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COMMENT VIVRE DE LA CREATION DE  CONTENU ?

Thierry : Salut à tous, bienvenue à tous sur l’épisode 51 Thierry #HENRY, l’Entrepreneur lifestyle ton émission pour devenir un entrepreneur en ligne, que ce soit pour une petite structure, une PME, une plus grosse structure, tu peux apprendre le maximum avec les invités que je te propose aujourd’hui on a un spécialiste du contenu qui pareil qui est en ligne depuis une dizaine d’années.

Quinzaine d’années, même je dirais il a eu plusieurs blogs, plusieurs sites. Donc, il va t’expliquer comment créer du contenu, faire du volume, la qualité, bien sûr, et donc pouvoir attirer des clients et ensuite faire de l’infoprenariat, de l’affiliation. tous les business que tu veux, que ce soit en ligne, en ligne, il faut donc avoir du trafic. Je te dis donc avec mon invité, donc, Bertrand Soulier, votre coach web que tu dois va connaître. Il est aussi podcaster. Donc je te dis toi, après avoir remercié les sponsors.

 

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Thierry : De retour après avoir remercié les sponsors, Bertrand Soulier qui est propriétaire du site. votrecoachweb.com il a aussi son site, Bertrand Soulier comme soulier avec un salaire. Il a aussi, comme moi, un homonyme très connu qui est connu pour autant que le meilleur buteur français que tu dois connaître. Donc voilà, on va parler de contenu. L’épisode est un peu plus long que d’habitude parce qu’on a beaucoup échangé. On parle quasiment presque tous les réseaux sociaux du blogging, de WordPress Donc, si tu a prévu d’avoir une activité en ligne, tu veux avoir plein d’informations. Donc je te dis tout de suite avec Bertrand Soulier.

PRESENTATION

Thierry : Salut Bertrand, comment tu vas?

 

Bertrand: Ça va très bien. Merci à toi.

 

Thierry : Merci d’avoir pris le temps de nous parler de contenu. On ne va pas contenus assez large. Dernièrement, j’ai fait une émission sur le community management plutôt des réseaux pour les pros. Donc là, on va parler un peu plus large. Tu va s nous donner toi ton retour car tu as plusieurs années dessus. Tu fais beaucoup de choses. Donc donner un peu ce que t’as fait, ce que tu fais actuellement, et ce que tu vas faire pour le futur? Puis, nous donnés des conseils pour ceux qui veulent prendre une indépendance par rapport aux réseaux sociaux et avoir plus de notoriété? Je te laisse te présenter, puis après, je te poser d’autres questions.

 

Bertrand: Oui, merci à toi pour l’invitation dont je rappelle Bertrand Soulier. Je suis bon, je le dit. J’ai 43 ans, une espèce de dinosaure qui a commencé au siècle dernier, à l’époque où il fallait coder les sites de A à Z. Mon premier site, je les codais de A à Z et pour l’anecdote, il n’a jamais été mis en ligne parce que le responsable informatique avait décidé que c’était trop dangereux de le mettre sur les serveurs. Une époque date 95, 96. Dans ces années là, ça totalement changé ma vie parce qu’à l’époque, j’étais en gestion marketing, etc. Et une de commerce. Mais en fait, j’ai toujours le moi de faire de l’internet. Donc, j’ai travaillé en agence web pendant 7 8 ans, en collectivité comme webmaster.

Et puis maintenant, je suis à mon compte depuis 7 ans sur tout ce qui est création de contenu, gestion de réseaux sociaux, accompagnement, coaching, formation, etc. Tout ce qui est outils numériques. Puis, avec ma femme, on a fait du commerce de boutique une boutique en ligne. Donc, voilà moi toutes les activités qui tournent autour d’Internet sur création de contenu, marketing, ventes. C’est ça, reconnaître et partager ses passions. On va dire voilà où, grosso modo, c’est ça.

SEO VS SEA

Thierry : Donc plutôt plutôt blogging, référencement classique plus réseaux sociaux pas de payant.

 

Bertrand: Moi, j’ai toujours trouvé très louche de payer pour faire la pub de mon contenu. Tout simplement parce que j’ai fait longtemps du blog. Pour l’anecdote, j’ai eu un blog local sur Clermont-Ferrand parce que je suis à Clermont-Ferrand qui s’appelle Cyber Brouilla, Ponette qui s’appelait qui est mort au bout de 18 ans et qui était vraiment toi, sur le modèle des médias classiques générer de l’audience, mettre de la pub hors de la bannière, etc.

J’ai toujours considéré que d’acheter de la publicité pour faire connaître ce type de contenus là, pour revendre ensuite de la pub chez moi, c’était pas rentable. C’est un calcul. Les grands médias s’amusent à le faire. Moi, j’ai jamais compris leur rentabilité à faire ça. Par exemple, sur mes blogs aussi, je vois pas la rentabilité de faire la promotion de 3 4 Post, un billet de blog que j’ai fait sur mon blog, sur ma recette de pancake hier. Je ne vois aucun intérêt à faire de la publicité là dessus. En revanche, après la ou les publicité, je pourrais m’en servir assez pour vendre des formations.

On va dire après avec des pixels, etc. De suivi pour remettre ça sous le nez de ceux qui l’auraient vu. On va dire quelque chose comme ça, du retargeting. Mais après mon ambition, ma génération de trafic principal est toujours et toujours toujours passer plutôt par du référencement naturel et par la création de contenu sur du long terme. Moi, je travaille vraiment sur du long terme. J’ai un blog, je te dis et le cyber Bruyas est mort 18 ans. Mais mon blog actuel doit avoir 10 ans de contenu derrière lui. Quelque chose comme ça. Et j’avais mon premier blog à archiver. Et j’ai commencé oui, au tour de 2002 2003. Vas dans les premiers contenus.

Moi, je crois beaucoup à la vertu de contenu Evergreen du long terme des livres sur des trucs périmés. Il n’y a pas de secret quand je regarde mon ancien blog et les trucs sont périmés et j’y crois beaucoup. Tu vois ces contenus qui ont une durée de vie très longue. Donc pour moi, c’est ce que je dis, pas que c’est contraire à la pub. Je dis juste que je n’ai pas envie de donner trop d’argent dans la publicité pour des contenus qui sont faits pour le long terme.

 

Thierry : Tu as raison c’est un peu contraire à la pub parce qu’en pub tu veux un résultat directe, même si on n’est jamais sûr, parce qu’il faut être fort en algorithme sur un mot clé on peut mettre 1000 euros, et ne jamais les récupérer. Et si on est très fort, on peut récupérer 3000. Mais c’est pour l’instant T et c’est une technique qui n’a rien à voir avec le sens. un ancien que tu connais bien et a tout essayé parce que c’est un peu ce que tu en a parlé.

Mais ce n’était pas très clair pour moi. Donc, tu parles de pub? Toi, tu parles de denté dans tes blogs, dans tout ce que ton contenu, tu fais un peu d’affiliation. C’est plutôt lorsque tu veux parler à quelqu’un avec de la pub pour vendre. C’est stupide. Moi, en général tu vends des formations, comme tu dis. Il y a une marge plus importante de l’affiliation avec des produits récurrents ou à très forte valeur.

 

Bertrand: Oui, ça, j’avais testé l’époque de dire faire peut être un peu de pub pour faire de l’affiliation derrière des choses comme ça. Moi, en fait, dans mes premières thématiques thématiques du web local que je connaissais très bien, c’était très compliqué de trouver l’affiliation et du produit qui avait une bonne valeur ajoutée. En fait, ce que les gens ont du mal à comprendre sur le web local, c’est quand tu fais l’actu locale. C’est que ton ciblage de l’audience se fait par le fait que les gens sont de la ville ou tués ou ou originaires de la ville ou tués. Tu vois, il n’y a pas de dire des hommes ou des femmes qui ont un tel problème, etc.

C’est complètement contraire au marketing. Quand tu fais un blog sur Gröning, tu sais que tu a des gens qui s’intéressent au Roni et tu fais un lien vers une paire de baskets en affiliation, tu? Toi, tu va gagner de l’argent sur mes potes de plugin, sur mes prothèses, mais plugin de podcasts, par exemple, ça sera intéressant. Je fais un article sur Ventée, un plugin qui me donne 20 euros en affiliation. serait facile à le faire. Moi, par principe, je ne Ça suis jamais trop allé là dessus. Mais par contre, on a fait des tests. Toi, tu dis on peut investir 1000 euros et gagner 3000 sur le terrain.

On a fait un test avec ma femme. Je crois qu’on a mis 5 euros pour un truc comme ça et qui était tout bête. C’était juste d’aller acheter le nom de la marque comme ça sur Google AdSense, en disant en mettant des liens directs vers des pages intérieures calendrier de l’avant des choses comme ça. Par contre, ça avait rapporté pas mal d’argent quelque temps puisque au lieu de les gens passent par les pages d’accueil, ils arrivaient directement sur nos fiches produits qu’on voulait, dont on voulait faire la promotion. Donc ça, toi, on a fait des tests de ce type là. Là, j’ai des tests, je vais faire quelques tests aussi.

J’ai fait des vidéos, mais je n’ai pas sorti encore pour faire de la publicité story Instragram. Tu vois des bouts de tests comme ça, mais j’ai pas envie d’investir trop de temps dans plus de temps ni de l’argent. Mais en fait, je pense que pour investir de l’argent à investir beaucoup de temps et je me concentre pas dessus, moi, pour l’instant, non.

 

Thierry : Mais tu précises bien que c’est deux stratégies différente et tu veux pas devenir experts de la publicité en fin de compte sur Internet et en général, c’est deux niches, comme je le précise, parce que ceux qui me suivent le savent, il y a deux mondes. Toutefois, comme tu es fort en contenu et plus encore pour rajouter à ce que tu dis vision de long terme et en général la pub c’est court terme, toi, quand tu sais que tu fais tu bien sur les bons mots clés, sur les bons réseaux?

 

Bertrand: Oui, c’est ça. Et puis après,je me dis que il faut vraiment ce spécialisé. Moi, je suis touche à tout. Je suis un couteau suisse à l’origine, mais le couteau suisse sur Adsense,AdWords et compagnie ici, il se trouve un peu limité. Toi, c’est comme sur Google, sur Facebook ou d’Arman, y rajoute tellement d’options dans tous les sens que tu finis par dire je dépasse ma compétence. Ou alors, c’est vraiment des trucs à la marge. Tu vois, c’est des petites sommes. Je mets 5 euros par ci, quelques euros là dessus sur du retargeting, sur des choses comme ça, mais allez investir des grosses sommes. Je pense que là, il faut vraiment être un spécialiste pour ça. Qu’on fait quoi?

 

Thierry : Il faut un spécialiste. Pour moi, c’est là que je tends un peu. J’aime le contenu, mais en plus, dans ce cas là, il faut juste faire attention puisque débit, les plateformes sont intéressantes, ne sont pas chères. Mais après, comme les gros grands groupes arrivent et dépensent pour tout et n’importe quoi, juste pour des likes et les prix augmentent. Et donc c’est pour ça qu’on va revenir sur ce qui est intéressant sur le sujet d’aujourd’hui le contenu. Pourquoi quand on a  peu de moyens, ou on de plus parce que c’est un métier. Il faut apprendre à faire de la pub, donc il faut donc créer du contenu.

Donc toi, tu as un peu tout fait. On va commencer donc par la base, à commencer par le blogging, ce qui est logique parce avant même que les réseaux sociaux depuis 20ans surement pas 15 ans, il y en a eu qui ont disparu. Je te demanderais si tu les as connue, donc, à commencer par le blog Commandons que t’as commencé à 7 ans. Comment un client, un nouveau qui veut se développer grâce aux contenus? Qu’est ce que tu lui conseille? Comment débuter, sur quelle plateforme et comment aller plus loin pour devenir indépendant?

COMMENT TROUVER TON PERSONA ?

Bertrand: Bah moi, c’est marrant parce que c’est vraiment le sujet en ce moment et je fais beaucoup d’enseignement tu vois, je fais beaucoup de formation, etc. Et c’est vraiment le problème principal que rencontre beaucoup de gens. L’autre jour, j’ai ce que je dis à mes étudiants. Il faut d’abord se concentrer sur vraiment la cible à qui on a vraiment envie de parler.

Qu’est ce qu’on veut lui raconter et comment on peut l’aider en sachant bien que, de toute façon, notre audience est une histoire dans sa tête. Elle a des problèmes et elle a besoin de résoudre quelque chose. Besoin de faire quelque chose. Ça peut être une aspiration, ça peut être un problème, mais à un moment donné, elle n’a rien à faire de nous. C’est même pas qu’on existe. Alors, la question qui se pose, c’est comment, finalement, on va réussir à s’incruster dans son monde à elle et moi, c’est le grand truc.

C’est comment s’incruste dans son monde à elle. Premièrement, ça veut dire que qu’est ce qu’elle a dans sa tête? Quel est son problème? Ou comment on pourrait l’aider potentiellement avec ce qu’on sait faire? Et ensuite, c’est son modèle. De quoi il est composé? Et toi, de faire sa carte un peu dire bah, il est peut être sur YouTube. Il est peut être à l’écoute des podcasts ou pas. Peut être que je peux trouver sur Google est sur Facebook. Qui serait sur Tic-Tac? Je ne sais pas, toi, ça dépend de l’âge. Et donc vraiment, c’est cette carte là, précise.

 

Thierry : Ce qu’on appelle le persona.

