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COMMENT DÉBUTER EN E-COMMERCE EN 2019 ? Interview de Gregory BEYROUTI

Thierry : Salut à tous ! Bienvenue sur l’entrepreneuriat lifestyle, donc Thierry #Henry, épisode numéro 9 du podcast. Aujourd’hui, j’interviewe donc Grégory BEYROUTI, un super entrepreneur qui a commencé en 2004 avec une agence web. Donc ensuite, il a shifté vers l’e-commerce avec WIZISHOP. Donc depuis 10 ans, il aide les commerçants à créer leur business et à se développer. Il a aidé des milliers de commerçants.

En 2008 avec ses associées, il a développé la structure, surtout en fin de compte en 2013, un des éléments importants, il fait rentrer trois gros entrepreneurs que vous connaissez : Xavier NIEL, GRANJON, Marc SIMONCINI dans capital. Donc, il fait sa première levée de fonds, vraiment intéressant. Ils sont actuellement une trentaine de personnes.

En 2015, il a racheté une grosse structure. Il va vous parler de tout cela dans l’épisode, mais surtout de comment débuter votre business d’e-commerce en 2019 grâce à sa solution de DROPIZI et WIZISHOP. N’hésitez pas donc à commenter l’épisode, à partager et à vous inscrire au podcast sur iTunes ou sur d’autres plateformes pour nous aider à grandir puis que je puisse toutes les semaines inviter les meilleurs entrepreneurs français et étrangers bien sûr. Donc à tout de suite avec Grégory.

Salut ! Comment tu vas ?

Grégory : Salut ! Super ! Et toi ?

Thierry : Très bien merci ! Donc merci d’avoir pris le temps pour nous parler donc de ton business et de ton actualité. On va parler d’e-commerce, donc aider le maximum de personnes à débuter en 2019 ou ceux qui ont déjà débuté à skiller leur business avec DROPIZI ou WIZISHOP ou les autres que tu aimes puisque tu as plusieurs services que j’ai présenté en d’introduction, mais tu vas en plus nous les détailler. Donc toi actuellement, tu es tout nouveau. On va dire que Grégory, tu as 20 ans, je t’ai rajeuni.

Grégory : C’est gentil !

Thierry : Comment tu commencerais actuellement en 2019 pour réussir et avancer que ce soit en e-commerce classique ou en dropshipping ?

Grégory : Alors déjà, c’est vrai que les deux façons de faire, que ce soit de l’e-commerce classique ou  le dropshipping, déjà ce sont les philosophies de ventes un peu différentes. Donc, c’est vrai que si moi, j’avais déjà mon produit, un business qui tourne, une boutique ou des choses, comme cela, c’est sûr que déjà, j’ai une partie des connaissances de la vente qui est importante. Donc, ce n’est pas forcément la même chose.

C’est pour cela que nous, on a fait vraiment deux produits pour que ce soit bien clair. On a WIZISHOP d’un côté pour l’e-commerce classique. Donc, tu as du stock. C’est toi qui gères tes produites, tes colis, etc. De l’autre côté, DROPIZI qui permet de vendre, donc sans avoir besoin de préparer de stock. C’est le fournisseur directement qui va l’envoyer au client final.

Donc, l’ avantage pour cela, c’est vrai que quand tu es étudiant ou que tu cherches un boulot ou bien même en activité annexe quoi à côté pour augmenter tes revenus, c’est vrai que le dropshipping, c’est génial parce que tu peux tester des choses, tu peux tester des produits, tu peux tester même des petites choses marketing, des techniques de vente, etc. Voir ce qui fonctionne. Puis après te professionnaliser, acheter du stock, préparer tes colis, retomber sur du e-commerce classique parce que de toute façon, au final c’est comme cela. Une fois que cela fonctionne que c’est le mieux parce que c’est là où tu margeras le plus, etc.

Cela te permet de ne pas prendre de risque et de tenter. Déjà moi, si j’avais 20 ans, je partirais plutôt d’abord sur du dropshipping.

Thierry : Donc avec la formule dans DROPIZI.

Grégory : Ah oui : Alors cela, c’est sûr parce qu’elle est tellement forte cette formule.

Thierry : En plus, c’est en français. Ce que j’ai vu et ce que tout le monde sait parce que cela a fait le buzz, quand c’est sorti, c’est que vous avez, en fin de compte, une formation qui coûtait quand même assez cher et que vous avez mise en accessibilité gratuite pour tout le monde.

Grégory : Exactement parce que pour moi c’est la clé. Donc en effet si j’avais 20 ans et que je cherchais quelque chose, je serais très content, en tout cas, de tomber sur DROPIZI. C’est pour cela qu’on l’a conçu parce que cela répond peut-être à un manque qu’il y avait aujourd’hui sur le marché. Il y avait d’un côté plein de formateurs, donc plus ou moins bien. On a franchement des super. Il y en a avant. Il y en avait tellement qu’au final, il n’y a pas forcément tout qui est top top.

C’est cette difficulté d’accès déjà à la formation parce qu’il faut tomber sur une bonne formation, puis il faut la payer. Souvent, c’est quand même relativement cher pour avoir une formation de qualité. Puis d’un autre côté des outils, souvent ce qui était proposé, c’était du Shopify. Au final quasiment tous les formateurs proposaient cela avant que le DROPIZI soit en fonction. Donc, tu n’avais pas le choix. C’était un Américain, avec une logique américaine, avec pas forcément donc du support français évidemment, mais aussi…

Alors si tu veux, j’aime beaucoup l’esprit américain parce qu’ils sont très pragmatiques. Donc, l’avantage de chez eux, c’est que tu prends un Shopify, c’est tout con, super simple à utiliser, mais par contre il n’y a pas grand-chose dedans et tu es obligé de rajouter des modules selon tes besoins, etc.

