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EP 48 – Comment gagner de l’argent avec Airbnb ? Interview de Pascale STRETTI

Comment gagner de l’argent avec Airbnb ?

Thierry: Salut à tous, Bienvenue sur L’Entrepreneur lifestyle Thierry #HENRY. Aujourd’hui, on va parler d’Airbnb, d’immobilier, de locations saisonnières, a prévu de faire de l’immobilier. Tu ne sais pas enfin commencer. C’est un bon épisode pour toi avec. Parce qu’un type qui est une experte en fin de compte du monde du voyage et donc aussi, donc de l’immobilier. Maintenant, depuis quelques années, je vais tout dire après avoir remercié les sponsors.

 

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Thierry: Donc, comme je t’ai dit, j’ai aujourd’hui, j’ai une entrepreneuse, une investisseuse, donc, du monde du voyage et donc de l’immobilier parce que c’est lié, et qui a donc débuté au tout début, donc de Booking et de Airbnb. Elle va donc tout nous dire sur son métier, son business qui est vraiment passionnant. Elle donne même des conseils pour les Parisiens. Il y a plein d’information, réellement, reste jusqu’au bout. Et puis, je te mettrais aussi les liens pour joindre Pascale Stretti sur son site, directement en fin d’émission à tout de suite, avec Pascale.

 

Thierry: Salut Pascale, comment tu vas.

 

Pascale : Bonsoir Thierry, ça va super bien. Et toi?

 

Thierry: Oui, très bien, merci. Fin de journée et je commence le podcast, donc c’est magnifique. Donc aujourd’hui, on va parler de Airbnb et aussi d’entrepreneuriat parce que tu as une vraie fibre entrepreneuriale, parce que t’as eu un autre business, je te laisserai plutôt te présenter. Puis après, on va en parler. Tu vas nous dire comment ceux qui veulent se lancer sur Airbnb qu’est ce qu’il faut faire. Quelles sont les compétences et les qualités à avoir? Et tout ce que tu peux me donner?

 

Pascale : Ok, donc, je suis Pascale Stretti j’habite en Andorre et je suis entrepreneuse sur Internet depuis à peu près 2002. Je ne suis pas seul. Mon mari et moi, nous sommes tous les deux dans le business Internet est développeur et moi, à la base, j’étais quelqu’un de marketing et communication. Donc c’était le bon couple de développeurs. Et une marque, c’était pas mal.

Donc, au départ, c’est surtout au début des sites d’affiliation qui existent toujours d’ailleurs et qui font des revenus récurrents. Mais tu demandes pas beaucoup de travail. On a mis en place il y a très longtemps. On y a très, très longtemps sur divers domaines de niche qui nous sont complètement inconnus, mais qui étaient porteuses. Ensuite, on a vu Labitte en dehors et encore savoir au seul pays très touristique.

Et d’ailleurs, c’est la première industrie du pays avec le ski, les rando, etc. C’est une montagne et donc on voyait bien que le business du tourisme, il y avait des choses à faire et il y avait à l’époque, c’était en 2000 ou 4 jusqu’à 4 5. A l’époque, on pouvait pas faire ce qu’on appelait aux Etats-Unis. Et les hors la loi, ça m’échappe. On ne pouvait pas faire son paquet dynamique et dynamique.

Paquet, c’est à dire prendre son hôtel, prendre ses forfaits de ski, prendre son Matthäus, prendre sa soirée au resto. Il y avait peu ça, en tout cas en Europe, et pas du tout dans ce qu’on a fait. On a monté une agence de voyages qui s’appelait Cyber Andorra et qui faisait en fait Booking avant Booking. Sauf que en plus, on pouvait réserver ses forfaits de ski. Tout ça pour ça. Donc franchement, on a cartonné pendant 3 ans.

Et puis Booking y est arrivé et face à ce monstre, on a dit bon, voilà les hôtels privilégiés Booking nous donner plus de coupons, c’est à dire de champs de nuitées. On voyait bien qu’on allait mourir avant de mourir. On s’est dit on passe de l’autre côté du miroir, on achète des apparts. Puisqu’on n’avait pas les fonds pour acheter un hôtel, on achète des appartements et c’était la création. Donc, d’Herbiers by Etam. On se met sur Airbnb.

 

Thierry: Tu as, tu as plutôt en arrêtant ou en changeant souvent les Américains pivoté Tu as plutôt changé d’activité mais bon, tu es resté un peu dans le même domaine.

 

Pascale : Ah mais c’est dans le même domaine. Ben. Justement,.

 

Thierry: J’avais une question importante soit tu vas nous en dire plus. tu as pris combien .. que t’as pas un peu plus de temps vendu l’activité ou tu l’as stoppée.

 

Pascale : On l’a carrément stoppée. À la place d’avoir des contrats avec les hôtels, on a mis une affiliation qui était très bien référencée puisque mon mari est développeur et espion. Donc, ça tombe bien, alors qu’on a continué à en faire, a quand même gagné des sous avec si peu Andorra, mais d’une autre façon. Et du coup, je te dis en été, on savait bien qu’on ne pouvait pas lutter. On voyait bien arriver le géant qu’était Booking. Donc, du coup, on se dit au lieu de lutter, on va quand même. On va prendre ce qui a prendre.

 

Thierry: Surtout que tu connaissais déjà l’affiliation. Et en plus, tu es arrivé en premier, donc tu es arrivé avant tout le monde.

 

Pascale : Et j’étais super bien placé en tapper. Je ne sais pas, moi, en dorst qui ont été premiers. Quoiqu’on taper, on était premier. Après, je t’avoue que si bornera, on l’a un peu laissé tomber. Mais bon, les trois premières années où on a mis la filiation sur les hôtels machin, c’était ça, car ça continue à cartonner. Évidemment, le chiffre d’affaires a été divisé par deux parce que c’était de l’affiliation, mais quand même. Et puis surtout, on faisait plus rien. On n’avait pas géré.

 

Thierry: C’était plus passif.

 

Pascale : Ah bah ouais, du coup.

 

Thierry: Mais tu as pris combien d’appartement ? Parce que tu as dis que tu pris des appartements , tu en as pris combien?

 

Pascale : Au départ on en avait trois et après, j’en ai pris en gestion. D’autres personnes, ça fait qu’on était monté à 7  8 et après, on a encore pivoté. Mais ça viendra plus tard.

 

Thierry: Je te laisse développer. Donc, comment tu sont arrivés à ce que c’est? Parce que t’as vu au ? Ou comment il a senti que c’était le filon.