 

Bertrand: Ouais, perso, je le désigne d’un autre nom. Tu vois, moi, mon terme, ça va être de dire c’est vraiment quel est ton public minimum viable, toi, pour te dire où est ce qu’il est quoi, le terme de personnage? Tu vois ce que je n’aime pas dans le personnage ou l’avatar et le terme avatar, encore et encore moins. Ce est en fait qu’il n’est pas réel, alors qu’en fait, sur Internet, les gens sont réels, sont des trucs tu, il y a des gens. Je suis fan de podcasts. Y’a pas longtemps votre coach web où je disais que devant moi, je pourrais avoir une boite de photos des gens.

Tu sais que je connais. Quelqu’un m’a même envoyé sa photo en disant Tiens, tu peux Rachedi ta boite fait. À chaque fois que je fais un épisode ou un contenu, je prends une personne dans ma liste de gens que je connais et je me dis toi, ce contenu là, il est pour toi. Tu vois par exemple, au début Hypotheses, votre coach web. Chaque épisode, j’ai une petite accroche l’accroche. Aujourd’hui, c’était du style. Bon, aujourd’hui, on est à un mois de Noël, etc. Vous commencez à faire votre liste de cadeaux, mais des fois, accrochez vous, écoutez ce podcast en prenant votre chien. Vous écoutez ce podcast en ramenant vos enfants à l’école.

Des personnes qui se reconnaissent dans ce truc là et qui réagissent à ça, tu sais pourquoi? Tout simplement parce que je les connais de plus en plus. Forcément, je passe du temps à les connaître. Et pour moi, le personnage, l’avatar est réel. Toi, c’est pas un truc fictif composé de deux. Je pense qu’il ressemble à ça ou quoique ce soit. Pour moi, le but du jeu, c’est que ce soit une personne réelle. Le truc que je dis, c’est tu prends une personne réelle que tu connais réellement et tu dis comment je fais pour rentrer dans son monde à elle vraiment, et qu’elle puisse lire ce que je fais et écouter ou je ne sais pas quoi.

Et dans ce cas là, et. Apprendre et comment je peux l’aider après, ça veut dire qu’on va déboucher sur des stratégies qui sont un peu variées. Pour certains, on va dire j’ai trouvé sur les réseaux sociaux, pour certains, c’est des gens qui vont être sur YouTube, pour d’autres, c’est des gens qui vont faire des recherches sur Google et cherchez sur Google. Et on sait que c’est pas facile d’apparaître sur le référencement naturel tout de suite, mais que ce n’est pas non plus infaisable. Contrairement à ce que certains pensent non plus,.

 

Thierry : Si moi, je l’ai fais, tout le monde peut le faire.

 

Bertrand: Je pense que tout le monde peut le faire. C’est juste qu’il ne faut pas se dire je vais devenir premier sur le mot vacances parce que c’est jusque là une belle quoi.

 

Thierry : Après, c’est la règle de base. Moi, j’ai appris comment on en parler un peu en off. Bon, je pense que tu aurais pu le dire mais bon, c’est que souvent, on dit qu’il faut se mettre entre des mots clés qui sont qui ne sont pas trop concurrentiels, entre une recherche de 1.000 à 10.000 mots et qui ne sont pas trop concurrentiels. Les gens, plutôt des mots clés de longue traîne plutôt, en plus des vraies phrases. Comment faire aussi que juste le mot mot? Quand j’ai commencé je me suis cru malin, je m’y le mot et je me suis fait avoir.

Mais comme je suis, j’ai fait trois articles par semaine. A force J’ai appris, j’ai vu que je ranké en premier. Il y a des mots clés où il y a bien des gens qui les oublient, simplement les gros cons des gros blogs ou qu’on est moyen. Mais bon, faire des mois, 10 ans sans une recherche par mois. Quand tu n’as pas les moyens entre les lignes, c’est une règle de base. Des fois, on l’oublie. Oui, quand d’autres biens reviennent, plus te couper et encore d’autres techniques. J’arrête le blog. Oui, je me suis dit bon, j’ai testé, j’aime bien. J’étais content de vivre, d’être présent sur Google, mais je me suis dit j’ai changé ma stratégie, mais j’ai des blogueurs qui vont bloguer pour moi et je leur dirais oui.

 

Bertrand: Et Puis des fois, tu as des bonnes surprises, tu sais moi, c’est ce que j’ai. Ce n’est plus le cas maintenant, mais pendant très longtemps, mon blog était placé avant L’Oréal, par exemple, sur les propres produits de L’Oréal, parce que j’avais mon blog de mon blog actuel. Bertrand Soulier.com  avant s’appelait mon blog de mec et j’ai testé tout un tas de produits de beauté. Tu vois comment ne plus avoir des cernes et tout sur le produit? Tu faisais anti-cernes. Et comment ne plus avoir de cernes quand on est arrivé avant toutes les marques? Ce qui veut dire qu’il aurait.

 

Thierry : Ouais mais çà dure pas

 

Bertrand: Milliardaire, etc. Mais en fait, ça a duré pendant plusieurs années. Cette histoire,.

 

Thierry : Ah La chance, j’espère que tu avais mis un bon produit d’affiliation. Moins un but l’information. Parce que quand ça arrive, il faut y aller après, quand tu étais dégoutté.

 

Bertrand: Mais en fait, j’ai vu et j’ai vécu avec des envois de produits, de la publicité toi sur un modèle influenceur, etc. Ça m’a rapporté aussi, par ce biais là des partenariats. Et puis ça m’a ouvert les portes. En fait, d’autres personnes, par exemple, ça m’a ouvert les portes de l’écriture de contenu pour des gens comme Monoprix. Tu vois comme pour des grandes marques, etc. Pour des plateformes d’écriture, c’est pas les plateformes text master à 5 euros, c’est des plateformes où l’article l’achète 130, 140, 150 euros. Des choses comme ça.

 

Thierry : Donc, tu faisais un peu de blogging ou du copyrighting

 

Bertrand: Mais en fait, je faisais du blogging à une époque où on me disait faire du blog Toi, par exemple Monoprix à l’époque, disait on, des articles de blog, un blog ou des articles, etc. Il nous faut du contenu qui se positionne bien sur le référencement naturel, mais qui soit écrit. Bon copie british en ce moment, on a une espèce de mode au copier writing. Ce qui est logique. Après, je veux dire, ça fait partie des trucs qu’il faut avoir dans les Romains.

 

Thierry : Franchement, je pense que c’est ma vision de ma vision de copyrighting Parce que quand j’ai été voir sur ton blog, je me suis dit Waouh! Le truc est bien léché enfin et je me suis dit que je savais pas que c’était un fonds de développeurs. Donc, quand je vois des deux sites Ouaw je sens que c’est fait par un pro et il l’a fait lui même, il est bon. Je vois comment c’est structuré, ça passe à un deuxième niveau, alors on s’en … Ce que j’ai vu? Un peu de marketers, mais je ne me prends pas, un super marketers, mais on sait où il va, où il est. Désormais, tout est clair et c’est important çà.

 

Ouais et après c’est une réflexion, tu vois depuis des années au début, c’est quand on ouvre un blog, on mettait une anecdote que je raconte à mes étudiants au début, mettait des petits trucs qui clignotait dans tous les sens. On essayait quand j’étais en étudiant vraiment. J’étais diplômé autour de toi. J’ai plusieurs diplômes bac+5, donc j’ai été diplômé de 2000 2001. Dans ces années là, j’ai fait un mémoire sur l’ergonomie et l’ergonomie. Tu sais, c’est comment est ce que tu fais en sorte que les gens iquique sur telle ou telle chose, etc. Et on mettait des panneaux indicateurs.

On disait il faut des panneaux indicateurs, des têtes de gondole dans les supermarchés. Et il y a un truc qui est vrai, c’est que quand tu regardes un peu ce qui se fait à droite, à gauche, sur Internet, c’est tout, répliquaient tu sais ce qui se fait dans les supermarchés, mais aussi dans les magazines papier. Y’a pas longtemps sur WhatsApp, puisque j’ai un groupe sur WhatsApp, une liste de diffusion et je leur disais je vais dans un supermarché et j’ai fait une vidéo.

Tu sais où je filme les magazines, je dis regardez comme ils sont bien, copient les magazines, des couvertures, des magazines, le titre y accroche, etc. Il y a toutes ces accroches là, etc. C’est sûr que ça, c’est super important. Si tu copyrights pas ton temps, ton titre de billet de blog ou que ce soit, ton. Chapeau! Les 2 3 premières lignes. Presquequoi  tout le boulot que tu as fait derrière. Il sert presqu’à rien. C’est pareil sur Facebook et Instagram. C’est pareil sur plein de trucs.

Mais moi, j’ai commencé une époque où on disait Bon bah, on va faire un article où il y a les mots clés principaux. Et puis, on va essayer de structurer un peu les titres et tout. On affine au fur et à mesure. Moi, je suis un peu dans ce cadre là et je me rends compte que j’ai des contenus qui sont pas extrêmement optimisés, ou alors dans ma tête, en optimiste, sans m’en rendre compte. Après, attention, c’est aussi l’avantage de l’expérience. J’ai envie de dire dans le domaine là, c’est que, par exemple, j’ai un ancien site qui avait 10.000 articles dessus. Par exemple, quand, quand tu en fais un par semaine pendant des années au gouvernement, ça fait un contenu.

J’ai peut être écrit 12 pouces ou 13000 articles dans ces années là. Des trucs, ça devient tellement automatique que la structuration devient relativement simple pour moi. Mais je trouve franchement, tu vois que à un moment donné, cette accroche en ergonomie, c’est de dire comment je fais pour accrocher dès les premières lignes. Et c’est valable sur quel support? Toi, tu fais du mail? C’est le titre qui doit accrocher. T’as pas d’autre truc que ce que tu dis.

WEBMARKETING VS MARKETING

Thierry : Ce que faire? Parce que souvent, on a pensé que le web marketing et Internet allait tout changer. Il a changé les choses. En fin de compte, les veillent techniques marchent Toujours,.

 

Bertrand: Oui, mais en fait, il te donne un espèce de fin. Moi, c’est ce que je disais à une époque. Tu sais, je me disais enfin sur mes cours à la fac il y a 10 ans de ça. Quand j’ai commencé mes premiers cours, j’ai mis un mégaphone énorme. Tu vois sur le truc la première m’acheter un mégaphone énorme pour dire rien n’a changé. Mais si tout a changé, c’est que le mégaphone, en fait, il est devenu gratuit.

C’est dire que avant, si tu voulais. Et ça, c’est l’histoire de la communication. Mais c’est une histoire qui remonte à Gutenberg. En fait, si tu veux, tu peux remonter plus loin que ça pendant des années. En fait, et pendant des siècles, les moyens de production de contenus ont été régulés et coûteux quand Gutenberg invente l’imprimerie. Personne ne sait lire ou plus de gens savent lire. Et les moines copistes, tu sais y recopier les trucs, etc. Il n’y a pas grand monde qui savait lire et petit à petit, en fait, on a inventé le livre.

On a démocratisé la capacité d’abord à faire des livres, mais ça coûte cher. Toi et moi, j’ai travaillé. Mon premier employeur lui venait de l’imprimerie. Il avait une imprimerie. Tu sais en effet une inauguration de sa machine, sa machine à écouter 100, 200 ou 300 00, tu auras peut être un truc comme ça. Et donc, si grosse inauguration, ça fait des années pour la financer, etc. Et toi, tu arrives, tu sais, t’as un truc qui s’appelle Internet, mais qui dit écoute si tu sais faire un peu maintenant l epoque. Moi, je faisais du HTML 3, mais à l’époque, maintenant, tu regardes, tu prends WordPress, tu prends n’importe quel truc, Touvre, tu appuies sur un bouton, tu mets ta carte bleue pour acheter nom de domaine. Une heure plus tard, t’as un site et tu peux exprimer tout ce que tu veux comme message.

Tu prends Instagram n’importe lequel. Si t’as un mégaphone qui est d’une puissance remarquable, tu vois. Et si tu mets la publicité rattes, un mégaphone qui est accessible à tout le monde, alors bien sûr. Avec les années, les gros, les appétits quiviennent, etc. Mais au final, c’est là la force de l’internet. Moi, c’est ce que je disais à mes études. Si vous avez envie de vous exprimer sur n’importe quel truc, il n’y a personne qui peut vous dire non. S’il y a un truc qui est génial.

 

Thierry : Enfin, oui et non. Il faut quand même préciser, mais c’est bien ce qu’on a commencé par le blog qu’il faut avoir sa plateforme. Si on est chez les autres, ils peuvent nous dire non. Je n’aime pas ce que tu dis,.

 

Bertrand: C’est ça, c’est ça. C’est dire que en fait, on est en train de remettre des barrières qui avait sauté. Mais tu vois, moi, c’est un peu les radios libres quand tu regardes l’histoire des radios libres. Dans les années 80, on avait des mecs qui émettaient depuis Gourdeau vers des émettez dans la forêt ou y a des volcans. Tu vas pouvoir mettre sur Claremont. Et puis, petit à petit, ça s’est structuré chez Radio. Il y avait plein de radios libres qui se sont créées avec en 80 jours. J’étais marqué par un article sur une radio et le gars m’a dit Ecoute, si tu veux lancer une radio maintenant, il faut d’abord embaucher un avocat. C’est quoi ton histoire? Il y a une telle luxé sur les fréquences, sur l’autorisation auprès du CS, SAT, etc.