Le français, malheureusement, il n’est pas aussi pragmatique et lui il réfléchit déjà, comme si dans sa tête, il avait déjà trois coups d’avance quoi. Il a réussi et il a besoin de tels outils, tels outils, tels outils, tels outils. Du coup, c’est vrai que par exemple, quand tu prends une formation lambda qui te dit comment faire ton site de dropshipping, elle va dire : OK, mais installe ton Shopify, met tel module, tel module, tel module. Au final, ton Shopify te coûtait 30 euros, 30 dollars, il va te coûter 100 dollars. Puis, tu as déjà installé des modules que tu n’es même pas sûr au final qu’ils vont être utiles à un moment ou un autre. Tu vois.

Nous, ce qu’on a voulu faire c’est vraiment te dire : tu veux commencer dans le dropshipping, on va t’aider de a à z. En effet, on a une formation ultra complète. Il y a presque cent vidéos qui t’expliquent vraiment tout de a à z. Comment tu vas faire pour être auto entrepreneur ? Comment tu vas choisir le produit qui va vraiment être gagnant ? Parce qu’il ne faut pas choisir n’importe quel produit, c’est cela aussi la clé dans dropshipping. Comment tu vas monter ta boutique et comment après surtout tu vas la développer, la promouvoir, etc.

C’est la partie formation. Après, il y avait la partie outil où nous la grosse différence qu’on a donc justement avec du Shopify, c’est que cela fait dix ans qu’on développe une solution e-commerce, produit commerce classique qui s’appelle donc WIZISHOP. Dedans, on a incorporé toutes les fonctionnalités qu’il te fallait. C’est-à-dire que tu n’as pas besoin de rajouter des modules. On n’a pas d’App Store ou où tu dois : tu veux envoyer un mail de relance, il faut payer tant de plus. Tu veux envoyer des sms : tiens, il faut ajouter tel machin. Non ! Tout est compris dedans.

Thierry : Tout est compris ! D’accord !

Grégory : Tout est compris. Il y a 385 fonctionnalités. La seule chose que tu vas devoir payer en plus. C’est simple il y a trois trucs. Soit le nom de domaine parce qu’on l’achète chez un fournisseur. Donc, on te répercute ce prix. Soit des emails parce que tu peux envoyer des emails des newsletters, des emails marketing, etc. avec notre solution directement à l’intérieur et cela pareil, on va payer on utilise Mailjet pour avoir une bonne délivrabilité. Donc cela, simplement, je le fais payer et pareil pour les SMS.

Mais, c’est tout. Après, tout le reste, tout ce qui est fonctionnalités, c’est compris dedans. Il y en a 385 et cela va jusqu’à des fonctionnalités très avancées. Par exemple, on a des outils de segmentation de tes clients, de tes commandes pour aller plus vite ou pour pouvoir appliquer par exemple de tes produits aussi. Tu peux dire : tiens, je vais sélectionner tous mes produits de moins de 10 euros de telles marques sur lequel je fais telle marge et je vais faire une promotion de 10 % en arrondissant à 0 à 5 centimes près. Tu vois, par exemple, c’est un truc que tu peux le faire une seconde avec DROPIZI.

Thierry : Donc, c’est plutôt bien étudié pour la personne qui veut le tout-en-un. C’est vraiment pour le marché français, on va dire. Bien sûr je pense que vous vendez derrière. Mais une question parce que dans DROPIZI, tu as fait une différence dès le début entre WIZISHOP et DROPIZI. Mais imaginons que même si la personne a 20 ans et veut se développer vraiment, parce que chez les concurrents, ce que je ne vais pas nommer que tu as cité, maintenant je crois, ils sont à cinq niveaux. Est-ce que vous avez la solution plus ? Est-ce que dans votre vision, on peut vraiment à monter à 5, là je vois grand, 5 ou 10 millions ? Est-ce que ce sera toujours utile ou il faut passer à WIZISHOP ?

Grégory : Très clairement en fait WIZISHOP et DROPIZI, c’est la même chose. C’est la même base technique. C’est juste la communication nous derrière qui est différent. Donc, si tu veux, on a vraiment créé une marque à part parce qu’il y a la formation spéciale sur dropshipping, il y a tout un accompagnement différent, il y a un forum sur Facebook privé pour les Dropiziens. Donc si tu veux, c’est plus de la communication que du fonctionnel. La fonctionnelle, le back-office en lui-même et toutes ses fonctionnalités, c’est exactement les mêmes.

Sur WIZISHOP, DROPIZI c’est encore tôt. Donc, on commence à avoir des belles pépites des gens qui grossissent. Mais sur WIZISHOP, on a 10 ans d’intériorité et on a des marchands qui en effet font plusieurs millions sans problème sur la plateforme. Donc, il n’y a pas de limitation de ce côté-là. Et en effet, on n’est pas parti dans un côté plus sur mesure à au moins 1000 ou 2000 balles par mois. Il y a un petit pourcentage qui nous permet en fait d’accompagner les plus gros clients.

En fait, c’est un abonnement plus un petit pourcentage. Donc notre dernière formule, elle est à 300 euros par mois + 0,5%. Donc, ces 0,5% nous permettent justement d’englober les besoins d’hébergement que tu vas avoir, des besoins peut-être un peu plus souvent d’accompagnement, parce que tu as beaucoup plus de questions puisque tu vends en plus. Tout cela, c’est pris en compte dans notre forfait et il n’y a pas de limite. Si tu fais 20 millions, tant mieux pour toi. On sera très heureux de t’accompagner. Ce sera la même formule.

Thierry : Concernant, pour revenir à la formation, parce que souvent on prend des formations dans le domaine du web marketing ou de l’e-commerce parce que cela évolue souvent, est-ce que la formation est mise à jour tous les trois mois parce que bien souvent quand on fait une pub Facebook dans trois mois, trois mois après l’algorithme a changé. Donc, cela ne sert à rien. Il faut repartir à zéro. Est-ce que c’est vraiment pour avoir les bases et après il faut évoluer soi-même ? Ce qui est normal, moi cela me paraît très normal. Ou est-ce que vous mettez à jour puis il est possible d’évoluer avec la formation ?

