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EP 49 – COMMENT DEVENIR UN ENTREPRENEUR SOCIAL ? Interview de Jean GUO

 

Comment devenir un entrepreneur social ?

Thierry: Salut à tous, bienvenue sur l’entrepreneur, Lifestyle Thierry #HENRY. Aujourd’hui, donc, je te parle d’entrepreneuriat social pour l’épisode 49 avec donc Jean GUO qui est une entrepreneuse qui entreprend dans l’entrepreneuriat social, sujet qu’on n’a jamais traité encore ici. Elle est donc co-fondatrice de Konexio, qu’elle a fondée donc avec Binta Jammeh deux femmes qui ont vraiment le coeur sur la main sur le coeur.

Donc voilà, avant de remercier les sponsors, je vais juste te préciser que j’ai fait cet enregistrement sans avoir le micro que j’ai actuellement, donc que l’audio n’est pas parfait, mais je préféré quand même le garder que de refaire l’audio. Donc, je te dis tout. Après avoir remercié les sponsors.

 

Sponsors:

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Thierry: Voilà donc de retour après avoir remercié les sponsors, Jean GUO va nous parler en fin de compte de son parcours. De pourquoi elle fait du social parce qu’elle est sur-diplômée comme Binta, elle pourrait faire autre choses. Elle a créée cette association qui est donc plutôt bien aidé, bien entouré. Donc, tu vas avoir vraiment des noms et des partenaires. Donc, si tu veut aussi la soutenir, n’hésite pas à aller sur le site je te mettrai les liens dans le show notes. Je te dis tout de suite avec Jean Duo.

PRÉSENTATION

Thierry: Salut, Jean Comment tu vas?

 

Jean : Bien, très bien, merci et toi

 

Thierry: Merci d’avoir ton nom dans ton planning chargé de nous parler d’entrepreneuriat social. C’est pas un sujet que l’on traite beaucoup sur le podcast, mais ça pouvoir aider des personnes qui veulent se développer. Ils ne seront pas directement entrepreneurs, mais vont passer par un apprentissage et ensuite devenir consultant ou développeur. Ça reste des indépendants. Je te présenter pas ton parcours. Je me suis posé des questions techniques sur l’entrepreneur social pour nous apprendre à devenir des entrepreneurs social ou socio.

 

Jean : Donc, oui, vu pour me présenter un peu donc je m’appelle Jean et,je suis entrepreneur social j’ai co-fondé là structure qui s’appelle Konexio. Mon parcours juste avant çà un peu partout où j’avais travailler dans plusieurs secteurs avant çà. Premièrement, après avoir fait mes études, j’étais consultante justement pour les boites de la tech et aussi des boites de la pharma en pleine en Californie.

Et ensuite, je suis allé en Asie et j’avais une bourse d’échange auprès aurait diminué en France pour faire des projets de recherche qui portaient sur l’économie. Donc pas mal, par exemple des données ou des rendements des projets de recherche qui est assez de évaluer l’efficacité des solutions de santé ou les projets sociaux.

C’est comme ça pour ma porte d’entrée à Procrastination. Parce qu’à l’époque, en 2015, j’avais choisi de se rabattre sur un projet qui portait sur l’inclusion des publics vulnérables. Et en 2015, on parlait beaucoup de sujet des migrants et beaucoup moins. Je suis aussi allé sur le terrain, au bon endroit. Les enjeux, c’est pas moi. Ce n’était pas suffisant d’exister. Les bases de données. Moi, je voulais voir comment les vrais besoins se. Est ce que j’avais noté en 2015? Et il y avait déjà beaucoup des solutions à des associations qui à son super travail? Un ami. Pour moi, il y avait moins services.

