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EP 53 – COMMENT DISRUPTER SON MARCHE ? Interview de Bertrand MILLET

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Comment disrupter son marché ?

Thierry : Salut à tous, bienvenue sur l’Entrepreneur lifestyle, Thierry #HENRY épisode 53. Aujourd’hui, on va parler de marketing, d’entrepreneuriat et surtout de disruption de marché. Et donc pour çà je t’ai emmené l’expert qui est Bertrand Millet. Tu dois connaitre du marketing mentalist, donc tu peux aller sur le site directement si tu veux plus d’informations marketing-mentalist.com mais je préfère que tu restes parce qu’il y a plein de choses à dire.

On va donc vraiment développer toute la partie créatif. Même si, comme toujours, j’ai un peu argumenté avec mon invité, moi, j’avais des idées un peu un peu différente. La disruption était tout pour les grands groupes et on va donc voir que tout est possible, même si on est petit TPE, PME On peut donc faire ce que fait Uber, Airbnb et tous les autres grands groupes, ce qu’on appelle des licornes et faire la même chose dans son marché et réussir à tout, exploser, tout simplement. Donc je te dis du tout après avoir remercié les sponsors.

 

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Thierry : De retour sur l’épisode 53 avec Bertrand Millet. Si tu viens juste d’arriver, donc on va parler de destruction de marché. Il va donc me donner plein de conseils concrets jusqu’à la fin. Bien sûr, n’hésite pas à s’abonner. C’était nouveau sur le podcast, y a encore plein d’études à écouter. On publie deux fois par semaine. Moi, je te dis tout de suite avec Bertrand Millet pour parler de disruption de marché.

PRÉSENTATION

Thierry : Salut Bertrand. Comment ça va?

 

Bertrand: Super, merci beaucoup et toi même.

 

Thierry :  Ah au moi, ça va toujours surtout quand je suis en train d’enregistrer un podcast je suis toujours en plein de forme. En plus en plus j’aime bien le sujet, donc on en a parlé un petit peu. Donc là, on va vraiment détailler. Et ça tombe bien parce que je pense qu’on est tous. On veut tous disrupter son marché, parce qu’on sait très bien que c’est en général ce qui permet de se différencier, de prendre des parts de marché et d’être en première position.

Donc, on va parler de ça aujourd’hui. Tu vois très précisément ce dont tu parles. Je te laisse te présenter même si logiquement tout le monde te connait et apprends on est parti

 

Bertrand: Ouais en gros. Alors, je m’appelle Bertrand Millet. Voilà ça, Mais çà sera j’imagine écrit un peu partout. Tiens, voilà mon métier. Fil rouge, c’est consultant marketing. C’est vraiment ça que je ferais. Et notamment à travers une activité qui s’appelle Marketing Mentalist, dans laquelle j’ai l’ambition peut être un peu la prétention. C’est cool d’en avoir deux.

D’apporter un angle complètement nouveau au marketing et d’apporter vraiment ce que j’estime être du marketing et ne pas mélanger ça avec un autre chose. Et le retour que m’envoie les audiences qui m’envoient les gens qui suivent ça, c’est que ça sort vraiment de l’ordinaire, donc. D’où le mot disruptif qui va être un peu au centre de tout ce qu’on va raconter pendant notre interview.

Et l’idée, c’est fréquent d’avoir une petite recette. Si tu veux une espèce de petite méthode, un petit machin pour faire en sorte qu’on puisse maitriser cette disruption de façon efficace.

 

Thierry : D’accord, donc, on va commencer. Donc par comment on peut là en général, quand on parle de disruption ou de penser hors de la boîte en think outside the box de être non-conventionnel, c’est souvent attribué à la tech stars up à Airbnb, Uber qu’il faut  avoir de l’argent, un super CMO Il faut, il faut tout, tout, tout changer et toi en fin de compte, quand tout le monde peut le faire dans tous les types de marchés.

 

Bertrand: Absolument. Et au contraire, je pense qu’il ne faut pas tout changer. C’est à dire que le principe d’un Uber ou d’un Airbnb, ce n’est pas parce que ce sont des trucs qui sont énormes et qui avait vocation des plateformes qui avaient vocation de façon à ne marché que si le business model touchait énormément de gens. Sans ça, le business model n’était pas viable et le principe, c’est qu’on ne regarde.

On associe la disruption avec ce côté gigantesque à tort. Leur succès vient d’un truc qui est disruptif, mais si on prend tout le business model, que ce soit de l’un ou de l’autre. En fait, c’est à un endroit seulement dans lequel ils ont amené une vraie innovation, c’est à dire que Uber. C’était le principe d’avoir un service de taxi dans lequel tu possèdes zéro bagnole. C’est incroyable.

L’autre, c’est un service d’hébergement dans lequel tu ne possède absolument aucun, aucun immeuble. Et en fait. C’est ce principe là qui, d’un seul coup, c’est que en pensant justement différemment, on puisse se dire. J’ai un business qui est révolutionnaire, mais en fait, la révolution n est pas sur l’ensemble du processus, elle est pas sur innovations au sein d’un même business. Elle eut lieu en général au départ sur une idée qui est très simple et très basique, mais qui va être prise avec justement un élément seulement qui lui va sortir du sortir de l’ordinaire et va demander de think outside the box. Comme tu disais tout à l’heure.

 

Thierry : Moi tout de suite, je vais te challenger. C’est le seul but du podcast. Là, on a pris des exemples de gros, mais eux, il y a une grande différence. En fin de compte, quand on dit penser différemment ou disrupter, ils ont moins de enfin de comptes. Mon modèle Business Model c’est l’affiliation si on veut indirectement. C’est d’affiliation, mais ça a un niveau de milliardaires parce que techniquement, il me détendre les liens qu’ils ont, ils ont juste un site où il y a des liens.

C’est comme si tu as une affiliation d’affiliation avec eux, leur différence. La vraie différence, c’est que ils ont un petit changement, comme tu dis, mais parce qu’ils pensent très grand, parce qu’il faut penser très grand. Ça, c’est ma première question est ce qu’on peut le faire soit un petit business? On peut faire un changement qui va discuter eux aussi. Ce qu’ils ont fait, c’est qu’ils ont fait des levées de fonds.

Ils ont fait, décide ou indifférence. Mais il y a deux grandes différences. Une petite boite, on peut chercher l’argent, faire de la love money et prendre l’argent au voisin. Mais bon, c’est pas grand chose. Et le marché?

 

Bertrand: Mais effectivement, maintenant, la vraie question, je pense qu’on peut être disruptif sans aller chercher les milliards et sans même le vouloir aller chercher des milliards. C’est vrai qu’aujourd’hui, on va souvent associés réussir en tant qu’entrepreneur. Ça va assez naturellement et automatiquement dire ah tu as créer le nouveau Uber. Alors qu’en fait, par exemple, si je prends mon cas personnel, c’est absolument pas mon ambition.

Moi, je n’ai jamais eu vocation à créer un empire. Jamais je n’ai toujours pas et je ne veux pas. Mais pourtant, oui, on peut quand même profiter et bénéficier de la disruption. Ce qu’il faut regarder dans la taille de boites comme Uber. C’est exactement ce que tu as dit, c’est que oui, il y a une disruption au départ, mais que derrière cette disruption là, ils l’ont amené à un niveau gigantesque.

Mais en même temps, ce que je disais, c’est que des plateformes comme ça, leur business model, leur raison d’être, ne peut être qu’à une échelle énorme. Tu vois, si je prends AirBnB, dit si tu veux Airbnb ici. Le principe, c’est qu’en fait, tu pouvais voyager que entre Tours Nord et Sud. Tu vois, ça n’aurait jamais fonctionné parce que rapidement, le truc, ce serait aurait tourné en rond. Et donc, c’est nécessairement un business qui demandait d’être grand.

Mais on peut totalement appliquer le même principe sur un business qui n’a pas besoin d’être gigantesque et dans lequel on peut s’éviter tout ce qui est la levée de fonds et tout ce qui est, tout ce qui est justement le côté pharaonique et colossal et le faire, mais simplement dans un marché et à nouveau, c’est amener la disruption aussi un dans une finalité qui est intéressante pour nous.

Moi, j’aime bien classer les finalités d’entrepreneuriat. Moi, je fais partie des entrepreneurs qui, vraiment, travaillent tous les jours à se la couler douce, à être dans un rythme qui coule. Et donc, je fais attention à ce que les disruptions que je vais créer m’amène à faire ça. Moi, si tu veux demain, je n’ai pas du tout le courage, mais tellement pas le courage d’aller créer le prochain Uber. Le mec,.

 

Thierry : Tu penses comme, je ne sais pas si tu connais James Schramko qu’a écrit Work less and . Min more, comme un bousculera un : qui. Il y a eu plusieurs boites, a beaucoup travaillé, mais bon, il a 5 enfants et aller faire du surf tous les jours, donc ils bossent lundi matin et tout l’après midi à faire du surf, comme il dit, il pourrait monter une boite qui fait 8, 1, 100, 8 chiffres, mais lui, il veut juste faire un million. Il sait de quoi il a besoin de plus.