 

Pascale : Alors, j’ai senti que c’était le bon filon. Parce que je l’ai utilisé personnellement. J’ai vu un peu avec les connaissances que j’avais de l’hôtellerie, du service client. Tout ça, j’ai vu un peu les failles qu’il pouvait y avoir et comment les combler. Je me suis engouffré là dedans et surtout, je savais qu’avec un site communautaire où il y avait un feed back des deux côtés, les gens allaient vite prendre confiance, aussi bien les propriétaires que les voyageurs.

Parce que la différence avec Booking, c’est que Booking, tu note la personne qui te reçoit. Mais elle, elle ne peut pas te noter. Donc qu’il y a toujours ces conflits, les gens. Alors qu’avec Airbnb, je note mes voyageurs et mes voyageurs. Notre appartement,.

 

Thierry: Tu fais dans les deux sens, tu l’a fais en tant que Airbnb. Donc la personne qui est host, et tu l’a fait en tant qu’affilié.

 

Pascale : Ah non affilié, il n’y a pas d’affiliation avec ce que j’ai fait, moi, c’est que j’ai voyagé un jour avec un billet pour le tester. Et même parce que le principe me plaisait. Et je me suis dit enfin, on s’est dit c’est ça qu’on va faire, c’est ça qu’on va faire. On va acheter des appart, on va les mettre sur Airbnb et exclusivement sur Airbnb.

 

Thierry: D’accord, mais parenthèse ils font de l’affiliation, mais après ça que ça n’a pas une bonne réputation parce qu’ils ont du mal à payer. Ils te remboursent, te donne des remboursements sont un peu bizarre.

 

Pascale : Ouais, ouais, mais en fait, voilà, c’est pas des trucs. Si je fais de l’affiliation, si vous allez sur mon site et que vous vous inscrivez, je vais recevoir 50 euros. Mais c’est pas le truc.

 

Thierry: Voilà çà n’a rien avoir avec booking …

 

Pascale : Anecdotique par rapport à ce qu’on peut gagner en ayant son propre appartement sur Airbnb. C’est complètement anecdotique. Ça se passe un truc que j’ai développé, mais en aucun cas la là.

 

Thierry: Un truc, un truc, qui est bien par rapport à ce que tu as dis,excuse moi je n’arrête pas de te couper, j’espère que c’est audible pour les gens, donc toi en fin de compte,tu as fait même ce qu’on me dit, en affiliation, et dans ton business, tu as testé avant de faire…enfin pour mieux connaître les produits et services, puis ensuite te lancer.

 

Pascale : Exactement. En fait, c’est un peu comme ça qu’on fonctionne. À chaque fois que l’on a une idée, on la teste. Si elle est bidon, on la laisse tomber très vite, on est. On est au moins des gens qui ont fait volte face assez vite et quand on est séduit, on ne fait pas le syndrome du mec qui s’acharne. Si ça ne marche pas, mais se trouve qu’Airbnb, en tout cas, ça nous a séduits. On a testé et bam, on a, on s’est spécialisé dans Airbnb. Donc voilà,

 

Thierry:  Cà a été rentable tout de suite.

 

Pascale : Ça a été rentable tout de suite. En fait, les annonces, quand je les mets en ligne en général, j’attends 3 heures pour avoir une réservation.

 

Thierry: D’accord et même avec la concurrence qui est venu ensuite. Ça reste, c’est resté pareil. T’a pas eu..

 

Pascale : À la concurrence. J’ai quand même des choses d’avance sur la concurrence. C’est que le fait d’être, d’avoir mis en place des séquences d’email pour avoir beaucoup de commentaires, le fait d’avoir mis en place beaucoup de choses font que je suis. Non seulement on a étudié pour ranker sur Airbnb puisque je vous répète mon mari, ratio dans lequel il a étudié l’algorithme, mais il a vu bon alors se créer dans l’algo.

Il a vu que si on mettait des photos d’une certaine couleur, d’une certaine luminosité, on rankait mieux yil y avait un poids. Donc, il a décortiqué l’algo parce qu’à un moment donné, il est petit en libre service. Ça, c’est un peu moins le cas. Donc il y a ça. Il y a la façon d’accueillir deux personnes qui sont sur qu’intervienne. Ils sont des amateurs et moi, j’ai quand même une expérience d’agent de voyages.

J’ai parlé avec les hôteliers. J’ai, je ne suis pas arrivé complètement novice sur non seulement les équipements qu’il fallait mettre en place, les choses à dire dans mes textes, puisque je le répète, tu viens du marketing. Donc j’écris mes annonces avec une méthode que je mettrai en ligne un jour dans une formation ou quelque chose comme ça. Donc voilà, il y a des grilles comme ça. Travail qu’on a mis en place.

On a fait des erreurs, on a réajusté. Donc, et surtout, c’est la séduction par les photos. Et donc les appartements sont beaux, bien décorés. Je vous invite à venir les voir sans problème et me dire qu’il y a des choses qui ne vont pas et surtout que ça va vous mettre à la mode.

 

Thierry: Pour ceux qui veulent aller en dehors déjà.

 

Pascale : Oui, avec grand plaisir. Non, mais voila. En fait, j’ai étudié ma cible, je sais que ce sont des millénium, etc. Donc tu vois, j’ai étudié ma cible et se calmer en déco, en équipement, ce dont elle avait besoin. Par exemple, un truc très, très bête et pas un investissement très lourd. Mais dans un appartement où je reçois des familles et des amis qui assez grand. J’ai mis une machine à pop corn.

Ça laisse juste un souvenir impérissable que quelqu’un et je mets du maïs tout ce qu’il faut. Ça leur laisse un souvenir impérissable que quelqu’un a pensé à faire ça. Alors, mettre à disposition une machine à popcorn? C’était rigolo et regarder une série Netflix en regardant la neige qui tombe. Mais ils ont fait des popcorn. Tu vois, c’est un investissement de 40 euros, mais qui marque les esprits. Donc, je réussis. J’essaye toujours de laisser une empreinte dans le voyage,.

 

Thierry: Comme on dit. Le diable est dans le détail. Et donc, toi,on le sens tu es une vraie entrepreneuse, tu gères l’humain, le service d’une façon haut de gamme, on va dire c’est pour çà que tu es super host Ce qu’on n’a pas dit,.

 

Pascale : Oui, déjà.

 

Thierry: Et en plus, vous avez vraiment le super « combi ». Enfin, ton mari Jean-Christophe avec le Côté, développeur et SEO et toi marketing. Et en plus, ce qu’on n’a discuté avant qu’on commence en off tu aimes aussi la partie Technique pas technique, mais immobilier. On va dire.