Pour émettre et autre que si t’as pas les moyens pour acheter, louer ta ligne TDF, etc. Dès que tu la laisse tomber, il y a quelqu’un d’autre que si t’as pas aussi des avocats pour défendre ce que t’as gagné. Ben les grosses radios type NRJ et compagnie avant toute bouffée. Et moi, à coté, je sais. Mais Internet, si tu dis bon temps, j’ai un nom de domaine, je le dépose une heure après. J’ai mon site qui est créé. Je ne comprenais pas cette espèce de truc qui faisait, mais. Le Web va être libre et tu te rends compte effectivement que plus tu centralisent les choses avec YouTube, Facebook, Instagram, etc. Médium, tu verras par exemple quand on en parlera.

Mais moi, je suis pas très fan de médium pour plein de raisons. Et bien tu romé de la centralisation, donc tu rober quelqu’un qui peut dire oui ou non. En fait, c’est pour ça que j’adore aussi. Le fait d’avoir des blogs, c’est de dire j’ai envie de parler d’un truc. Ecoute, je peux le faire et elle imite même Tuoi. Je dis pas qu’on peut se passer de Google. Attention, parce que c’est reconnaitre sans Google, c’est un poil compliqué, mais tu peux te dire même si Google me. Ben non, tu vois Gimas Liste Bay, ton widget, Mail ou Jean, etc. J’arriverai toujours à Sarko mes contenus sans qu’il soit capable de dire ça. T’as pas droit de le dire ça comme je trouve, tu as une force, c’est un troll, mais c’est une force énorme.

 

Thierry : Et malheureusement, les gens, à cause des réseaux sociaux, se sont dit que le blog était mort. En fin de compte, c’est faux parce que le blog, c’est la seule maison qu’on a avec la liste email si on ne fait pas de bêtise, même avec la liste email On peut se faire cramer par l’opérateur, qui dit non tu fais des spams et voila il te boycotte et soutenu au. Mais dans ces cas là, ce que je dis, ce que j’ai dit à mon audience YouTube, c’est bien d’avoir 2 providers de liste d’email comme çà quandon a  un souci. Et toujours faire une sauvegarde SCV de ces emails, ce qu’on peut avoir soupesée, ce qui m’est arrivé. Moi, pourtant, j’ai une toute petite part. Je vais revenir sur Medium parce que moi, ça m’a fait rire, mais fait aussi.

Et c’est un peu ma faute, ce compte. Comme j’ai débuté il y a 3 ans, je connaissais pas tout. J’ai publié comme un dingue 3 articles par semaine à articles assez long. J’ai envoyé tous les médias sur mon blog un peu partout sur le podium et tous mes articles font une bonne partie des articles sur mon blog. C’est bizarre. Bon, je laissais le trafic. J’ai retiré une trentaine ou une quarantaine d’articles qui cartonnent sur Medium et ça leur a pas plus cliqué il allait nulle part d’alarmant, comme dans tout comme les autres. Je pensais, c’était plutôt une esprit mini blog mondialement. On est en train d’étudier votre site et c’est pas normal.

Vous avez non pas respecté, n’a pas été cool. J’ai une communauté sur le médium, j’apprends à tout le monde là où vous voulez. OK, j’arrête de publier et j’ai recommencé, car j’avais commencé Quora. En plus, j’ai l’interview d’un responsable, un groupe qui monte. Et puis je vais ailleurs ne sont pas contents. Mon trafic a baissé. En revanche, ce qui est quand même beaucoup de trafic en plus de reste. Donc moi, j’ai recommencé. Les autres ont bien sûr un ensemble podcaster la video. Pour tout dire, mais je me suis un peu comme moi. Je sais pas pourquoi ce on là avec medium.

 

Bertrand: Ben moi, mon problème, c’est que c’est des gens qui. Leur intérêt, c’est eux. C’est la plateforme. T’es pas chez toi, tu peux. En plus, ils changent tous les six mois quand même là dedans. A un moment, ils mettent des publications. Les coups, tu ne peux pas mettre les boutons comme tu veux. T’es pas à l’abri que finalement, un jour, le contenu que tu mets dessus ne leur plaisent pas. T’es dans un algorithme de classement, ce qui fait que le contenu se trouve son meilleur, mais il est quand même super standardisé. Et tu vois, quand on parle de copyright.

Il faut faire du contenu émotionnel qui a une certaine longueur, qui est le truc, tel truc, etc. Donc je trouve que d’une part, c’est quand même chez quelqu’un d’autre. Donc ça appartient pas quand tu vois ce que tu dis. Mais en fait. Imagine un jour moi je fais, je ne sais pas, on va dire j’ai 200 articles sur Médium. Et puis, un jour ou l’autre, il y a un article qui leur plait pas. Et qu’est ce qui se passe? Il me supprime tout et moi, je perd tout. Je n’ai pas moyen de dire un truc. J’ai accepté les conditions générales d’utilisation, etc.

 

Thierry : On acceptait souvent mal, on ne lit pas. Sinon, oui, mais on lit même pas.

 

Bertrand: Oui, mais dans les faits, on les a accepté. Ils disent être assignés papier, c’est comme fermer.

 

Thierry : D’où l’importance pour ceux là. J’espère parler aussi à des gens qui sont débutants ou moins débutants, mais qui faut bon. Je ne sais pas si je vais le faire à moitié parce que j’ai des problèmes avec Facebook. Donc j’ai était lire les guides lignes. Je me dis souvent que quand on a le temps, quand on est motivé, on prend le temps de survoler les canal pour comprendre ce qu’est ce que des fonds peuvent faire de bêtises.

Stupide, alors qu’on aurait pu éviter. Et malheureusement, on ne fait pas et on se fait quand on essaie de les joindre. Mais on voit rarement que c’est un peu dommage de tout ce que je parle indépendante comme indépendant tu as ton chiffre d’affaires qui dépend en fin de compte de ce qu’on a créé il y a 6 mois, il y a un an de plus, c’est un peu dommage de perdre 10 15 20 milles euros parce que la petite bêtise dont il faut faire attention.

RESPECTER LES GUIDELINES DES PLATEFORMES

Bertrand: Oui, mais tu sais, il y a un truc tout bête. Il n’y a pas longtemps, quelqu’un qui me dit oui, je comprends pas sur Facebook Tu sais  qui est dans la perte de poids, dans le changement physique. Il me dit avant et après avoir appris sur Facebook ça ne marche pas. Ça fait plaisir au vu. Je dis ben oui, c’est normal. C’est dans la gueule, hein? Mardi 10 mai, il s’est de nouveau attardé à l’époque et c’était interdit.

Oui, et puis là bas, depuis quelques temps, il laisse passer sur Instagram et pas sur Facebook. Parce que quand c’est lié au corps, au physique, etc. Et donc, tu dis mais c’est marqué dans la Gallen, quoi? C’est à dire que si tu veux créer du contenu sur Transhumant physique, c’est moi. Je le sais parce que moi, j’ai perdu 30 kilos dans ma vie alors que j’étais obèse il y a 5 ans et bien avant, après, je ne peux pas le faire. Bon, pour faire la publicité de mon blog, de ce que je fais mieux.

Mais les gens disent oui, mais c’est con. Ben oui, la règle de Facebook et c’est marqué, c’est marqué le pire en plus quelque part. Donc, si tu peux le faire son blog sur Facebook, tu ne peux pas le faire. Alors si ça te dérange, c’est comme ça que accepter. Moi, je dis il faut connaitre l’ADN des plateformes sur lesquelles t’es médium, c’est bien toi, médium, pub sur les guides, etc. C’est bien comme une plateforme pour aller chercher du relais de visibilité, mais pas pour moi. Il faut avoir ta maison à toi. Sincèrement,.

 

Thierry : Il faut toujours rediriger vers son néant. Il faut, il faut des. C’est ce que je faisais après. J’ai su que j’avais écouté un « ga » que je ne suis même pas tel qu’il disait. Ça dépend. Il y a plusieurs stratégies. Soit tu mets toutes tout au contenu. Donc, un peu de temps après, un problème de duplicate de content, même si c’est, C’est moins grave qu’avant. Mais sinon, tu mets une partie de l’intro et tu mets un lien vers ton site, mais pas de leur but c’est que tu restes chez eux.

 

Bertrand: Quelqu’un là dessus? En plus, c’est super compliqué. Moi, j’ai fait un épisode de podcast parce qu’on m’a posé la question. J’ai un membre qui a posé la question. On m’a dit Tiens, est ce qu’on risque de duplicate content sur Linkedin,  sur Medium, etc. C’est super compliqué. Moi, ce que je dis, toi, c’est que t’as ton contenu central pilier qui est sur son blog. Et puis, tu peux faire ce que j’aimais bien à l’époque, si je prenais deux 3 articles de mon blog.

J’ai refusé. Tu vois une espèce de mix dessus. Je le mets sur surpuissance de linguine ou sur medium avec des liens qui sont placés à l’intérieur. Ça vient pas en concurrence. Y’a pas de problème de dupliquer le könnten. Tu n’as pas tous ces problèmes là et en même temps, ça met un autre contenu. Originalité que je peux pousser différemment que ce que j’ai déjà mis sur mes sur mon blog. Ça permet aussi de refaire un petit peu, de reparler d’anciens contenus. Ça prenait un peu de lien. Tu peux trouver des moyens, alors bien sûr, ça fait faire un peu de boulot cette histoire là.

Le problème, c’est que ça ne fait pas de boulot. Mais je trouve que c’est une utilisation est plus un peu plus maline. Je ne dis pas que je suis plus barracudas parce que ce n’est pas le cas du tout. Mais je me dis tant qu’à faire, tant qu’à jouer avec leurs règles, à eux de jouer d’une manière qui ne pénalise pas ce qu’on fait à côté. Moi, Mounties, c’est de me dire si je fais un truc, c’est un médium que ça pénalise mon propre blog, ça me fout les boules. Parce qu’en fait, c’est moi qui fais tout pour Medium. Je fais le contenu. Je les aide à se faire connaître, etc. Il y a là un système pénalise moi chez moi, donc ça me plairait pas le monde.

 

Thierry : Dans tous les cas, donc bon, on a bien compris que c’était bien. On a commencé par la plus grosse partie et qu’il faut commencer par avoir son blog souvent surtout la plus jeune génération, comme on a le même âge, commence par les réseaux. Ils pensent qu’il faut après ça que les mots sont puissants. On n’a rien à dire, mais c’est risqué. Ce qu’ils ont compris, donc, était un produit contenu.

Bien faire les choses et construire un business sur le long terme. Donc le SEO ou le référencement et donc créer sa propre plateforme, WordPress ou autre. J’aimerais avoir ma propre affaire par d’autres. Son appétence au développement des réseaux sociaux, donc quelques conseils pour lier à son blog et pour évoluer, pour devenir indépendant. On en revient toujours. On a parlé un peu large. En général, on est sur l’entrepreneur lifestyle et pouvoir devenir indépendant et avoir une notoriété et vendre des produits en affiliation ou en un produit ou même un business. Soit c’est comme ça qu’on n’en parle pas.

Mais j’écoutais ce matin quelqu’un que tu connais bien, j’écoutais Do it Yourself. Il y a d’autres contenus, mais c’est pour vendre son business de service. Après, comme je dis aux gens, on prend toujours les business en ligne un peu à part. On peut avoir un bureau super dur. Moi, quand j’avais mes infos immobilières, je suis couvert, connu le blogging et tout ça en même temps, c’était mieux. Mais bon, après, il faut le savoir. Il faut donc des ressources. Tu devrais qu’on devrait utilisez ceux qui sont bien, ceux qui utilisent déjà d’une manière générale.

 

Bertrand: Moi, il y a un truc que je dis aux gens, c’est qu’il faut miser un peu plus sur Pinterest, actuellement le seul à se présenter comme un réseau social. Au passage, d’ailleurs. Mais ça, c’est lié aussi à ma philosophie du contenu Evergreen du contenu de longue durée. En fait, c’est la collection de la collection une collection Nallons. Qu’est ce qui se passe? Prend de la valeur dans le temps. Quand tu ajoutes des contenus, quand tu ajoutes des contenus, donc témoin dans une problématique de flux d’algorithme, tu vois. Parce que tweeter, c’est rigolo, tu mets un message 15 minutes après, il a disparu. Instagram Facebook.

 

Thierry : 15 15, 15. Gentil?

 

Bertrand: Oui, ça dépend combien ensuite. Moi, je suis 100 personnes, donc ils ont une durée de vie un poil plus longue, mais 200 maintenant. Je suis beaucoup moins de monde qu’avant, donc il a une durée de vie qui est relativement fin. Dans ma timeline, tu, on va dire je remonte à 15 minutes, mais on est d’accord, c’est court.

 

Thierry : C’est très court termiste, compte bien parler parce que c’est l’opposé. Et tweeter, c’est l’opposé. Et c’est pour ça que moi, j’adore Pinterest, même si bon, mon trafic a baissé. Je sais pas pourquoi il n’y a pas d’évolution dernièrement puisque la salade et dans les vidéos, il y a plein de trucs. Donc il faut y aller, mais c’est hallucinant.

 

Bertrand: Puis, même quand je regarde les trucs, mais mes like sur des choses, j’ai des contenus qui remontent, mais qui ont des fois 3, 2, 3 ans, qui sont partagés chez quelqu’un d’autre. Toi, ça amène du trafic et autres parce que c’est là la force de la collection, c’est qu’une collection s’enrichit sur le long terme. Et puis, bien sûr, il faut rappeler quand même que Pinterest, pour bien s’en servir. Et c’est là où on en revient au fait d’avoir une plateforme à soi, c’est que tu mets un billet de blog chez toi, tu l’épingler, sampling te reste depuis chez toi.