Des suspicions qui portaient sur le montant pas de l’inactivation. Aujourd’hui, des publics ou des réfugiés ou des migrants ont dû quitter leur pays et prendre jusqu’à 20 ans. Pour ces personnes de réussir et d’avoir les mêmes taux d’insertion professionnelle que les nationaux de long parcours? Oui. Et si on les aide au début aux joueurs, ce serait une manière d’avoir les services basiques de santé et de logement. Il faut aussi aller encore plus loin dans le parcours d’insertion qui est montée en compétence.

 

Thierry: Donc toi en fin de compte, si je comprends bien c’est venu d’une idée comme quand on crée une boite, tu as vu’il y avait quelque chose qui n’était pas adressé. Il y un manque il y a quelque chose qui n’est pas bon mais au lieu de la faire en entrepreneuriat classique ou tu allais demander de l’argent au gens, je vais le faire en sociales. Techniquement, la cible des personnes qui sont immigrantes n’ont pas les moyens de payer les cours en tous les cas. C’est plutôt donc s’adresser à une cible qui n’a pas les moyens. Mais c’est un problème qui existe, donc il faut le régler. Donc, tu le fais par l’entrepreneuriat social.

 

Jean : Oui, dans ce sens et je me dis en fait deux choses rapidement. Je pense qu’il y a deux types d’entrepreneurs ceux qui savent devenir des entrepreneurs et ceux de trinquette dans une deuxième catégorie, qui sont cactées par on un besoin et sans sur le parcours. Je pense pour moi et je suis plutôt de cette deuxième catégorie.

Et quand on dit oui à la social, alors aujourd’hui, mais peut être pas d’ici 10 ans, 20 ans, tout le monde va devenir aussi des entrepreneurs sociaux. Un sens que tu vas va faire aussi d’une manière ou d’une autre. Il y a quelque chose pour aider les adultes dans les réseaux des autres acteurs et de plus en plus. Tu as mis en tête de notre vie, mais catcheuse, y a quelque chose là dedans pour nous aider à améliorer ça. Coupeau Pour arriver à bien faire un travail, pour créer un meilleur futur.

 

Thierry: Dans tous les cas, dans toutes les start up modernes et dans tout ce qui est apporter de la valeur aux gens en général. C’est vrai que s’il y a toujours un domaine social, c’est plus poussé dernièrement et c’est une grande tendance qui vient de San Diego et un peu de partout. Il n’y a pas que le profit. Au fait, c’est bien plus quelque chose. Le profit pour pouvoir faire des choses derrière pas juste ce mettre de l’argent dans les poches, c’est pour pouvoir changer le monde et aider en fin de compte le maximum de personnes.

 

Jean : Ouais, ouais. Et je pense justement à avec KONEXIO aujourd’hui un la mission. Est ce qu’on avait décidé de faire c’est vraiment à pousser et encourager des jeunes défavorisés et des personnes issues de l’immigration? Aller plus loin dans leur parcours professionnelle et à la fois. On propose des parcours de formation sur des compétences de base numérique jusqu’à niveau en caucus, poussé à avancer.

Il y a un accompagnement socio professionnel Derrière qu’aujourd’hui, on propose plusieurs types de parcours. On travaille aussi. On avait lancé notre première de la relation uniquement nationale avec une assurance unique. Au Malawi, on travaille dans un camp de réfugiés de 40 000 habitants pour les former, occis sur un de nos parcours et ensuite de les envoyer vers les tentes de finance en ligne.

 

Thierry: Si je comprends bien tu as aussi donc que ce n’est pas que la France aussi, donc à l’étranger.

 

Jean : Ah oui, on a quand même une ambition aujourd’hui. Parce que dans le secteur d’activité qu’on avait choisi. Si on parle de même, si on est vraiment la formation où il n’y a personne laissé de côté par match et grande Transformation numérique aujourd’hui, d’ici 10 ans, c’était bien plus de 2 milliards d’emplois qui vont être au niveau mondial par transformation.