Grégory : Alors, cela mixe un peu des deux. C’est-à-dire qu’il y a déjà une base de formation qui n’évolue pas. Par exemple, on a toute une partie, un module sur le copywriting. Cela reste toujours pareil dans 10 ans. Un gros module sur la création de la boutique en elle-même qui peut évoluer en fonction de nos fonctionnalités. Mais on va dire qu’à 99%, ce sera la même chose même dans plusieurs mois. Après, c’est vrai que là où cela se pose, c’est surtout en effet quand on commence à faire les formations Instagram Facebook Ads, Google, CRO et compagnie où là en effet, cela évolue.

Donc là aujourd’hui, on a fait un petit peu évoluer certains détails de notre formation, mais on est en train de préparer en fait une V2 de la formation qui va être beaucoup plus axé, en fait si tu veux, pour te prendre par la main et t’aider en fait de façon très pragmatique en te disant : je viens de lancer ma boutique, maintenant qu’est-ce que j’ai à faire. Et là, tu auras une check-list à dire : alors première chose, je dis une bêtise, mais est-ce que tu es sûr que tu as bien installé ton Analytics et voilà comment on va le faire ? Est-ce que tu es sûr que tu as bien mis ton Sitemaps dans la Search Console pour que Google, il référence tes pages plus rapidement. On va t’expliquer ce que c’est et comment on le fait.

Tu vois, tu as en fait une check-list comme cela. Puis semaine deux, il faut lancer la pub Facebook. Voilà comment lancer notre première publicité. Puis semaine cinq, peut-être qu’on va skiller d’une certaine façon. Tu vois. Et on va t’accompagner comme cela. Alors cela, je te le dis en exclusivité. Je n’en ai pas encore parlé nulle part.

Thierry : Merci !

Grégory : C’est une nouvelle formation qui va sortir dans le courant, soit fin janvier, soit début février.

Thierry : D’accord. Tous ceux qui sont là, donc il faut écouter. Il faut aller se connecter et tester la formation rapidement. Donc moi, j’avais deux questions très personnelles parce que moi je suis plus affilié blogueur. J’ai commencé par l’e-commerce par l’Amazon FBI. Ensuite, mon gros problème et je le dit souvent aux gens qui veulent faire du business que le monde parle du dropshipping et d’e-commerce, mais il y a la face cachée. Ou il faut un peu de fond quand même pour faire la pub, c’est un minimum ; que le CRO, ce n’est pas assez et en plus de cela, il faut être fort en sourcing.

Moi le sourcing, cela m’a saoulé. J’ai fait Aliexpress et cela m’a énervé. Donc, je me suis dit : allez, je pars à autre chose. Est-ce qu’en termes de sourcing, il y a toutes les plateformes qu’on peut intégrer pour faire le sourcing automatiquement déjà, la première question et est-ce qu’on peut faire de l’impression à la demande ? Est-ce que c’est le plus facile ou c’est pareil que les autres ? Puisque moi, jamais bien tout ce qui est impression parce que j’ai du mal en sourcing, donc je fais mes tee-shirts, mes petites tasses, je mets le commerce puis je vais avec.

Grégory : Carrément. Alors, ce qui est d’abord impression à la demande, Print On Demand, là on est en fait en train d’intégrer quelque chose qui va être génialissime. Donc, on veut vraiment arriver à ce que tu aies une expérience d’utilisation de a à z qui soit génialissime pour faire du Print On Demand. Donc cela, on est en train de le développer. On espère que cela pourra sortir d’ici la fin du premier trimestre de cette année. En tout cas, on travaille dur là-dessus et ce sera vraiment une offre qui sera intégrée, peut-être même avec un autre nom encore que DROPIZI.  

Alors évidemment, quand tu auras ta boutique WIZISHOP ou quand tu auras ta boutique DROPIZI, tu pourras l’utiliser. Évidemment, ce sera compris dans le prix, etc. Mais en effet, on va vraiment axer là-dessus pour faire quelque chose qui sera tiptop, super bien positionné au niveau prix, super rapide à livrer en Europe notamment puisque c’est aussi souvent un petit problème qu’on peut avoir. Puis même, il y aura les options avancées très sympa, style mettre ton flyer dans le colis ou des choses comme cela.

Donc cela, c’est quelque chose voilà, je ne peux pas en dire encore plus, mais ce sera génialissime et cela va bientôt sortir. Sur ce qui est de sourcer les produits, donc aujourd’hui, on est en effet interfacé en automatique, c’est-à-dire à la fois l’import des produits et la prise de commande, avec Aliexpress qui est le classique et avec Bigbuy qui est un fournisseur espagnol.

On a comme ambition en effet de développer aussi ce réseau-là dans les prochaines semaines. Mais tu peux bien évidemment, dans tous les cas, faire des choses déjà à la main. C’est-à-dire que tu peux importer des produits par exemple chez nous en csv pour aller plus vite. Tu peux exporter aussi tes commandes en csv puis les donner à ton fournisseur, tu vois, une fois par jour, une fois par semaine.

On automatise des petites choses. On a une API qui permet de récupérer les commandes. Donc, tu peux aussi faire développer des petites choses sur mesure. Donc en vrai, tu es libre de faire ce que tu veux. Mais par contre vraiment, en ultra simple, tu appuies sur un bouton. Là aujourd’hui, on a qu’Aliexpress et on a que Bigbuy.

Thierry : Ce qui n’est pas mal puisque techniquement, tu as bien dit de DROPIZI, le but ce n’était pas que pour les débutants, mais c’est quand même une grande partie pour les débutants. Donc, c’est déjà pas mal de commencer de faire 10, 15000. On verra après le reste.

Grégory : Il y a autre chose aussi qu’on n’a pas parlé, c’est que pour t’aider justement dans le choix de tes produits, alors sur Bigbuy par exemple, c’est une plateforme de dropshipping, s’est vraiment fait pour cela. Tous les produits, ils sont présentés parce qu’ils sont bons et qu’ils vendent. Mais sur Aliexpress, tu as des millions de produits. Et dedans, tu as de la merde, comme tu as des méga supers produits.

Pour t’aider dans ces choix-là en fait, on a développé un algorithme qui s’appelle le DROPIZI Rank et qui permet d’avoir un indicateur de fiabilité du produit. C’est-à-dire qu’en gros quand tu vas te balader sur Aliexpress avec l’extension DROPIZI, nous on va te mettre une note de 0 à 10 sur chacun des produits en disant : 7 celui-là, tu ne prends pas de risques. Ce produit, il est super bien vendu, il a des super commentaires, le fournisseur est fiable, tu peux y aller les yeux fermés.