L’image Pinterest la récupère. Quand les gens cliquent sur l’épargne, il te reste à un moment donné. Iquique, il arrive chez toi. Tu sais, c’est le fonctionnement même d’hopitaux. Reste ce qui est totalement l’opposé de gens comme Facebook ou Facebook fait tout pour que tu ne sorte jamais de chez eux. Instagram, tu n’as que le lien dans Labio ou le lien que tu achètes par la publicité s’oxyder, soit les pubs à plus de 10 dans les stories. Mais chez Facebook, on fait tout pour tu sorte pas sans tweeter, tu peux sortir, mais t’as pas beaucoup de place. Putain, l’espèce de l’espèce de bruit permanent, etc. Où ça va très.

 

Thierry : En plus, ils ont rajouté la pub, c’est un peu gênant, mais bon, ils sont rentables.

 

Bertrand: Et puis sur T’as une espèce de mix entre les deux ou une chose trop fabuleux, toi, c’est que t’as une portée qui est quand même assez intéressante, etc. Mais en fait, ce qui m’énerve, c’est le comportement. Y’a des trucs, je ne supporte plus EBC. Ça, c’est le défaut du copier british à un moment donné, car il y a des messages sans trop copyright. Chez toi, c’est trop court ou storyteller. Toi, t’as trop de storytelling. Trop de copies, bracketing, etc.

 

Thierry : Donc les gens sont là pour vendre.

 

Bertrand: Ouais, ouais, ils le font d’une manière franchement rock.

 

Thierry : Trop automatisé, je trouve qu’il y a trop d’automatisation sur les menus. Ça dit bonjour. Simplement, ça va.

 

Bertrand: Ouais, c’est robotiser. C’est à toi tous ceux qui envoient un message pour ton anniversaire. L’autre jour, je regardais une personne qui m’a envoyé. Elle m’a envoyé 10 messages dans ma vie. Tu auras à peu près les 10 messages pour fêter un anniversaire de quelque chose. Squattant anniversaire de ma prise de poste à l’endroit anniversaire de ma crash de mon blog l’anniversaire de la création, mon pote, casse toi, je pourrais créer plein d’anniversaires et des anniversaires tous les jours. En fait, elle m’a jamais envoyé un message pour obtenir abatteur. J’ai écouté ce que tu as fait ou bien ce que tu fais. Ou alors tiens, j’ai une question est ce qu’on pourrait pas discuter de ça? Etc.

 

Thierry : Mais bon, ça, c’était mon. Parce que moi qu’utilisait. Parce que j’ai une activité de consultant à côté. Tout les jours je suis sur Pinterest reste bloqué derrière parce que j’y vais un peu trop. Et moralement, c’est puissant. Mais il faut juste être humain quand on est humain sur Pinterest. Ouais, c’est super puissant pour du butô bien du B2B c’est super.

 

Bertrand: Ben oui, il faut se rappeler, et c’est ce que je disais tout à l’heure. C’est pour ça que je n’aime pas trop la notion de avatar, personnage qui, vous dit on, parle à des personnes. Nous sommes moi, mais slide, tu vois, quand je fais des cours ou des formations, j’ai un slide qui rappelle aux gens que nous sommes d’abord dans un monde où il y a des personnes. Alors les personnes, c’est chiant à gérer parce qu’on a nos humeurs, on a notre caractère, etc.

Mais le fait d’avoir des relations avec des personnes et des gens et de se rappeler que ce sont des gens à qui tu discute, etc. Fait que au bout d’un moment, si tu arrives à discuter, à créer le toi la communication, il faut se rappeler quand même que c’est à un moment donné. Il y a quelqu’un qui parle et en face, il y a un récepteur émetteur récepteur. Si à un moment donné, tu arrives à émettre un message, que quelqu’un répond ou que quelqu’un met un message et que toi, tu réponds que tu arrives à créer cette interaction quelque part, le reste va découler de ça.

Et ceux qui sont dans la robotisation? A mon avis, ils perdent leur temps. Alors j’espère pour eux qu’ils le font avec des robots parce que sinon, ce sera fait manuellement, avec des messages, des bonis versés à tout le monde tous les jours. Le temps a passé pour passer pour un robot, pour un couillon. Je trouve ça super dommage. Tu vois, c’est comme sur Instagram. Les techniques de follow following Frollo, tu peux le faire si tu le automatisent, mais tu ne fais pas la main dans que main.

RESTER HUMAIN SUR LES RESEAUX SOCIAUX

Thierry : Ils le font à la main mais  c’est pathétique.

 

Bertrand: Ouais, mais c’est.

 

Thierry : Pour le résultat final. C’est pathétique,.

 

Bertrand: Tu te rends compte, te rends compte, c’est énorme. Quoi à la limite tu vois toi, je préfère enfin, je préfère. Moi, je n’aime pas ces comportement Instagram. l’Infini parle peu, c’est le pire. C’est le mas iovine de S’autorise là. Les mecs qui faisaient un million de vues de stories dans la journée avec les robots, etc. Tu te dis bon, au moins, ils y perdent un peu d’argent. Pas de temps à le faire. Tu vois. Mais si tu le fais manuellement, allez mettre vos laune, follow, etc. Juste un bordel plate,.

 

Thierry : C’est des plateformes puissante. Mais moi, je n’ai jamais été un grand fan d’Instagram, mais j’y vais de moins en moins. Et si je pouvais, j’ai suivi des gars qui se sont retirés. Je n’ai pas osé. J’ai pas encore eu le courage de le retirer. J’ai quand même 1200 personnes, mais une fois, je vois des liens de la famille. Donc je serai courageux,ou plus courageux, je retirerais tout ça.

Et puis que c’est une perte de temps. Des fois, je suis dans la moyenne. Je regarde Instagram. C’est une perte de temps. Donc moi, je suis plus comme toi que l’on parle. Plus de contenu, donc de Pinterest. Je sais pas si je vais parler de Quora Cora, qui a repas et qui fait un carton lorsqu’ils ont changé de politique parce qu’avant, c’était un vrai mini blog. Maintenant, c’est plutôt un espace après à part ce que tu nous a dit d’autres trucs que d’autres réseaux.

 

Bertrand: Tu vas Mathura sur Instagram ne suis pas tout à fait d’accord avec toi parce que je trouve que Instagram, c’est le meilleur territoire pour créer ta marque auprès de gens qui ne connaissent pas. Tu dois avoir un espèce de summary.

 

Thierry : Avec toi, mais j’aime pas quand même puisque les influenceurs pour les marques mÃthode totu la vue du côté business. Moi, je te parle du côté, moi en tant que personne ou ouais, je perds plus mon temps qu’autres choses.

 

Bertrand: Mais en fait, on est tous des influenceurs qu’il faut que les gens comprennent que tu es un débutant. Tu as dans ton audience qui écoute. Moi, je vais le dire franchement. Est ce que j’appelais moi les influenceurs de la machine à café? Ça, c’était mon père sur la machine à café nos Parents types. Tu sais, j’ai ce souvenir, mais il y a des gens qui le font encore, ce truc là. Je prends l’exemple d’un tonton qui achète une bagnole quand il a sa voiture, il va aller faire le tour de tous les copains ou les copines, etc. Il va leur montrer la voiture au boulot, la voiture le premier jour, il leur montre la voiture et ils influencent 10, 15 personnes et non sur Internet.

L’avantage, c’est qu’on peut influencer beaucoup plus de gens dans cette histoire là. Et pour l’instant, la plateforme qui est la plus intéressante pour influencer, c’est Instagram. Parce que dessus, tu est capable de raconter des trucs qui vont disparaître, toi, dans les stories, etc. Faire du très rapide et capable de faire quelque chose qui va être plus structuré dans ta grille. Tu peux arriver à raconter des histoires en images. Tu te démerde bien, faire un peu de photos de la vidéo sans que ça soit trop compliqué à faire. Tu vois, après, ça prend beaucoup de temps, c’est chronophage. Et puis les gens attendent trop et tu dis dans l’autre il faut fois, etc.

 

Thierry : Personnellement, je suis d’accord avec toi. Je comprends ce que tu dis, mais je préfère dans cas là YouTube, même si c’est un autre délire, parce que ça reste de l’influence. Même quand on parle d’influence, on parle automatiquement d’Instagram parce que passer le mot que c’est déjà dans tout le monde, il y avait déjà de l’influence, mais il s’est développé quand Instagram s’est développé.

 

Bertrand: Et oui, je suis d’accord avec toi sur YouTube, tu vois. Et c’est pour ça. Je vais faire beaucoup plus de YouTube. J’y vais un peu. C’est pas que j’ai délaissé YouTube si je n’arrive pas à trouver, à prendre le rythme, etc. A l’époque, j’ai fait un mois de vidéos quotidiennes sur YouTube, etc. Et d’ailleurs, mes plus belles Statte datent de cette époque là. J’étais obligé de faire des vidéos sur YouTube, rechercher des sujets tous les jours.

Il y a des trucs comme ça qui sont remontés et je suis d’accord avec toi, c’est que tu en fais pour aller chercher une audience. C’est quand même un moteur de recherche qui est fabuleux. J’appelle ça le Wikipedia, la nouvelle génération, parce que tu peux répondre à n’importe quelle question par YouTube. Et effectivement, tu peux remonter sur tout un tas de recherches. Il y a des gens qui remontent sur des trucs, des vidéos qu’on 3 4 ans maintenant, dis des commentaires. D’ailleurs, tu vois.

NE NEGLIGER AUCUN RESEAUX SOCIAUX

Thierry : Ce que j’ai pour moi la formule magique du monsieur. Pourtant, je suis moi et si largement suivi, je l’avoue, je vais perdre ce que j’en ai marre. Même si bon, je gage garder le podcast en termes de signaux. Parce que maintenant, le monde va vers le podcast. Mais quand tu me fais la formule blogging Pinterest, YouTube, c’est magique. Après, j’ai comme l’impression que jamais Instagram est puissant. Mais c’est trop éphémère, c’est trop. Je suis 43 ans, mais je me sens jeune, mais je ne sais pas. Il y a un truc qui manque Instagram.

Oui, mais je suis pas appelé Yutu AFMPS. Zuckerberg prouve qu’il est puissant. Il trouve. Il est en train de chercher un moyen pour tout centraliser. Alors, qui veut faire un lien entre Instagram, WhatsApp et Messenger qui leur appartient? Résume. Oui, MSN Messenger et MSN, tout le monde se moquait de moi, j’essaie de faire un lien, sorte que maintenant, quand tu prends un message, il te dit tu veux le dire sur Messenger, WhatsApp dans ton bruit. Essaie de faire un lien pour vraiment tout ce qui est actuellement techniquement histoire du carburant en termes de réseau avec WhatsApp, Messenger, Instagram. Facebook essaie de les joindre. Et Ferring, ça ne marche pas.

 

Bertrand: Mais tu sais, moi, j’ai été longtemps anti WhatsApp, messagerie et compagnie. Y a pas très longtemps, je me suis mis à faire des WhatsApp sur des toits avec des contacts. En fait, c’est pour maintenir le contact avec les gens. En fait, c’est un petit peu entre la liste de diffusion, la discussion, etc. Et c’est super intéressant aussi parce que maintenir ce lien de discussion, j’en vois un petit message, une petite photo, des petites vidéos, etc.

Avant tout le monde. Vraiment, V.I.P. Vraiment, il n’y a pas grand monde dessus, mais c’est vraiment des IP et c’est intéressant. Si tu vois quelque part sur Instagram la messagerie privée, je trouve, c’est génial parce qu’il y a des discussions. Il y a des gens qui me m’envoient jamais de messages par un autre biais, mais qu’ils enverront par Instagram. Tu vois, et je trouve que pour toi, structure un peu ta marque montre un peu Thamar marque donner un peu du réel de leur authenticité.

Même si le temps, pour moi, c’est un mot qui est vraiment trop galvaudé sur Internet parce que tout le monde dit qu’il est authentique, alors qu’en fait lauthenticité, tu as une définition que j’ai donné il y a très longtemps, c’est la sincérité, la véritable sincérité. C’est pas qu’avoir une belle photo, c’est assez, chacun une tartine de merde, etc. On a pas envie de la montrer. Et le problème de lauthenticité, c’est que dich authentique. Mais en fait, on ne montre pas le côté négatif des choses, etc. Mais ca arrive à faire des trucs qui ne sont pas bons. Il y a des gens, par exemple dans le domaine un peu.

Tu vois Instagram. Moi, je dis téléréalité avec de la photo ou de la vidéo. Toi, c’est mon plus belle la vie à moi. Si j’ai envie de voir un petit truc comme ça dans le journal, ça sur le podcast, t’es le héros de ta propre série, tu peux le faire sur Instagram, tu peux le faire sur YouTube si tu as raison sur.

 

Thierry : Ton propre média. voilà.

 

Bertrand: Voilà en fait qui peut le faire un peu partout. Il y a des gens qui vont venir. Toi, j’arrive à récupérer des gens, quelqu’un. Hier, il a vu un truc. J’ai mis sur Instagram et puis sur Facebook qui m’envoie un message en me disant Tiens, où est ce que je peux voir la suite?

Je lui envoie un lien sur mon blog, je vais le récupérer sur mon blog. Si je me débrouille bien le mieux, ça serait même que je dise ou 12 lecteurs de mercredi prochain, tu vois imiter. C’est ce que je dis ici quand tu sur Facebook, Instagram, etc. Ton intérêt ensuite, c’est d’arriver à les basculer sur les autres supports. Et pour moi, le support ferait, c’est le mail. Pour être honnête, pourrait être un peu tout ça.