 

Pascale : Tout à fait.

 

Voilà ce que tu vas peut être détailler après, on va rentrer un peu dans le partie un peu technique parce qu’on a compris que la personne qui voir pour apprendre et comprendre qu’il faut être pro, c’est pas juste comme on dit. C’est facile on prend un ou deux bien. Déjà la question combien de bien il faut pour bien gagner sa vie de façon pro? Pour dépasser, je me dis qu’il faut se contenter, mais qu’on est tous seul et ce qu’il faut que se fixer 15./ 200 k  l’année parce qu’il y a maintenant plus de charges. Je crois que je me trompe pas.

 

Pascale : Ça dépend des villes et des pays. Ça dépend des moyens qu’on est.

 

Thierry: On reste en France.

 

Pascale : Déjà, je déconseille. Alors on va rester en France. Déjà, je déconseille les grandes villes comme Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux. Parce que, premièrement, le ticket d’entrée est hors de prix. Donc oui, il y a beaucoup de gens qui vont voyager chez vous. Ça, c’est sûr. Mais le ticket d’entrée est tellement haut que moi, je me en France. Je me porterai sur deux choses. D’abord, les petites villes. Alors, on va nommer St Etienne, par exemple. Saint-Étienne est une ville qui m’a beaucoup surprise. Mais c’est pareil, j’essaye.

Et si ça ne marche pas, on revient au Classique St Etienne. J’ai mis l’ annonce sans mentir à 16 heures du soir et j’avais le calendrier plein pour le mois de juillet. Donc c’était mi juillet comme ça. Et là, je suis complète. Enfin bon, je ne me demande plus de travail que Andorre. C’est juste la folie dans les petites villes. En fait, elles ont l’avantage d’attirer le business. Donc ce sont les entreprises qui payent des stages, des machins comme ça.

Alors à leurs employés et donc du coup, le budget et nos limites, nos limites, on s’entend. Mais de toute façon, pour l’entreprise, mettre deux employés dans le même appartement, c’est moins cher. Donc, je ne fais pas mes nuitées à 30 euros la nuit même dans une petite ville comme Saint-Etienne. Donc, il y a ce créneau du business travel dans les petites villes comme Saint-Étienne, Le Creusot, les villes ou Clermont-Ferrand Limoges. J’ai étudié.

 

Thierry: En plus, çà coûte rien là bas puisque ..

Pascale : mais c’est çà

 

Thierry: je viens de l’immobilier.

 

Pascale : Donc tu comprends bien que je fais l’équation prix de l’immobilier et entreprises qui vivent, qui vivent autour de ces petites villes. Et c’est vite fait quoi? Le calcul est superbe et ça coûte rien. Les entrepreneurs sont moins chers que des infos,.

 

Thierry: Donc moi, quand je fais une logique d’offre et demande donc je comprends qu’il y a moins de concurrence, mais est ce que ce n’est pas un risque parce qu’il faut vraiment être très forte en marketing. Donc, même la personne qui est nouvelle, qui débute et qui n’est pas à côté, peut le faire dans le sens où il y a un peu moins de demande. En général, il faut de l’activité, du travail et donc de la demande.

 

Pascale : Ma mentalité à moi n’est pas de remplir le calendrier. Plus ce n’est pas de louer, plus c’est de louer, mieux c’est à dire? Je préfère vendre une nuit à 100 euros que deux nuits à 50. Donc l’appartement se repose. Si j’ai vendu qu’une nuit et pas 2, il n’y a aucun souci. Ce qui compte, c’est le chiffre d’affaires à la fin du mois. Et donc, quand tu es dans une petite ville, justement, tu as moins de concurrence.

Et donc, du coup, pour se démarquer du lot et séduire les gens. Mais c’est d’une simplicité enfantine. Mais il ne faut pas croire qu’il n’y ait pas de demande parce que justement, quand on est investisseur, on va se dire Bah, je vais acheter un appart à Paris, je vais remplir mon calendrier. Ça va être formidable. C’est sûr que c’est la logique, c’est intuitif.

Alors, il faut aller un petit peu contre son intuition et miser sur des petites villes comme ça, des petites villes industrielles. Page A parler évidemment du centre du Périgord. Encore que j’ai d’autres idées pour ce genre de villes. On peut en parler si tu veux, mais bref. Et le deuxième? Pendant ce que je voulais dire, il y a un deuxième créneau, c’est le saisonnier, le vrai saisonnier, c’est à dire le ski et la plage. Donc moi, j’ai des appartements mandorle. Mon gros projet, c’est d’abord d’acheter des appartements à Ibiza. Comme ça, je sais que je veut faire..

 

Thierry: Je vais te faire une parenthèse parce que même si je peux te dire mais je veux être sûr que je n’oublie pas excuse de te coupé. Ce qui est dire en fin de compte que la non, même esprit que Limoge et Saint-Etienne, tu prends du saisonnier, tu fais un carton pendant 6 mois.

 

Pascale : Exactement.

 

Thierry: Et donc, pas de stress de te dire pendant 6 mois et demi, tu t’en fous.

 

Pascale : Je m’en fiche en fin de compte, mais c’est ce qui arrive en Andorre, c’est à dire en Andorre. Il n’est pas vraiment vide, mais les réservations, par exemple une nuit en Andorre, dans un de mes apparts, peut coûter jusqu’à 300 euros. Et l’été, elle coûte au mieux, soit 80 euros. On va dire tu vois donc, mais ça n’a aucune importance. L’été, je paye mes charges. En gros, je bricole, mais j’apporte se repose. Et puis le beurre, je le fais, la saison de ski. Et donc, mon idée, c’est pareil.

D’exercer avec la mère, donc d’avoir des choses à la montagne et choses à la mer et bons plans immobiliers, les stations balnéaires et les stations de ski ont maintenant une cinquantaine d’années, donc les gens qui ont acheté neuf à l’époque sont soit décédés, soit vieux et ne font plus de ski. Voilà donc. En fait, si on regarde des villes comme Qatar, tu a des studios à moins 20.000 30.000 euros et ses studios, là, se sont ce que j’appelle des gagnants. Parce que le Qatar, par exemple, sa station balnéaire, c’est un gros spot de surf.

C’est un gros spot de planche à voile et donc ces fameux Milléniums dont je parlais. Je vois que des appareils super ringards parce que les gens qui les possèdent en 70/80. Mais si tu achètes une petite perle comme ça et que t’en fais un pote à surfeur à la déco qui va bien, Machin, les petits équipements, tu penses sous le lit par exemple, mettre un emplacement pour le Kit sous le lit des tiroirs spéciaux. J’en sais rien, moi, des banques qui leur plaît. Je suis sûr que tu fais un carton et que tu l’oud au prix que tu veux par rapport faut.