Et à chaque fois en fait qu’il y a des nouveaux produits qui sont mis sur la plateforme, nous on enregistre tout cela dans une base de données. Et tous les DROPIZI Rank 8, 9, 10 donc vraiment le top du top, on les récupère et on te donne accès à ces meilleurs produits dans l’application mobile de DROPIZI. Cela veut dire que quand tu es dans ton canapé avec l’application mobile de DROPIZI, tu peux à la fois suivre les formations et regarder faire ton sourcing produit.

Donc, tu as le produit, produit du jour où en gros tu as une petite sélection de quelques dizaines de produits de ta niche parce que c’est selon ta niche, évidemment que tu choisis et on va te mettre tous les meilleurs produits. Et si tu en trouves un qui te plaît, tu appuies sur un bouton et elle est importée directement dans ta boutique.

Magique ! Pour éviter évidemment que tout le monde vend les mêmes produits, nous ce qu’on fait, on sait quand quelqu’un l’a emporté et au bout de trois, quatre fois, on ne va plus proposer cela aux autres pour éviter que tout le monde vend la même chose.

Thierry : Puisque qu’après ouais c’est un gros problème. Une question, enfin deux questions plutôt puisque ce sont des questions qui reviennent souvent. Une question plus par rapport à la revente, est-ce que vous vous avez un système de revente de sites internes comme fait le concurrent que je ne citerai pas ?

Imaginons que demain j’ai un magasin et que je n’ai pas envie de le revendre, je peux passer par d’autres sites de vente de site et autre qui sont connus, est-ce que vous, vous avez intégré un système où on peut reprendre le magasin DROPIZI ou WIZISHOP pour continuer le business avec vous ?

Grégory : Ouais. Alors, on peut. Il y a des différences justement par rapport à Shopify que tu ne veux pas citer, mais moi je m’en fiche, pas de souci avec cela. C’est que d’une part, on peut faire de la multi-boutique avec un compte WIZISHOP ou DROPIZI. Ce que tu ne peux pas faire avec Shopify.

Cela veut dire que tu peux avoir plusieurs boutiques en parallèle. Quand tu fais du e-commerce classique d’ailleurs, ce qui est juste génial, c’est que tu peux aussi synchroniser les stocks. Cela veut dire par exemple, si tu as une boutique généraliste et que tu fais des petites boutiques de niche en parallèle, tu pourras synchroniser tes stocks. C’est plein de boutiques différentes, mais avec une seule gestion de stock. Donc cela, c’est top.

Et en effet, il est tout à fait possible, toi par exemple si tu as envie de faire une activité et de créer plein de sites et de les revendre, d’avoir sur ton compte plein de boutiques puis de les sortir et les attribuer vos comptes après quelqu’un qui te l’aura racheté. Ou à l’inverse toi quand tu que tu veux découvrir l’activité que tu n’as pas envie de t’embêter à créer la boutique ou il y a déjà des gens qui ont fait une base qui t’intéresse, tu l’achètes, on te l’attribue cela et en effet on peut le sortir de ton compte.

On est justement en train de mettre en ligne un site, qui est terminé là qu’il faut qu’on officialise donc dans les prochains jours, qui est cession de sites web, il me semble, point fr. Je te redirais l’URL en cas si tu veux le mettre. Mais en effet donc du coup, c’est quelque chose. Alors, c’est vraiment un nouveau site. On a racheté un site qui faisait cela avant. Et là, on est en train de le remonter pour nous.

Et en effet, je pense que c’est vraiment un business qui est important parce que cela permet de recycler les boutiques puis même d’imaginer des business centrés autour de la création de boutiques.

On a déjà des gens qui font cela chez nous, qui ne font que cela quoi. Ils montent des boutiques, ils font de sourcing et ils te vendent la boutique clé en main par exemple.

Thierry : C’est aussi pour cela parce qu’il y en a qui n’aime pas s’embêter à apprendre de nouveau CMS. Et comme ils ont le réflexe dans CMS, le même CMS, ils n’ont pas à s’embêter à changer, à transférer soit à un magasin, soit un autre. C’est plus pour ceux qui sont qui ont les réflexes de rester sur un CMS et de rester fidèles, on va dire.

Tous ceux qui sont formés chez vous, tant qu’à faire, ils vont rester, ils vont dire : allez, on est bien chez eux, on est cocorico, on reste chez DROPIZI ou WIZISHOP. Une autre question qui revient souvent en business, en dropshipping, la TVA. Est-ce qu’il y a des aides dans l’information parce que souvent les gens, j’entends que cela, on me pose souvent la question, est-ce qu’il y a un problème de TVA, qu’est-ce qu’il faut déclarer, qu’est-ce qu’il ne faut pas déclarer ? Comment on fait ?

Grégory : Alors ouais, il y a un module de formation là-dessus. Puis, on essaie de bien expliquer, notamment dans le choix des produits. Alors, c’est sûr que c’est en plus tout dépendent d’où est-ce que tu es situé. C’est un peu complexe. C’est vrai que la TVA, tout est géré depuis la plateforme. Normalement, si tu es en France par exemple, ce sera super simple. Mais après c’est vrai qu’ils se posent souvent, on a des retours de questions par rapport au dropshipping, de savoir si j’achète en Chine qu’est-ce qui se passe, qui est responsable de quoi, est-ce qu’il y a la douane, est-ce qu’il y a des frais de TVA, machin.

Thierry : Donc tout cela, c’est réglé.

Grégory : Oui. Tout cela, c’est réglé et on essaie de l’expliquer. Et au final, c’est quand même relativement simple quand tu restes dans des choses assez classiques.

