Entreprenariat

EP 44 – Comment réussir en Business en étant multi tâches ? Interview de Charlotte MARICAN

Comment réussir en business en étant mutli-tâches ?

Thierry : Salut à tous, bienvenue donc pour l’épisode 44 de l’entrepreneur lifestyle, Thierry #Henry. Aujourd’hui, je vais te parler de multi-tâches avec une serial entrepreneuse que tu dois connaitre. Donc, Charlotte Marican, qui est à la tête de plusieurs structures et qui a vraiment un bon lifestyle et surtout elle va nous parler aussi d’immobilier dans cet épisode là donc, je te dis tout. Après, donc remercie donc les sponsors.

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Thierry : Nous voilà de retour. Donc quand je te dis donc, on a parlé beaucoup d’immobilier, d’Airbnb, d’immeubles, un peu de business classique en ligne, même si elle n’a pas commencé par ça, on commence à parler de ses débuts. Et pourquoi, en fin de compte, elle est multi-tâches bizarrement par rapport à ça. Donc je me rapproche d’autres parce que elle dit qu’elle ne s’ennuie pas.

Mais bon, moi, c’est comme ça que je leur ressemble. En tant que personne que j’aime bien, je suis attiré par beaucoup de choses. Mon cerveau est un peu bon. J’aime bien faire plusieurs trucs, même si on le dit, on va tout faire de One Thing pour assurer souvent un business, puis ensuite enchaîné sur ce qui est bon pour la plupart des gens. Mais je comprends l’intérêt. C’est vraiment un échange très intéressant. Donc, n’hésite pas à liker, à partager, supporter donc l’émission et donc on va commencer tout de suite avec Charlotte. A tout de suite.

 

PRÉSENTATION

Thierry : Salut Charlotte! Comment tu vas?

Charlotte : Bonjour. Très, très bien dans cette belle matinée pluvieuse.

Thierry : Oui moi aussi, il pleut. Tu es ou là.

Charlotte : Alors je suis dans ma maison familiale qui est, qui a l’avantage d’être pas très loin des appartements que je gère.

Thierry : C’est vrai qu’on va parler un peu d’immobilier, même si toi, tu es multi-tâches. Donc c’est aussi le but du podcast aujourd’hui. Pour ceux qui, malheureusement, n’arrivent pas à suivre ce que tout le monde répète, il faut rester dans une niche. Etre un expert, toi tu es un peu comme moi, tu réfléchis mieux quand tu as plusieurs activités, donc je vais te laisser te présenter puis après on va partir sur les différentes activités que tu as. Et comment tu arrives à gérer la vie de famille des différentes tâches. Et pourquoi toi, ça marche bien pour toi?

Charlotte : Oui, je pense que déjà, on est chacun très spécifique. Il ne faut pas avoir peur quand on est un peu différent de suivre différents modèles. Moi, j’ai eu un parcours scolaire et académique très académique. Je suis arrivé juste au plus haut niveau. J’ai un doctorat d’État, mais en fait, je me suis rendu compte que c’était assez compliqué.

Ça me ressemblait pas trop parce que je n’étais pas capable de gérer un patron et le fait d’avoir quelqu’un qui me commande dans ce que je faisais. Et donc, du coup, je me suis lancé dans le faite créer une société qui était pour les enfants hors normes. Et donc, ça va reboucler avec le multi-tâches parce que c’est toujours quelque chose qui a été très important pour moi. J’ai un diplôme en psychologie d’enfant et du développement et j’ai du mal dans les généralités en faite.

Quand on fait des généralités sur les gens et donc j’ai travaillé avec des enfants qui avaient des potentiels différents, que ce soit hypersensibilité, que ce soit des angoisses massives, que ce soit de la précocité etc. Et j’ai beaucoup appris, cela m’a beaucoup appris, d’autant plus que nous avons dû acheter l’école. C’était donc mon premier achat immobilier çà ma appris aussi sur l’immobilier et que c’est la première fois que je gère une entreprise, donc je suis devenu gérante de société.

travailler sur un ordinateur portable

LE DÉBUT DE L’AVENTURE ENTREPRENEURIALE

Thierry : Je précise que vous étiez quatre, ce qui est déjà la première création à quatre c’est fort parce qu’en général, les gens ont toujours peur de s’associer. Et toi, tu commences à créer avec quatre je crois.

Charlotte : Oui, totalement. Nous avons en commun quatre. C’était un peu fictif, c’est à dire deux couples avec mon mari et moi, j’ai plutôt un aspect scientifique. Je me suis associé avec quelqu’un qui était littéraire et donc on a créé cette école à deux et les deux couples se sont lancés dans l’aventure, chacun ayant deux enfants. Donc, on était, on était en réalité 8 vie dans l’aventure.

Thierry : Et en plus aussi dire que tu as commencé dans le comme moi, dans l’entreprise entrepreneuriat, dans le dur, dans le domaine du comme on dit brick and mortar tu n’as pas commencé en ligne directement.