 

Thierry: Il faut quand même faire une bonne étude, ce que moi, je pense que tu j’avais été il y a quelque temps à Chatel, j’avoue que j’avais été bien aimé l’endroit que j’avais été au mois de mai, je n’avais pas été. Non je dis une bêtise je suis venu au mois d’août, mais on m’a dit que depuis le mois de mai, les gens venaient déjà et en plus à la base c’est une station de ski. Mais on était venu pour voir les montagnes faire des choses. Oui, c’était vraiment pas mal et j’ai vu plein de gens qui louaient. C’est vraiment intéressant. Deux questions.

C’était pas clair pour moi. Je pense même trois. Je m’étais embrouillé par rapport à ce que tu disais. Moi, je vois bien l’intérêt et ça me parait logique. Parce que bon, Paris, c’est bon, Paris, c’est Paris. Ç’est un marché  à part, pas du Tour de France C’est même pas la France. Techniquement parlant, les prix sont hors de prix. Mais quand je parle de France, imaginons que tu prends un salon de Paris du genre des grandes villes qui sont en limite d’Ile de France, du genre.

Je sais pas si tu connais Etampes? Oui, oui, selon moi, c’est pas cher. Est ce là c’est rentable ? Communautes, quand tu n’as pas répondu après, c’est que c’est un peu technique. Imaginons une personne qui veut qui veut dire 150.000 euros  200 k de chiffres d’affaires. Tu dois faire combien de bien il lui faut combien? Indépendamment de toute chose. Mais est ce que ces 3 3? Parce que ces 3 bien 5 bien un bien.

 

Pascale : Combien il lui faudrait de biens pour, par exemple, s’il était alors la région parisienne. Ce que j’ai visé, moi, c’était Disneyland. Oh là là, le nom m’échappe. Excusez moi, c’est vous qui a Disneyland déjà,.

 

Thierry: C’est Marne la vallée. En plus, c’est qu’il n’y a pas que ça. Donc c’est vrai que c’est pas mal car à Côté, il y a un peu plus loin, il y a quand même Astérix. Bon, c’est plus loin, mais bon, il y a moyen de faire un truc la bas.

 

Pascale : Au tour des Grands Parcs qui ont autour des grands parcs parce que c’est un peu le truc comme ça, je connais. Je pense que quelqu’un qui aurait bien un Astérix chez Mickey, je pense que déjà pensé à avoir un physique un peu plus, mais un peu plus, un peu plus. Ouais, ouais, je pense qu’avec 2, bien comme ça, il saura un peu plus qu’un Smic

 

Thierry: Plutôt deux studios ou….

 

Pascale : Des studios, mais bien aménagés.

 

Thierry: Et donc quand tu dis le SMIC, il fait 80.000 euros de chiffre d’affaires en fin de compte, il se paye 30 000 milles euros parce que comme il y a des charges, il y a plein de choses, parait il.

 

Pascale : Alors, Airbnb ne prends que trois pourcent. C’est le seul qui prend que trois pourcent le plus gros de la coupe de sa commission est prise sur le voyage. Donc déjà, voilà. Après, évidemment, les frais de ménage, c’est pareil. En fait, c’est le client qui paye le ménage, donc c’est zéro. Ensuite, je mets toutes mes entrées, tous mes appartements autonomes.

Donc je ne paye pas quelqu’un pour attendre les clés ou pour donner les clés ou je ne sais pas quoi. D’abord, c’est un confort pour moi, économiquement évidemment, et pour les voyageurs. Parce que s’ils arrivent à minuit, ils arrivent à minuit. L’importance qu’il l’épargne.

 

Thierry: Surtout qu’il y a plus problème quand on faisait de l’investissement classique. C’est dire comment on va gérer quand ça prend du temps. Donc là, tu peux acheter n’importe où c’est autonome.

 

Pascale : La preuve je suis à Andorre et je gère des choses, Saint Etienne.

 

Thierry: Tu n’as jamais eu de problème ou de soucis.

 

Pascale : Alors, comme j’ai monté une équipe quand même. Je suis pas mal.

 

Thierry: C’est ce que disais Charlotte.

 

Pascale : Oui, oui, ben oui, on a monté cet été, on a monté une équipe, on a trouvé des gens de confiance. Donc en fait, on a trouvé une personne qui assume les ménages. Ça, c’est le quotidien, mais surtout qu’il y a un réseau dans la ville et qui nous a présenté un plombier, un électricien à tous les tracas, qui peut avoir un monsieur qui sait tout faire? C’est une douche qui se décroche, tout comme ça. Et honnêtement, alors oui, ça arrive, prévient elle. C’est que de façon à prendre l’initiative de réparer parce que c’est le client avant tout. Et après, on voit la facture.

Mais la difficulté dans l’herbe ou dans la courte saison, c’est de monter une équipe. En fait, avant de mettre le moindre client dans un appartement, on monte d’abord une équipe et on sait qu’on a des gens. Alors on ne sait pas s’ils sont fiables au départ. Je suis d’accord, il y a toujours un risque. La vie, c’est comme ça. Après moi, au départ, j’avais pris une autre personne que j’ai jeté très vite parce que j’ai vu qu’elle n’était pas réactive, pas consciencieuse dans le confort de mes clients. Voilà, je l’ai jeté, j’en ai pris pas ça. Ça va très vite. Parce qu’en plus, en disant moi, je commande.

 

Thierry: Comment tu montes l’équipe avant, si tu n’as pas les éléments, tu te renseignes. Mais en fin de compte, quand t’as pas encore le bien, alors vraiment que.

 

Pascale : Je me suis rendu dans la ville, j’y ai passé 15 jours. J’ai mis une annonce d’ailleurs pareil que j’ai rédigé sur Le Bon Coin, que j’ai rédigé de façon à ce que quelqu’un qui ne me correspond pas ne réponde pas et ne comprennent pas ce que je veux dire. J’ai fait. J’ai fait une annonce. D’ailleurs, ça me plait pareil de mettre dans une forme dans la formation pour monter son équipe. Donc, cette annonce, elle m’a permis de rencontrer trois, quatre personnes et sur ces trois, quatre personnes.