Ça serait vraiment de dire comment fait pour basculer des gens de Facebook, d’Instagram, de YouTube ou même du blog. Tu vois sur le mail c’est à dire un endroit où, mise à part, tu fais des grosses conneries comme tu disais, tu vas cracher ta liste mail. Mais attention, les débutants, je pense qu’il faut pas avoir peur. Trop de tout ça non plus. C’est à dire que si on fait les choses normalement, cela à dire que si on est un être humain qui envoie un message à un autre être humain en étant sympathique, pas vendeur de tapis, etc. Il ne faut pas cracher sa liste. C’est quand même pas si commença l’histoire du truc.

 

Thierry : Surtout avec tout ce que tu disais plus tard, ce sont bien, surtout sur Instagram, fait d’impressionner, de changer. Il y a cinq ans soi même, et donc les gens vont sentir qu’on n’a qu’un humain, qu’on a quelque chose à donner. Et souvent, les gens se compliquent la vie. Vouloir réinventer une vie que j’étais toi même, Hercule, tu fais tout pour donner de la valeur.

 

Bertrand: Mais il y a des trucs. Tu sais, c’est surprenant ce week end de réflexion tous les semaines, mais une recette de cuisine, son compte Instagram. Et l’autre jour, j’ai fait des photos de punks et des paquets. Ils sont véganes, carrément.

Je ne suis pas des gardes armés. Par miracle, des choses m’ont dit tu fais des paquets qui sont Béganne? Bah ouais, ben tant pis. Mais comme d’habitude, je ne mets pas la tête sur les photos. Tu vois de recettes, mais le plat. Et l’autre jour, j’ai fait des photos et je fais la photo. Un selfie avec moi. Je regarde ces photos. J’ai publiées celle là pour voir ce qui se passe. Elle a eu plus de succès que celle où je montre que la recette toute seule. Ça montre bien quand même que les gens s’attachent à la toile, au contenu, la photo.

Le succès de recettes. Mais en fait, il regarde aussi le personnage. Tu vois que tu arrives à créer. C’est là où je dis que le personnage que tu arrives à dépeindre, leur montrer et leur montrer le quotidien est bien réel. Alors c’est plus facile quand tu es un vrai être humain qui partage sa vérité, son quotidien, plutôt que d’essayer d’inventer un quotidien qui n’est pas le sien. Parce que sinon, tu te fais cracher à la moindre incartade. C’est facile quand tu mens, le moindre truc devient faux. Tu te fais cracher dessus. C’est comme l’histoire de la véganes qui est plus véganes, des Russes, qui loue un avion pour faire croire qu’ils prennent l’avion.

Tu vois des choses comme ça le jour où, d’un coup, tu manges du poisson que tu roule en voiture. Les mecs, ils disent c’est bizarre et ça ressemble pas. D’habitude, moi, tu vois quand gij les coureurs le dimanche matin, je vais vraiment courir le dimanche matin. Il y à un moment donné, tu peux venir à la maison. La maison ressemble à ce qu’il y avait dans les vidéos YouTube. Je loue un beau studio, j’ai une grande maison ou quoi que ce soit. Non, c’est la vraie vérité. Tu vois ça? C’est peut être moins beau que ceux qui font le tour du monde en apparence, mais en fait, je n’ai pas de risque aussi de me faire planter en disant Tiens, tu n’as pas l’air très breton structure, m

 

Thierry : ais quand on le voit, on conçoit son produit et en plus, on a en général, pour l’expérience qu’on a, de ceux qui réussissent et qui avancent en général. En général, c’est assez naturel, c’est vrai. Et on le voit souvent, comme on dit souvent, il faut être vulnérable sans tricher, ne pas essayer. Voilà ce qu’on, quand on s’expose. Et c’est moi ce qui m’est arrivé quand il y a un jour.

Et comme je n’ai pas trop de problèmes parce que en plus, je viens du porte à porte il y a 15 ans, je n’ai pas peur de gens introvertis, mais ça me dérange pas de parler de choses vraies, comme dans le cas de ce que je pense de la valeur. Pourquoi pas? Et comme j’ai pris de l’âge enfargé nuit américaine, qui dit que t’occupes de ce que les gens disent, je fais un grand bond, ce que j’ai bien 30 ans et y a 40 ans. Tu comprends que les gens s’en foutent de toi et sans que le lectorat qu’une petite partie, comme on dit, il faut les 1000 clients, les 1000 personnes qui vont mieux. Et puis on va changer de. Et c’est là où je pense que c’est pareil.

Notre façon de consommer. Mais c’est pour les passionnés que tu parlais de faire rire des radios publiques, enfin des radios et des radios privées. Quand on fait comme ça, il n’y a pas de radio. Maintenant, certaines sont devenues un peu plus classiques. On va dire ben l’époque, j’avais du mal à entendre ça. Captez moi, j’ai écouté que de 10 heures à 1 minute, j’étais content de vous avoir découvert où j’en parlais à mes amis. Et ça revient. Pour moi, c’est une chose.

 

Bertrand: Webmestres, c’est le podcast. Moi, je trouve qu’il a un domaine, alors il a l’intimité de la voix parce qu’en fait, je dis des trucs sur le podcast. Bon, pour l’anecdote, c’est que j’enregistre tous les matins entre 5 et 6 heures à peu près dans ces zones. Des fois, je suis en retard. Ça dépend de temps. Si je fais ma méditation avant que je la fais, etc. Mais mon petit yoga, mais en fait, je pourrais frustrait à poil.

Tu vois, les Russes, ils se font une image de filmer le podcast Sagami. Des contraintes, sais, je dis toujours regarder la caméra de surveillance, l’éclairage de démarrer, les trucs, etc. C’était compliqué et maintenant, tu vois le postage le matin comme ça. Tranquillement, je me fais mon petit m’abstiens de fusion. Devant, je mets un petit peu de lumière.

Si elle reste sombre, je chante un peu avant, tu vois, je suis mes petites pompes, etc. Je pourrais être habillé n’importe comment. Je suis allé courir et je fais mon podcast en revenant de courir. J’suis tout dégoulinant. Les gens ne s’en rendent pas compte ou des fois, je me mets en tenue de sport. Je dis bon, allez chez mon pote cace, j’ai un quart d’heure et après je vais courir.

Et toi, sur YouTube, ça se verrait tout de suite ma tête, etc. Et autres. Là, les gens peuvent se faire. Imagine n’importe quoi, en fait. Ils ne savent pas. Puis c’est l’imaginaire qui va rentrer. Et les gens auraient ils auraient l’impression d’être à côté? Tu parles de l’épisode Génération Do it yourself. Il y a quelqu’un qui m’a envoyé un message super intéressant. Il m’a dit Tu sais tout. Typiquement, les personnes qui écoutent le podcast en voiture parce qu’il y a encore un message en me disant Ecoute fait deux heures de retard par jour et j’écoute le podcast. Quelqu’un m’a dit un truc.

Il m’a dit Ecoute cet épisode, dégénération du temps avec Matthieu Stéphanie. Il me dit J’avais l’impression que vous étiez l’un à côté de l’autre, dans la voiture, à côté de moi, en train de discuter et que vous discutailler comme ça, que j’écoutais votre discussion. Et ça, tu vois ça un truc, lui, en l’écoutant. Il avait l’impression que l’on était dans la voiture avec lui, quelqu’un d’autre. En nous écoutant, on peut avoir l’impression qu’on est là, à côté de lui, pendant qu’il promène son chien, d’autres pendant qu’on court, d’autres pendant qu’il travaille, etc. Et ça, il n’y a aucun autre support.

Moi, je trouve qu’il le fait tout simplement parce que le YouTube se place dans un l’environnement ou la personne, toi. Moi, si je fais une vidéo dans mon bureau, t’es dans mon bureau alors que le podcast, je suis chez toi, tu vois ça? C’est comme la radio, on rentre chez les gens dans leur intimité au moment où ils veulent écouter, etc. Ça se trouve, il y a des gens, tu vois. Ils sont entre nous écouter en train de prendre leur bain et sont sous leur douche, etc. Et puis, tant mieux. Au passage, n’oubliez pas les oreilles. J’ai envie de dire, mais c’est le truc.

LE BLOGGING CA REVIVRE GRÂCE AU PODCAST

Thierry : Coucou à toutes les personnes qui nous écoutent en train de conduire, en train de faire à manger dans les transports. Enfin, c’est vrai qu’on les oublie, mais merci à vous de nous soutenir. Et c’est marrant parce que YouTube est la deuxième plateforme de potes.

Quand j’écoute la semaine dernière ce commentaire et j’écoute podcast quasiment trois 4 heures par jour et par habitude, mais derrière YouTube. Ensuite, je crois que Google Podcasts la et bizarrement, les grands podcasts ont du mal à faire un carton sur YouTube parce que YouTube veut vraiment vraiment une image. Mais pourtant, en fin de compte, quand tu podcasts vidéos vadeurs quelqu’un que je suis qui s’appelle le whiz ou le plus pur en podcast.

Rassemblement J’oublie sûrement un Rogan, même si bon, il est un peu limite parce qu’il fait des progrès. Il commence à faire de la pub. Donc, au lieu de parler parler, il te donne 3 4 partenaires pendant des siècles. Puis après, par parenthèse, il est quand même bien. Y’a rien à dire, donc Youtube.com est puissant, pourrait encore plus développer le podcast. Ils veulent le faire, mais ils ont le cul entre deux chaises. On leur laisse la grande place et on lit le côté juste au vu, à juste titre, la wave, la wave ou il pourrait encore plus développé. Je pense qu’ils sont pas sûrs.

 

Bertrand: Ouais, mais t’as vu ça? Mais des contraintes aussi. Parce que toi, l’autre jour, je regardais le podcast de Tim Vérisme non filmé. Bon, il me fait rire. Il le fait quand même à la cool. Ouais, je trouve. Ils sont chacun dans un canapé, ils ont un micro à la main. Toi, y’a pas le cas, il n’y a pas de studio. Il y a deux caméras qui filment, trois caméras, trois caméras quand même. Toi, un plan large. Nous, on est à distance, toi, si on betfair l’épisode filmé avec les contrechamps, les champs, contrechamp et compagnie. T’imagines déjà, il aurait fallu se déplacer au même endroit.

 

Thierry : Oui, mais là, c’est un extrême.

 

Bertrand: Tous les jours, au gars et compagnie, ils vont pouvoir le faire. Tu vas, moi, j’écoute un mec comme troll Rich Roll et il a un studio, tu vois. Et j’ai perdu le nom du gars. Si qu’enregistrer tout.

 

Thierry : Oui, mais non. Ce que je comprends, ce que tu veux te couper. On pourra aussi le faire en zone. Parce que là où je connais un peu d’immobilier que je connais très bien vigueurs, podcast aux Etats-Unis, il y a plein d’autres qui le font. On voit que ce n’est pas très technique. Ce n’est pas un vidéaste, ce qu’on va dire. Quand on voit comment on reconnait, on voit la tête, tu vois.

 

Mais c’est là où finalement, la tête te sert à rien et parce que tu verras un peu la réaction, etc. Mais tu vois pas tout. Là où c’est intéressant, tu auras. Et j’ai vu l’autre jour un article dessus qui disait qu’en fait les podcaster quand ils se mettent sur YouTube, ce qu’il essaierait de faire, les gros podcaster, c’est carrément dingue dans des trucs qui ressemblent à des vrais studios.

Tu vois où vraiment ils vont, où l’image apporte un plus, mais c’est valable pour des gros, tu vois parce que ça donne une structuration. Ça demande beaucoup de travail pour le faire et ça peut être valable pour eux. Et je pense que dans ce cas là, leur podcast aura du succès sur YouTube parce que ça devient déchaux. Ça devient un véritable show. Y’a un truc que je me dis que les Américains ont ça en tête, leur volonté de le faire aussi. C’est parce que pour certains, je pense qu’ils ont la volonté de vendre des concepts à des chaines de télé. Tu vois des choses comme ça?

C’est tellement de chaines de télé aux États-Unis. Ils ont besoin de contenus. Ces mecs là, t’imagines tu fais un show qui fait 40 minutes? Tu dis ben tiens, j’ai une vidéo HD, etc. Tu peux dire à tous les networks américains, de petites chaînes télé, locales, etc. Vous voulez pas l’acheter mon truc là pour diffuser le matin, etc. Dans ce cas là, il faut que tu sois filmé. Tu, c’est un peu comme la NPR. Si c’était de la radio, t’as des émissions qui passent. Tu pourrais dire si je suis pote, casteurs, toi, s’il arrive à transformer mon show. Mon interview en vidéo avec une bonne qualité, des champs et contrechamps, etc.

Si ça se trouve un jour, j’ai des petites télés qui seraient intéressées pour acheter mon truc et gagner des royalties sur ce concept là qui devient une vidéo. Et ça, je pense que ça peut être un business.

 

Thierry : Pensé comme ça, mais c’est aussi pour ça que moi, je n’avais pas l’esprit de le dire en français. Est ce que des podcasts français fin de ce qu’il appelle podcast parce qu’il y a plein de bons statuts, c’est vraiment développer les radios classiques, de se dire podcast, radio, podcast. Ici, les radios ont sauté sur le podcast et essaient de rendre compte de il est en fin de compte ceux qui veulent faire les podcasts. Moi, je n’arrête pas dire les marques Felicien. Quand tu les connais frencher pas CKOI ou Radio Radio, laissez nous faire le boulot de n’importe podcasteurs n’y en fait. Et en fin de compte, quand on voit sur certaines plateformes, on voit que les radios gilbertin, il y a plein de podcasts qui se défoncent et ont des choses à dire. Et en fin de compte, on fait la promotion des radios.