Charlotte : Non, pas du tout, du tout. Vraiment? Voilà, avec des clients à aller chercher, des profs à recruter, des bâtiments à mettre aux normes pour l’école, une cour de récréation à mettre aux normes. C’est vraiment de la gestion du pré pour obtenir le financement pour les bâtiments de l’école, étoffent jusqu’aux Fêtes avec une tronçonneuse et les branches, etc. Etc. C’était tout le panel possible, sans compter tout le côté fiscal et légal.

Thierry : J’ai une question parce que en off je t’en avait parlé toi en fin de compte, techniquement, avec tous tes diplômes, et je crois que ton mari c’est pareil je crois que c’est pareil. Vous avez aucune raison d’entreprendre parce que vous avez des diplômes. Le travail, ce n’est pas un problème pour. Vous allez dans le monde du travail vous en trouvé ou sinon vous pouvez être consultant et vous créez quand même une boite qui n’a rien à voir et vous prenez des grands risques. Pourquoi?

Charlotte : Parce que on est incapable de supporter un patron. Alors on parle souvent du plafond de verre et je pense que maintenant, les gens connaissent bien. Je pense que tu en as déjà discuté dans tes podcasts et que les gens commencent à être assez au courant avec ça et que ça commence à faire son chemin. Mais il y a quelque chose pour les gens qui ont des potentiels un petit peu différent qui est difficile à vivre. C’est le fait d’avoir quelqu’un au dessus de soi qui ne peut pas prendre en compte votre spécificité.

Je sais qu’il commence à y avoir sur Paris des cabinets qui essayent de travailler avec les grandes entreprises pour que les gens avec un potentiel différents puissent apporter à l’entreprise qu’ils en soient blessés. Mais c’est vrai que dès qu’on a un peu une spécificité, rentrer dans un moule, c’est assez compliqué. Et moi, j’ai décidé très vite de ne pas me faire du mal et de ne pas m’obliger à rentrer dans un moule qui ne correspondait pas. Donc la seule solution, dans ce cas là, c’est vraiment de créer son propre job. Et puis, il y a une raison plus personne. Je te remercie de ne pas vouloir me mettre dans la case maman à la maison.

Il y a une raison vraiment perso, c’est que moi, j’avais vraiment conscience quand j’ai voulu des enfants me dire je ne veux pas faire des enfants et ne pas avoir d’enfant, c’est à dire les faire gérer par l’école, par une nounou, par des assistantes ixquick. Je me suis dit si jamais tu veux des enfants, c’est vraiment pour vivre avec ses enfants et partager des choses avec ses enfants.

C’est ma philosophie qui va jusqu’au faite, par exemple, de d’éviter de leur acheter des cadeaux et de partager avec eux des expériences et des voyages. Moi, vivre avec quelqu’un, c’était pas payer des choses, mais c’était vraiment vivre ensemble. Et c’est extrêmement difficile quand on est cadre supérieur, quand on a des responsabilités au sein d’une entreprise qui ne vous appartient pas de pouvoir entrer dans ce cadre. Tous les gens autour de nous qui ont pris des postes à responsabilités et se retrouvent vraiment extrêmement coincés dans des emplois du temps.

Thierry : Je suis content que tu parles de ça, parce que moi, je reviens de Valence, je fais 8 jours à Valence avec mes trois enfants et je vois la différence entre un avant et après. On a fait des petites vacances avant mais bon, c’est un peu compliqué. Moi, j’ai une femme qui est cadre dynamique et donc c’est plutôt elle qui ne les voient même si tout le monde je crois que je rigole quand je dis que c’est moi qui les gère, on me dit non, c’est pas possible si c’est moi qui les gère.

Des fois, j’ai des rendez vous à Paris, mais bon, je bosse à la maison, donc c’est un peu plus simple pour moi. Et en plus, je ne suis pas un gros dormeur. Donc j’ai beaucoup de temps. J’ai beaucoup de temps, je dors 5 à 6 heures par soir et donc j’ai le temps les lever le matin, le soir de m’en occupé Bien sûr, elle a sa part, je ne dis pas qu’elle ne fait rien au contraire

Charlotte : Mais c’est vrai qu’il y a une vie du quotidien qui est très différente. Alors après, il y a des gens qui réussissent à passer de vrais moments de qualité Les cours du père avec leurs enfants en créant des expériences très particulières dans mes élèves, j’avais un garçon qui avait un papa très, très pris. C’est un médecin. Il avait très peu de temps et il passait systématiquement 15 jours avec son fils en partant en camping car.

Vraiment que ça cadeau pour avoir des entrées privilégiées, il avait réussi à avoir une relation très forte entre eux, mais moi, j’en reviens à l’individu. Eux allait très bien dans cette relation. Et cet enfant, il avait une super relation à son papa. Mais moi, j’ai voulu devenir la maman. Ce n’est pas ça qui me faisait envie de faire et je pense que j’en aurais été extrêmement malheureuse. Donc, quand on peut choisir et essayer, c’était un test.