La bonne personne qui s’occupe des apparentent à Saint-Etienne a été dans le casting. Et la personne, en fait, qui ne correspondait pas, c’est que par sécurité, j’ai j’ai contacté une société de nettoyage. Tu sais qui fait les banques? Les voilà une société classique. Je me suis dit si jamais je trouve pas, j’aurai toujours ça sous la main. Et pour les deux premiers Méningé, j’ai fait appel et c’était nul. Et c’était pas propre. Ce n’était pas à l’exigence hôtelière. Nettoyer une banque, c’est nettoyer une banque ou aller faire le ménage chez mamie. C’est très, très différent des exigences hôtelières d’hygiène. En termes de faire le lit de telle façon que j’avais demandé ça après.

 

Thierry: Donc quand tu parles d’équipe c’est plutôt la personne de nettoyage après une personne pour les travaux.

 

Pascale : En fait. Oui, il faut une personne de maintenance comme dans un hôtel. Tu as une personne de maintenance et des femmes de chambre. Et toi, tu es le directeur de ton micro,.

 

Thierry: Et plutôt en freelance comme me disait Charlotte. Ou plutôt…

 

Pascale : Alors moi, je prends. Oui, je prends des autoentrepreneurs comme ça, si ça ne vous convient pas. D’abord, je n’ai pas envie de prendre des salariés. Ça coûte une fortune et surtout, je n’ai pas besoin d’elle tous les jours. Par exemple, les trois appartements. Ici, il y a deux appartements qui sont loués pour trois mois. Donc, évidemment, elle a rien à faire pendant 3 mois et il y en a un qui tourne régulièrement. Les chanceux. Mais du coup, belle, elle a d’autres contrats avec d’autres personnes. Tu vois, on est pas redevable de l’autre. Maintenant, j’ai conscience de sa valeur et je la soigne.

D’ailleurs, je ne lésine pas aussi sur les frais de ménage. Je prends 50 euros, ce qui veut dire 3 heures de ménage. Et mes clients, ils trouvent un truc immaculé, ça les dérange pas de payer 50 euros. Par contre, à 50 euros le ménage, tu ne peux pas te planter. Il faut que tu offres un appartement comme si personne ne l’avait habité. Exactement comme quand tu rentres dans une chambre d’hôtel. Tu ne veux pas me mettre le cheveux, c’est impossible. Voilà donc ce que j’ai. Ce que je conseille aussi pour tester au départ, c’est que je lui faisais prendre les photos.

Du lit, les photos des endroits que je sais qui se salissent les coins de salle de bain. Tu faisais prendre 8 ou 10 photos qu’elle m’envoyait avec des endroits despotes bien précis à vérifier. Donc du coup, elle ne pouvait pas se rater. Je la fais, je la former si tu veux. Sans être là, je l’informait parce que je lui avais demandé un lit. J’avais photographié les lits tels que je les voulais. Donc, il fallait qu’elle m’envoie la photo du lit tel que je le voulais. Et donc, du coup, elle s’appliquait. Et celle là, l’apprenez. Pareil pour le frigo. Voilà des endroits stratégiques comme ça.

Donc, au départ, je lui demandais systématiquement. Et puis, quand j’ai vu que les commentaires étaient cinq étoiles de partout et dans la propreté avec sur Airbnb, tu peux mettre un petit badge, une petite médaille ou je ne sais pas trop quoi. Sur propreté irréprochable et lavé systématiquement, j’ai dit Bon, allez, les photos, ça va, je vous ferai confidentes. Ça, on arrête, ça va.

 

Thierry: Donc une question technique encore un peu SEO. Tu parlais des 3% d’Airbnb quand  quelqu’un a commencé, il a pris tous tes conseils et ce qu’on vient de dire. Il est prêt à se lancer. Est ce que tu lui conseilles de faire 100% Airbnb Oui, il va sur d’autres plateforme au cas Ou.

 

Pascale : Alors moi, je n’utilise que Airbnb sans Airbnb. Je ne lui disent pas les autres plateformes pour plusieurs raisons. La première, c’est que je dis pas mal de réputation, la réputation de mes appartements. Donc, j’ai tous les commentaires sur la même plateforme. Du coup, j’ai beaucoup plus de commentaires que mes concurrents.

 

Thierry: Donc, en plus, tu as plus de force car tout est concentré sur la même plateforme, alors j’y vais. Je vais modifié la question, donc tu fais aussi ton propre SEO avec ton propre un site personnel, avec le lien.

 

Pascale : Alors le site personnel, j’en ai un parce que mon mari est développeur et s’amusait à le faire. Mais en fait, je n’ai, on ne vois, aucun intérêt à passer en direct pour plusieurs raisons. La première raison bassinent raison d’assurances me détruise l’appartement. Il y a quand même HAirbnb derrière, alors que si je passe en direct passer mon assurance et va leur expliquer qu’ils ont mis le holà partes. Deuxièmement, je joue sur Airbnb, les gens sont, comme je te disais, notés par les précédents propriétaires.

Donc, j’ai fait une razzia quand il y a eu une réservation instantanée, j’ai pour réflexe d’aller voir les commentaires. Et si les commentaires, ça m’est arrivé qu’une fois. En réalité, si les commentaires sont exécrables, j’appelle la plateforme, mais je refuse. Sautillants, donc, en fait, je sais qui je reçois quelque part. Alors que si je passais sur mon site perso avec un bon moyen de paiement et tout bon, je ne sais pas qui je reçois.

D’autre part, j’ai quand même je ne sais pas comment on dit. En France, un TPV offre un moyen de paiement en ligne sur mon site que un moyen de paiement en ligne parce que je l’ai gardé. l’Agence de voyages vend les forfaits à mes clients. Et ce moyen de paiement, il me coûte à 1.5 %. En fait, je ne donne ça à ma banque que finalement. 3% avec toutes les couvertures et la force de frappe d’Airbnb contre 1.5 %, moi toute seule. Si le calcul est vite fait. Et puis, de toute façon, avec mon site perso, je n’aurai jamais la force de frappe d’Hermine. Evidemment, tout ça aussi. Voir son site perso. Oui, si ça vous fait plaisir. Mais on sait.

 

Thierry: Oui tout a fait. Ça me fait penser que comme on est en ligne et en plus, je ne savais pas parce qu’on a discuté un peu avant de commencer. Je ne savais pas que tu étais aussi forte en affiliation et en ligne. Et en ligne, c’est souvent un truc que l’on se dit. On est dépendant comme quand on fait un Amazon ou quand on est sur une plateforme que si la plateforme ou comme, quand tu fais du SEO sur Google, si demain il y a un changement d’algorithme ou que tu as un problème avec la plateforme, tu n’as plus de business. Vu comment tu bosses, j’ai pas l’impression et je pense qu’Airbnb. C’est pas du ni Amazon, ni Google ni Facebook ils ne sont pas dans le  même délire.