 

Bertrand: C’est exactement ça. J’en ai parlé récemment dans un podcast avec sa justement sur le principe de la limite haute. En gros, la question, c’est de se dire combien j’ai besoin de gagner d’argent au non pas au minimum, mais au maximum pour vivre la vie que je veux. Et quand a fait ce calcul, t’as une espèce de plafond. Ça ne sert plus à rien de dépasser. C’est à dire que tu te dis si je gagne 1 euro de plus que ça, je n’ai absolument aucune idée de quoi foutre de cet Euro. Et donc, il devient presque encombrant. Et ben, c’est un peu ça.

L’idée, c’est de se dire voilà qu’aujourd’hui je suis dans une veine dans laquelle mon but n’est pas de gagner plus que ce que j’ai aujourd’hui, mais c’est de mettre encore moins de temps pour le gagner, pour bosser encore moins. Et c’est mon combat aujourd’hui. Ce que je gagne me permet, mais dix fois de vivre mon année et de vivre vraiment dans un rythme de vie que j’adore.

Ce n’est pas mon truc, mais pour autant. Pour répondre à ta question, c’est est ce que là, c’est intéressant? Des disruptifs? Oui, bien sûr. Sauf que les disruptions sera plus lent. Des disruptions qui ont vocation à créer des boites colossales. Mais on sera des disques dans des distributions qui me permettront de faire encore moins d’efforts. Et là, je pourrais en raconter de 3 que j’ai mis en place sur mon propre business et qui marche, qui marche du tonnerre.

 

Thierry :  au delà de l’anti-vente.J’ai posé la question, mais en avançant en fin de compte le problème de la disruption. Mais bon, je trouve que je vais te laisser répondre par rapport à tes business, mais j’ai pas envie d’oublier ma question de poser la question directement. Peut être que tu vas répondre par rapport à ta réponse. Comme fait souvent mon business bout de copie.

Comment on fait quand on est disruptifs, des fois dans les gros marchés, donc on a de l’avance, de l’argent et une taille suffisante pour pouvoir même si on est copié. Bon, c’est qu’on est les premiers un peu disruptives à copier ou à ce que il y a un moyen

 

Bertrand: En fait, il y a moyen assez simple dans chaque business a son truc. C’est plus difficile, je trouve dans un business type drop shipping ne pas être copié parce que finalement, ton seul avantage? La seule disruption que tu puisses apporter. Si tu fais le truc de façon basique, attention, t’aurais tellement plus s’amenait. Mais c’est simplement sur le bon produit que tu vas trouver que les autres n’ont pas encore trouvé.

Mais moi, c’est le niveau zéro de la disruption. C’est de la disruption des looser. C’est la description du genre, en fait, des gens qui vont en permanence courir après, après la stabilité. Le principe est que ce n’est pas un business model qui est stable. Une belle disruption, pour moi, serait une destruction. Tu peux en créer et donc forcément, qui est très lié à ta personnalité et à qui tu es, toi et à tes propres recherches.

C’est à dire que si demain quelqu’un peut tenter de faire la même chose que moi fait, il en ferait une pauvre copie et dont il n’aurait donc fait cette copie là n’aurait pas tellement de sens pour lui. En gros, parce que parce que dans son business, ça n’a pas du tout la même logique que dans le mien. Et il y a des gens qui, en ayant vu mon business, que je l’ai raconté à deux ou trois personnes, un peu plus que ça.

Sur certaines interviews, j’ai dû raconter un peu, mais ont tenté de faire la même chose et qui m’envoie des messages en faisant Bertrand? Je ne comprends pas, ça ne marche pas. Ce que tu fais. Mais en fait, si ça marche, mais ça marche parce que c’est moi, ça marche parce que derrière, je sais pourquoi je fais les choses comme ça. Je vais prendre un exemple qui est tout bête, mais il n’y a pas longtemps que j’ai décidé de changer un business model. En gros, mon business model aujourd’hui d’en marketing Mentalist. Est ce que je passe mon temps à dire à ma liste?

C’est Je n’ai rien à vous vendre et ce qui est vrai? J’ai absolument rien à leur vendre. Et là, la question qui vient de suite, c’est comment tu fais de l’argent? Si t’as rien à long avec mon argent, il vient de façon indirecte, la première. La première façon, c’est que bien en gros, comme j’ai rien à vendre et que je donne énormément de valeur, mais vraiment énormément de valeur aux gens qui me suivent.

En gros, cette notoriété là va faire que très naturellement, des grosses boites m’ont contacté pour justement pouvoir être consultant marketers chez eux. Et en gros, ce truc là, déjà, le bruit que ça fait, l’attention que les gens me donnent et finalement, la fidélité et l’engagement qu’ils ont pour porter mon message, c’est assez facilement. À plusieurs reprises, et donc J’ai pu aller contacter des grosses boites ou des gros intervieweurs ou des choses comme ça, parce que à un moment donné, dans ma relation, je compte pas sur les gens qui me suivent pour être mes clients.

 

Thierry : Donc, tu as fait de l’anti-ventes.

 

Bertrand: Je fais de l’anti vente, mais je fais C’est dire que c’est pas d’Anti-vente parce que dans le principe d’anti vente, tu vends,.

 

Thierry : Tu veux vendre.

 

Bertrand: Alors que moi, j’ai rien vraiment à la vente et je reçois encore des messages de gens qui me disent ouais, tu dis que tu vas rien vendre, mais je t’attends encore dans un an, mais en fait, non. Dans un an, tu pourras m’attendre encore. Je te vendrait toujours rien.

 

Thierry : Surtout par rapport à ce que tu me dis c’est peut être des gens qui n’ont pas les moyens, ils sont supposés supporter. Mais toi, tu veux des clients un peu plus haut de gamme.

 

Bertrand: Mais en fait, aujourd’hui, c’est effectivement ça. Quand je dis aux gens vous n’êtes pas mes clients, mon prix de départ. Si tu veux, c’est sont des forfaits, je parle en consulting. Ce sont des forfaits de 8000 euros minimum. Il faut prendre trois mois. Donc, si tu veux quelqu’un qui est capable de lâcher comme ça à 24.000 euros hors taxes, y’en a pas beaucoup. Et c’est pour ça que ce n’est pas du tout mon délire.

Mais l’autre, l’autre principe, et je vais le rappeler en permanence, je ne suis pas là pour faire 300 millions par an. Je suis là pour me la couler douce et donc j’ai une règle très stricte je n’ai jamais plus de cinq clients, jamais.

 

Thierry : Bienvenue dans L’entrepreneur Lifestyle

 

Bertrand: Oui, mais c’est ça. J’ai 5 clients et mes clients sont des clients fidèles à l’année. En général, c’est les 3 premiers mois et ensuite ils signent en mode bas. On continue comme ça ensemble et c’est comme ça que je. C’est comme ça que j’ai cette espèce de train de vie tranquille. Maintenant, regarde là où, par contre, la disruption est. En fait, elle arrive et là, je vais commencer à donner un petit élément de recette.

Mais la disruption arrive au moment de la contrainte et c’est ça qui est intéressant. C’est de voir quand tu commences à avoir une contrainte, comment tu va résoudre cette contrainte. Et là, tu peux la résoudre de façon directe, ce qu’on appelle en créativité, façon fil de plomb. Ou justement, tu peux commencer à passer en tête de box. Donc, je reviendrai sur la recette un peu plus tard, mais juste pour donner une façon dont moi je me suis amusé avec ça, c’est que j’ai dit OK.

De par l’audience qui grimpe, j’ai, aller. Je dirais au moins trois demandes d’accompagnement marketing par semaine. Au moins, c’est au minimum, donc c’est super sympa. Mais moi, les gens, quand je continue et on discute. Et puis après, je choisis de leur dire en fait non, j’accompagne pas ces affranchissent, j’ai rien à te vendre. Et donc derrière, c’est juste au bout d’un moment, je me dis qu’il y a quand même plein de gens qui m’appelle pour me le demander.

Je dis non à chaque fois et la question qui suit, c’est bien. Je ne connais pas quelqu’un de confiance et ma réponse est franchement comme ça. From the top of My head Pas tellement, pas tellement. Mais bon, derrière et au bout d’un moment, je me suis dit Attends, j’ai une audience de gens qui aiment le marketing. Je suis sûr que j’ai des marketeurs de qualité à l’intérieur, qui demande qui a explosé. Alors, qu’est ce que j’ai fait?

Je me suis dit Bah, je vais proposer à mon audience de les former et. Ça vient déjà quand on me demandera si je connais des marketeur de qualité, je pourrais renvoyer sur des gens que j’ai formés moi même, en qui j’ai pleine confiance et dessus, je prendrai une commission. Ce que j’ai annoncé à tout le monde, sauf que j’avais un problème. Je te rappelle que j’ai dit à mon audience Je n’ai rien à vous vendre, donc je n’allais pas commencer à leur vendre une formation. Je me serais contredit. Alors, qu’est ce que j’ai fait? Ben, je me suis dit que je vais l’offrir l’information. Je vais offrir la formation,.

