: J’ai du mal à prononcer les clients jour après?

 

Sébastien TISSIER: Y a des questions, tu me l’aérostat chaîne YouTube et tous les éléments que les gens puissent aller voir, même si bon, jamais, il y a toujours des gens qui ne connaissent pas grand chose. Faut dire que c’est avec grand plaisir. Bon, ben, je te dis à bientôt, à très bientôt.

CONCLUSION

Sébastien TISSIER: Merci de ton invitation, très bientôt à tous, etc.

 

Thierry HENRY: C’est tout pour cet épisode manquer de 35. J’espère que cela vous a plu. Donc on a parlé de marketing de Black Hat.

 

Thierry HENRY: La partie marketing pour suivre Sébastien, n’hésitez pas donc à aller sur BH Marketing. Infos sur l’application logique qu’il développe, on va dire pour réussir son linking. Excusez moi, link de Link comme un Link Halder.

 

Thierry HENRY: Donc, quand j’ai lu le début, c’était pas commenter à partager continuations. Parce que là, on est parti pour une longue episode avec de nous invités. La semaine prochaine, on va parler de Nomade Digital, d’Amazon.fr Billiers et de d’Offshore pour ceux qui veulent partir de la France et les payer moins d’impôts. Bien sûr. Vous pouvez donc bien sûr aussi tester, loucher. Le logiciel du partenaire  converkit donc thierry-henry.fr/ckit, pour aller faire cela.

 

Thierry HENRY: ckit, que Thierry-henry.fr/ckit et donc aussi, il reste des places pour le séminaire de David Laroche, qui a son séminaire entraîne pour réussir pendant trois jours à Paris. Donc, vous pouvez donc aller sur le site thierry-henry.fr/epr. Mon nom de domaine, thierry-henry.fr/epr Jeudi la semaine prochaine. Pour ceux qui veulent devenir des nomades digital tchao.

 

Thierry HENRY

Bienvenue sur mon blog. Je suis entrepreneur et investisseur depuis 2003 avec des réussites et des échecs. Depuis 2016, j'ai shifté vers l'entrepreunariat Lifestyle et l'investissement dans toutes sortes de revenus passifs. Je partage ici mes conseils pour vous permettre de faire vos investissements immobilier mais aussi je vous donne mes conseils en entrepreneuriat et en investissement immobilier et finance. L’Entrepreneuriat et l’investissement sont mon quotidien depuis plus de 15 ans maintenant. Ce site s’adresse à tous ceux qui veulent atteindre leurs objectifs. Vous pouvez être indépendant ou salarie et vouloir faire un Bond dans votre carrière ou dans vos investissements. Je ne vous demande qu’une chose : agir ! Avançons et évoluons ensemble.

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