 

Pascale : Disons que il faudrait vraiment déjà, pour que je me fasse jeter d’Airbnb, que je fasse quelque chose d’énorme. Bon, mais même si demain, on y a pensé de façon à parce que les gens me disent les deux dans le même panier, c’est ce genre de trucs là, OK. Et moi, je leur réponds toujours mais si demain Airbnb me jette, je mets 10 minutes pour créer mon agence surbooking. Quel est le problème? Et je me concentrerai. Jacques-André Booking Swing,.

 

Thierry: On m’en parle souvent,. Mais c’est une stratégie, une stratégie que il y a même des gens qui ne font que du Amazon. Mais après tout, quand t’es propre, tu sais ce que tu fais et que tu surveilles ton panier. C’est une vieille phrase, Andrew Carnegie qui est un vieux entrepreneur qui disait. Tu as la phrase quand tu es millionnaire, tu disperses ton argent tu le mets partout. Mais quand t’es pas riche et quand tu as un business, tu l’aimes comme un bébé. Tu mets tout, tout dessus au moins tu es sur de ne pas avoir de problème. Et tu surveilles ce que tu fais.

 

Pascale : Et en plus, tu parlais de bébé. Mais c’est un peu ça parce que justement, mon mari et moi, on n’a pas d’enfant. Nos business c’est nos bébés. Il y a des bébés qui meurent d’eux mêmes et d’autres, mais vraiment, et je pense qu’on a ce côté parental avec nos business. Donc franchement, je ne vois pas. Et puis aussi, je pense que tu connais cette notion iki kay et franchement, nous recevoir les gens qui soient bien et qui Gaï, c’est un truc qu’on adore. On fait, on s’éclate.

 

Thierry: Mais après dans tous les cas, je n’ai jamais entendu parler de la plateforme de changement d’algorithme et aussi une plateforme qui renvoie les gens. C’est vrai qu’on en parle souvent pour Amazon. Facebook, les réseaux sociaux mais ç’est vrai que Airbnb et  que les plateformes de ce type je n’ai jamais entendu parle de ça dont j’ai entendu parler.

 

Pascale : Il faut vraiment soit je fais des fausses annonces, c’est n’importe quoi, soit je loue des taudis et les gens se plaignent. Mais bon, honnêtement, je ne vois pas ce que je pourrais faire. Et Airbnb, coulez. Bon, ok, je pense que je serais morte quand ils couleront seront achetés, non? Et puis, même comme je te disais, c’est pas grave, il y en a d’autres des plateformes.

 

Thierry: Surtout la plateforme. C’est une bonne partie, mais la compétence que tu as et ton amour du business, tu va rebondir. En plus, tu pivotes assez facilement. Donc tu vas avoir deux ou trois mois de galères. Et puis tu vas rebondir ailleurs, c’est pas un problème.

 

Pascale : Exactement. Ouais, c’est pour ça que ça m’inquiète? Pas vraiment. Mais par contre, je sais que les gens ont cette espèce de syndrome du calendrier vide là. Mais c’est pas ça qui compte. Ce qui compte, c’est la nuitée, le prix de la nuitée. Alors évidemment, si je mets mes nuits à 20 euros. T’inquiète pas à mon calendrier, je vais te montrer un calendrier de sérieux, mais mon chiffre d’affaires sera miteux et donc les gens y pensent qu’en multipliant, y pensent, ils le font. J’en sais rien.

En tout cas, moi, ce n’est pas ma stratégie en multipliant les plates formes et forcément, on va remplir à 100%. Je suis pas. Je suis entièrement d’accord avec ça et j’en suis la preuve vivante. Je remplis que avec Airbnb Oh oui, des fois, j’ai des trous d’un jour. Mon Dieu, c’est pas grave, tout le monde se repose, mais j’ai loué au prix que je voulais et que j’ai bien dit.

 

Thierry: Mais comme tu dis, il faut se concentrer sur le chiffre d’affaires en fin de mois.

 

Pascale : Exactement. C’est ça qui compte. Qu’est ce qu’on s’en fiche? Mais quand on est, quand on loue une courte durée, on dit souvent instinctivement, on est obsédé par le calendrier, par les demandes et c’est normal.

 

Thierry: Compte quand on connait, excuse moi de te couper encore, « il est chiant celui là » . Mais quand on connait un peu plus le domaine de l’hôtellerie, tu connais mieux que moi  certains hôtels, meêm la plupart des hôtels  ne font pas 100%. C’est quasiment impossible de 100%,.

 

Pascale : Mais ça existe quasiment pas, mais c’est pas grave. C’est pas pour ça qui ferme tous les chaines comme le Hilton. Ça n’existe pas, ça veut dire Accor. Ça va y proscrire.

 

Thierry: Ils brassent en mettant des prix assez fous. Moi, j’étais dernièrement à Las Vegas, j’ai faits un tour derrière la télé et au dessus du meuble, il avait des poussières. Mais bon parenthèse. Et pourtant, j’ai « raqué »et.

 

Pascale : Je t’en prie.

 

Thierry: Bon, j’allais dire avant tout que je te pose les cinq questions que je pose à tous les entrepreneurs, qu’est ce que j’ai oublié ? Quel conseil tu donnerais  aux gens qui veulent se lancer et qui hésitent encore?

 

Pascale : Ben en fait, dépasser vos peurs de Pas remplir. Parce que où que vous soyez en France, il y a un marché, même si vous êtes dans une campagne perdue. Il y a le marché des enterrements de vie de garçons et de filles. Il suffit de meubler à adapter moi même dans le trou, j’allais dire quelque chose de pathologique. On peut ramper. Il suffit de trouver sa niche par rapport au bien. On a ou par rapport aux bien conduisent ça. Et franchement, il y a de la place pour tout le monde. Ne vous concentrez pas sur les grandes villes, ça sert à rien.

C’est saturé, c’est trop cher. Ensuite, n’ayez pas peur, les gens ne casse pas vos appartements. C’est faux. On m’a jamais on m’a  3 ou 4 5 ans. On m’a cassé une fois une vitrocéramique et on est venu s’excuser avec un billet de 500 euros à la main. Donc, n’ayez pas peur, les gens sont beaucoup plus corrects que ce que vous croyez. D’ailleurs, vous même, je suis sûr qu’ils m’écoutez. Vous êtes corrects et Airbnb? Donc les gens, ils sont comme vous et lancez vous. Franchement, c’est super porteur. On n’est qu’au début de ce marché. Et voilà, ça, c’est déjà mon conseil n’ayé pas peur, enlever vos peurs.