C’est important à noter Notez que si effectivement, les personnes les plus vulnérables aujourd’hui vont être locuste touchés par ces appels vers des métiers moins qualifiés, aujourd’hui, on est sur un secteur d’activité qui soit vraiment envie de changer beaucoup. Et donc, notre mission, c’est vraiment de montée en compétence des personnes qui restent ou esti. Ils vont changer aussi aux professionnels ou justement la vie professionnelle.

 

Thierry: Et donc leur KONEXIO. Donc, c’est pour qui parce que tu as parler des jeunes, que des personnes qui, à 50 ans, qui veut qui est de la cible les personnes illettrées. Techniquement, on le veut se former En fin de compte, est ce qu’elle peut peut le faire.

 

Jean : Ouais. Non, je ne pense pas. Je pense que même les publics qu’on voit surement chez nous aujourd’hui à fond comprennent des jeunes. Mais ce pas je veux dire, entendons nous justement oui, très bien. Avec des publics aussi plus âgés, on a plus une gamme en termes d’âge et justement, sur certaines matières. Aujourd’hui, on parle de secteurs d’activité la marche, le BTP, l’hôtellerie restauration, les services de nettoyage.

C’est souvent  des métiers où il y a rarement un digitalisation sur les tâches cimentière manière à quotidien. Et c’est important que les gens soient formés et soient pleinement leurs compétences pour assurer Yser les compétences les prochaines années.

 

Thierry: Bien d’accord que quelles sont les types de formation je crois qu’il y avait, donc moi j’ai vu plusieurs types Digistart et Je crois Digitous de changement ou  c’est toujours pareil.

 

Jean : On a plusieurs parcours. Oui, on a deux gros parcours. Autre programme la digital, qui est vraiment sur les compétences de base et un deuxième parcours sur les numérique. Donc notre parcours code qui comprend les deux briques.

Il y a digistart et de découvertes découverte. Parce qu’aujourd’hui, il y a quand même pas mal des choses. Si on voulait vraiment aller vers les mathématiques, devient de place. Il y a des choses à voir si on a ce métier qui nous fait lasses. Nous apprenons vraiment bien découvrir d aller en augmentant.

Cette programmation a peu leur confiance et ensuite décider si vous vous lancez dans un parcours beaucoup plus intensif. Et ça, c’est une autre formation certifiante, en 600 heures et avec possibilité delivre le titre professionnel de développeur Web et Web mobile à la fin.

 

Thierry: Quand tu dis 600 heures de formation diplomante. C’est quoi ce type de CQP ?

 

Jean : Oui c’est un type qui est reconnus dans la RNCP? Et c’est un type qui est agréé par le ministère du Travail.

 

Thierry: Et est ce que indirectement,tu te mets en concurrence avec les structures qui font de l’entrepreneuriat classique on va dire qui font des profits. Est ce que tu mets en concurrence avec eux? Comment ça se passe?

 

Jean : Je pense dans ce cas là que s’ils n’ont pas comme moi des concurrents, c’est bien d’avoir plusieurs acteurs en fonction des profils des apprenants, en fonction des différents types de métiers.

Il y a quand même aussi toute une nuance à parmi dans les métiers du numérique. Aujourd’hui, à les manières aussi, la différentes approches pédagogiques. Je pense que même il y a de la place aussi pour plusieurs avec justement des écoles qui font des formations en nous mêmes. On a suivi assez approfondi, comme on travaille avec des publics éloignés de l’emploi.

On fait aussi un travail sur les compétences internationale Nous souvent ce que l’on voit c’est les compétences techniques. Si on avait retenu des candidatures de nos apprenants, ils ont la capacité technique d’aller plus loin, mais quelques fois où osent pas ou ils n’ont pas confiance en soi. Pour aller plus loin, pourquoi aller avec des professionnels bien à se présenter lors des entretiens? Donc, on ne sait plus si cette approche globale en travaille lors de notre parcours

 

Thierry: Je ne sais pas je vais essayer de répondre pour toi. Je ne sais pas si j’ai raison, mais je vais poser une question un peu bizarre Quelqu’un qui vient qui as déjà des diplômes et que a déjà une expérience hors développeur. Est ce que tu le reçois ce qu’une personne soit bacac+4 et qui paie la formation ou ailleurs. Est ce que tu crois quand même? Ou tu l’envois vers d’autres structures parce qu’il a les moyens et Vous n’êtes pas une personne qui devrait passer par nous.