Je l’ai fait. Je suis ravi de l’avoir écouté, mais je n’avais pas envie de suivre des carcans obligatoires. J’avais vraiment envie de m’écouter et d’essayer, alors ça aurait raté. Je n’aurais pas eu de sous pour les élever. Je serais reparti faire autre chose. Il n’y a pas de souci, mais il s’est avéré que en suivant mes envies et en construisant à la vie rêvée, pour le moment, ça fonctionne. On pense

Thierry : Mais ce qu’il faut préciser c’est qu’il y a deux visions qui sont différentes.C’est que Souvent, on pense qu’on est salarié, que l’on fait je parle pour celui qui n’est pas cadre qui fait du 8 heures jusqu’à 16h30-17h00 il a plus de temps? Oui et non. Déjà il est stressé souvent, je vais faire un gros cliché souvent cette personne là va, peut être rester deux à trois heures devant la télé. Si tu rajoutes çà et plus deux heures de transport surtout à Paris, c’est une heure pour aller et une heure pour le retour et on pense que l’entrepreneur bosse au début, il faut lancer la machine.

C’est une fusée début pendant six mois, un an, deux ans des fois, on bosse comme un dingue techniquement, si on sait automatisé. On peut avoir une vie vraiment qui est très bien souvent, on oppose entrepreneurs. Si je crée une boite, je ne vais pas avoir le temps pour mes enfants. C’est faux. Si on sait bien faire les choses, on s’est inscrit comme Blampain. De multiples inscrits, différents, business différents ont. Là, on est vraiment tranquille.

LA RÉALITÉ SUR LA VIE D’UN INDÉPENDANT

Charlotte : Alors, c’est vrai et c’est faux. Il faut quand même se souvenir de la fameuse phrase que si on aime son travail quelque part, on ne travaillera jamais une seule vie. Donc, ça aussi à prendre en considération. Qu’est ce qui se passe par rapport à sa relation au travail? C’est à dire? Quand on lance un nouveau business ou quand moi, j’ai une nouvelle idée, quand il y a quelque chose que je peux faire, c’est souvent une envie, c’est motivant, on regarde, etc. Et ça donne quand même quelque chose de très positif. C’est un élan dynamique.

On ne peut pas forcément retrouver dans le salariat où on nous impose certaines tâches ou alors on a des obligations de planning, etc. Mais par contre, effectivement, a contrario, ça fait des gens qui trouvent pas ça anormal de se parler un jour férié, donc, ou d’aller travailler un dimanche ou, comme ça m’est arrivé, un problème avec la femme de ménage. Il y a une biche et de se retrouver à 22 heures à faire le ménage avec sa fille de 9 ans pour être sûr que le lendemain, les clients et un appartement qui soit nickel, ça peut paraître complètement fou. Mais je peux tout à fait comprendre vraiment que pour des gens, ce choix absolument dingue.

Moi, j’ai des gens qui me disent mais comment? Si on a de l’argent et si on peut faire des choses comme ça, comment tu te retrouves à dix heures du soir à faire le ménage dans un appartement à quatre pattes avec des produits ménagers? Mais en France, c’est pas possible. Oui, pour moi, c’est ça, ça fait partie du job, etc. Je ne ferai pas tous les jours, je fais tout pour que ça ne marche pas, mais si ça arrive. Pour moi, mes clients, c’est assez important et je veux qu’ils soient dans des bonnes conditions. Et peu importe si c’est à moi d’assumer, c’est moi le boss, c’est moi qui assume. Je trouve ça normal.

Et ma fille? Je ne pense pas que ce soit son rêve absolu de petite fille de 9 ans à 10 heures de faire du ménage avec sa maman. Mais ça lui fait comprendre aussi que quand il y a quelque chose, on va au bout, on va au bout de ses devoirs, on va au bout des engagements qu’on a pris avec ses copines, même si, du coup, ça fait plaisir. Ce n’était pas pareil quand on lui a dit de venir à la maison, etc. Et je pense aussi que c’est important, donc c’est une globalité. Mais une étude,.

Thierry : Tu lui montres l’exemple indirectement.

Charlotte : Ben oui, parce qu’en fait, on sait très bien que les enfants, et plus largement les salariés, ce n’est pas vraiment le discours qu’ils écoutent. C’est vraiment ce que tu fais, moi, la femme de ménage, qui est la responsable de mes femmes de ménage, qui avait envoyé quelqu’un qu’elle n’avait pas testé avant et qui. La patronne a fait du ménage de 21 heures à 23 heures, entre guillemets à sa place.

Elle a une reconnaissance et un respect pour moi que je n’aurai pas obtenu en arrivant et en lui parlant de haut. Donc, c’est toute une façon de travailler, de gérer les choses, qui est très différente et qu’on trouve dans des petites entreprises familiales qui grossissent, mais qu’on peut créer dans son propre business. Il grossit aussi.

Thierry : On va parler de plus en plus de tes différentes tâches, la tu as parlé un peu de la famille. Tu es proches de tes enfants parce que tu as le temps. Quelle est l’activité que tu as actuellement ? L’école, tu ne l’as plus, tu l’a encore ou pas l’école que tu as crée en dure ?

Charlotte : Non, non. On a tout revendu parce qu’on a pris la décision de s’expatrier. Donc, nous vivons en Andorre et l’école, c’est vraiment quelque chose sur laquelle il faut être au quotidien. Contrairement à d’autres business où on peut déléguer et donc on l’a revendu aux couples d’amis avec qui on l’avait crée, on l’avait créé. Mais je garde contact, mais j’y suis plus au quotidien.