 

Bertrand: Je me suis énervé contre eux y’a pas longtemps. J’ai fait affaissés, j’ai fait des épisodes là dessus. Touil, un épisode où j’ai passé. J’ai poussé un coup de gueule en disant que le podcast natif était en danger, mais à cause de ces plateformes. Mais en fait, le truc, c’est que si les journalistes et les radios passent les audiences Médiamétrie et radio pendant l’audience, tout de suite, ils ont perdu 7 à 8 points d’audience en quelques mois, quelques années et en même temps, si tu te branche comme tous les matins, j’avais ma fille à la crèche.

Et bah, ce matin, je me suis fait la réflexion. J’allume la radio qui a été allumée dans la voiture machinalement et je me tape de la pub 5 minutes de journal, de la pub. Et finalement, quand j’arrive à la crèche de ma fille, on a eu deux minutes d’une chanson. Tu auras un truc comme ça. Est ce que franchement, envie d’écouter un truc comme ça? Tu réfléchit vraiment au truc. C’est la facilité dans ta bagnole d’avoir un seul regret. C’est un réflexe,.

 

Thierry : Annonce un temps la radio qui te dit une heure sans pub.

 

Bertrand: Voilà, c’est rare et en plus, ça va passer trois fois le même titre, etc. Toi, t’as l’impression et à côté de Satanées, mais qui arrive avec un peu de casse toi, tu dis. Bon, maintenant, écoute, j’ai envie d’écouter un truc sur le marketing. Je me messa un quart d’heure. J’ai envie d’écouter un truc sur l’entrepreneuriat. Jouer cette demi heure, écouter, ça tient un truc sur le sport parce que je sors, je vais courir.

J’ai envie de mettre dans l’ambiance de l’entraînement. Écoute le podcast je ne sais pas quoi qui va durer une heure, etc. J’ai 40 minutes de rouge daccélérer. Tu choisis une vraie liberté de truc. Sauf que le problème, c’est que ça ne rentre pas dans les formats des publicités.

Tu vois assez. Il y a des gens qui veulent vivre du podcast et donc il leur faut des formats comme à la radio. Tu puisses mettre une pub au début, puis Bell-Astral entre. Ça ressemble à des formats connus. Tu vois que le format, tu puisses aussi le mettre sur des radios si un jour on en a besoin.

Donc, il ne faut pas que ça dure. C’est le truc que t’as vu ou casser? Sibal C’est cela qui disait un peu de casse, idéalement, doit faire autour de 20, 25 minutes et attends. Moi, je m’en fous. Moi, j’ai fait des podcasts qui font 2h quand le podcast a eu le plus de succès. Lépisode Plus de succès chez moi, il fait plus long, il fait 2 heures. Tu vois et je regarde. Tu disais 3 heures, tu 3 générations de sur sept heures et demie.

 

Thierry : C’est pas souvent, mais bon. En général, il est plutôt entre deux heures et après, c’est normal, éructé, qui ont beaucoup de choses à dire. C’est des grosses émissions pieds et c’est un peu le cas. C’est une télé parce que je regarde moi ce que je n’ai pas le temps et je préfère prendre des petits morceaux comme tu dis. Moi, je préfère prendre des informations plutôt techniques, marketing et autres du fromage pour avoir un coup de folie. J’allais, je l’écoute, mais bon, je m’avance un peu, mais ça m’arrive.

 

Bertrand: Oui, mais générations do it yourself, il expliqué. Oui, les gens le consomme aussi en plusieurs morceaux. Tu vois le beau truc, tu dis bon matin, j’en ai écouté un bout le matin, le soir, etc. Tu coupe à peu près 10 fois quand c’est bien chapitrage. C’est peut être hanout aussi de me chapitrage, tu vois pour que les gens disent tiens, j’ai un petit quart d’heure à ce moment là, je 20mn à ce moment là. Tu peux lire en accéléré, mais il y a plein de trucs. Je saute, tu vois, je m’en fous. Mais est ce que tu connais un autre média qui donne autant de temps à l’invité pour parler? Franchement, regarde le temps que tu m’as donné depuis quand on.

 

Thierry : 30 heures en plus sont en général. Des fois, j’ai moins d’une heure, mais ça dépend puisque les faufilée comme prévu. Je ne comprends pas les questions des fois. Des fois, je crois. Par contre, j’ai envie. Et quand j’ai vu qu’on va tomber. Si vous êtes encore là, c’est que vous avez. Merci. Merci à tous. Comment je tutoie? Mais bon, vous, c’est pour tout le monde. Donc, on va perdre un peu toutes les plateformes. Il y a deux ans, on m’a parler un peu de Stitch, de Stitch. Ensuite, change de tweet. Le truc? Ouais, ouais, ouais.

 

Bertrand: C’est ce que je te disais. Je pense qu’il ne faut pas non plus toi. Il y a plein de plateformes qui naissent, etc. Qui meurent. Moi, j’ai testé Musicals qui a racheté Parthie Talk et je m’étais dit C’est pas pour moi, c’est comme une époque snapshot. J’ai fait beaucoup de Snapchat, mais je n’arrive pas à trouver de l’audience sur Snapchat. J’ai abandonné musicals.

Je me suis encore un mois au contact d’étudiants, mais je ne suis pas fan du contenu pour mes étudiants. Ils en ont déjà marre de voir quand j’étais maître de conférences à la fac, il y a quelques mois. Et en plus de mes activités, et donc je me disais non, ils ont envie de me regarder de façon à qui ça va servir, puis faire le mariole. Toi, dans le truc, ça ne m’intéressait pas. Mais il y a un truc quand même que je vois sortir Tic-Tac, par exemple. Si tu sur Twitter, je fais la réflexion. J’ai vu au moins cinq ou six vidéos qui sont extraites de Tik Tok, qui sont partagées sur Tweeter avec des contenus des fois qui sont intéressants, tu vois.

Et je me dis qu’il y a un truc, peut être un truc qui se passe quand même, tu vois. Il ne faut pas non plus se dire c’est pas pour moi, c’est pour les jeunes, parce que je pense que tu sais, c’est le même phénomène que ce qui s’est passé partout à une époque. Ceux qui sont inscrits sur Facebook, il faut se rappeler que c’étaient des étudiants, que les étudiants. Maintenant, ils ont 35, 36, 37 ans, que la moyenne d’âge et Facebook, c’est 44 ans. Alors les étudiants? Oui, Facebook, c’est un truc de vieux, etc. Bah oui, ils ont raison. Mais leur truc de Tik Tok de maintenant pour les jeunes, c’est un truc pour les vieux. Le Snapchat, il y a quelques temps, va devenir un truc pour les vieux parce que eux vont rester dessus.

Et puis, il y a les parents, des jeunes qui sont inscrits, etc. Et ça se trouve dans nos domaines respectifs. On a peut être une prise pour leur parler de moi, par exemple, je me dis j’ai perdu du poids, etc. J’ai 43 ans, je suis papa depuis pas très longtemps. Si ça se trouve, si ça se trouve, j’ai des gens qui pourraient être Tic-Tac, qui pourraient être intéressés par ce que je fais. Je me dis il faut tester.

Le truc était de dire aussi, c’était de dire le live Twitch et compagnie. Ça reste quand même des plateformes qui sont intéressantes. L’autre jour, quand je vois que Cyprien fait un live Twitch, je me dis que c’est toi, il y a des émissions du matin, alors j’ai perdu le nom voir news du matin en trouve sur YouTube et compagnie. Mais tu trouves aussi des Cédrik Boney, des gens comme ça qui font du live le matin sur Twitch.

Pourquoi tu textes? Tu vois pas que dans le jeu, dans Twitch. Et il faut se rappeler que derrière, c’est Amazon qui a de la monétisation de son tweet. Tu sais, les gens peuvent donner de l’argent directement. Tu peux avoir des dons, tu peux avoir à s’y abonner. Prime Amazon Prime. Tu sais que tu peux donner des pièces au tweet shorten. Il n’empêche que si tu arrives à convaincre quelques personnes de donner un peu d’argent, tu peux être monétisés d’une manière différente. Tu vois, ça change ta relation. Si, par rapport à YouTube,.

 

Thierry : Par contre, y a plein, il y a plein de façons de faire plus, comme tu dis totoche en partant en parler. Mais je n’ai pas, je n’ai pas voulu couper. C’est que après avoir le temps, mais techniquement, comme toutes les plateformes Convair, la vidéo, tu prends la vidéo, tu fais un morceau de vidéos et puis après tu retranscris un article de blog. Et puis, si t’as le temps, je suis enfin un comme tu nature ou quelqu’un qu’il le fait. Et tu peux envoyer sur toutes les plateformes. Il y en un obscur représente tu seras forte. Et puis le restaurant, celui de Motordu, un toraja propagules. Ce n’est pas un magazine, mais bon. Radiomédia quelque part. Par chance, on va te trouver toi même quand tu vas regarder ton Google a Google Analytics. Je suis pas mal, mais grand.

 

Bertrand: Oui, tu sais, il y a un truc que 10 17. Godane, qui est super intéressant, c’est que cette Godinne dont je recommande. Je pense que tu as lu cette Godiva un peu comme tout le monde.

 

Thierry : J’ai du mal. J’ai pris 4 de ce bouquin. Tout le monde en parle. Je sais que c’est ça le compte parce qu’il aurait dit vrai.

 

Bertrand: Et en fait, dans son bouquin. C’est ça, le marketing marketing qui a été traduit. Il dit un truc qui est super intéressant. Et je l’avais dit aussi parce que franchement, je suis vraiment dans le mode de pensée. Godin au passage, ça fait mainteant qui blogue tous les jours, peut être pas tous les jours, mais toi, c’est un bio blogueur.

Il n’y a pas de stade sur son site et sans de commentaires. Il s’en moque et en fait, c’est pourquoi il s’en moque. Parce que ce qui le préoccupe, lui, c’est de diffuser sa marque. Il dit un truc intéressant. J’ai pas envie que les gens me cherchent. J’arrive premier sur le blog sur Google, tu vois. Parce qu’en fait, il a récupéré des gens qui ne l’intéresse pas.

Tu vois si tu sors numéro un sur un blog. Effectivement, ça va m’amener une audience qui est énorme, mais en fait, il y a 99% de cette audience qui sera inutile pour moi. Parce que ce qui m’intéresse, c’est pas qui cherche. Le mot blog, en fait, c’est qu’il cherche la thématique de laquelle je vais parler, sur quoi je vais les aider. Et cette Godefridi, un truc intéressant? Dis moi, je veux que les gens y tapent le mot cette fois. Son prénom Seth Godin sur Google et qu’ils le trouvent, et qui trouve son blog en cherchant denuit directement. Et c’est ça, le branding, toi, la marque But. Et à côté, ça sert à ça.

 

Thierry : Tu vois, moi, j’ai pu noter, soit parce que je sais que c’est le compte, mais j’ai du mal à le lire, ni en ligne ni à l’écouter. Je rejoins mes et j’ai retenu un truc qui l’a dit dernièrement et a montré un article n’a même pas clean à parler de lui. Il disait que le podcast, c’est le renouveau du logon et même du service qu’il avait recommencé un moment qu’il avait conservé et disait voilà ce qu’était le blog. Un enfant qui a 15 ans et qui était énorme. C’est le podcast, donc il faut vraiment s’y mettre.

 

Bertrand: Ouais, tu vois le truc qui est intéressant. Si tu dis je crée de la proximité avec le podcast, je vais créer de la proximité. Par exemple, avec Instagram, je vais avoir des gens qui vont regarder sur YouTube, etc. Mais ce qui va m’intéresser, moi, c’est qu’il impacte le fait que le nom, tu vois et tu devienne un truc pour moi.

Tu vois si, en tant que créateur de contenu, ce qu’on devrait, c’est devenir la référence des gens dans le domaine dans lequel on est, dises pour telle personne. Mon référent pour tel domaine, mon référent, c’est telle personne. Alors tu dis bon, par exemple, je veux être le référent des gens sur la partie, encore une fois pour moi même, parce que je cherche en plus d’ailleurs, par exemple, à dire sur la perte de poids tu lire, je donne un exemple Laco et Bodhi.

Je voudrais que les gens voient un impact en guise de recettes de cuisine pour perdre du poids, soit Bertrand Soulier ou telle personne, de telle personne, de telle personne et en fait pas tous les contenus que tu fais. Ça va aller dans ce sens là. Tu vois, ça va montrer que tu es compétent ou tu peux un petit peu les distraire, que tu peux les inspirer, faire la même chose, etc. Et à un moment donné, quand ils ont besoin de répondre à la question ils pensent à toi, tu vois et il tape ton nom dans Google. Et dans ce cas là, m’a t il dit en référence à personne, tu viens de piquer le nom, sauf Sturbois ou j’ai un homonyme, mais il n’y a personne.

CREER SA MARQUE GRÂCE AUX DIFFÉRENTES PLATEFORMES

Thierry : C’est encore pire, mais moi, je vois pas trop de savoir. Et en plus, j’ai le divin # HENRY.

 

Bertrand: Et moi, c’est ce que je dis à mes étudiants. J’ai dit si vous tapez d’Hébert transfusés sur Google, si vous tombez sur celui qui chante, c’est surtout pas moi. Et pour l’anecdote, un jour, Charlélie Couture m’avait invité chez lui en me disant Tiens, y’a message quand tu vas à New York, au Loft. Un petit truc du tout. Je lui ai dit Charles, chère Charlélie, j’accepte volontiers Linspire, l’invitation, mais malheureusement, je ne chante pas du tout. C’est pas moi.