 

Jean : Justement, en fait, on donne la priorité quand même des publics qui ont les besoins. En fait, assez fort et donc est immense, on voit que quelqu’un en fait, ils ont déjà des moyens en tête de pouvoir avec d’autres types de formations. Ça va être pas un milliard dès les premiers envois sur leur liste de travail, même avec l’aide des associations, d’autres acteurs et candidats qui, justement, du si en l’autre en chinois, à faire face à cette exclusion sociale, on essaye de travailler déjà avec eux et vont devoir répondre rapidement et dès aujourd’hui. La priorité, les premiers apprenants en.

 

Thierry: Concernant le retour, comme vous avez trois ans, environ 3, 4, 3, 4 ans.

 

Jean : À 3 ans,.

 

Thierry: Est ce que vous avez des bons taux de retour? Des personnes sont plutôt pris des grands groupes, les petits groupes, parce qu’ils y sont bien inclus. Parce que comme ils viennent souvent pas tous de banlieue, mais ils sont, ils ont un background qui peut des fois  peut les bloquer, même s’ils ont les compétences. Tu connais un peu l ‘esprit français donc ils sont bien accueillis en général. Est ce qu’il s’insère bien? Ou est ce qu’ils vont plutôt vers l’entrepreneuriat ou le freelancing.

 

Jean : À nous pour nous en terme de ou sont nos apprenant à aujourd’hui? Jusqu’à présent, on avait formé à la formation il y en a un taux des sorties positif à la formation de 70% où elle est immense et a garanti dans un match un type d’entreprise hostile. Et Agache? Non, mais on a aussi des causes structurelles mal à l’aise. Il y a et un petit plus petit l’appuyant qui s’est engagé avec le système de stationnement. Ça,.

 

Thierry: C’est très bien en fin de compte, il y a. Il est vrai qu’on n’a pas parlé, mais bon que pour ceux qui connaissent pas Konexio, vous êtes plutôt bien connecté. Il y a vraiment un bon réseau. Comment ça tu vas travailler? Bon, on va peut être encore sur une autre partie de l’interview. Vraiment, une personne qui actuellement a la fibre entrepreneuriale, mais qui ne préfère pas faire des profits, créer le prochain Apple. Il  voudrait donc devenir entrepreneur social. Comment devenir entrepreneur social et comment réussir à faire comme vous?

Vous avez fait ce que je répète en a aussi une une co-fondatrice. Comment vous avait fait pour tisser ces réseaux? A voir tous ces personnes qui vous soutiennent parce que sur le site, il y a beaucoup de partenaires. C’est un travail énorme. Comment tu montes l’équipe? Comment tu fais pour vivre aussi? On a pas trop parlé de chiffes, mais comment tu fais pour vivre? Techniquement, tu fais comme tout de même comme de l’argent pour financer ces 700 personnes formées.

 

Jean : Je pense donc plutôt à tous les dires des conseils, par exemple qu’on en est arrivé à ce stade et aussi qu’on peut conseiller d’autres noms.

 

Thierry: Qui ont cette qualité et les compétences. Mais cette idée en dans le social, mais sur quoi faire?

 

Jean : Ouais. Moi, j’ai une phrase que j’aime bien, ce qui est en anglais on dit, « start before you are ready » parce que d’un coté, un autre, on va jamais pensé. On est près de soi. On sait déjà que ça, sur ceux qui pensent qu’il y a deux aussi des manières de piloter détestées, même si vous n’avez pas la solution et les précisions peut être déjà bien calé. Mais ils ont peut être quelque chose de mépris, par exemple, et toujours à miser sur ça en termes de choses qui nous ont aidés à être à l’aise. Aujourd’hui, je pense déjà, en fait.