Thierry : Donc actuellement tu as plusieurs sociétés, donc tu as une grosse partie immobilière. Parles nous un peu de tout çà et le côté famille le côté temps du le côté multi-taches car c’est un trait de ta personnalité.

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DE UN A PLUSIEURS BUSINESS

Charlotte : En fait, je me suis très vite rendu compte que quand on obligeait à faire une seule chose, je devenais relativement mauvaise. Même si j’adorais cette tâche là et que dès que je faisais plusieurs choses en même temps, j’étais beaucoup plus compétente et beaucoup plus motivée pour chacune. Donc, j’ai essayé de garder ça dans ma vie professionnelle que j’ai quand on a eu un business qui tournait.

Donc, au début, j’ai travaillé dans le business avec mon mari, donc on vendait des CD de méditation, gérer les clients, gérer les emplois, gérer mes comptes administratifs. Et puis, après qu’on en a voulu arriver au fait d’investir puisque la société fonctionnait, on s’est dit qu’on commencerait par l’immobilier. Donc, je me suis formé en immobilier puisque mon mari, lui, s’est mis à fabriquer plusieurs programmes en électronique et que lui s’est spécialisé dans ces programmes d’accompagnement électronique. Et puis voilà, on met différentes formations.

J’ai commencé par la colocation et puis après, j’ai eu la possibilité de faire un achat d’un immeuble qui lui était en classique, donc avec un rendement plus faible. Mais effectivement, quelque chose de plus tranquille par rapport au travail que demandait la colocation. Et en travaillant, je me suis rapproché de quelqu’un qui faisait du bien immobilier et qui accompagnait les gens sur Airbnb. Et quand j’ai eu le potentiel de travailler, ça faisait. Ça m’a fait envie. Donc, on a commencé à tester sur les appartements de ski qu’on avait en Andorre. Et puis, cet été, on a commencé à travailler sur certains des appartements que j’avais en France sur Airbnb.

Donc déjà, j’ai sur l’immobilier. J’ai plusieurs canaux par rapport aux appartements que j’ai qui de façon différente, donc avec un fonctionnement, des responsabilités, une gestion, etc. Très différente pour chaque domaine. Et puis, à côté de ça, je reste gérante de la société mère et est en relation avec un grand partenaires avec qui on travaille en électronique. J’ai beaucoup de relationnel avec les banques, avec les partenaires avec qui on travaille de façon plus rapprochée.

Et pour notre société principale. Et puis, comme je suis un peu hors norme, j’ai mes enfants aussi qui sont au CNED et donc j’ai une partie de mon temps que je consacre quand même de les accompagner. Parce que même s’ils sont autonomes, ils ont toujours besoin d’un regard extérieur sur leur travail pour finir leur année. Et voilà, j’essaye de m’organiser entre ces différentes activités.

Thierry : Ça fait beaucoup de boulot, tout ça. Surtout qu’en fin de compte, tu fais de l’immobilier. Mais tu as transformé, j’ai l’impression que tu aimes bien AirBnB qui est très rentable, mais qui n’est pas très passif.

Charlotte : Exactement. C’est un vrai boulot. Alors pour être tout à fait honnête. Si c’était moi qui gérait vraiment, j’en serais pas capable. Déjà, parce que les appartements que je gère sont très loin de mon domicile. Donc, on a monté une équipe et ça, c’est vrai que j’aime bien, c’est quelque chose qu’on a réussi à créer avec notre société. Avoir une équipe, une équipe qui gère les clignant, une équipe qui gère les partenaires ou l’équipe qui gère les programmes et les affiliations. Donc, on a réussi à faire ça pour la société.

Mais c’est plus mon mari qui s’occupe de cette équipe là. Maintenant qu’elle est fixe et moi, j’ai réussi à monter une équipe, disais par Akram et femme de ménage sur plutôt le côté Herbiet ennemi. Donc, on travaille avec des gens qui peuvent être là, par exemple pour récupérer notre écho. Pour si la machine à café marche à récupérer, une nouvelle machine à café. S’il y a quelque chose de décollée ou ou une douche, il déborde trouver le plombier, remettre les rideaux, etc. Donc, on a créé voilà deux ou trois personnes de confiance avec qui on travaille. Et bien c’est aussi pour ça que ça prend du temps. Donc, on a mis deux 3 mois.

C’était quasiment à plein temps pour faire ça avec ma coach accompagnatrice et maintenant un ensuite. Mais c’est vrai que c’était important et que ça demande du temps et un réinvestissement au début. Parce que, comme je disais au début, il y a eu des couacs dans ce qui s’est passé. Il fallait vraiment être là pour vérifier, pour que les gens se rendent compte que même si on n’était pas là, on avait comme deuil et voilà. Donc on a fait les mises en place, on a fait le suivi. Et puis ça demande régulièrement de repasser, de revoir les gens chez les appartements, etc.

Thierry : Donc, on parle de multi-tâches, de changer l’activité indirectement, donc de libérer tous les l’espace ou autre chose de.

Charlotte : Totalement, totalement. C’est comment dire. C’est du multi-tâches, parce que du coup, je rajoute un élément à vérifier dans mon emploi du temps bien de chéquier que je n’ai pas le message, qu’il y a une urgence, etc.