Thierry : D’accord. Dans tous les cas, si on se développe, même si on ne développe pas, logiquement il faudrait commencer à travailler avec un comptable, tant qu’à faire. Chacun doit faire son business. Donc à un moment, il faudra…

Grégory : Nous, on donne des conseils. Mais c’est sûr qu’après, cela reste aux personnes aussi de s’entourer sur des juristes, des comptables. Mais bon, c’est sûr qu’il y a aussi des spécificités qu’on peut ne pas savoir s’il y a un statut d’entreprise très spécifique ou s’il est dans un autre pays avec des règles un peu différentes, etc. Mais on va dire que dans 99% des cas, il n’y a pas de soucis.

Thierry : Donc, on va parler un peu aussi donc de WIZISHOP parce qu’on a parlé beaucoup de DROPIZI. Donc WIZISHOP, pour toi tu dis que c’est plus pour les commerçants qui ont de l’expérience, plus les e-commerçants qui ont une expérience, puis ceux qui ont du stock, c’est cela.

Grégory : Voilà. C’est plus, on va dire, du e-commerce classique, donc effet d’état du stock. Si tu es un magasin déjà physique et que tu veux vendre en ligne ou bien que tu te lances en tant que pure player, tu as un produit ou tu es fabricant, bref. C’est plutôt dédié en tout cas l’activité historique, nous c’est ce qu’on fait depuis 10 ans, plutôt dédiés à des gens qui ont l’habitude de faire du commerce.

Après, cela peut être des gens qui se lancent dans le e-commerce parce qu’il y aura aussi une formation qui n’est pas tout à fait la même que celle de DROPIZI puisque là on est sur du commerce traditionnel, mais tu as aussi une formation, tu as aussi de l’accompagnement.

On n’en a pas parlé, mais on a en fait à disposition de tous nos clients, que ce soit DROPIZI ou WIZISHOP, on a des business coach qui sont là pour les aider et les conseiller. Tu peux les avoir par chat, par téléphone, enfin voilà. Ils peuvent te faire des petites vidéos s’il y a besoin de te débloquer sur des trucs. C’est vraiment une super équipe et voilà. Je ne sais plus trop quelle était la question d’ailleurs.

Thierry : Non, non c’est que je voulais qu’on parle de WIZISHOP, mais tu m’as fait comprendre que c’était une partie formation puis le reste après c’est quasiment identique pour des gens qui ont d’expérience et c’est plus pour ceux qui ont du stock et qui ont un produit à eux, on va dire.

Grégory : Voilà. Exactement. l’option traditionnelle, c’est le même prix, c’est la même chose après.

Thierry : Là rapidement, avant que je te pose les questions finales, parler de la structure. Donc là DROPIZI, cela a combien d’années ? Enfin WIZISHOP, cela a 10 ans, DROPIZI c’est récent. Cela a 1 an, 2 ans.

Grégory : Ce n’est même pas. On s’est lancé fin mai.

Thierry : Fin mai. C’est là où j’ai reçu le mail, mais j’ai mis un peu de temps à réagir. Moi, je voyais que tout le monde s’y met, je me suis dit : mais je vais m’y mettre surtout que j’avais un problème avec mon partenaire canadien qui est un très bon partenaire, mais bon qui des fois ne répond pas ou n’est pas content. Enfin, il m’a demandé de faire un certain nombre de ventes en tant qu’affilié avant d’avoir des cadeaux. J’ai dit : bon, je vais aller voir la concurrence. Donc, tu es bien arrivé.

Oui donc le groupe WIZISHOP, cela 10 ans. Vous êtes combien ? Parce que j’ai vu que je travaillais avec certains fonds d’investissement, il y a un certain business. Là, comment est la structure pour rassurer un peu les gens ?

Grégory : Ouais. Alors, c’est vrai que déjà, on a dix ans d’antériorité, donc déjà c’est assez rassurant. On a plusieurs milliers évidemment de commerçants qui nous suivent depuis des années et des années. Nous, on est 30 ici. On est sur Nice dans le sud de la France. Et en effet, il y a déjà des fonds assez reconnus qui nous ont suivis. Ils nous ont suivis en 2013.

Thierry : Donc, on parle bien de NIEL, de GRANJON et de SIMONCINI.

Grégory : Voilà exactement. En gros, il y a les trois mousquetaires un peu du web qui nous ont suivis. Donc, il y a Xavier NIEL de Free, il y a SIMONCINI de Meetic et il y a GRANDJON de Vente Privée, qui sont investisseurs chez nous.

Thierry : Donc maintenant, vous pouvez aller les yeux fermés et prendre DROPIZI. Cela, c’est la carte de visite classique qui passe partout. Donc, il y a eu une première levée, ensuite une deuxième levée de fonds ou une seule levée cela suffit.

Grégory : Pour l’instant, un seul cela suffit. Alors, c’est vrai qu’on a une grosse croissance avec DROPIZI, beaucoup plus loin que ce qu’on avait imaginé. Donc, c’est super cool. Donc, c’est vrai qu’il y a des grandes chances que peut-être courant 2019, on fasse peut-être un deuxième tour de table beaucoup plus conséquent pour pouvoir aussi pourquoi pas aller à l’international puis surtout développer des nouvelles choses, aller plus loin un peu dans tout ce qu’on fait pour aider encore plus les gens à vendre plus, tout simplement.

Alors après, ce qu’il faut savoir aussi, c’est que donc on a deux structures WIZISHOP DROPIZI puis on a une deuxième qui s’appelle donc Guide Shopping, mais maintenant le nom en fait de commercial c’est Amplify E-commerce. Et cela en fait, c’est par opportunité. En fait, on a pu racheter des guides d’achat à une société qui s’appelait Annuaires de ?. Donc, on a racheté ces guides en 2015, si tu veux.

Et en fait, ce qui nous a intéressés là-dedans, alors c’est des guides d’achat tout simplement. Tu vois les produits qui sont vendus par le marchand. Puis, il y en a un qui te plaît, tu y vas. Puis, tu arrives sur la boutique. Et en fait si tu veux, tous ces guides, je crois qu’à l’époque quand on les avait rachetés, cela faisait trois ou quatre millions de visiteurs. Donc, c’était intéressant. Mais ce qui est bien surtout, c’est que c’était très thématisé.