 

Thierry : Je veux en avoir la formation, un outil la formation au marketeur.

 

Bertrand: Et donc, j’ai décidé d’offrir la formation et je me suis dit Je vais offrir un truc qui va faire tout le monde avoir la mâchoire qui se décroche. Exemple 9 mois de formation complète, trois niveaux de certification. Un bootcamp au bout du monde. Le truc de fou dans lequel, en gros, les gens, c’est la formation. Elle est gratuite. La seule chose que je demande, c’est de participer aux frais du bouquin en gros, mais je prends pas un centime dessus.

Et le truc, c’est que c’est tellement de qualité la il y a les premiers, les premiers et les premiers témoignages qui arrivent là en fin de semaine. Les gens sont ouff de la qualité de la formation. Et le pire, c’est que je leur envoie des clients. C’est à dire qu’en gros, ceux qui passent un certain niveau de certification, je leur envoie des clients. Donc les gens, ils sont juste gagnants de ouf là.

 

Thierry :  j’acquièreC’est marrant parce que en fin de compte C’est une sorte de franchise à part qu’ils n ont pas payé le droit d’entrée eux.

 

Bertrand: Exactement, il n’y a pas de droit d’entrée. C’est une sorte de franchise, mais ça va même encore plus loin. On va se rendre compte que d’un seul coup, le système, il devient ultra vertueux. Pourquoi? Parce que je dis simplement aux gens la formation vous n’allez pas la payer. Par contre, ce que je vous demande simplement, c’est de vous acquitter d’un truc. C’est que pour avoir le droit de déposer votre dossier parce que je ne prends pas tout le monde, t’imagines bien. À ce jour, j’ai 200 personnes en attente qui ont déposé leur dossier.

Je ne peux pas former tout le monde parce que je veux des formations ultra qualitatives et je forme les gens par groupes de 8. Donc voilà juste qu’on se rend compte un peu des chiffres. Et en gros, je dis aux gens c’est simple, vous voulez, vous voulez participer à la formation? En gros, ce que je vous demande simplement pour déposer le dossier, c’est de m’avoir envoyé un certain nombre de leads c’est à dire d’adresses email que vous m’envoyer vous même et simplement, je veux vous envoyer des listes dans ma newsletter. C’est gratuit.

Donc, en gros, si tu veux pour que j’en ai le droit de participer à la formation, ils doivent attirer des gens dans mon système. Sauf que derrière les gens qui rentrent dans mon système, il y en a une partie qui eux aussi veulent participer à la formation. Donc eux aussi m’amene des leads, ce qui fait qu’en gros, j’ai des leads en permanence sans jamais avoir fait un centime de publicité.

Je ne sais pas combien des leads par jour, mais c’est juste énorme. Et en fait, le système, il est archi vertueux comme ça. Et encore, c’est une toute petite partie du système et des partis. Évidemment que je garde beaucoup plus confidentiel. Mais voilà comment, à partir d’une simple contrainte, en disant je ne vais pas chercher à gagner de l’argent directement ou là, je pense que 90 pour cent des gens auraient dit oui, je vais vendre une formation à mon audience.

Moi, je me suis dit je vais pas leur vendre leur ciné. Par contre, on va jouer en plusieurs bandes et c’est de là ou d’une idée qui est Basique et de faire une formation. Une idée, on va dire fils de plomb, avec deux, trois éléments d’un peu de créativité. On arrive à un système qui produit bien plus que simplement simplement ce truc là.

 

Thierry : D’où? D’où t’est venue l’idée c’est personnel? Une reprise aux États-Unis ou ailleurs? C’est vraiment toi,.

 

Bertrand: Alors c’est vraiment de moi l’idée. C’est là un petit peu. On va commencer à rentrer dans la recette. Tu fais des transitions extraordinaires. J’appelle ça subtil, lui. Si on parle un peu de recette, alors j’aime beaucoup le processus créatif. C’est quelque chose que je n’ai pas mal étudié. Et quand on parle de créativité, en fait, on se rend compte que notre cerveau, c’est l’activité la plus gourmande qu’il puisse avoir en termes d’énergie.

C’est justement créer, créer des choses nouvelles. C’est très compliqué pour notre cerveau. Pourquoi? Parce que, en gros, il est en permanence sollicité et en gros, lui, si on lui soumet une situation créée. C’est tellement d’énergie qu’il va préférer sortir des solutions tout de suite depuis. Depuis notre expérience. Et en gros, si.

 

Thierry : En fin de comptes, tu veux dire qu’on fonctionne par habitude parce qu’on est des êtres qui aime la facilité Donc on fonctionne par habitude.

 

Bertrand: Exactement.

 

Thierry : A l’opposé, tu es un créatif. Donc, tu cherches toujours à créer ton cerveau, ton cerveau sait créer.

 

Bertrand: En fait, en tout cas, je vais éviter. Je vais éviter à mon cerveau et mon cerveau fait comme tout le monde. Dans un premier temps, il va me sortir des idées bâteau. Donc, c’est ce qu’on appelle la pensée fil de plomb. En fait, on va créer tout un tas de processus pour justement éviter de se laisser aller dans ces idées. Fils de plomb. Et la première, c’est comme je disais, ça part d’une contrainte. Et la contrainte, c’était vraiment celle que je disais tout à l’heure, c’est à dire des demandes d’accompagnement.

Mais l’incapacité de répondre et surtout une promesse faite à mon audience, je ne vous vendrai jamais rien. Donc, si tu veux, tu commences à prendre un peu toutes les contraintes de ton système et tu dis comment là dedans, je peux faire quelque chose qui va faire ressortir de la valeur pour mon audience, pour moi, pour des futurs clients potentiels et sans jamais trahir mes promesses, en respectant les contraintes et donc le premier. Le premier truc que ton cerveau fait dit Ben, tu vas vendre une formation. Et puis après, tu t’arrange un peu avec ça.

Ça, c’est la penséé fil de plomb et j’ai envie de te dire j’ai eu ça comme réflexe au début, mais en fait, c’est juste la différence. C’est que tu t’arrêtes pas ici. Tu te dis OK, très bien. C’est ma première pensée. Je pars de ça. Pas de soucis, mais derrière le but. En fait, ça va être de d’accepter de ne pas t’arrêter sur ta première idée et de les soumettre en fait long, à travers d’une discussion. Un machin, un truc, des idées à d’autres personnes.

Et là, quand je lis d’autres personnes, c’est n’importe qui, vraiment n’importe qui. C’est un gars au bar et en fait, c’est la façon dont Jung, Carl Jung interpréter ses propres rêves il était très connu pour interpréter les rêves. Mais il a expliqué que c’est très dur pour lui d’interpréter ses propres rêves. Et donc, ce qu’il faisait, c’est qu’il allait voir un de ses disciples. Il lui demander d’interpréter ses rêves, donc les rêves de Carl Yung, et en fait, le disciple y allait, mais y aller en se trompant de façon un peu grossière.

Mais en fait, Carl Yung, ce qui se faisait, c’est qu’il n’écoutez pas forcément l’interprétation même de l’autre. Mais il construisait, à partir de l’interprétation de l’autre, sa propre interprétation de ses propres rêves. Et en fait, c’est un peu ça que je fais. C’est dire qu’en gros, je vais demander des conseils à des gens, mais non pas pour qu’ils pour écouter leurs conseils directement, mais tout simplement pour commencer à envoyer mon propre processus créatif et maudire à son idée. Elle est pas mal si je rajoute ça, ça, ça, ça me fait une idée de ouf! Et c’est exactement comme ça que je fonctionne bien.

 

Thierry : La même chose excuse moi de te couper. Mais avec mes enfants ce qu’on m’a toujours dit de le faire avec les enfants, c’est exact. Ils ont une imagination assez créatives. Des fois, c’est un peu foldingue. Ils vont sort… partir un peu loin. Il faut d’abord leur expliquer, mais eux vont te ressortir ce que tu as dit de compliquer en simple. Est ce  que ça peut penser que des enfants,.

 

Bertrand: Ça peut s’appliquer à bien passer. Mais même on va faire un truc, c’est que justement, on va leur mettre zéro limite. En fait, le principe, c’est que quand on est dans la phase créative, justement, les trucs les plus fous, les trucs les plus fous sont les bienvenus. Et là, j’ai envie de parler d’un gars qui est très connu. C’est juste un mec qui a crée Amazon. Je pense qu’on peut aider les autres.

Ça parle à tout le monde. Bon, Jeff Bezos, s’il a une méthode pour créer des trucs disruptifs, qui est juste extraordinaire et qui réunit son équipe et dit OK. Si j’avais une baguette magique et que l’on pouvait faire de la magie pour nos clients. Qu’est ce qu’on sortirait la maintenant? Et donc, par exemple, c’est comme ça qu’ils en sont venus à créer. Tu sais, c’est bouton où tu étais chez toi, tu avais un bouton, par exemple pour les couches d’appuyer sur un bouton et les gens. Et le lendemain matin, tu avais les couches qui arrivaient chez toi et m’ont fait le délire.