Mais en même temps, c’est de la délégation. Donc à chaque fois, c’est le même process. Ça commence à rentrer dans quelque chose, commencer à essayer de le maîtriser et mettre en place quelque chose où je ne suis plus que la personne qui va vérifier ou qu’on vient voir quand il y a un problème ou qu’on sollicite quand il y a quelque chose qui n’est pas simple ou basique à mettre en place. C’est pareil avec ma secrétaire qui est sur rendort.

Maintenant, la plupart des choses, elles arrivent à gérer seul et en langue quand on a des points réguliers sur certaines choses. Mais il y a toute une partie du travail qu’elles arrivent à gérer toute seule, sur lesquelles elle est autonome, ce qui permet de venir en France. Ce qui me permet de partir en vacances, etc. En sachant que le business tourne sur les différents points.

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SCALER AVEC UNE EQUIPE

Thierry : Tu délègues mais çà reste quand même du boulot. Il faut quand même de bien.

Charlotte : Il faut toujours manager. Il faut toujours être en contact, toujours avoir un petit mot. Faut toujours faire attention parce que dès qu’on est dans l’humain, on ne va pas se mentir. On est pas sur de la robotique, on est dans l’humain et il faut toujours toujours être prêt à gérer ça, que ce soit en première action quand c’est décriant, parce que la relation client.

Moi, j’en ai discuté avec différentes personnes qui faisaient du Airbnb, etc. Des fois, les gens arrêtent parce que la relation clientèle, c’est compliqué. Donc, il faut être capable de gérer ça. Si vous avez des appartements vides que vous louez en location vide, c’est beaucoup plus facile à gérer que du Airbnb où vous avez sans arrêt.

Il faut aussi assez se connaître pour savoir avec quoi vous êtes à l’aise, entre guillemets. Et puis après, si vous déléguez, il faut aussi être à l’aise avec la position entre guillemets de chef qui n’est pas apprise, qui n’est pas forcément très respectée partout, et donc de se sentir aussi à l’aise avec cette position là. Et effectivement, avec un peu la double peine, quand vous êtes une femme et que vous devez prendre une position de responsabilité par rapport à un dernier, par rapport à une installation de cuisine, etc. Il faut aussi travailler un petit peu.

Thierry : Tu ne t’embêtes pas tu prends une plombière qui ne se pas de comme ça, tu veux du boulot?

Charlotte : Alors la secrétaire, c’est assez facile à trouver, la plombier? J’ai plus de mal. Mais effectivement, il y a une espèce de solidarité comme ça qui se crée maintenant. Le monsieur qui travaille dans nos il y a une vie qui est multi-tâches lui aussi.

C’est quelqu’un de formidable avec qui ça se passe très bien. Et donc, il y a juste des hommes formidables comme il y a des femmes formidables et et du coup, le tout, c’est vraiment de faire attention à l’humain et de créer le groupe avec lequel on est à l’aise de travailler. Parce que je sais très bien que, par exemple, si c’était moi qui devait gérer l’immobilier, mais mon fils ou mon mari qui ne serait pas forcément à l’aise avec l’équipe, j’ai mis en place parce que l’équipe que j’ai mis en place correspond à mon fonctionnement de travail. Aussi

Thierry : D’accord donc c’est vraiment une structure, il y a combien de loups? Si c’est pas gênant à dire combien de personnes tu gère? J’ai pas vu. C’est pas juste du baby boom, mais comme tout le monde se fout du loup. Une vraie structure.

Charlotte : Alors sur St-Étienne, pour être exact, j’ai trois immeubles et j’ai un étage complet qui est géré en Bookeen sur dix studios Airbnb et qui est plus classique, dirons nous. Le Airbnb qu’on a voulu mettre en place, c’est plutôt du haut de gamme de service, une déco très spécifique, etc.

Dans un immeuble vraiment centre ville et du coup, on travaille avec une dame qui fait déjà des ménages. Il y a une vie là aussi, des solutions pour apporter les repas aux gens si nécessaire. Voilà qui est un service traiteur.

Thierry : Eux ils sont employés ou des freelances

Charlotte : Freelance vraiment cette dame là. Elle a sa propre société et son compte, justement. Très bien, parce qu elle aussi, c’est une vraie entrepreneuse et qu’on se comprend très bien.

Thierry : Ça reste assez souple on va dire.

Charlotte : On peut envoyer des messages à 22 heures si on est arrivé à 6h du matin. S’il n’y est pas arrivé. Il y a un changement dans l’heure de livraison. C’est des gens avec qui on peut se comprendre. Elle a aussi des enfants et soucis avec les enfants. La paliers nous en prenant plus de responsabilités pendant qu’elle pouvait gérer des choses aussi sagittal côté humain et la façon de gérer qui nous correspond et qui correspond à ce que moi je mets en place parce que c’est à ça que je suis sensible aussi.

Thierry : En tout cas, bravo pour réussir à sortir sortir du lot à Saint Etienne. C’est un marché très concurrentiel. C’est pas cher, c’est hyper concurrentiel à cause des promos sont construits.