 

Thierry : Moi, bizarrement, j’ai la même chose. Mais je pense que les gens font exprès parce qu’ils me disent oui. Enfin, j’ai les deux cas. On me demande de l’argent, mais je ne suis pas. Je ne suis pas la personne que tu crois. Tu parle d’argent, mais je suis pas footballeur. Sinon, j’adore ce que tu fais depuis quand tu fais du foot? Et toi, tu réponds. Moi, je réponds qu’en même temps, ça m’énerve.

 

Bertrand: Oh moi, je réponds après, je n’en ai pas tant que ça. Parce que moi, il est beaucoup moins connu que le tien et tu seras jamais champion du monde. Je pense, me dit il, est acteur. Tu vois des choses comme ça, mais ce qui est intéressant, c’est que tu dis sur ton nombre toi tu de la concurrence. Moi aussi, j’ai un peu de concurrence, mais il y a plein de gens qui n’ont aucune concurrence sur Google, sur leur propre nom. Il faut qu’on arrive à impacter dans les gens. Finalement, c’est le fait de se dire tiens, un tel abus, ça, je crois que c’est ça. Je crois que c’est Bertrand Theories, etc.

Comment je tape et que là bas, tu arrives et tu vois. On parlait de publicité, tu bouclez sur cette histoire là, tu achètes ton nom sur Google AdWords, pardon, tu achètes ton nom. Ça va coûter quoi 5 euros de l’année? Un truc dans le genre, là, tu mets des liens, tu sais qu’ils vont vers des pages profondes, vers ton business, vers ta page de produits, vers l’information que tu veux vendre, etc. Vers les pages de présentation. Va t’en servir de contact directement.

Ça ne va rien coûter parce qu’au clic, ça va coûter 30 centimes du clic. Par contre, ça peut rapporter 3 et 5 euros pour te rapporter beaucoup d’argent. Donc, j’ai envie de te dire c’est la stratégie d’imprimer Thamar qui est sans marque personnelle ou marque ombrelle comme on peut l’appeler, mais je trouve qu’elle marche bien. Et toi, le contenu Ebra? C’est un élément intéressant pour arriver à le faire que le contenu.

 

Thierry : Pour finir, finir avec ce que tu vas, ce que tu disais que moi, on m’en a parlé. Moi comme pour moi, le mot concurrence n’existe pas. Des gens comme moi, toi même, avec toi. Techniquement, en tant que personne, quand tu vas en profondeur avec du contenu, les gens y viennent pour plus qu’un nom. Mais quand tu tapes fois certains mots qui sont liés à mon activité de publicité en ligne, je tombe en premier.

Quand tu mets Thierry, tu fais beaucoup de bruit de foule. Ça tombe sur moi. Donc quand tu ajoutes le nom, le prénom avec un élément, tu tombé sur moi. C’est pas si mal aussi. Donc après? Pour ceux qui ont peur, quid des homonymes et qui écoutez l’émission, on ne sortira jamais. Il faut juste être fort bien choisir son nom, mais aussi être années dans son domaine. Pourquoi on en ressort aussi plus facilement?

 

Bertrand: Web tu sais, tu te rappellera juste la citation de Jeff Bezos qui dit la marque, c’est ce qu’ils ont dit de toi quand t’es plus là. Il faut qu’abonder les gens. Ils impriment que tu tu es dans un domaine et que tu parles de ça. Et après, quand tu dis ils vont faire l’association des, tu va dire abattirent. J’écoutais Thierry Henry, j’ai écouté dans l’épisode Surpris une foule. Tu vois, c’était intéressant le truc et j’y tiens. Maintenant, si je veux des conseils, je vais chercher Thierry Henry. Je l’ai écouté sur son podcast Une foule et forcément, c’est toi qui sont premiers dans ce cas là.

Tout ce que tu as fait, son travail de marque finalement retomber, son contenu à créer et à partir de ce contenu là, c’est à toi de l’amener vers des formations variées prestations, bertron, coaching, etc. Pour rebondir sur le fait de Est ce qu’on gagne de l’argent avec tout ça? Ben c’est comme ça. Finalement, tu, cet ensemble de marques est cohérent. Et ben si tu arrives à promouvoir ton contenu et services par ce biais là, on a bien fini.

 

Thierry : Même si bon, tu sais qu’en finissant, je te poser une question moisie. Donc, quel est le business as tu fais actuellement? J’ai bien compris. On a plusieurs Fanta plus en activité qu’il y a un mois.

 

Bertrand: Le Tu sais mon rêve. Moi, pour moi, mon rêve, c’est de sortir de la maison. C’est parce que tu te dis un truc intéressant sur le fait que t’es introverti. Moi, je suis un introverti, mais j’étais timide. Au début, je pensais que j’étais timide. Et puis j’ai compris que j’étais surtout introverti, ce que les gens disent. Mais comment tu fais des cours à 500 élèves si tu es timide, introverti? Ben oui, c’est possible, c’est facile, mais c’est moi. Les gens, les petits groupes de gens m’épuise souvent et mon truc à moi, ça serait de dire comment je fais pour. Je ne sais pas la thématique, toi, sincèrement. Mais le truc, moi, c’est de dire je crée depuis mon bureau, toi, là, je suis dans mon bureau.

Tranquillement, on en discute et c’est d’arriver à interagir avec les gens, de créer du contenu. Mais ça ne sera pas forcément toi de ne parler que de création de contenu. Ça pourrait être plein de trucs, de thématiques. Des fois, je me réfléchis, toi et me dit comment je pourrais appliquer tout ce que je suis dans mon domaine, mais à un produit qui est totalement différent. On l’a fait un peu avec ma femme sur le côté. Toi, je me disais je me dis qu’on pourrait le faire sur des produits, mais je n’ai pas envie de faire de shopping. Toi non plus. Je ne sais pas trop, mais l’esprit, toi, c’est plutôt ça.

 

Thierry : D’accord, non. Plutôt fait de réunir les 15 en tant que produit, ça, oui.

 

Bertrand: Mais tu vois, j’ai commencé à écrire. J’ai deux bouquins qui sont en phase d’écriture en ligne. Je fais des bouquins normalement. Ça ferait anorexique. Le premier devrait être sorti après. J’ai dit au 1er août le sort est tout. Ensuite, j’ai fait des préventes et les préventes n’ont pas marché. J’ai dit tant pis, ça ne m’a pas motivé dans l’histoire. Pourquoi? Parce que je l’ai mal marqueté. Tu as beau dire, on dit, on apprend tout le temps. Bah oui, je l’ai même marketé. À un moment donné, je mets une page et je dis acheté le nom. Les gens, qu’est ce que tu veux qu’ils achètent ce truc là? Hier, je vois un mec qui fait une vidéo là dessus et met son produit, dit Je fais ça, je fais ça et ça s’appelle devente.

Il y a 3 le truc qui dit achetez le cahier, c’est cher ton truc. Et je lui ai dit Ecoute, c’est normal qu’il trouve ça cher. Tu le dis pas ce qui est dans ton produit. Je regarde un bon bouquin, je lis, mais merde, j’ai pris la Bruche. Allez, je vais reprendre mes trucs. Ouais, il faut reprendre ces stratégies. Diyarbakır va mettre un peu de ça et là, prendre la base de copie Bharati. Mais ça peut être Bouchara, ça pourrait être de la formation. Moi, j’ai un forum, par exemple, comme les vieux. Relancer un forum là dessus,.

 

Thierry : J’ai fait un article sur une vidéo du Forum Il faut, il faut il revenir à Facebook à tout prix? Malheureusement, il faut reprendre leur marché parce qu’ils font plein d’argent et plein de business avec les groupes concrets. Et donc les forums sont là. Et puis, j’ai vu un mec que j’ai vu l’année dernière dans un salon de la fondation, car vendu son blog il y a deux ans, Banel Patel, il a vendrais. Il l’a créé en quelques mois de 3 mois, piétinant 9 mois, je crois. Et après, il a revendu un million.

 

Bertrand: Non, mais après le oui, le mois, les forums, toi, j’y crois fort, etc. C’est sûr qu’après il faut, il y a du boulot pour que ça se développe. Mais par contre, je me dis un forum dans lequel les gens veulent poser une question. Je leur réponds Mais tu vois, ça sert mon business à moi, etc. Ça me va, ça me conviendrait bien dans l’histoire. Et puis après? Depuis les réseaux sociaux, tu vois, moi, j’ai un groupe Facebook.

L’idée, c’est de dire j’ai des gens dans mon groupe Facebook, même des gens. Moi, je veux les transférer vers mon forum sur lequel le second niveau. Tu vois, il y a un premier niveau de soutien dans le groupe. Et puis, le deuxième niveau, ça sera plutôt sur le forum. Et avec un espace qui soit payant ou tu sais, c’est le genre de formation. T’achètes d’informations ou tu me donnes un euro sur patrouilleront accès au forum. Toi, la règle est relativement simple un truc. Mais à partir de là, déjà, j’ai des gens qui sont engagés dans quelque chose qui n’est pas juste de venir. Je m’inscris! Un groupe J-B une fois de temps en temps et ou alors juste pour mettre une pub sur.

LES 5 QUESTIONS POUR FINIR L’ ENTRETIEN

Thierry : Ce qui est logique. Mais bon, pour ceux qui mettraient le lien vers la vidéo sur les groupements ou les groupes, il faut aller au forum, il faut s’y intéresser. C’est comme plein de choses qui reviennent à la mode. Malheureusement, il faut des développeurs comme bon JJG. J’y pense, mais bon, je n’ai pas les compétences, donc je verrai avec Putain

quelle est la meilleure expérience que tu as eu en tant qu’entrepreneur ou investisseur?

 

Bertrand: À moi, tu sais meilleure expérience et je vais te dire un truc pareil de Courmayeur. J’ai reçu un mail d’un mec vraiment qui m’a dit lépisode que Tastet, où tu as parlé de ça, etc. C’était génial, etc. Et puis il m’a envoyé un mail, mais très, très, très, très, très long, très, très, très long, assez long, dans lequel il explique tout son parcours, mais vraiment tout son parcours, etc. Il dit Voilà quoi, timide. Et ça, tu vois, je trouve ça vraiment génial parce que je pourrais dire oui. Je me rappelle l’époque où je vendais des brioches en porte à porte. Tu vas comme toi.

Le jour où j’ai vendu 10 brioches en porte à porte, j’étais content. Tu vois, c’était un truc qui n’était pas le jour. On a vendu notre premier sachets de thé avec ma femme, etc. Etc. Mais en fait, ce que j’aime bien, c’est les expériences qui sont plus proches du quotidien. Aujourd’hui, il y a quelqu’un qui, l’autre jour, il y a un mec qui m’envoie un message, qui me envoie un message. Il dit J’adore ce que tu fais. Je suis super fan de ce que tu fais, toi. Moi, j’aime bien célébrer ces petits bouts de victoire comme ça. Plutôt me dire de les répéter tous les jours.

Tu vois ça, c’est mon truc à moi et donc mon meilleur souvenir, en fait. C’est sûr que je veux plutôt créer toi au quotidien plutôt que de me rappeler de trucs, etc. Tu vois d’autres choses parce que après les souvenirs, ça s’efface comme ça. Les bons coups, etc. Toi, ça m’intéresse moins. Par contre, la petite victoire du quotidien, ça, j’adore ce que tu dis.

 

Thierry : Les retours d’expérience ou les retours des souks ont du contenu. Ça, ça n’a pas de prix. Et malheureusement, ce qui coûte commenter, partager. Voilà, il faut, il faut nous soutenir. On est content. Pas besoin. C’est bien si tu achètes un produit, mais si tu arrives, tu. Tu montre qu’il y a quelqu’un en bout et on est content pour toi.

 

Thierry : Le meilleur levier pour devenir entrepreneur?

 

Bertrand: Incontestablement, pour moi, c’est vrai deux fois, je pense qu’il faut de la passion parce que je n’étais pas passionné par ce n’est pas que passionné par ton produit ou parce que tu veux vendre. Finalement, c’est être passionné par la mécanique de comment ça va marcher, cette histoire là. Je trouve que tu as une espèce de truc de précision. Comment tu dis que tu arrives à transformer une idée en argent? Je pense que la passion, il faut qu’elle soit là dedans.

Moi, j’ai mis longtemps à le comprendre. Je suis un mec que j’aime pas vendre. J’aime pas faire des tunnels agressifs à l’américaine, où ils vendent des trucs tous les trois, quatre matins, etc. L’autre jour, il y avait des abeilles, mais en Ricimer dans la journée. Je m’inscris! Sa formation, tu vois ça? J’aime pas, mais par contre, la mécanique de comment on transforme quelqu’un qui découvre un peu par hasard en quelqu’un qui va devenir fan ou donner de l’argent pour qu’on l’aide dans quelque chose dans sa vie. Il faut être passionné par ce mécanisme là.

Tu vois vraiment. Pour moi, c’est ça. Et puis, après certains, je pense qu’on va marcher la frustration des frustrés par quelque chose. On a envie que les choses changent et je pense que ça fait partie la deuxième mécanique qu’on peut avoir chez d’autres personnes. Mais en fait, je trouve que c’est une mécanique qui est négative. Moi, je préfère celle de la passion, soit de se dire passionné par un truc. Et puis, j’ai essayé de pousser et de voir comment ça fonctionne. Quels sont les rouages et de pousser le plus loin possible. Pour moi, c’est ça le truc.