C’était quoi? C’était le dire? Bah, si, c’était magique, les gens, ils auraient juste à penser un truc, à dire à haute voix. Et puis, dans la seconde, ça arriverait chez eux. Ça, ce serait la magie. Et là, Jeff Bezos, ce qu’il faisait dans la deuxième phase, c’est de dire OK. Aujourd’hui, on est capable de faire ça. et donc, dans les équipes, oui, non, oui, non, non, non, non, non. OK, très bien. OK, il a reculé, disait Bon, si j’étais un tout petit peu moins magique, qu’est ce qu’on pourrait faire? Et ainsi de suite? Et en fait, il remonte le truc jusqu’à ce qu’il soit l’endroit le plus magique du monde.

Eh bien, c’est ça le truc intéressant, c’est de se dire comment ce fait on se laisse pas abattre par une contrainte et on ose être complètement barré. Et c’est là où les idées des enfants, c’est cool. Parce que si tu censures pas l’idée, tu dis pas maintenant, c’est pas possible tout de suite, mais tu te dis comment c’est faisable, leur truc. Eh bien, tu te mets à avoir des idées qui sont totalement différentes. C’est ce que j’appelle l’esprit du magicien, ce que j’ai fait de la magie semi-pros pendant quelques années et en tant que magicien. Le monde, tu le regarde jamais comme c’est possible.

C’est pas possible, mais tu le regarde toujours en te disant comment rendre ça possible. Exemple t’as ton pote, tu te dis putain, ce serait trop cool. Un tour de magie où je m’arrache le bras. Je me le remet. Une personne normale se dit mais n’en c’est pas possible. Un magicien se dit comment on peut faire un truc pareil. Et c’est ça que j’adore et dans cet esprit là, c’est cet esprit là, je trouve que les entrepreneurs magiciens, c’est ça l’idée, c’est de te dire que rien n’est possible, rien n’est impossible, mais toujours se demander comment je peux le rendre possible si la magie existait.

 

Thierry : Ça tombe bien que tu dises ça parce que quand tu parlais de çà toi tu as parlé de magicien d’hypnose enfin de plein de choses et de Jeff BESOS, mais enfin de compte. Je me rappelle d’un écrit d’un audio de Robert Kiyosaki qui disait la différence entre un entrepreneur et un non entrepreneur. Une personne qui va réussir, c’est que un va se dire c’est pas possible, l’autre va se dire qu’il faut parler à son esprit, le faite de dire comment va obliger ton cerveau à chercher, ton subconscient à chercher et que si tu lui dit non c’est pas possible automatiquement.

Comment, comme tu viens de dire c’est pas, c’est pas que c’est à la base un entrepreneur doivent toujours se dire comment tu veux dire comment je vais réussir à faire, même si c’est logiquement comme Montaner. Comment gérer ces affaires? En fin de compte, c’est plutôt un processus de créateur en général. En complément, on dit bien créateurs d’entreprise, donc c’est qu’à la base, un vrai entrepreneur doit avoir cette fibre là.

 

Bertrand: De créatif. Totalement. C’est ça le principe d’un créatif. Alors évidemment, quand on est là ou après, en tant qu’entrepreneur, tu toujours ceux qui savent. Moi, je sais pas. Je sais très bien démarrer les entreprises, je sais très bien créer des modèles et en tant que marketers, c’est pour ça que je pense que je suis très bon dans ce que je fais. C’est parce que j’ai toujours des idées qui font que les gens n’ont jamais entendu ça. Par contre, derrière lui, toute notre partie, l’entrepreneur qui est cette partie de rigueur, de méthodisme, etc.

Là dessus, je suis, je suis cacahouète parce que parce qu’en fait, ça, dans mon cerveau, c’est trop de challenge. J’ai besoin de créer en permanence, mais c’est ajouter un petit peu d’esprit comme ça dans son business. C’est effectivement se permettre. Et encore une fois, de passer. L’important, c’est de pas l’appliquer à tout le business. Et ça, c’est super important dans la méthode.

En fait, c’est vraiment de se dire on commence par le truc qui est le plus simple du monde et on ne commence à activer son processus créatif qu’à partir du moment où on tombe sur une contrainte. Moi, je vois des gens. Ils sont à peine au stade de l’idée et ils sont déjà en train de se demander comment la rendre extraordinaire. N’est Vasil, mon pote fonce d’abord à va jusqu’au premier mur et c’est dans le mur que tu trouveras ton côté extraordinaire.

C’est dans la façon de franchir ce mur, mais si tu veux, je vois aujourd’hui trop de gens qui essayent de faire des trucs extraordinaires depuis l’idée. Mais l’idée, c’est souvent les idées sont les plus basiques du monde, je veux dire. Mais qui a créé Gubert? Son idée était toute con. C’est un service de taxi. Le taxi, ça existe depuis la nuit des temps.

 

Thierry : Souvent, souvent, souvent un projet. Je crois que c’est parler aussi souvent. Les idées viennent d’une frustration qui prend un paquet, son dégoutés. Donc souvent, il faut plutôt aller chercher dans ce qu’on trouve. J’écoute souvent, je veux bien trouver une émission s’appelle Chareton, qui est un Ganden aux États-Unis ou un en juillet au Québec. C’est dans la bouche du requin.

Ou bien on voit en fin de compte que les meilleurs créateurs, souvent quand ils viennent voir leurs enfants et une maladie, y’avait pas de loyer, pas le produit qu’ils ont créé. Voisard, le taxi impossible. Soit ils sont ce texte peux un service, donc ce soir, il y a une frustration et qu’il faut transformer en idées et voir si c’est un exploit.

 

Bertrand: Mais en gros, c’est un peu l’esprit. Si je disais moi qui j’imagine très bien, mais comment il a pu créer Uber? Un jour, il est dehors, il cherche un taxi, il n’y en a pas. Il commence à s’énerver. Il se dit putain, mais ce serait tellement bien. J’ai une application, je clique a la voiture qui arrive et en a un qui a dit ce serait trop bien, mais c’est pas possible et pas 8. Regarde, il fait comment on va faire ça, les copains.

Et c’est ça l’idée. Mais dans l’idée, tu veux quand tu regardes le business de base, c’est un simple business de transport et de VTC. Faire le VTC existait avant Uber. C’est ça que j’aime. L’idée, c’est que le seul endroit où Uber a disruptives le truc, c’est pas dans le fait de créer du VTC. Ça existait déjà. C’est le fait d’amenée de mettre en relation des VTC et des gens qu’on aurait besoin. Et en gros, c’est juste de démocratiser le principe d’utiliser un VTC.

C’est juste ça tubaire à créer, mais dans le principe même de déplacer des gens d’un endroit à un autre. Excuse moi Uber. Il a fait que je vais faire un truc qui se faisait depuis tellement longtemps.

 

Thierry : En plus, en plus, tu dis ça, mais pendant que tu dis ça, je réfléchissais que souvent en fin de compte dans ce type de business. Bon, on va encore sur les gros, mais on revenir sur les petits, les mais par un point, on me dit de foncer. C’est que souvent les enfonce souvent comme ils de ils n’ont pas encore la monétisation. Ils ont pas encore compris quand gagne de l’argent qui les pousse, pousse le projet et ensuite ils vont trouver.

Ils vont chercher comment monétiser. Donc, c’est pareil. Il faut se dire qu’il faut juste lancer l’idée. C’est comme si un entrepreneur qui a créé Smart Smartbox, je crois. Deux emplois créés. Il a tenté 20 projets. Et puis, il y en a un marché. Pourtant, la mise en échec est un marché. Donc c’est vraiment de lancer, d’ensemencer et de faire des changements en fin de comportement, sans boîte automatique. Pendant qu’on y est, on devient créatif.

 

Bertrand: Mais c’est exactement ça. Et c’est intéressant de se dire que même sur l’idée, en gros, c’est d’aller jusqu’à aller jusqu’à la contrainte. Commencez par faire le truc le plus simplement du monde, mais le faire, c’est à dire qu’il rentre dans la phase opérationnelle de ton projet le plus rapidement possible. Et là, tu vas voir tout ce à quoi tu n’avais pas pensé. Et à ce moment là, il y aura plein de solutions innovantes à apporter. Par quoi ce sera innovant. Parce que simplement, il bâté qu’un pauvre péquin comme moi, t’es pas tapa 12 milliards en poche à investir.

Et donc concrètement, quand t’arrive un truc ou tu te dis putain, merde! En fait, il faudrait que je possède 360 voitures au moins. Ou alors que je possède des milliers de voitures dans le monde pour que ça puisse se faire. Et là, tu te dis comment je fais pour pas faire ça? Parce que je ne peux pas acheter 300000 voitures, en fait. Et donc, d’un seul coup, tu te dis comment je renverse le fait de devoir posséder 300.000 voitures en disant que je pourrais ne pas posséder les voitures moi même. En fait, je pourrais juste amener les clients que chacun ait sa voiture et que ça s’organise comme ça.