Donc, tu avais vraiment le guide qui s’appelle un cadeaux.com pour la vente de cadeaux, pour le bébé c’est pourbébé.com, je veux des bijoux, archi gourmet pour la maison, etc. Donc vraiment des guides très thématisées. Donc pendant quelques années dans ces deux structures-là, on a vendu cela à des e-commerçants, un accès pour y aller, etc. Puis là en fait, ce qu’on a fait depuis quelques semaines, vraiment en fin d’année dernière, on a mis en place Amplify E-commerce pour tous les clients WIZISHOP et DROPIZI de façon gratuite.

Et cela, c’est vrai que cela n’existe pas du tout dans tout ce qui peut se faire à la concurrence, même à l’étranger, même dans des pays obscur, j’ai bien regardé. C’est que là, aujourd’hui donc tu crées ta boutique et en plus on va t’offrir de la visibilité. Cela, c’est assez unique et c’est vrai que cela t’aide.

Thierry : Donc du référencement.

Grégory : Ouais, c’est du référencement.

Thierry : Du net

Grégory : Donc en gros, quand tu as ta boutique WIZISHOP, quand tu es dans le premier plan standard à 27 euros, tu vas pouvoir mettre 25 de tes meilleurs produits sur les plateformes. Donc, si tu vends, je ne sais pas, des produits cadeaux pour les bébés, tu iras sur bébé sur un cadeau. Et automatiquement, on a une équipe en interne qui va prendre les produits, les classer là où il faut, les mettre bien en avant comme il faut, etc. Toi, tu n’as rien à faire. C’est du bonus. Tu as des visiteurs tous les jours qui viennent. Tu as quelques commandes qui tombent comme cela.

Et cela te permet comme cela d’avoir une espèce de petit fonds de roulement puisque comme tu disais tout à l’heure, c’est vrai qu’on n’a pas rebondi dessus, mais cela coûte quand même quelque chose de se lancer. On ne peut pas se lancer avec zéro parce qu’à un moment il faut bien faire des investissements quelque part, et notamment en communication.  Cela t’aide déjà à avoir quelques ventes puis derrière tu peux réinvestir cela en publicité, puis booster, puis grossir. Donc cela, c’est vraiment une exclusivité qu’on a et c’est une autre structure qui permet de faire cela.

Thierry : Donc beaucoup de projets que tu as cités, donc qui vont arriver. Donc, c’est bon. C’est très bien. Donc, on a quasiment tout pareil. Donc, si vous voulez débuter, je crois que Grégory a donné le maximum d’informations, donc ne pas hésiter à cliquer sur les liens, aller sur le site ou faire la formation gratuite, la réécouter plusieurs fois parce qu’elle est disponible tout le temps.

Donc là, je vais poser des questions que je pose à tous les entrepreneurs, la première qui va être bizarre parce que la première c’est quel est le business dont tu rêves à part celui-là que tu n’as pas encore créé.

Grégory : Un business que je rêve, mais que je n’ai pas encore créé. Alors, tu entends par là un modèle économique ou vraiment un business de a à z.

Thierry : Tout. Peut-être que là, tu souhaites de créer ton fonds d’investissement tu n’as pas créé, tu as un projet que tu as en tête, mais que tu n’as pas encore créé ou que tu n’as pas le temps que tu n’aies pas les moyens.

Grégory : Cela, c’est clair que justement, comme on en a parlé en plus il y a quelques secondes, nous on a été suivi par des fonds d’investissement et c’est vraiment, peut-être, tu vois une fois qu’on aura vraiment bien réussi WIZISHOP, cela peut être une revente, cela peut être quelque chose. Bref, cela a une certaine valeur quand même quoi qu’il arrive les boîtes que l’on a. Donc, cela peut faire rentrer beaucoup de cash, éventuellement chez moi puis mes associés.

Et cela, c’est vrai que c’est quelque chose que j’aimerais moi beaucoup, aider les autres entrepreneurs, les start-upeurs à se lancer. Puisque tout ce que j’ai pu engranger comme expérience en 10 ans, les erreurs à ne pas faire, les choses qui font perdre du temps, les choses qui en font gagner, tout cela j’aimerais bien, en plus de l’argent, donc pourquoi pas investir aussi dans le startup, j’aimerais bien vraiment être proactif puis les aider.

C’est un petit peu le souci que j’ai avec les fonds par exemple qui nous aident. Ils sont super. Ils nous ont bien aidés. Quand on leur pose des questions, ils nous les posent, mais ils ne sont pas très proactifs. C’est-à-dire qu’ils ne vont pas venir, par exemple qui m’a, donc le fond de NIEL, ils investissent dans deux start-ups par semaine. Donc là, ils en ont des centaines. Et c’est sûr que les gars, ils ne peuvent pas être avec tout le monde puis les aider, etc. Bon, c’est logique.

Thierry : Mais après, cela dépend des fonds parce qu’après eux, ils sont assez gros. Mais après, il y a des petits fonds d’investissement, comme investisseur 4092, le plus grands ; mais ils sont plus petits. Il y a plusieurs investisseurs. Donc, eux ont le temps. Mais après eux, c’est vrai que c’est des gros, ils sont structurés différemment. Mais tu as des structures plus petites. Ce sera un problème de risque que tu auras après.

Grégory : Exactement. Mais en tout cas, c’est vrai que retransmettre, aider les gens à se lancer, mais de façon opérationnelle, les aider peut-être dans leur modèle économique, à puiser des petites choses et tout, qui ne sont pas forcément évident quand tu débutes, cela me plairait vraiment beaucoup.

Thierry : D’accord. Donc déjà, tu as répondu. Parenthèse puisque je sais que tu as un site où tu envoies un mail tous les jours aux commerçants. Donc pareil, ceux qui veulent s’inscrire, n’hésitez pas allez sur gregory-beyrouti.com. Donc là, vous avez, ceux qui veulent faire du e-commerce, des informations tous les jours. Donc déjà, tu contribues d’une façon, mais bon tu mettras l’argent après.

La deuxième question : quelle est ta meilleure expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur ?