Charlotte : Alors que c’est très, très marrant. Ce on a commencé, on a dit on va tester sur un ou deux appart parce que il y a quand même des fois des nuitées qui sont vendues à 35 euros la nuit. Donc, impossible d’être rentable puisqu’on propose et on a commencé à 50 euros la nuit.

On a tout de suite été plein, on est monté à 60 et maintenant, on est à 70 euros la nuit et on est obligé de plus en plus d’ouvrir des appartements d’immeubles en Airbnb qui continue à être quasiment à son remplissage et que dans notre théorie du Airbnb, si on est à cent de remplissage, c’est soit qu’on est pas assez cher, soit qu’il n’y a un problème. C’est pas tout à fait normal et on s’est rendu compte. Voilà notre type de marché. Ce n’est pas du Airbnb comme on peut avoir à Paris ou à Lyon, où les gens restent peu de temps où ils étudient sans emplacement de l’hôtel.

C’est des gens qui s’installent plus sur un. Ou qu’un jour, par exemple, on est en relation avec le Théâtre de la Ville. Les comédiens, quand ils viennent pour une pièce, ils viennent chez nous parce qu’ils ont trouvé que c’était extrêmement agréable. Monsieur qui nous a demandé Voilà, je suis avec ma femme et j’ai un bébé. On lui a tout de suite commandé le kit bébé, qu’il puisse venir avec sa famille et son enfant et qu’il est tout ce qu’il faut pour avoir à transporter son enfant, etc. Et ça, ça crée du relationnel et ça bouche à bouche. Les gens savent. Voilà.

Thierry : En tout cas Bravo pour ta gestion du relationnel de ton équipe et du business, mélange qui, en général, est plutôt la façon. Maintenant, j’ai vraiment un super randomisation. En parlant des autres business tu les gères de la même façon.

Charlotte : Alors, ou si c’est par rapport à l’immobilier? Pas tout à fait, parce que penser du vide et qu’on rencontre les gens à l’entrée, et puis après? Ben voilà, ils ont un contrat, ils partent pas de l’appartement, ils partent pas. C’est un peu plus, un peu plus tranquille. Mais c’est vrai que avec l’agence avec laquelle je travaille sur St Etienne. Ces gens que je connais quand je passe, je leur offre le repas ou on prend un café ensemble.

On se tient au courant parce qu’ils continuent à me dire même si je puis investir. Si jamais il y a des bonnes affaires, je t’appelle. Tu connais à quel point ça intéresse? Oui, on garde. Je peux pas travailler avec des gens et avoir un certain lien avec eux.

Thierry : Ouais, on reste toujours dans le relationnel. la côté humain. Oui, bien plus que tout ce qui est électronique, c’est pareil. C’est le même type de business du le gère de la même façon.

Charlotte : Alors moi, c’est plus facile pour moi parce qu’effectivement, je travaille avec des gens avec qui on travaille depuis des années. Donc, si vous connaissiez de Sébastien Cerise, c’est des gens avec qui on travaille depuis longtemps. Petite anecdote on a fait une croisière, on passait à Gibraltar, Sébastien à Gibraltar, on a dit voilà, on a une heure de temps libre dans notre temps à Gibraltar.

On a profité pour prendre un café avec Sébastien. D’antipathie sont toujours là. On avait travaillé à l’époque avec Alain Labossière, qui était très connu et bandée, et îuvre plutôt spiritualité, avec des cadeaux à métisser Chiers, etc. C’est quelqu’un avec qui on continue à avoir des relations.

On était ici, il est passé avec toute sa famille. On a passé une soirée ensemble. Je suis passé par là où on est en ce moment, etc. Donc oui, pour moi, le relationnel, c’est important parce que dans les affaires, c’est pareil aussi avec mon comptable, le banquier, etc. Ça va quand même au delà. Je ne sais pas les relations que vous avez avec votre banquier. Mais je trouve qu’il y a des discussions entre guillemets, un peu autour des conseils ou des avertissements qui peuvent vous être donnés. On rappa suivant l’attitude que vous avez ou la façon dont sont gérés les gens.

Thierry : Oui, c’est comme dans tout. Quand on a des relations de long terme, c’est plus facile simplement de faire du business. Quand on se revoit, c’est comme si on était plus depuis dix ans.

Charlotte : Oui, c’est des liens de confiance. Donc, on n’est pas obligé de se voir tout le temps. C’est au moment où il y a quelque chose. Bonne ou mauvaise nouvelle. On sait qu’on peut être là et ou quand il y a un problème, on sait qu’on peut le résoudre. Moi, j’ai une anecdote à propos de Sébastien Cerise dont je vous ai parlé. C’est qu’à un moment, on voulait faire un petit cadeau aux clients qui avaient pris le produit. Bien entendu, puisque c’est de la gestion administrative, c’est moi qui gérait et la dame me rappelle.

Et elle me dit C’est quoi la couleur? C’est quoi le logo? Et alors? On s’était décidé sur le petit mot à on s’était décidé sur tout, mais ça n’avait pas du tout parlé. Je n’avais pas d’idées et donc j’ai appelé Sébastien qui m’a dit Voilà, je fais un tour en moto dans une demi heure pile, je me marre. Je serai à un endroit où je peux me connecter et où on peut régler problème dans une demi heure. Tu me donnes les coordonnées, on se met au point dans une heure. Tout est réglé. J’ai dit ça à la dame. Et du coup, on a maintenu notre télé.