Et si tu veux, c’est à ce moment là. Ce monde a réponse à un problème que d’un seul coup. La réponse originale arrive. Et donc, si on se laisse aller jusqu’au mur, si on se laisse aller jusqu’au problème. Et qu’on essaie pas d’avoir des solutions faisables, mais que d’un seul coup, on se dit comment en étant moi même et en faisant avec ce que je peux vraiment faire et pas ce que je pourrais faire dans 12 ans si je soulève 300 millions d’euros, ce que je peux faire aujourd’hui avec les moyens que j’ai.

Comment je peux apporter une solution innovante, c’est à dire une solution simplement qui est réaliste pour moi aujourd’hui, en ma qualité d’entrepreneur qui se lance avec des moyens limités, du temps limité et de l’énergie limitée. Et si tu fais ça, forcément, tu vas très rapidement arriver dans quelque chose qui est innovant parce que t’as juste des idées grandioses, ce qui est top, mais des moyens de les réaliser beaucoup plus petits. Et là, besoin d’être inventif.

 

Thierry : J’ai une question par rapport à ce que tu viens de dire quand tu essaies de poser deux questions simples qui vont paraitre même trop simple. Mon idée pour être parce que mon programme ne suis pas si créatif que ça. Moi, je préfère copier les idées des autres dans un truc qui marche. Donc, dès le départ, quelqu’un qui veut vraiment être créatif et disruptive se dit voilà a une façon de se faire comme ça.

Souvent, on dit qu’il faut, comme on dit, qu’il faut un homme, un copier, mais qu’il faut réaliser un chemin. Donc pourquoi s’embêter à créer un chemin et qu’un chemin créé où on perd? Tu veux vraiment te faire les rebelles et tu dis voilà, c’est ce qui fait son marché. Et moi, pour être disruptif automatiquement. À l’opposé, parce que des fois, c’est pas contreproductif, parce que tu vois si ça marche. Peut être que je ne suis pas totalement à l’opposé.

Tu vas te brûler les ailes pour rien. Ma La première question est la deuxième question qu’on peut tout simplement structurer par le branding. Parce que comme on est dans un monde qui va beaucoup sur le marketing vidéo ou audio et le branding, au lieu de créer, de changer tout le modèle de produit, on change juste. En fin de compte, le produit qui est nous mêmes nous mêmes n’introduit au lieu de nous paraitre en vidéo avec les cheveux noirs, met les cheveux et c’est fini, quoi?

 

Bertrand: C’est intéressant. En fait, ce que tu soulève pour moi, c’est la question de quels sont les axes sensibles? Quels sont les facteurs sensibles? C’est à dire que quand Tony Robine s’est dit ça, il est gentil, mais qui ne dit pas moi, c’est pareil si je copie de maintenir Robinsons. Mais 100%, vraiment. En fait, je vais pas pouvoir le faire parce qu’il y a un truc que Tony Robine l’ESCP-EAP pas, c’est qu’entre temps, l’univers a changé, le monde a changé et que si je repense à Nairobi, c’est que j’essaie de le créer aujourd’hui, de copier aujourd’hui.

J’en suis incapable. J’ai pas les moyens. Je ne peux pas organiser demain 50. Comment je dire 50? Merde, on appelle ça des hivernent toi, toi. 56ème Event avec 600 000 personnes dedans, c’est impossible. Je n’ai pas aujourd’hui la notoriété pour le faire. Mais, je pourrais essayer autant que je veux. Je peux pas. Car je pourrais même faire semblant de tenir Bodin’s, mais ça sert à rien. C’est à dire que ce qui ne dit pas, c’est qu’on copie.

Qu’est ce qu’on laisse à l’autre? À quel endroit on met sa propre personnalité? À quel endroit, justement? On va au contraire être plutôt dans Je personnalisent ou je copie. Et en fait, c’est là ce que j’appelle les axes sensibles. C’est comprendre quelles sont les choses qu’il faut copier et qu’il faut dupliquer, dont il faut s’inspirer. Ce qu’on va appeler les principes, la méthode,.

 

Thierry : Les faits et les changements ne comptent pas dans les fondamentaux d’un business.

 

Bertrand: Exactement là où, effectivement, on va copier un chemin. Mais le problème, c’est qu’il faut copier le chemin, pas le paysage qu’on doit voir sur le chemin. Ça n’a aucun sens. Sinon, pourquoi les gens ypérite pour avoir un Antoine Robin? Tu vois Nantes à Tony Robine? Si tu veux le vrai, tu ne veux pas sa copie française.

EMULER EN RESTANT CREATIF

Thierry : C’est pourquoi je dis ça parce que je sais pas si tu connais un peu Tony Robinson. Il a été l’élève d’un grand grand speakers du monde a ans et il y a un autre qui s’appelle Lewis. Il a été même nommé l’un des meilleurs speakers. Et pareil lui aussi. Il a été un des scribes du site du Cool Caulaincourt. Et comme par hasard, les deux, en fin de compte, ils ont baigné dedans.

Et comme par hasard, les deux sont les grands leaders. Je pense qu’il a repris la forme de dibrome, puis, après la modifier, je crois que j’ai posé la question du branding parce que lui, il a sa personnalité. Donc il l’a modifié, sa personnalité avec sa marche en marche sur le feu et tout ce qu’il a pu rajouta.

 

Bertrand: Mais en même temps, si tu prends ce qu’il a fait, lui, il a pas fait comme ses prédécesseurs. Il a été plus loin sur certaines choses. Il a été dans d’autres directions, sur certaines autres que Robin. Aujourd’hui, par exemple, il va. Il va aborder des sujets dans lesquels les deux autres sont jamais allés. Et donc ça, tu veux. Et au bout d’un moment, c’est dire ça, c’est juste se dire moi, je crois que c’est un peu comme les filles d’acteurs qui devient acteur.

C’est juste qu’en fait, ça fait juste croire que c’est possible. Le fait de travailler auprès de ces gens là, tu les vois au quotidien, tu dis, mais regarde, il ne prend pas la tête où je me prend la tête tous les jours. Il le fait, Gavazzi. Moi, je vais le faire aussi. Et tu veux, c’est un peu ce truc de bien.

Quand tu as travaillé auprès de gens Binta à développer du réseau, tu as développé aussi une façon de faire. Tu as imiter ces gens là, mais si un moment donné, tu n’as rien de plus à apporter au marché, alors tu es mort. Alors c’est simplement que tu n’as aucune valeur ajoutée. Et les gens vont pas payer à nouveau pour se payer la copie d’un tel film sur un plus.

 

Thierry : En plus. Un bon exemple parce que je cherche un film d’acteur ou un fils de sportif. Ca fait mieux que son son père. Il doit en avoir un ou deux que bon, on trouve pas. Mais quand je pense aux fils d’acteurs en France, à l’étranger en général, ils sont moins bons que leurs pairs.

 

Bertrand: Effectivement, ou leur leur père ou leur mère. Mais pour bascule, on en revient à ce truc de se dire alors moi, j’en ai 2 3 dans la musique, par exemple, tu vois à M. Qui a fait beaucoup mieux que son père, beaucoup plus en terme de notoriété que son père, etc. Mais tout de même, on est on sur des choses qui sont assez rares, mais c’est juste que ces gens là, ils ont osé y aller.

Ils ont osé le faire parce qu’ils ont vu des parents qui l’ont fait. Ils se disent Attends, c’est rien des tracteurs et tout le monde. Mais par contre, quand ton père a été boucher et que tu dois devenir acteur, il faut changer tellement de choses. Mais c’est très compliqué, effectivement, de copier le chemin. Et donc, si tu veux arriver à faire la différence entre copier un principe, un chemin, des fondamentaux, etc. Ce qui est ce qui est top qu’il faut faire et l’âge, d’accord. Et moi, c’est ce que je traduisez tout à l’heure. Je crois par le côté ne pas disruptifs, tout ne pas faire tout à l’envers,.

 

Thierry : C’est à dire que les augmentent.

 

Bertrand: Exactement, ce n’est pas de se dire je veux devenir Tony Robbins. Je vais faire exactement l’inverse de Tony Robinson. Non, pas du tout. Par contre, il y a un endroit où Tony Robinson. Il faut que je j’identifie un endroit avec lequel je suis pas OK sur sa méthode. Ou alors ça s’abatte absolument pas à moi. Et là, à cet endroit là, je vais y apporter quelque chose de totalement différent.

Mais ce qui est bien, c’est que, en fait, on peut, on ne peut être disruptif que s’il y a un référentiel. Quand même, s’il y a zéro référentiel, tu ne peux pas être disruptif parce qu’il n’y a rien à discuter. Et donc, ce qui est bien, c’est que l’idée, c’est qu’on va pouvoir justement à partir. Donc l’idée, c’est soit assez, c’est de se dire que pour qu’il y ait un disruption, il faut qu’il y ait un référentiel. Il faut qu’il y ait une base.