Grégory : Ma meilleure expérience. Alors, je pense que c’est difficile à résumer comme cela, mais en gros, ce n’est peut-être pas la meilleure expérience, mais la meilleure sensation que j’ai, c’est de pouvoir aider les gens à réussir. Et pour cela en fait, il y a deux facettes de cela. C’est d’une part employer des gens. On est parti, on était trois associés quand on a débuté il y a 10 ans. Petit à petit, arriver à 30 et te dire : bon voilà grâce à nous, il a 30 personnes qui sont heureuses de venir bosser puisque c’est vraiment super important aussi chez nous, une bonne ambiance et que tout le monde prenne du plaisir et se retrouve dans ce projet puis donne tout comme cela.

Donc savoir qu’il y a 30 personnes qui vivent grâce à moi, c’est bien. Mais en plus derrière à côté de cela, il y a des milliers de personnes aussi qui vivent grâce à notre produit et grâce à nos conseils, grâce à ce qu’on essaye de faire au quotidien. Tout cela, c’est beaucoup d’énergies au final. C’est dur quand même comme métier parce que cela évolue tout le temps, parce que c’est quand même techniquement des choses très complexes. Mais c’est un tel plaisir de voir des réussites, de voir des gens à qui nous remercient, qui ont peut-être pour certains a fait changer leur vie.

Thierry : C’est tout un écosystème qu’en partant d’une idée de trois personnes, c’est tout un écosystème qui se développe et qui n’est pas fini développé. Donc, c’est la beauté de la création d’entreprises.

Grégory : Exactement.

Thierry : De se dire qu’on est venu sur terre pas pour rien, qu’on a fait quelque chose d’énorme.

Grégory : Énorme, je ne sais pas, mais en tout cas on a fait quelque chose. On a contribué pour certaines personnes. On a contribué à quelque chose. Cela, c’est sûr.

Thierry : Ensuite quel est pour toi le meilleur levier pour devenir entrepreneur ?

Grégory : Se lancer voilà. C’est simple, c’est un peu comme le loto, tu vois, il y a 100% des gagnants ont tenté leur chance. Là, c’est pareil. Si tu rêves d’être entrepreneur, mais que jamais tu ne tentes l’aventure, forcément tu ne seras jamais entrepreneur et tu ne réussiras jamais. Donc, c’est surtout tenter quelque chose. Moi franchement, je respecte 100 fois plus quelqu’un qui a tenté, qui a échoué, il s’est loupé, mais ce n’est pas grave. Au moins, il a tenté quoi.

Thierry : Tu as vraiment un esprit anglo-saxon.

Grégory : Non, mais c’est vrai. De toute façon, c’est dans les défaites et un peu dans tous les petits soucis que tu vas rencontrer que tu apprends le plus. Donc voilà, mais tant que tu ne tentes pas, tu ne peux pas savoir.

Thierry : Comme on dit, c’est le meilleur moyen de ne pas échouer, c’est de ne rien faire. Mais bon quand on n’a rien fait, on n’a rien fait, qu’on n’a pas essayé.

Grégory : Pour moi, c’est que tu as échoué quand même.

Thierry : Tout à fait. C’est plutôt ce que disait la phrase, c’est moi qui l’ai mal dit. Quel est le livre que tu conseillerais pour tout entrepreneur et pourquoi ?

Grégory : Alors livre, écoute c’est difficile. Alors moi, ce que j’aime bien, ce qui m’a un peu peut-être aussi poussé justement à être entrepreneur, c’est de lire des livres justement d’expérience d’entrepreneurs. Alors, je vais te donner un truc, cela a mis le rhum et parce que cela m’a marqué en fait. C’est un peu le déclencheur de ce qui nous a permis d’arriver à faire WIZISHOP, c’est qu’avant on était une agence web.

J’étais déjà entrepreneur, mais je n’avais pas le côté startup. Donc, tu as des clients, tu fais. Tu as d’autres clients, tu refais. Ce n’est pas un vrai projet que tu montes de a à z. Tu vois, ce n’est pas le même esprit que quand tu crées un projet comme WIZISHOP, quand tu crées une startup. En fait, j’avais lu le livre de Pierre CHAPPAZ qui était le fondateur de Kelkoo qui s’appelle : « j’ai réussi ma startup. »

Je ne sais même pas si possible encore de le trouver dans le commerce ce livre. Mais en fait, il t’expliquait comment il avait réussi, quelque coût et comment il avait revendu. Et c’est vrai que cela, moi j’aime bien tout cela. J’aide d’ailleurs beaucoup de livres là-dessus, que ce soit Amazon, Tesla, machin. Enfin, tu trouves plein d’entrepreneurs comme cela où tu as leurs biographies ou des compilations d’ailleurs d’entrepreneurs aussi et t’apprends beaucoup de choses par rapport à cela.

Thierry : C’est pour cela que je pose la question. Puis, c’est aussi souvent comme cela en fin de compte puisque souvent on dit qu’il faut faire les erreurs, mais comme dit d’autres entrepreneurs, il vaut mieux d’abord lire les erreurs des autres, les lire ou les écouter en podcast par exemple, ne pas les faire, que d’aller les faire pour les faire, et des fois on peut ne jamais se relever même si l’entrepreneur se relève toujours. Mais bon, il vaut mieux les lire et voir les expériences, dire : je ne ferai pas comme lui ou je ferai comme lui. On va implémenter ce qu’il a fait. Donc, c’est un peu le but.

Tout cela, quand tu parlais et que je parle souvent dans mes expériences puisque moi, il y a un show que je regarde même si je regarde moins, c’est Shark Tank et Dragon Den où ce sont les entrepreneurs qui viennent pitcher à cinq investisseurs qui sont millionnaires, milliardaires et on a des idées. Ils leur font comprendre que là ils demandent trop. Là, ils sont mal financés. Le but, c’est vraiment de s’inspirer pour pouvoir mieux faire quand on va se lancer ou quand on est dedans pour avoir des idées. Tu as dit Pierre Chappaz.

Grégory : Pierre Chappaz : « j’ai réussi ma startup », il me semble.

Thierry : Dernière question : quelle est la compétence que tu rêves d’avoir que tu n’as pas encore ?