Mais c’est vrai que ça veut dire de pouvoir appeler quelqu’un, avoir ses contacts perso, etc. En cas d’urgence, j’ai jamais rappelé. J’ai jamais appelé Sébastien pour autre chose parce que ça m’avait plu. Mais ce jour là, si on voulait tenir les délais, c’est important. Le héros, j’entre dans son intimité et ça a été fait. Il a répondu présent et voilà. Parce qu’il savait que c’était puiserait pas de ça pour n’importe quoi.

Thierry : Sébastien est super cool. Je l’ai il y a trois mois, soit quatre mois. Puis c’est l’un des pays les plus téléchargées. Donc, coucou, c’est aussi. Vous travaillez en Sébastien Cerise. Il est vraiment cool.

Charlotte : C’est que c’est un grand grand professionnel. Je pense que c’est quelqu’un de qui on peut apprendre beaucoup.

Thierry : Bon, me parle un peu de multi-tâches, beaucoup d’immobilier, donc. Je mettrai donc des liens entre Chenot pour les gens pourront suivre. Je vais passer aux questions que je pose à tous les entrepreneurs et entrepreneuses et investisseuses.

LES  5 QUESTIONS POUR FINIR L’INTERVIEW

Thierry : Quel est le business dont tu rêves à part celui qui fait actuellement ?

Charlotte : Le business, je rêve, alors c’est pas très, très loin quand même de ce que je fais, mais ça serait un mélange entre le camp PIIGS Center Parcs, les hôtels de luxe. Voilà quelque chose qui aurait un peu de tonus.

Thierry : Un coup de pouce pour rencontrer des gens.

Charlotte : Voilà exactement avec des super expérience, des plans. Voilà une façon de gérer l’accueil des gens un peu un peu plus spécifiques que dans l’accueil, dans les hôtels classiques ou que dans les banques ou dans les grands ensembles style Pierre, Vacances, etc. Mais en Matoran, cette idée là, justement, un moment en famille, des expériences, des choses comme ça sous la main. Ça, j’adore.

Thierry : Tu nous en reparlera au prochain mon prochain interview.

Thierry : Quelle est ta meilleur expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseuse?

Charlotte : Ma meilleure expérience. C’est ce qu’on a mis en place cet été parce que c’était totalement inattendu. Les chiffres ne correspondaient pas à ce que tu viens de dire sur St-Étienne. Les nuitées étaient basses, la complaisance, etc. C’est d’avoir fini premier appartement, de dire allez, on est tout de suite en ligne et d’avoir tout de suite des raisins et de voir les raisins et les vignes. Herby, y a une vie là dedans. Mais c’est pas possible. Qu’est ce qui se passe? Qu’est ce qu’on a fait? Et c’était marrant. Parce qu’en plus, c’était partagé avec Pascale Stretti.

Donc, qui est la dame dont je vous parle depuis le début et qui m’accompagne? Je suis désolé, Pascal, je n’ai même pas cité. Quand on était vraiment ensemble. Et avec son compagnon Jean-Christophe, tout à la technique. Alors quand on n’y croyait pas, on fait tout ce qu’on avait fait. Ça nous était jamais arrivé. Voilà, c’était drôle. C’était un bon moment. Partager un bon moment business. On ne va pas se mentir parce que quand on voit les arrivées et l’argent, on est très heureux aussi. Ça a regroupé un peu tout ce que j’aime bien.

Thierry : Ca tombe bien, pourquoi je t’ai parlé de Saint Etienne sais pas si c’est parce que ma femme est un investissement quand on a acheté là bas. En plus, c’est ma faute que c’est moi qui l’ai fait investir et qui n’est pas rentable parce que c’est bon. À l’époque, j’avais passé plus de 10 ans et donc en perte pour défiscaliser. En plus, je discutais avec monsieur Ferrari qui lui, quand je lui parle de cette étude, m’a dit jamais de ma mission. Et moi, je suis pourquoi. Mais bon, on n’a pas pu transformer quelque chose que je connais pas de structure structures. C’est très rentable. C’est pour ça que je l’ai fait. C’était tout sauf un fut un secteur très concurrentiel, un business rentable pour tous les goûts.

Thierry :  Quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur ?

Charlotte : Je dirais vraiment l’envie de faire confiance, de faire quelque chose qui vous correspond. Je crois que le pire du pire, c’est d’aller contre sa nature ou de ce genre de choses, parce que je pense qu’à se forcer, il en reste toujours quelque chose. Je sais que mon mari est très à l’aise avec la Bourse. Les SCPI, les investissements de différents types. Pour moi, je suis moins à l’aise avec ça. Lui, c’est l’inverse pour l’immobilier et on est beaucoup plus efficace. Justement, chacun reste dans quelque chose avec lequel il est super à l’aise.