Et donc, aujourd’hui, si je veux être disruptif par rapport au modèle de Tony Robinson, par exemple, prenons le truc il faut que Tony Robinson existe et donc il faut que je m’inspire de de plein de choses de lui. Mais faut qu’il y a un endroit où je puisse justement prendre tout à revers et dire en gros. Et le message revient à dire voilà pourquoi Tony Robbins se trompe à un endroit et que moi, j’ai compris quelque chose que tous les gens insatisfaits de Tony Robinson savent quelque part, mais sur lequel ils n’ont pas forcément mis le doigt.

Et ça bien, je te rejoins à %100. C’est le rôle du marketing de faire ça, de mettre en avant ce côté unique. Pour moi, marketeur, ce n’est que faire ce truc là, montrer l’endroit où j’ai une valeur ajoutée par rapport au modèle que je viens entre guillemets, discuter,.

 

Thierry : De se différencier d’une façon différente, l’expliquer, le dire ouvertement et pour pouvoir récupérer une part de marché géante,.

 

Bertrand: Exactement, et de commencer par les insatisfaits totales. Ce qu’on dit, oui, moi j’ai fait Roubine, ça, c’est n’importe quoi, etc. Donc c’est intéressant. Et puis, doucement, d’avoir des audiences qui sauvèrent l’Axe avec le modèle qu’était discuté des gens qui disent J’aime bien Robinson, mais ce que fait l’autre, c’est quand même pas mal aussi.

Et puis, doucettement, est bien d’avoir cet effet de contagion et de continuer à grandir avec ça et de faire grandir son audience autour de ça. Mais après, il y a aussi un truc où il y a quand même un alignement des planètes, c’est Qu’est ce que t’as disruptions? Aujourd’hui, elle est dans l’air du temps. Tu vois, le mec aurait sorti. J’en sais rien. Moi, je te dis des voitures recyclables il y a 100 ans, personne n’en avait rien à foutre parce que déjà, faire une voiture à l’époque, c’était un truc de ouf. Celui qui aujourd’hui te fait une voiture 100 recyclable.

Ben là, ça commence aujourd’hui dans ce qu’on veut faire. Cette disruption là, elle serait beaucoup plus fin et elle aurait beaucoup plus de chances de rencontrer un vrai succès. En gros, tout une histoire de pognon indien, de timing, de chance d’être au bon endroit au bon moment. Et puis, que ce soit faisable aussi pour toi, par exemple. Imaginons, je vais reprendre cette histoire de voiture recyclable. Moi, je bricole rien du tout, mais franchement, je dois te planter un clou dans un mur, je te fais un trou. Comment veux tu que je fasse moins une voiture recyclable? J’y connais rien.

Donc, même si j’ai l’idée Shultz, je ne suis juste pas la bonne personne. Et c’est aussi tout ça qu’il y a l’idée, certes, mais il y a aussi. Est ce que c’est moi, Bertrand, qui vais pouvoir demain aller te faire rire? Moi, une superbe voiture recyclable? Bah non, c’est surement pas moi. Et c’est aussi tout ça, ce qui fait que j’aime énormément d’éléments pour passer d’une simple disruption au succès. Mais honnêtement, n’importe quelle disruption sur un marché qui est bien établie apportera de quoi. Concrètement, faire sortir un business et avoir un business qui est rentable. Ça, c’est pas un souci.

 

Thierry : Donc moi, je juste revenir avant. Donc que je te pose des questions pour le Finnish, les questions que je pense que tu as un processus créatif du genre écris tous les jours des idées, tu as tous les postes de combat, il faut les poser sur du papier ou sur un mot ou je ne sais pas quoi. Comme je crois qu’on peut joindre Richard Branson dans son élément, sa biographie, tout ce qu’il dit, il a un bouquin malgré tous les jours, en fin de compte. Comment toi, tu fais toi?

 

Bertrand: Moi, j’accepte d’oublier. J’accepte que si l’idée était magnifique, en fait, je me rappellerai ce qu’elle m’excite réelle garderait réveillée la nuit. Donc, j’accepte d’avoir plein d’idées et de laisser partir aux toilettes et de me dire bah oui, j’en ai plein les idées. Et en fait, quand j’ai une vraie bonne idée, en fait, c’est simplement que c’est comme par hasard.

L’idée qui me vient au bon moment dans le bon timing, est que je vais implémenter et donc en fait, qu’elle va rester. Le nombre d’idées que j’ai gaspillés, c’est pas grave, ça m’entraine. Si tu veux, c’est que ce serait comme si un chanteur a passé sa vie à s’enregistrer pendant qu’il chante. Tu vois, au bout d’un moment, c’est bon. Je suis une machine à idées, c’est rien.

FAUT IL GARDER C EST IDÉE PAR ECRIT ?

Thierry : C’est une jambe, pas un chanteur. Mais je crois que certains écrits, certains chanteurs, ceux qui sont auteurs et qui prennent le temps pour écrire en fin de compte, mettent des idées en prière de Jésus. Je sais pas si c’était vrai. Lui dit qu’il a jamais écrit aucun post, surtout en. Tout le monde se demande ce mot si c’était vrai. Mais je crois que c’est après tout le reste, en général en général, écrit ou.

 

Bertrand: Moi, j’ai un pote qui fait ça, mais il a des carnets et des carnets et des carnets. Il en lit combien? Franchement, jamais est Web. Des fois, il revient dedans. J’en suis pas sûr. Peut être, mais moi, en tout cas, c’est pas ma façon de faire, ma façon de dire. J’accepte d’oublier plein de choses, mais en fait, je le fais juste pour entraîner le processus créatif.

C’est le côté apprendre à pêcher ou à voir un poisson plutôt que de collectionner mes poissons. Je préfère en permanence, me aurait entraîné à pêcher et je le fais avec grand plaisir. Je le fais en permanence, mais suiveux dans mon processus créatif, je pense que ce qui est le plus important, c’est de savoir lâcher l’affaire. C’est de savoir qu’au bout d’un moment, quand ça ne vient pas d’aller se balader, c’est tout un long processus.

La demande dans un processus créatif d’autre chose, c’est d’arrêter de dire des trucs systématiquement centrés sur le business ou d’écouter des choses centrées sur le business du temps. Lire un bon roman, me faire une BD, me regarder une série de lâcher, ça fait mon environnement autour dans ma vie n’a rien à voir avec le business. Il y a mes moments où je travaille. J’ai déjà assez de potes qui sont entrepreneurs, ça suffit largement. Mais le reste de mon temps, je ne l’ai. Je n’ai pas lu un livre sur l’entrepreneuriat depuis. Je ne sais pas combien de temps.

 

Thierry : Leur mémoire après Faut pas un faux pas est différent, un gros créatif de tous les jours. On a pas d’obligation pour ceux qui ne sont pas dedans, continue à lire. Ça peut aider, mais bien sûr, un moment, il faut poser français l’action. Donc c’est bien de lire du côté le français rédaction du journal. Je reviens sur la marche de la marche avec le jean, mais un manque de respect pour ça.

Mais des fois, c’est la folie corpuscules. Nous travaillons en ligne, souvent à la maison. Je suis un petit peu Sinsin. Clarifier l’esprit, c’est un monde plein d’idées qui viennent simplement dans ma marche. Par la suite, c’est bon pour la santé et c’est bien pour ça.

 

Bertrand: Mais en plus, je voudrais juste vous dire un truc quand je dis attention, est ce que tu as bien fait de le préciser quand je dis je n’ai pas lu depuis. Ça veut pas dire qu’il ne faut pas lire des livres de business. C’est pas ce que je suis en train de dire. Moi, je suis centré sur une question qui est comment développer son processus créatif? Mais quand tu lis des business, de DDD, de business et des autres.

En fait, il n’y a rien de créatif. Tu fais, mais ce qui est normal au début, on ne crée pas des jours. C’est comme si, au début, un gamin, tu lui dis il veut apprendre à écrire. Et le gars, il est dit on est en train de lui faire faire de la calligraphie, non? Dans un premier temps, copies, recopie, mais à un moment donné, quand le modèle que tu copies ne te va plus, c’est pas du sur mesure, c’est du prêt à porter.

Évidemment, à ce moment là, oui. A ce moment là arrive le processus créatif. Et là, quand on dit Bertrand, c’est quoi ton processus créatif dans mon processus créatif, c’est de laisser tomber tout ce qui m’enferme dans un carcan, c’est à dire les idées des autres, pour aller me balader dans des univers qui n’ont rien à voir avec le business. Mais encore une fois, chaque chose a son moment. Chaque chose à ce moment,.

 

Thierry : Son auto, comme un marqueteries et un entrepreneuriat craintives automatiquement toutes les idées, qu’un soit à l’opposé ou dans un monde qui n’a rien à voir. Comme moi, quand je vais dans un commerce infants, j’essaie d’entrer dans un incombé. Comment ils font les chiffres concluants qui rend tout bête. Et donc, automatiquement, tu vas Rovny en small business si tu veux pas qu’on conserve, mais quand.