 

Thierry: Ben moi, qui voulait finir. J’ai trois questions qui sont venus donc il y en aura plein. C’est pas grave, je être précisé dans un trop longue interview que c’est très important. Donc toi, tu conseilles plutôt des petits, des petits bien ou des grands bien.

 

Thierry: Qu’est ce qui marche?

 

Pascale : Les petites surfaces sont plus rentables parce que le voyageur, le voyageur de base vers Bibi, c’est soit quelqu’un de seul, soit un couple. Maintenant, si, si, on a des grands biens, alors bon, je ne sais pas. Parler, mais je suis en train d’expérimenter quelque chose ici, c’est à dire que je fais une salle à manger partagée et deux chambres privées. Donc les voyageurs vont être en fête comme quand ils vont En fait, ils auront un double avantage, c’est que le très cher, mais en réalité, moins je gagnerai, plus c’est un peu comme l’histoire des parking avec deux motos et d’une voiture.

 

Thierry: C’est de la coloc

 

Pascale : La coloc, mais Airbnb? C’est pas parce que ben non. Parce que c’est Airbnb. Donc voilà. Mais moi, je vais gagner, je vais augmenter.

 

Thierry: En fin de compte, tu loues une chambre parce que j’ai vue çà à Vegas

 

Pascale : Mais le truc qui est cool pour eux, c’est que déjà, les chambres ici, elles ont chacune une salle de bain privée. Et le deuxième truc, c’est qu’ils ont pas le proprio sur le dos. Ils ont une salle à manger commune, mais ils sont trop voyageurs. Donc déjà, c’est plus confort quand même. Donc voilà. Et l’histoire, donc, c’est comme l’histoire des parkings. Si on loue une voiture 60 euros et deux motos, on loue 45 euros par mois là bas. C’est un peu ce que j’expérimente. Donc j’essaye des choses.

 

Thierry: C’est bien tu nous en parleras au prochain épisode. J’ai une autre question plus pour le financement, puisque souvent, les banques ont du mal à financer quand on leur dit ce qu’on va faire parce que dans ton cas, tu vas financer directement en disant que tu vas faire du Airbnb ou tu achètes le bien, puis après tu tu le passes en Airbnb quand tu vas faire ton financement, ton projet à la banque.

 

Pascale :  Alors, le premier financement, c’était, j’ai rien dit. Et puis ensuite, j’ai montré mes chiffres pour avoir les financements suivants.

 

Thierry: Très bien. C’est la question qui suit. Et donc, tu as commencé en tant que particulier ou directement quand on sait qu’une structure?

 

Pascale : Non, j’ai commencé avec une structure, mais ça, c’est une obligation du pays où j’ai vit. Alors en France, j’ai commencé avec un bien, oui, avec un bien et en nom propre. Si on commençait, si on a quand même bien, c’est sans soucis. Après, si ça France sur l’imposition, j’imagine, parce que j’en suis gamin.

 

Thierry: Je pense qu’après, il faut aller voir le comptable et voir ce qui est le plus intéressant par rapport au chiffre d’affaires.

 

Pascale : Franchement, déjà,. Je suis pas en France, je vais pas dire des bêtises. Légalement, je ne voudrais pas dire des trucs, mais légalement, il n’y a rien qui empêche de mettre sa résidence secondaire. Donc, si on n’a qu’un bien, on va dire que c’est celle là en Airbnb et même sa résidence principale.

 

Thierry: Ah d’accord! Ouais en fin de compte, on loue une partie pour commencer tester,.

 

Pascale : Mais on peut commencer. Et oui, on peut commencer à bien des mètres carrés perdus dans nos maisons, en moins d’habiter évidemment un tout petit studio parisien. Et encore qu’on peut aller dormir chez sa mère et tester en laissant son studio. Mais bon. Bref, si vous avez une chambre d’amis testés,.

 

Thierry: Ça permet en plus, par ce que tu dis, ça permet de faire. Ça permet en fin de compte de créer un apport. Imaginons, pendant un an, tu loues pendant 120 jours, tu loues bien et tu mets de côté. Ca te permet d’avoir de l’apport pour acheter,.

 

Pascale : Bien sûr. Et quand on est parisien, on n’est pas obligé d’acheter à Paris et d’autres ont parlé plus haut. On est pas obligé d’acheter dans sa ville. En fait, c’est ça aussi. La deuxième erreur que les gens font, c’est qu’ils se cantonnent à leur région. Fouiller un petit peu plus avec ce que je vous ai dit, c’est des éléments, mais il y en a plein d’autres.

 

Thierry: Tout ce que tu dis. Tu peux même viser l’endroit que tu aimes bien, y aller quand tu veux. Et ensuite, le reste du temps, le loué et donc par rapport à ton saisonnier. Tu le loues 6 à 8 mois et le reste du temps, tu peux y aller ou les louer à la famille.

 

Pascale : Oui, bien sûr, oui. Aussi, si on aime bien la mer ou le ski, mais surtout si on achète au ski, on y va pas à Noël. C’est là où on gagne 300 ou 400 euros la nuit, on n’y va pas ou les vacances des enfants parce que sinon, vous aurez les moyens d’aller à l’hôtel à coté.

 

Thierry: Mais je pense qu’on a dit beaucoup de choses. Donc, je mettrai tous les éléments dans ton site vers le Show note. C’est BNP Gourou,euh, BNB Gourou, on parlait de banques. bnb-gourou.com voilà comme on parlait des banques directement. J’ai pensé aux banques. Donc avant de finir, je vais te poser une question que tous les entrepreneurs,.

 

Pascale : Oui.

 

Thierry: Quel est le business dont tu rêves parce que tu fais actuellement ?

 

Pascale : Le business dont je rêve? Moi, c’est un hôtel, un hôtel du silence où les gens viendraient se ressourcer et où on n’aurait pas le droit de parler. Ça serait super pour les businessman en Burnout

 

Thierry: J’ai déjà entendu ça. Ça ne marche plus. Ben écoute, je crois que je l’avais inventé. Tu me dis non, non, non, non, non, non, non, non. C’est ce qu’on appelle. C’est ce qu’ils font en Inde quand ils font du yoga. Et pendant une semaine, même un mois, tu parles pas et c’est ce qu’ils pensent. C’est super intéressant parce que les gens ont peur du calme, mais quand ils viennent pas, ils comprennent qu’ils sont dans leur tête. Ils apprennent à réfléchir. Il parait que c’est extra, voilà, c’est en fait.

 

Pascale : Moi, ce qui m’a inspiré, c’était les retraites dans les monastères. Et comme je ne suis pas du tout, je suis très laïque. Je me suis dit Mais ça n’existe pas, un endroit comme ça, mais en luxe et avec le même niveau de silence, de calme, avec désactivante.