Eh bien, pour nous, c’est l’approche qu’on prend. On n’a jamais réussi à toute seule. Je travaille bien avec nos partenaires parce que même si on prend le cas de nos formations pro, bien sûr, ce n’est pas juste nous qui est important. Lister aussi, par exemple, des partenaires en gestion. Pas de Nordiques non francophones. Ils doivent déjà penser à Gand. Il doit déjà aussi être suivi par d’autres structures logement et d’autres choses déjà bien arrivées à trouver les bons candidats. Et il faut qu’on travaille avec d’autres partenaires dans notre système. Donc, je pense que cette attitude de dire on ne va pas au bout de sa tutelle. On doit toujours travailler avec d’autres partenaires de culture, des parcours global.

Déjà déjà en deuxième ou je pensais que même ami, mon ami essaie de prendre, occis des conseils, des biomes qu’on allège avec moi, mais aussi avec l’aide de beaucoup de monde. Qui sont définis bac. Au moins, il y a des gens qui peuvent vraiment donner des idées par des suggestions et d’une manière assez concrète pour améliorer. Moi même, je pense qu’on est pas en colère, mais toujours à progresser en Amérique et je pense qu’il faut toujours garder aussi cet aspect. On peut toujours faire mieux. Il faut toujours être vert. Apprendre à changer a toujours améliorer des choses.

 

Thierry: D’accord, pourquoi t’ai posé la question, mais tu m’as tu m’as répondu à moitié. Parce que quand on va sur ton site, on voit des partenaires qui sont assez importantes, à part Thales sur la photo quand on vient sur le site, on tombe donc directement sur Xavier Niel, et station F Congorama de nous être connecté. Comment toi t’as fait? Ce que, dès le départ, il faut attendre de créer la structure. Si tu le dis, il faut d’abord commencé. Il y a ensuite lancé, mais plutôt, donc avoir au moins 5 ou 10 partenaires. Que tu sais que je risque.

Ce qui empêche souvent l’entrepreneur de se lancer, c’est dire comment je vais payer mon loyer, comment le. C’est important, donc, mais quand tu fais de la social ou de ce chiffre, pas des millions. Est ce que cette partie là, tu peux développer comment on peut se dire on va le faire quand même pour vivre? Personnellement, je école des réseaux qui consacrent en général. Toi, je pense que des gens ont une connexion pétroleuses pour que les gens viennent te soutenir. Actuellement, comment tu fais ce que c’est toi qui fait cette partie là?

 

Jean : Je pense. Pour répondre à la question, je pense. Bien sûr, je pense à situation difficile la première étape et je pense qu’il y avait même accepté bail. Et par exemple, mon travail est bénévole toujours après un certain temps. Et donc, je pense que tu as assez d’être amati à des choses mis en bouche. Vous avez à travers Twitter ainsi un peu d’anticipation.

Mais quand on sait qu’une action a toujours été une situation où j’avais mes projets de recherche au DES ou à côté et ensuite j’avais commencé à bosser sur le projet. Mais je pensais à bout d’un moment, vous allez voir que oui, il faut faire une décision. Soit vous allez être en pointe sur le sujet ou il faut trancher. Je pense que c’est assez facile, mais je pense que vous allez aussi avoir constamment.

Oui, il y a que la digestion du poulet. Dixième question de mon année à bien avoir été bien ciblé les premières partenaires. Je pense qu’il faut bien identifier des partenaires qui, vraiment, ont des objectifs. Ils sont alignés, étaient au courant puisqu’il existe une raison à Bakou. Il faut vraiment bien trouver l’intérêt. plusieurs qualités partenaire ou si vous voulez faire des choses ensemble, des passions pour nous. Aujourd’hui, je pense que le permis, là aussi, commencer avec des tests, mais pas tout de suite, dit on, va faire ça avec vous.