 

Bertrand: Même quand je me balade. Et puis, je vois des choses qui n’ont rien à voir. J’ai écouté dans un dialogue de film deux personnes Machart et là, je dit Oh là, ya du marketing de ouf! Mais évidemment, est vrai. Encore une fois, je sais. Mais ça m’amène avec des hommes, forcément, qui sont très différents. Mais parce que personne ne peut aller trouver ces idées là, parce que les gens cherchent les idées dans les livres de marketing. Moi, je les cherche dans les bandes dessinées, donc forcément, mes idées, elles arrivent et elles sont toutes fraîches. Il nous revient.

 

Thierry : Surtout quand on va le lire et prendre des idées en général, c’est qu’elles ont été appliquées, donc tout le monde l’élit, donc vaut mieux. On en revient toujours aux créatifs, sans toutefois chercher de nouveau.

 

Bertrand: Exactement. Et c’est pour ça qu’il faut aller se sourcées, se ressourcer et se nourrir ailleurs, là où les autres n’ont pas été se nourrir. Standings disait qu’elle. Quel livre tu recommande à la fin de son interview? Le loup voilage. On a fait une arme il y a pas très longtemps et je termine en disant Bah moi, je conseille d’aller relire Gotlib. Gotlib est un auteur de bande dessinée de ouf, mais complètement barré.

Et il était choqué, me dit Putain. Mais tout le monde me parle de tel ou tel livre de Binaisse. Mais je dis bien oui, mais dans Gotlib, vous trouverez ceux qui aiment le copier writing. Vous trouverez beaucoup plus d’inspiration dans Gotlib que dans n’importe quel livre de copyright.

 

Thierry : Je l’ai écouté. Je me rappelle plus se poser la question que je me marre un peu. Pourquoi je pose la question? Parce que moi même raconte la même chose.

 

Bertrand: Pas forcément bombes.

 

Thierry : Je poserai quand même la question.

 

Bertrand: Bon, je suis créatif. Il y a au moins deux réponses,.

LES 5 QUESTIONS POUR FINIR L’ENTRETIEN

Thierry : Mais j’espère que tout le monde a bien capté, comme donné d’informations. Donc, je vais poser cinq questions que je pose à tous les entrepreneurs. Enfin de la fiction, donc.

 

Thierry : Quel est le business dont tu rêves à part celui que  tu fais actuellement? Tu m’as dit que t’as un business qui va arriver, mais bon.

 

Bertrand: Ouais, ouais, ouais, je peux en parler parce que j’ai déjà commencé à le délivrer doucement et j’ai commencé à communiquer très légèrement dessus. Ouais, c’est un business dans lequel je vais offrir des business aux gens. Comme l’année dernière, mais plus à une échelle qui n’a rien à voir là, je suis sûr, on a mis en place grâce justement à cette fameuse formation gratuite dont je parlais.

J’ai fait sortir des gens qui sont des génies du marketing, avec un peu de formation, deviennent au delà de génies. Ça devient des Saoudiens, des déchaussés, pas des artistes qui sont extraordinaires. Bref, et donc ensemble, on a commencé à créer ce qu’on appelle une business Beckwith. Et en gros, l’idée, c’est de pouvoir offrir dans un premier temps, sur un rythme d’un par semaine, un business par semaine. Et on va monter encore le truc pour arriver à un business par jour sur la fin de l’année 2000.

 

Thierry : C’est des business qui sont réellement neufs ou qui sont prêts à l’étranger.

 

Bertrand: Maintenant, ce sont des business réellement neufs, sortis de nos têtes et consort consort quand on sait.

 

Thierry : Comment font les gens. Donc c’est gratuit pour eux ou ils ont comme copain.

 

Bertrand: C’est gratuit pour eux, totalement gratuit. Après, bien évidemment, il y a des conditions. Pourquoi fait? On expliquera tout ça? Ça va continuer à s’affiner. Et ça, c’est un autre truc aussi de la créativité, c’est que j’accepte d’avancer dans le processus. Je n’ai pas toutes les réponses maintenant. Toutes les réponses, elles avanceront avec les premières personnes à qui on donnera des business.

Et forcément, c’est pour ça qu’elles ont toujours des conditions super cool parce que ont construit avec elles ce qu’on appelle faire du beta testing. Quand on quand on est dans l’informatique, c’est un peu ça. Le principe, c’est de se dire là, je n’ai pas encore toutes les réponses, mais en tout cas, le principe, c’est qu’on reste dans cette forme de gratuité en disant oui, on vous donne un business, c’est vraiment ça.

 

Thierry : Est ce que c’est un genre de studio? Studio start up où tu prends des parts dedans quand même? Non, pas du tout.

 

Bertrand: Ou alors, il y aurait sûrement y’aura sûrement ça. Mais encore une fois, quelle forme, combien machin? Tout ça est encore très loin d’avoir résolu ça. On a plus d’un mois pour le faire et on a une grosse équipe maintenant qui réfléchit à temps plein. C’est ça qui est cool, mais c’est un peu ça l’idée. Ouais, c’est quand gros. Aujourd’hui, on a un savoir faire qui est unique.

On est capable vraiment de sortir des business rentables à une vitesse de singlé. Ce qu’on fait, c’est juste puis après, il faut un vrai bon gérant, bien solide. Il faut quelqu’un qui a envie de tout simplement de gérer et on sait que ça répond aussi à une problématique importante. C’est que tu as beaucoup d’entrepreneurs pour qui la partie la plus compliquée, c’est très clairement, donc, de sortir un business de terre, de le créer.

Et on va aller plutôt s’adresser à des gens qui seront des gérants extraordinaires. C’est aussi une énorme qualité de savoir être un très bon gérant. Et voila. Vive l’entrepreneuriat! Sans avoir à se casser la tête de la création pour plein de gens. C’est quoi ça correspond? Moi, je ne suis pas du tout un bon gérant. Je suis un créatif malade et on a des idées équipes qui sont capables de faire ça.

Et donc on a mis en place. Puis là, on a commencé à sortir le truc. Et aujourd’hui, on a commencé ça il y a une dizaine de jours, quand on s’était contacté, on était sur les premiers essais et là, on est déjà à plus de 8. On a sorti et dont les premiers ont déjà les premiers résultats. Assez.

 

Thierry : Bon je mettrai les liens et puis tu reviendras nous parler dans quelques mois ou quelques années, voire ou çà en est.

 

Bertrand: Quelques mois, quelques mois, c’est çà en fin de l’année prochaine. Histoire qu’on ait un peu de recul, qu’on puisse parler de jolie success story.

 

Thierry : Peut être que je t’aurais pris une idée que j’aurais créé un truc avec un associé, on verra.

 

Bertrand: Avec grand plaisir

 

Thierry : Quelle est ta meilleure expérience en tant qu’entrepreneur ou investisseur ?

 

Bertrand: Ma meilleure expérience d’entrepreneur, c’est celle là, c’est ce que je fais en ce moment. Je crois avec Marketting Mentalist, c’est à dire d’être vraiment au contact des gens et d’être dans cette démarche dans laquelle je me sens bien, c’est à dire je donne, je donne, je donne, je donne vraiment ça. C’est en ce moment, c’est la période que je vis depuis, depuis avril en fait, que j’adore.

 

Thierry : Donc, j’espère que tu es prêt à reçevoir car tu n’arrêtes pas de donner, un moment, ça va tomber comme des petits poissons.

 

Bertrand: J’ai fait plus de chiffre d’affaires en donnant ces derniers mois. J’ai fait plus de chiffre d’affaires que les années précédentes dans lesquelles j’ai beaucoup vendu. Voilà très bien, mais en gros, le manque à gagner des business que j’ai donné quand j’ai choisi de les offrir il a un an à partir du mois d’avril dernier, En gros il c’est comblé. En quelques mois, j’ai fait 3 fois le chiffre d’affaires de l’année dernière, donc il n’y a aucun souci.

 

Thierry : Donc c’était aussi indirectement une bonne pub.

 

Bertrand: Oui, bien sûr, mais évidemment, c’était aussi. C’était très calculé et en plus, c’était toujours moi. Je suis dans ce truc de gagnant gagnant gagnant. Car je ne crois pas au don sacrificiel dans lequel tu te démunis de quelque chose. Je pense que pour qu’un donc puisse se faire sur le long terme, il faut que tout le monde y gagne. Et c’est pour ça que beaucoup de beaucoup de business model pour aider profondément des causes du style l’écologie.

Les sans abri et machin c’est un de leurs points faibles, énormes. C’est en gros celui qui donne ce démuni, mais ne récupère rien. Et pour moi, ce n’est pas viable. Il y a aussi en ce moment une partie de moi qui se demande comment je pourrais arriver à être disruptif sur un business qui changerait vraiment la face de la société autour de ces questions là.

 

Thierry : Donc, quel est pour toi, le meilleur levier pour devenir entrepreneur?

 

Bertrand: Le meilleur levier, c’est intéressant lorsqu’on parle d’un levier, le meilleur levier pour être entrepreneur. Je crois que c’est d’être un, d’être u vrai curieux, de voir un espèce de curieux de la vie. C’est de faire ça comme un loisir. En gros, c’est de se dire je fais ça sans rien en attendre, mais comme j’apprendrai la guitare où je me mettrai à l’Espagnol. Tu vois, tu fais tu du bon et tiens

Et si j’essayé un business sur Internet? Et de faire partie de ces gens qui explorent le monde, c’est ça pour moi, cette curiosité du monde qui est le meilleur des leviers pour être entrepreneur.