 

Thierry: Je l’ai entendu sur le marché anglo saxon. Je ne sais pas si en France, ça existe, mais j’ai entendu que j’écoute beaucoup de podcast et dans le business, Développement Personnelle, j’en ai entendu, mais en France, je ne sais pas si ça existe depuis tu as une semaine avant que les podcasts soit développés, avant de le faire. C’est là qu’ils vont le faire.

 

Pascale : Je pense que cela fait donc un hôtel du silence.

 

Thierry: En fin de compte, tu as peut être répondu à la deuxième Questions.

 

Thierry: Quelle est ta meilleure expérience en tant qu’entrepreneur investisseur?

 

Pascale : Ma meilleure expérience, le premier, est le premier achat et le premier achat immobilier, c’était voilà, c’était le truc çà y ait on pouvait faire ce qu’on voulait mettre en place. Les idées qu’on avait. Le premier achat immobilier,.

 

Thierry: Donc, quel est pour toi, le meilleur levier pour devenir entrepreneur ?

 

Pascale : Là bas, dépasser ses peurs. Avoir un culot. Donc sur soi, puisque c’est juste pour moi une question personnelle que d’argent est ce qu’on peut commencer avec très peu d’argent? On achète deux voitures, on les met sur Driive, on est entrepreneur, mais faut juste pas avoir peur. Il faut juste. Ouais, il ne faut pas avoir peur d’aller chercher chez cetelem de l’argent pour acheter deux bagnoles, par exemple.

 

Thierry: Je pensais tu disais à la banque, mais je ne voulais pas en parler d’eux, tu as parlé deux fois de la BNP. J’ai parlé en premier çà appartient au même groupe où vous pouvez aller voir les autres aussi.

 

Pascale : Oui, oui, vous pouvez aller voir n’importe qui dépasser vos peurs d’entreprendre.

 

Thierry: En plus, tu dis çà sur la bonne émission sent oui je confirme.

 

Thierry: Quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur? Et pourquoi?

 

Pascale : Alors, c’est un livre qui s’appelle Tu vas tout déchirer, réveiller la badass qui sommeille en vous et transformer votre vie. C’est un peu long comme titre, mais tu vas tout dé-chi-rer. L’auteur, c’est  Jenny Sincero  si vous n’avez pas le moral, si vous avez peur de votre ombre, si vous avez peur tout court de la vie. Ce livre va juste réveiller chez vous un truc et vous donner une patate juste. Incroyable. J’ai lu des bouquins et des bouquins, en faite, je suis une grosse lectrice, et c’est celui qui m’a qui m’a scotché, qui m’a donné. Bon, je ne sais pas si j’étais dans le creux de la vague, mais en tout cas, elle m’a donné une force et ça fait un an que je l’ai eu et je suis encore sur le choc. Voilà donc je le conseille en livre de poche.

 

Thierry: Tu vas tout dé-chi-rer puisque le reste, j’ai oublié que.

 

Pascale : Tu vas nous déchirer. Voilà, tu vas donner.

 

Je vais le mettre dans le show note avec le lien et puis on va voir.

 

Pascale : C’est une Américaine. Elle est folle, elle est géniale et ça ne s’adresse pas qu’aux femmes. Franchement, c’est comme c’est une femme. Elle dit Réveillez la là, badass, qui est en vous. Mais bon, franchement, mon mari a été scotché aussi. On est tous couché avec ça.

 

Thierry: Dernière question – Quelle est la compétence que tu rêves d’avoir?

 

Pascale : J’aimerais beaucoup savoir dessiner pour dessiner les idées que je suis et réaliser à mes entrepreneurs et pas discuter pendant des heures. Donc je pense que je vais me mettre à un sketch. Ça passe, mais j’aimerais bien savoir dessiner. Oui,.

 

Thierry: On est deux parce que moi, je suis un très mauvais dessinateur et ah un moment, j’étais dans la construction et je devais faire les terrains et montrer aux gens des gens rigoler. Quand je vois j’essaye de dessiner c’est une catastrophe.

 

Pascale : Même si dans la déco, c’est pareil, oui, alors je vois ça face à un dessin à Washi. Pas? Non, mais tu vas voir, ce sera beaucoup parce qu’un.

 

Thierry: Grand grand grand merci vraiment tu as donné beaucoup d’informations. Tu me parlais, tout à l’heure de formation, je pensais que tu avais une formation. T’as pas de formation, là, tu coaches..

 

Pascale : En faiten, elle est en préparation cette formation.

 

Thierry: Moi, je pensais que Charlotte me disait oui, mais j’ai appris avec Pascal en fin de compte. Oui, j’ai tout fait.

 

Thierry: Bon, je mettrai le lien vers ton site et un mail ou enfin quelque chose. Et puis les gens vont voir directement. Donc, si vous avez des questions ou des commentaires, n’hésitez pas à les mettre pour que je puisse reposer la question ou répondre directement sur YouTube. Parce que, comme on en a parlé avant, il faut que tu sois visible.

 

Pascale : Oui, il faut que je délègue la bonne parole.

 

Thierry: Il y a plein de gens en fin de compte qui s’intéressent à Airbnb. Il n’y en a pas tant que ça qu’ils sont compétents. Malheureusement, je parlais pour ceux qui sont venus me voir pour m’en parler. C’est pour ça qu’on a parlé. Je me suis dit il faut que je t’appelle. Et puis, je suis content. Grand merci. Et puis, je te laisse le dernier mot.

 

Pascale : Merci à toi, déjà, pour ton l’intérêt. Et puis, n’hésitez pas à les y entreprenez. C’est tellement simple et tellement heureux.

 

Thierry: A bon entendeur, salut.

 

Thierry: Merci d’avoir donné toutes ces bonnes informations. Merci à toi aussi d’avoir suivi cet épisode et donc de soutenir l’émission. Donc, pour soutenir l’émission, n’hésite pas à commenter, à partager sur toutes les plateformes, Itunes, Stitcher et autres clique  partout où tu peux et pour qu’on puisse donc faire d’autres émissions comme celle ci. Donc, si tu es intéressé, tu peux aller sur des www.bnb-gourou.com ou sinon me laisser des commentaires ou n’importe quelle information quand je rentre directement. Que moi, je te dis à la semaine prochaine pour deux nouveaux épisodes. Ciao!

 

 

2 Comments

  1. Hello Thierry,

    Cet échange avec Pascale est très enrichissant

    Bravo à vous deux j’ai beaucoup aimé

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