Maintenant, il est ravi de l’immobilier, mais il est aussi ravi de le gérer. Et moi, je suis ravi de ce qui se passe sur les côtés bourse, investissement, etc. Mais je n’aurais pas pu mettre en place parce que je ne suis pas forcément mindset. Je ne suis pas marchand, donc je pense qu’il faut quand même sortir de sa zone de confort parce que je ne me sentais pas forcément initialement. Je ne me serais pas dit Allez chouette, je vais avoir un jour l’immeuble, un studio, etc. Vous auriez du stage? Non, jamais de la vie, mais par contre, sortir de sa zone de confort est donc quelque chose qui est pas trop douloureux. Voilà qui reste gérable,.

Thierry : Donc sortir de sa zone de confort mais dans un domaine où on est passionné. Quel est le livre que tu conseillerais? Entrepreneurs et pourquoi?

Charlotte : Alors, depuis que j’ai les enfants, je lis quasiment plus que je ne fais que parler avec les gens qui vont mieux. Je vais discuter avec eux le livre.

Thierry : Ou sinon un audio ou un podcast,. Quelque chose qui peut.

Charlotte : Ca va Être très bizarre, ce que je vais vous dire. Mais moi, c’est Bjarni, John et Wig, l’œuvre de Dieu, la part du diable, inquiet sur le fait de répéter, de répéter, de répéter quelque chose jusqu’au moment où c’est tellement parfait, etc. Entre guillemets, ça sauve la vie. Vous comprenez ce qui a été fait et je pense que c’est là. On s’entraîne, on fait plusieurs fois. Faut aux forces.

Il ne faut pas se mentir, les premières fois, on n’est pas très bon, on fait des erreurs, etc. Mais si on continue, si on s’améliore à la fin, c’est peut être ça qui va construire votre vie, ni sauver votre boulot. Ce genre de chose et moi, c’est quelque chose sur lequel je crois ne pas s’arrêter parce qu’on est mauvais au début et travailler si c’est vraiment ça qu’on croit ou qu’on a dans sa vision,.

Thierry : Comme disent les Américains practice make perfect. Mais que ceux qui ont un doute, allez voir mon premier épisode de l’indifférence de la part du diable. OK,.

Charlotte : L’oeuvre de Dieu la part du diable.

Thierry : L’oeuvre de dieu la part du diable en tout cas je mettrais les lien s dans le show note.

Thierry : Quelle est la compétence que tu rêves d’avoir?

Charlotte : La compétence que je rêverais d’avoir, être plus zen. Ouais, je suis stressée, je suis toujours un peu à deux milles à l’heure et j’ai toujours du mal à ralentir le rythme, mais j’avoue que ça me fait un peu rêver. En même temps, je ne sais pas si j’arrive à supporter de façon fantasmée ou j’adorerais.

Thierry : Ça tombe bien parce que ce matin ce matin, j’ai eu un autre entretien, là j’ai une journée d’entretiens. Il est certain que je pose la question. Comprenez pas que quand il rêve d’avoir mal à voir. Qu’est ce que tu fais que tu veux le faire? Mais beaucoup moins.

Charlotte : C’est exactement, c’est juste un fantasme.

Thierry : C’est un fantasme. Bon alors Charlotte, Grand merci, merci beaucoup à toi, ça va motiver toutes les personnes qui sont multi tâches.

Charlotte : En fait, même s’ils ne sont pas comme multi-tâches, ils sont unicast que j’aimerais juste que les gens comprennent que il faut faire en fonction de soi. Si on est meilleur en faisant une seule chose jusqu’au bout, ça serait ridicule de vouloir en faire plusieurs si on les m’envoyant en une seule chose jusqu’au bout. On a besoin d’en faire deux ou trois, comme certains lisent trois livres Il faut. Il faut pas non plus se faire violence parce que Pierre ou Paul a dit l’inverse. Je pense qu’on est bon quand on fait ce qui nous correspond.

Thierry : Il faut apprendre à s’écouter et puis savoir ce que là ou on est bon comme tu dis coucou ton petit chien.

Charlotte : J’en est deux donc alors bonjour le bruit.

Thierry : Bon alors, Charlotte je te dis à bientôt.

Charlotte : Merci beaucoup. A bientôt et bonne continuation avec les Podcasts et bonne écoute à tout le monde des différents épisodes.

CONCLUSION

Thierry : Merci. C’est tout bon épisode 44. Et oui, j’aurais bien voulu lui parler plus longtemps. Mais c’est une Beuzit Woman très occupée. Donc je ne pouvais pas parler plus longtemps, sinon j’aurais continué pour parler de ces autres business en ligne. Mais bon, ce sera peut être pour un autre épisode comme Grand merci Gramercy, d’avoir donc libéré son temps et d’avoir partagé ses expériences d’investissement immobilier classique, mais aussi donc Airbnb que même moi, ça m’a donné des idées. Comme tu as entendu j’ai ma femme a un bien qui n’est pas rentable dans le coin.

Encore un peu de s’y intéresser. Et donc, je mettrai aussi tous les impôts pour personne. Quant à parler de ça, cocher une autre, une autre personne, je crois. Donc je demanderais et je mettrai donc tout dans show note pour que tu puisses aller aussi de former et te renseigner les meilleures personnes pour faire de l’immobilier rentable. Donc voilà donc moi je te dis un grand merci, n’hésite pas à partager Laïki commenté. Et puis, je te dis à la semaine prochaine pour de nouvel épisode tchatcheur.