 

Thierry : On n’a pas bien décrit souvent ces deux côtés. Soit tu peux être motivé par un cash flow positif ou négatif, etc. Comment expliquer ces explications?

 

Thierry : Quel est le livre que tu conseillerais à un entrepreneur? Pourquoi?

 

Bertrand: Là, franchement, je le dis, c’est relire cet Golding tous les livres de cette. Pour ceux qui ne l’ont pas lu, franchement, on pourrait penser qu’il a l’air d’un vieux schnock, etc. Parce qu’il dort sans d’auberges le bec. Pour l’anecdote, il a été développeur de la marque Yahoo! À l’époque où Yahoo! Était numéro un du Web. Et pour moi, ça me parle parce que moi, c’est 83 dans Yahoo! Le truc à copier dans les années 90 et 2000.

Avant, avant les années 2000, à la fin du siècle dernier. En fait, c’est quand même le mec qui a théorisé des trucs comme le marketing, le marketing viral, l’engagement, le fait que les gens te donne la permission, tu auras la permission et tout ça en fait. Il a, je trouve, une manière d’expliquer les choses. Pour moi, si tu ne lis pas pour son contenu, tu devrais le lire pour sa manière de penser et par sa manière de créer quelque chose, c’est à dire qu’il y voit un truc dans la rue. Comme ça, il regarde l’analyse. Il en fait un billet de blog qui fait peut être 5, 6 lignes, 10 lignes.

Des fois, tu vois un truc comme ça, mais qui donne un bout d’explication, un bout de valeur. Et tu dis c’est vrai que ça me parle et en fait, je l’applique au quotidien. Tu vois une fois. CNN note que je raconte là où donner des cours à Vichy. J’allais donc boire un café. Et puis, un jour, je vois un truc. Tu sais combien il présente. Et Judit? Franchement, écoute, tu ne vas pas faire comme ça, etc. Et tu vois cette démarche là. Et ben me suis dit comment ferait cette Gaudino et Basser de Godinne? Il dirait Écoute, voici, t’as fait ça. Voici comment tu pourrais faire, etc. Essaie de faire ça.

Tu vois cette démarche là? Je trouve que cette Godinne est du un truc. C’est facile à comprendre. De plus, c’est facile à lire. C’est simple, c’est limpide. Et tu sais, ce n’est pas des bouquins ou le mec. Il a un espèce de concept en trois lignes, mais 300 pages pour le développer. Donc pour moi, on va dire allez, on prend le dernier, ça pourrait être B6 Marketing. Mais en fait, il y en a un dont j’ai perdu le nom. Tu sais.

 

Thierry : Vachement, je ne sais pas quoi lorsque je l’ai.

 

Bertrand: Oui, la vache pourpre est pour moi un incontournable, bien sûr. Et puis, tu sais, il y en a un autre qui s’appelle le point Völler comme Icare ou un truc dangereux. Là, tu trouveras les notes. Et en fait, il dit un truc qui est super intéressant. Il parle de la zone de confort. Il dit que sa zone de confort est ta zone de danger. Parce qu’en fait, quand tu trouves entendantes, sa zone de confort se réduit, elle se réduit, elle se réduit et devient zone de danger.

Et donc, il explique. Il faut essayer de ICAR, tu sais, dit il, car il s’est brûlé les ailes parce qu’il est allé trop près du soleil, mais car il aurait pu se noyer s’il était tombé dans la mer. Tu vois, il y a une espèce de hauteur, c’est à dire que si tu vole toujours en bas, au bout d’un moment, tu te fais attraper par la vague. Bien sûr, si tu veux aller trop très haut vers le soleil, tu peux te cramer. Mais à un moment donné, c’était tout en bas. T’es pas à l’abri qu’une vague te submerge. Et j’aimais bien cette notion là, ce concept là. Mais après, j’ai un peu de mal à choisir entre tous les seth Godin, etc.

 

Thierry : Je mettrais bien tout court parce que j’en avais pris 4/5 d’un coup franc direct tout ce que j’avais prévu. Donc, j’ai du mal à tout lire. J’ai survolé, mais oui, je sais. Bon, toi,.

 

Bertrand: Si t’en veux un autre, je vais ordonnèrent qui est pas connu. Trop, c’est un bouquin sur le boulet du journal. Si je passe un billet de journal. Mais le mec a inventé le livre sur le volet du journal. Tu sais pas s’il y a plein de méthodologies de productivité intérieure qui sont super intéressantes. Et de sa philosophie. Si je trouve, c’est super intéressant. Si tu vois et c’est parti, tu vois des bouquins que je recommande sans aucun problème. Et puis, ça nous change un peu la semaine de quatre heures du Miracle Morning et compagnie qui sont déjà cités dans le podcast, c’est ça? Quelle est la compétence que tu rêves d’avoir?

 

Thierry : La compétence que je rêve avoir?

 

Bertrand: Franchement, je ne sais pas si j’aimerais bien pousser plus certaines compétences, soit le côté. On va dire vendeur de tapis, ça peut paraitre péjoratif, mais le côté vendeur de tapis, c’est le sens. Il ne faut pas le prendre de manière négative. L’histoire au sens où te dire comment tu peux transformer n’importe quelle idée en or dans ce sens là et en disant je sais que j’ai un produit qui est intéressant, comment je fais ce produit intéressant, comment j’arrive à le vendre à des gens et toi, cette mécanique là,.

 

Thierry : Parce que personne n’en sait rien. C’est bien vu. Parce que l’idée, c’est bien. Mais bon, c’est une bonne idée, pas la vente.

 

Bertrand: Et moi, tu vois, je sais que ce sont mes contenus. J’ai perdu des opportunités et des choses comme ça que j’avais de l’audience sur mon site local et l’époque, sur une ville comme Clermont, qui fait 400.000 habitants. J’avais 200.000 visiteurs par mois. Il n’y avait pratiquement aucun site local en France. Il y avait plus d’audience, mais par contre, 300 mètres cube, tu vois. Et pourquoi? Parce que bien arriver à vendre, ça, c’est un peu compliqué, tu vois. Et je pense que la vente se fait appel aussi à des ressorts qui.

Nous j’écoutais l’autre jour quelque chose qui était très brillant, qui est de dire que tout le monde sait vendre à l’origine. Tu vois, quand tu es bébé, tu sais vendre, tu veux vendre le concept à tes enfants, à tes parents que tu veux biberon, etc. Des fois, ça force à masquer le fait en l’histoire et plus tard, en grandissant, elle deviendra plus négociatrice. Et au bout d’un moment, l’école nous fait perdre ça.

Tu vois ce truc là? Et moi, j’avais un peu de vente en porte à porte, etc. Je n’ai pas une grande expérience et je regrette de ne pas avoir creusé cette expérience là, au sens où c’est le concept de dire comment on fait pour vendre quelque chose. Chez moi, j’ai des étudiants en marketing, communication et communication, disent ils. Vous parlez beaucoup de vendre des choses et je redis ben oui, c’est ce qui paye votre salaire, en fait, sans mentir.

 

Thierry : Et puis, pour aller dans ton sens, j’ai fait 3 ans de porte à porte et j’ai fait un BTS muc assez généraliste. On parle de marketing et tout ça, c’était faire un tour à Londres, en France. Et comme je lisais Robert Cuza, qui est un leader 500 qu’il disait, la seule truc que de savoir, c’est vendre et la meilleure école, c’est le porte à porte. Ben, j’étais faire du porte à porte. Je suis bègue de nature, je suis introvertie. Je prends parfois enfin tout ce qui n’est pas bon. Aller voir un grand de un d’un mètre 1m92 devant votre porte. Harper s’est passé. Le premier jour était dur.

J’ai galéré, je n’ai pas été formé, j’ai galéré, j’ai tapé, je tape taper comme j’avais un vrai. Pourquoi de ma motivation? Une maison, tout bête. Comme par hasard, en deux mois, je devenu revendeur un an après. Et puis, ça m’a aidé pour quand? Des fois, j’ai des soucis. Je me rappelle que durant cette période là où j’ai galéré, comme tu dis que les enfants infester, quand tu vois un truc, si t’es motivé, t’as le bon produit, un client. Il faut juste insister, insister. C’est une bonne école et actuellement, tu tombes au niveau supérieur. Je consulte tous les jours japonais, dirigeants pour leur vendre des produits séparés.

 

Bertrand: Il y a plein de gens qui adore Tiberio et relate l’histoire de petit bambine. Il a commencé par vendre,.

 

Thierry : Vend toujours comme tout comme toi, tu n’as pas de compte à même quand même pas. Un dirigeant qui a mis à l’amende incomberait. Montant Tempah ont rapidement compris. L’intérêt déteste ça. Ils sont techniciens et ingénieurs, créent une boite qui a pas un directeur commercial. Fois le roi du marketing produisant tous les mois, c’est rare. Mais ça arrive.

 

Bertrand: Oui, ça restera. On découvert, on pensait. Et tu vois, j’ai aussi pensé que ça marchait. En fait, c’est toi la leçon. Tu dis oui. Le but, c’est d’aider des gens à entreprendre et gagner de l’argent, à transformer leur truc. Je pense que c’est aussi ça. C’est que il faut qu’on ait un esprit de se dire j’accueille pas juste un petit peu, tu vois des trucs qui arrivent, etc.

Faut aussi que j’apprenne à les chasser un petit peu sur les toits, sur des terres, pour aller chercher des clients. Comment je fais pour les ramener vers moi et comment je suis capable de leur présenter une offre. Et c’est vrai que la vente, c’est l’exercice. S’entraîner beaucoup pour le faire. Et moi, j’ai découvert un peu tard sur le truc. J’ai pourtant vendu des MiniDisc dans ma jeunesse pour fermer bureau et boulot d’étudiant.

 

Thierry : Tu vois des choses comme ça, mais c’est un produit que j’adorais juste avec. Ça rendait service au client aura plus de facilité. Oui, mais c’est ça qui tue. Tu vas dans le désert, on te dit il faut aller à l’évidence, c’est un exemple un peu extrémiste, mais il y a plus de sortir de l’eau. Tu sais que tu vois, tu vas prendre un peu d’argent. C’est pas bien, mais il faut bien que il faut payer les frais. Mais grâce à ça, il va bien. C’est magnifique. Tu ferais pas bon, ça peut être pas le bon exemple, mais bon, vous avez compris.

 

Bertrand: Ouais, on a compris.

 

Thierry : Que quand compte qu’on a de bon produit, tu en service. Il n’y a aucun problème dans ce cas et que tout le monde sera content. C’est comme du win win me fait dire que le menu n’existe pas. Il y a toujours un gagnant, mais bon, c’est la personne même produit qu’a voulu acheter son choix. Voilà donc Bertrand. Grand merci. Merci à toi. Je vais mettre dans tous les cas avant, mais je vais quand même reprendre le site. Donc Bertrand Soulier avec un seul Elkin comme.

 

Bertrand: Bertrand Soulier, tout reste comme soulier au singulier parce que je suis unique. C’est ce que je disais avait avec les écoles. C’était des trucs. Ça, c’est mon blog. Je précise quand même où j’ai un site de cuisine, où je parle de ma perte de poids. Côté Ista et compagnie. C’est mon espèce de territoire, un petit peu à moi. Je parle aussi de running parce que je cours beaucoup plus qu’avant.

 

Thierry : Et donc, à votre Coach Web, pourquoi commencer?

 

Bertrand: Et à côté de ça, il y a votre coach Wed où là, c’est la côté basque s’entend à parler dans podcast. Tout ce qui est marketing communication, c’est un podcast quotidien du lundi au vendredi. A l’époque, j’étais même le samedi dimanche spéculer. Bon, si vous le prenez maintenant, il y a 465 épisodes à écouter. Bon courage. Ça fait 4 presque 100 heures au total sur deux ans ou sur lequel j’aborde toutes les thématiques là, de la création de contenu, etc.

Et puis sur votre cochon, quand vous êtes à côté, le coaching des formations et des conseils de blog. Et puis après? A partir de là, sur les deux, vous allez me retrouver sur Instagram, sur YouTube ou sur Twitter. Dans tous les cas, c’est Bertrand Soulier, toujours dans ces cas là, c’est assez simple. Et puis vous verrez ma tête, j’ai une casquette de running. Soit une tête de, soit une tête qui viennent courir. En général, mon branding, il est plutôt autour de ça.

 

Thierry : D’accord. Bon, Bertrand, merci.

 

Bertrand: Bien merci à toi à bientôt bientôt.

CONCLUSION

Thierry : Donc voilà, c’est fini pour l’épisode 51. Donc, Bertrand Soulier, comme tu l’as compris, c’est un expert de la vie et du contenu en ligne, que ce soit dans le blogging, les réseaux sociaux, le podcast. Il a donc aussi son propre podcast. Plusieurs podcasts, donc, donc les liens dans le show note. Tu parles de votre coach web com attaché et Bertrand Soulier avec un Seul l. Il a comme moi un homonyme, donc fais attention.

Donc, si t’as aimé l’épisode, n’hésite pas à partager un likez sur toutes les bonnes plateformes, une architecture Spotify et toutes les autres Majelan, plateforme française pour partager ce podcast. Moi, je te le dis donc pour un autre épisode et si vraiment je suis très, très motivé, n’hésite pas donc à envoyer un mail. Pour faire quoi? Si tu veux avancer un peu perdu dans tout ce qui création de contenu, création de podcasts, affiliation, ECommerce. J’ai mon coaching, donc actuellement, envoie un mail, on discute en version si je peux aider quelqu’un d’autre, sinon je ferais. Donc moi, je te dis non à jeudi ou vendredi. Ciao.