Grégory : Alors, la compétence que je rêve d’avoir que je n’ai pas encore. Je pense qu’on va arriver nous, si tu veux dans une phase, où là aujourd’hui je suis encore beaucoup dans l’opérationnel. Alors, je suis SEO de la boîte. Donc évidemment, j’ai tout un peu tous les problèmes que ce soit juridique, comptable, le recrutement, etc. Mais, j’ai aussi encore les mains dans le cambouis puis je fais comme tu dis les conseils quotidiens, par exemple par email.

J’ai plein de choses aussi au niveau marketing puisque moi je suis plus au côté grosse hacking et marketing avec une équipe. On est 10 quand même dans cette équipe. Donc, je les manage surtout eux. Mais si tu veux, là maintenant, on va passer des étapes, où, si on devient plus nombreux, c’est encore une autre transformation de l’entreprise avec beaucoup de middle management, donc avec des chefs intermédiaires qui vont faire des comptes rendus, des choses comme cela ou de la gestion financière.

Je pense que ce serait plus cela, si tu me dis quelle compétence il faudra. Tu vois, c’est peut-être plus cette analyse financière un peu plus fine encore que ce qu’on peut avoir aujourd’hui avec nos 10 ans de recul. C’est là où peut-être je pense qu’il va falloir qu’on avance, notamment si on fait une levée de fonds dans l’année. Gérer plusieurs millions, ce n’est pas pareil qu’aujourd’hui à ce qu’on peut gérer, même si petit à petit en fait, cela a augmenté.

Mais bon, c’est encore d’autres niveaux où là il faut avoir une reporting très précise, avoir une gestion précise. Les fonds d’investissement qui investiront de toute façon, cela n’aura pas du tout le même impact que ce qu’on a aujourd’hui qui était de l’amorçage. Là, ce sera des fonds, il va falloir faire des reportages très précis tous les mois, plein de chiffres, plein de choses. Un peu contraignante, mais en même temps qui vont nous permettre de restructurer en profondeur la boîte.

Thierry : Actuellement donc, tu as un DAF dans la structure ou pas.

Grégory : Non pas du tout.

Thierry : Il n’y a pas de DAF. Bah voilà, il te faut un DAF. C’est eux qui connaissent les chiffres. Puis en même temps, même si j’ai l’impression que, quand même, si tu as 30 personnes, que tu n’as pas de DAF, c’est que tu as quand même une compétence en compta, mais tu dois connaître un peu l’analyse en finance. Là, il te faut automatiquement ton DAF pour monter les dossiers.

Grégory : En effet, je sais que je ne peux pas faire le travail aussi fin que le fait un DAF. Et c’est là où je pense que moi cela m’intéresse d’aller un peu plus dans ces compétences-là.

Thierry : D’accord. Parfait. On a encore dépassé, mais ce n’est pas grave. Merci. C’était intéressant. Merci Grégory. Donc, vous l’avez tout bien entendu, si vous êtes débutant, allez sur DROPIZI et faire la formation gratuite. Si on vous offre une formation, ce n’est pas pour rien. Donc, il faut vraiment y aller et les écouter. N’hésitez pas à aller voir support. Si j’ai compris, il y a quand même des gens qui suivent aussi, donc poser des questions, se lancer.

Ensuite aussi WIZISHOP, pour ceux qui sont plus expérimentés, qui ont du stock et qui ont des produits, puis plein de petites pépites qui vont arriver. Et aussi ton site à toi dont Gregory-beyrouti.com. Je te laisse le dernier mot.

Grégory : Moi déjà, je pense que cela répète un peu une de tes questions, mais lancez-vous, tentez l’aventure parce qu’en fait au final sinon vous aurez que des regrets. Puis merci beaucoup à toi Thierry. Continue à faire plein de podcasts comme cela. Moi, j’adore écouter les podcasts aussi. D’ailleurs, j’encourage aussi tout le monde, on disait tout à l’heure de lire des témoignages.

Mais c’est vrai que suivre des formations, écouter des podcasts, bref toujours vouloir évoluer, regarder des vidéos sur YouTube, il faut toujours se remettre en question. C’est vraiment cela le plus important. Si vous écoutez ce podcast, là aujourd’hui, et que vous vous dites : ouais, mais bon au final, je connais déjà quasiment tout ; vous êtes sur la mauvaise voie parce que tout le monde peut toujours apprendre plus.

Thierry : On apprend toujours plus. Cela, c’est une enquête anglo-saxonne qui dise que la plupart des gens qui écoutent beaucoup de podcasts ont un moyen de rémunération 158000 dollars à l’année. Je ne dis pas que c’est vrai parce que j’en connais plein qui en écoute, mais bon. Il faut en écouter beaucoup, il faut appliquer, mais c’est déjà une base. C’est que mieux que d’écouter une émission, je ne dirai pas laquelle sur n’importe quelle chaîne télé.

Là même si on n’a pas l’impression, il y a le subconscient qui travaille. On apprend des choses puis à un moment, cela va servir. Grégory, c’est moi qui dis merci, donc merci à toi. Je te dis très bientôt puisque pour la suite, je vais te réinviter parce qu’il y a plein de choses qu’on n’a pas pu parler. Donc, n’hésitez pas à télécharger et à aller suivre tout ce que fait donc le Grégory et son équipe. Puis je te dis à très bientôt, Grégory.

Grégory : Merci beaucoup. À bientôt !

Thierry : Voilà c’est fini donc pour l’épisode numéro 9, merci donc à Grégory. J’espère qu’il vous a motivé et surmotivé à créer votre e-commerce en dropshipping ou en e-commerce classique avec votre stock avec WIZISHOP. Donc, ceux qui voulaient se former et qui hésitaient à trouver des formations, allez-y. Donc, cliquez sur le lien thierry-henry.fr/dropizi. Vous avez la formation gratuite et 14 jours gratuits pour pouvoir tester le fameux DROPIZI.

Merci à tous. Je vous dis à la semaine prochaine. Surtout, je le répète, n’hésitez pas à commenter et à poser des questions, que je reposerai à Grégory que je réinviterai s’il le faut, donc à partager et à vous inscrire pour qu’on puisse développer le podcast. Je vous dis à la semaine prochaine pour une autre interview d’entrepreneur. Tchao !