 

Thierry : Cà me parait logique avec les 50 minutes qu’on a passé donc c’est logique. Curieux et créatif.

 

Thierry : Quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur? Pourquoi je l’ai quand même posé ?

 

Bertrand: Ouais, mais t’as raison, t’as raison. Ben là, j’en avais parlé. J’avais parlé de Gotlib la dernière fois. Voilà, ça y est, c’est fait. OK, je vais pas revenir dessus,.

 

Thierry : Je mettrai le lien vers le podcast de Stan Leloup

 

Bertrand: Voilà. Même si les Gotlib, c’est excellent là comme ça aujourd’hui, je veux revenir peut être sur mon humeur. Actuellement ce moment, je lis une série. En fait, j’adore Spirou et en fait, ce que j’aime dans Spirou, c’est comment la série Spirou a évolué ces dernières années, dans laquelle ils ont donné le crayon à plein de dessinateurs différents pour permettre à Spirou de continuer à vivre parce que les dessinateurs originels sont morts, évidemment, et derrière, en fait, plutôt que de continuer comme une seule et même série.

En fait, ça part sur plein d’histoires différentes et il y en a qui ont leur propre suite, c’est à dire qu’en gros tu as un auteur qui s’est fait sa propre étude, etc. Et donc, on en a une qui est juste géniale. Tu as une des séries de Spirou qui sort maintenant, ce n’est pas encore fini qui se passe pendant la guerre de 40 en Belgique et qui est vachement bien. Et en gros, c’est toute une série.

Qui donc? Le bouquin s’appelle L’espoir malgré tout. Un autre avant, je ne sais plus comment il s’appelle le groom. Je ne sais pas trop quoi, mais en tout cas, celui dont je me souviens, c’est l’espoir malgré tout, qui est celui que je viens de terminer. Et voilà, c’est cette série là est juste, qui est juste hyper, hyper cool. Et pourquoi? Pour les entrepreneurs, à nouveau? Juste pour que pendant 2 secondes, de temps en temps, vous sortiez un petit peu du monde de l’entreprise.

 

Thierry : Juste pour lâcher prise quoi. Pour faire une pause de temps en temps ? Donc, Spirou, l’espoir malgré tout,.

 

Bertrand:  même si en fin de compte L’espoir malgré tout. Et toute la série. En fait, il y en a encore 3 à sortir. Mais oui, c’est vraiment hyper intéressant parce que c’est un autre truc que j’aime bien. Tiens, un site pour les entrepreneurs, pour développer sa créativité. C’est aussi parce que très souvent, quand on nous a parlé de la Seconde Guerre mondiale, on l’a vécu avec des profs.

Alors on se confie une éducation en France à la française. Dire qu’on a vécu ça du point de vue uniquement français, c’est intéressant de l’entendre et de le voir racontée du côté belge n’est pas très loin de chez nous, mais qui n’est pas exactement comme chez nous. Et donc, ça aussi, quand on parle de la créativité, c’est d’être capable de naviguer entre différents points de vue. Et là, ça permet d’aller voir ça sous un autre point de vue.

 

Thierry : Intéressant. Donc, du côté belge, c’est à dire qu’il faut quoi? Il faut prendre les livres. Ben, tu veux dire.

 

Bertrand: En fait, les livres sont écrits par des Belges, alors ils sont en français, mais ils sont écrits par des Belges, en fait. Et parce que Spirou, comme beaucoup, on ne sait pas. Mais la plupart des BD françaises sont des Belges qui sont derrière ça. C’est assez, ouff. Ou parfois, ce sont des alliances franco belges. Mais la Belgique est un pays de bande dessinée.

De temps en temps, et donc en tout cas, celle ci, ça raconte vraiment ça. Mais ça se passe en Belgique. C’est un auteur mythique belge et donc, en gros, ça se passe vraiment sur tout le territoire belge. C’est la guerre, mais vécue par les Belges.

 

Thierry : Enfin, de bandes dessinées, mais aussi de comiques. Il y a plein de comics français. Quand on dit franco belge,

 

Bertrand: Oui des acteurs. Énormément c’est ouf à l’approche de la capacité à produire des talents artistiques d’un pays aussi petit. Et encore une fois, tout le monde, en Belgique en plus, n’est pas francophone.

 

Thierry : Dernière question je viens d’en trouver une sixième qui n’a rien à voir, c’est juste parce que j’ai cité plusieurs fois des choses dont j’ai une curiosité. Par rapport à un business model, tu devrais créer.

 

Thierry : Quelle est la compétence que tu rêves d’avoir?

 

Bertrand: La compétence que je rêve d’avoir.

 

Thierry : En plus çà va peut être répondre à la sixième question.

 

Bertrand: Ouais, la compétence que je rêve d’avoir, c’est quoi? La capacité à m’endormir en une demi seconde? Autant de fois que je veux m’endormir à volonté,.

 

Thierry : Mais pourtant tu es hypnotiseur.

 

Bertrand: Ouais, mais c’est pas du vrai sommeil et que je n’ai pas vraiment de m’endormir profondément quand je le souhaite. Quand j’ai décidé de dire là, je dors, boum, je dormais dans les 20 secondes

 

Thierry : Ouais tu es comme ma femme ou mon frère qui sont comme çà il dort direct.

 

Bertrand: Moi, je ne suis pas, mais j’adorerais le développer.

 

Thierry : Ça me paraît. Moi aussi, je ne dors pas en trente secondes. Bon, je vois.

 

Bertrand: Cà me paraît incroyable.

 

Thierry : Donc, Normalement, il n y’a que cinq questions de mais là en ligne parce que ça bouge beaucoup parler de bande dessinée. Mais pourquoi tu ne crées pas un business autour de , la bande dessinée ou autour de la BD?

 

Bertrand: C’est hyper intéressant en ce moment. Beaucoup de choses m’amènent sur le livre. Et alors, pour tout te dire, c’est pareil. C’est une mini exclu. J’en ai parlé de trois fois la petite partie de mon audience. En gros, l’idée, c’est que la newsletter que j’ai créé en fait le centre de mon business, s’est créée autour d’une newsletter qui est très appréciée et qui est très singulière, en fait.

L’idée, c’est que j’ai décidé à la fin de l’année de les compiler toute. Donc, c’est pour ça que je les publie nulle part, volontairement. Je vais tout compiler, je vais les enrichir et je vais les faire illustrées par un dessinateur professionnel. En gros, elles vont sortir sous forme de livres illustrés et enrichis et elles seront vendues. Et une fois de plus, si une seule entorse, je m’autorise à mon audience. Mais je leur ai dit je vais vous rendre un truc. Par contre, les bénéfices iront directement pour une association.

 

Thierry : Bon, je confirme que ça me paraissait logique que tu fasses d’une façon ou d’une autre de la bande dessinée, même si bon ce numéro.

 

Bertrand: Mais on est, on est pas loin parce que le gag des dessinateurs professionnels de bédé. Et il a vraiment un trait de crayon comme sur une bande dessinée. C’était vraiment ce que je voulais, ce que je voulais en fait. Et c’est ce qui fait que tout au long de l’ouvrage, il y a plein de dialogues. En fait, je le garde en bande dessinée parce que les éditeurs que j’écris sont très parlantes.

En fait, il y a des dialogues dedans, il y a plein de choses et c’est ce qui fait qu’il y a beaucoup de choses qui sont reprises sous forme de bandes dessinées, avec des bulles, des machins, des trucs et j’adore son travail.

 

Thierry : Pour Bertrand, grand merci. On va suivre. Donc tous, tout ce que tu fais, je te mets dans le show note. Puis je te dirai bientôt.

 

Bertrand: Avec grand plaisir à très, très bientôt.

CONCLUSION

Thierry : Merci à Bertrand Millet de nous avoir donné toutes ces bonnes informations. Merci à toi donc d’avoir écouté cet épisode jusqu’à la fin. Tu peux donc aussi, t’abonné, si je n’ai pas encore abonné, commenter, partager au maximum d’amis. Si tu penses, alors moi, je suis là pour ça. Je fais tout pour inviter les meilleurs, pour qu’ils puissent me donner des petites pépites, pour qu’on puisse nous faire avancer notre business. Grâce à ça, moi, je vais faire plein de modifications. J’en faisais déjà, mais je vais continuer à en faire.

On ne sait jamais, comme il dit. Une petite, un petit changement, petit déclic peut faire augmenter son chiffre d’affaires et faire plaisir plus important à ton audience. Donc, n’hésite pas quand je suis allé sur toutes les plateformes Stitcher, spotify, et autres sur mon blog. Aussi, si tu l’as écouté sur mon blog mes commentaires, ça fera toujours plaisir d’échanger. Comme toujours, je te dis à jeudi apour un autre épisode avec un autre entrepreneur, Ciao.