On a monté avec un pilote des en groupe d’apprenants et ça va bien, je pense d’aménagement, pour la suite. Je pense aussi à s’investir. On a déjà identifié. Ils ont plusieurs intérêts, par exemple sur les axes sur lesquels vous voulez déjà bien. Mais ce type de a déjà proposé tout du long cette sanction ou a quelque chose à piloter. Et si ça marche bien, je pense que ça va naturellement générer quelque chose pour la suite.

 

Thierry: D’accord, c’était du bien. C’était bien pensé sur. Voilà donc comment, avant poser des 5 questions que je pose à tous les entrepreneurs, comment on peux t’aider actuellement on si on veut devenir bénévoles? Ou si on veut quelqu’un qui est développeur qui veulent venir développer comment on fait.

 

Jean : Ou bien sûr, merci pour cette question. Donc, aujourd’hui, ce n’est qu’une action. Justement, il y a plusieurs manières d’engager avec nous. Déjà, on cherche des personnes qui souhaitent engager ces amis une fois par semaine dans nos outils et des sciences qui peuvent être, par exemple, les Souabes ou même en soirée, ou le syndicat des enseignants et musées. En quoi il décide d’être déjà avec nos apprenants?

Et si vous êtes de maîtrise les outils bureautiques et être en force, le roi a aussi. On cherche des partenaires qui souhaitent aussi une galerie de manière pro bono. Des compétences fait des ateliers plutôt que sur les compétences relationnelles classiques du coaching, par exemple sur comment créer un CV lettre de motivation en plus, ceci avec un nom si vous voulez acheter, n’hésitez pas à nous contacter et à notre site Web et Appnexus? Yo yo, yo yo!

 

Thierry: Et en termes de financement, si on veut vous aider financièrement?

 

Jean : Ah oui, et ça aussi, t. Oui, bien sûr. Non, je pense que pour un un stipulés, aider financièrement àdonc on peut faire un don pour l’association. Donc oui, et aussi à les informations sur le site web. À quoi d’autres types de partenariat? N’hésitez pas à nous contacter sur notre email contact@konexio.eu

 

Thierry: Parce que je te tends la perche, mais tu ne me le dis pas. Est ce qu’il y a un avantage fiscal aussi à financer, ça peut aider des fois.

 

Jean : Oui, exactement comme on est une association d’intérêt général tendance, tout don sera défiscalisé.

 

Thierry: Ok, parfait là je vais te poser les questions pour le Finnish, donc,.

LES 5 QUESTIONS POUR CONCLURE

Thierry: Quel est pour toi le business ou l’association dont tu rêves? à part ce que tu fais actuellement. Ou celui  C’est vraiment ton rêve.

 

Jean : C’est. Une bonne question. Je pense qu’il y a beaucoup d’entreprises aujourd’hui qui sont admirables, aboutirait à une des structures. J’admire beaucoup et le IRC (International Rescue Community) c’est une très grande association qui lutte dans le monde pour les personnes déplacés aujourd’hui parce qu’ils sont dans des zones on en faite et avec des ressources très, très limitées. Et il en fera la présence très forte pour aider ces personnes.

 

Thierry: Et toujours dans le social

 

Thierry: Quel est pour toi l’amère expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur? que tu as eu dans ta vie ?

 

Jean : Oui, dans l’entrepreneuriat. Moi, je pense que aujourd’hui, je pense que pour moi, c’est un mouvement. Et d’ici les prochaines années, je pense qu’il y aura de plus en plus des personnes qui souhaitent engager ou aider d’un pouvoir parler de stages et de pouvoir donner des conseils.

 

Thierry: Quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur ?

 

Jean : Les manières de la meilleure manière de vivre ?

 

Thierry: Non, Quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur ?

 

Jean : Divers leviers. Je pense déjà à cette première chose avant tous. Et je pensais que les autres entrepreneurs ont dit la motivation parce que c’est ça qui va vous motiver, même si il y a des journées qui sont dures, que vous voyez des langages, ça marche pas assez. La motivation, oui. Et ensuite la persistance. Mais après avoir fait aussi de savoir que vous n’allez pas faire ça toute seule et de voir comment vous allez pouvoir recruter deux ou trois personnes de la partie de l’aventure avec vous,.

 

Thierry: D’accord.

 

Thierry: Quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur? Et pourquoi?

 

Jean : Ah ok, au moins c’est un entrepreneur. J’ai deux livres en tête à vous conseiller à tous les entrepreneurs sociaux. Il y a un superbe livre qui s’appelle lean impact  a été écrit par quelqu’un qui avait travaillé dans le secteur privé et a ensuite été à la tête des structures. Par exemple, USA, qui fait la structure pour le soutien des projets Deus Ex Machina, Etats unis CRIB d’Amal, des témoignages sur la planète qui, elle, a travaillé à Gros marché il y a un d’une manière générale. Je, français à l’île qui s’appelle Adhérera.

Il apprend à vivre sur la Belgique. Mais déjà, j’ai déjà entendu, jamais lu, mais j’ai déjà entendu. Ça donne quand même des conseils sur des choses qui semblent peut être même pas si évidente qu’on a commencé à lancer dans l’aventure, même s’il devient d’entête dur de faire. Et comment prendre des décisions lors des moments critiques. Et c’est vraiment un style de pouvoir trancher.

 

Thierry: Mais je crois que c’est l ancien patron de Intel, la personne qui a créé une telle que ça et tous les grands, tous les grands. Si auparavant, tout le monde en passe de dire n’importe quoi, que c’est un melting pot, c’est. C’est Google qui m’a aidé à vous regarder. Je mettrais tout ça dans le champ note pour ceux qui veulent aller regarder.

 

Thierry: Dernière question quelle est la compétence que tu rêves d’avoir?

 

Jean : Pour moi, je dirais de pouvoir parler à toutes les langues.

 

Thierry: Ça fait du boulot.

 

Jean : Moi, si je peux avoir eu un jour cette compétence, ça sera super parce que je pense à la communication et à l’entraide. C’est ce qu’on a besoin aujourd’hui dans.

 

Thierry: Mais tu l’auras, tu l’auras logiquement dans 2 ans que j’étais au salon, si ça casse.

 

Thierry: L’année dernière, il y a quelqu’un qui a inventé des lunettes, offertes la transcription des langues. En lisant sur les LEJ, on écoute en traduisant quasiment sans ballon. Je ne sais pas si c’est bon de sortir. Enfin, c’est un peu spécial. J’ai été étonné d’une grand merci. Je mettrai tous les liens pour que les gens.

 

Thierry: Et moi, je te dis à bientôt.

 

Jean : Oui a bientôt,

CONCLUSION

 

Thierry: Pour l’épisode 49. Merci à Jean GUO nous avoir parlé de l’entrepreneur social, sujet qu’elle connaît bien comme chef de voir. Donc, merci d’avoir suivi l’émission l’épisode sur l’épisode. Même si il y avait un enjeu qui n’était pas parfait, on va remédier à ces petits problèmes que j’ai vu par rapport à mon micro, à mon casque.

Donc, si tu veux dire, l’émission n’hésite pas à les sur itunes Spotify Spic, situé en face de Deezer tous les sites connus pour podcasting, n’est pas commenté avec des étoiles à partager au maximum d’amis pour qu’on puisse continuer à faire d’autres émissions comme moi, je te dis donc un jeudi avec un entrepreneur qui entreprend depuis plus de 20 ans en ligne d’affiliation.

Enfin, plein de petits business pour pouvoir commencer en ligne. Parce qu’en fin de compte, les méthodes n’ont pas trop changé. Il y a eu, il y a plein de choses, mais quand on est malin, on peut trouver des manières, donc de gagner quelques euros et beaucoup plus. Va nous le dire dans l’émission, je te dis à la semaine prochaine Ciao