Comment développer son Business Grâce à Quora ?

Thierry: Bienvenue donc pour l’entrepreneur Lifestyle Thierry #HENRY, épisodes numéro 45 de l’Entrepreneur Lifestyle. Aujourd’hui, donc, on va parler de réseau social. J’ai invité la responsable de la communication d’un super réseau social qui se développe en France et qui va faire encore un plus grand carton, je te dis tout. Après avoir remercié le sponsor.

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Thierry: Donc Quora, tu dois connaitre, si tu n’es pas encore inscrit va sur Quora.com en France, on a bientôt plus d’un millions d’abonné, ce qu’elle va nous dire au monde donc plus de 300 millions, ce qu’elle va aussi nous préciser qu’il y a plein de choses qui ne sont pas encore disponible en France. Donc il faut profiter et d’être les premiers sur la plateforme avant que ce soit saturé, comme aux Etats-Unis. Elle va nous donner plein de détail, plein d’informations, donc, n’hésite pas à suivre jusqu’au bout. puisqu’Il y aura des petites surprises. Donc, je te dis tout de suite avec Sihem.

PRÉSENTATION DE SIHEM

Thierry: Salut Sihem, comment tu vas ?

Sihem : Bien et toi Thierry.

Thierry: Très bien, merci. Merci donc de prendre le temps dans ton planning chargé pour parler donc de Quora. J’ai plein de question à te poser, donc tu vas nous parler de Quora mais avant çà je vais te laisser te présenter. Puis après, on est parti pour un long entretien avec plein de questions. Parce que moi, j’aime Quora et J’utilise Quora depuis presque 3 ans et donc j’ai plein de questions.

Sihem : Ok, super. Merci Thierry! En tout cas, de me laisser un peu prendre la parole. Donc je suis Sihem, je suis responsable de Quora En français, je m’occupe à la fois du développement de Quora, trouver des partenaires à travers le monde qui souhaitent participer et faire grandir Quora et aussi responsable du côté produit. Je fais donc la liaison avec les ingénieurs, les data scientists, etc. En interne, je m’occupe en fait de Quora en français.

Thierry: D’accord. Parfait, donc, pour ceux qui ne connaissent pas Quora, je vais te laisser parler de Quora présenter, Quora, puis, après qu’on a encore d’autres questions.

Sihem : En fait, c’est quoi? C’est une plateforme de questions et réponses qui existe depuis maintenant dix ans à la mission de Quora, c’est d’enrichir et de partager le savoir de tous. Et ce que ça signifie, en fait, c’est qu’elle permet à n’importe quel utilisateur de pouvoir se connecter sur quoi va poser une question et obtenir une réponse de qualité.

La part de personnes qui ont accepté d’utiliser leur vrai nom a accepté de remplir et de partager leurs qualifications, ce qui permet de donner la profondeur à la connaissance. Parce que là, une source et on a des perspectives, des éléments d’information supplémentaires qui permettent de comprendre un petit peu le contexte des informations qui sont partagées. Donc,à ma connaissance, c’est un terme qui est très large et on essaie de lui donner un vernis un peu humain. A travers ces échanges qui se font entre utilisateurs,.

Thierry: Donc ça a été créé en 2010. Voilà un ancien ancien de Facebook. Je crois si j’ai bien compris.

1000 euros avec Quora

LES DÉBUTS DE QUORA

Sihem : Donc en fait, dit un Adam D angelo est l’ancien, donc directeur technique de Facebook. Il quitte Facebook autour de 2007. Il touche du doigt quelque chose. Il se rend compte que finalement, il y a énormément de connaissances qui ne sont pas forcément disponibles sur Internet, ou alors qui sont disponibles à ce moment là. Une élite ou une immense crise qui se dit avoir quelque chose à faire de ce côté là?

Ils font quoi en 2009 avec Charlie Chila et une autre personne qui s’appellerait Megabox? Qui était la chatte s’amuse. Et aujourd’hui? Et donc, de 2009 à 2010, la plateforme est lancée. Donc, cette année, Quora fête ses dix ans.

Thierry: D’accord, mais bon, il y a eu des changements dernièrement, donc on en parle aussi, mais avant ça. Est ce que tu connais… Je crois que tu m’as dis que c’est un peu compliqué le nombre d’utilisateurs dans le monde et en France?

Sihem : Tout à fait. Donc aujourd’hui, on a dépassé les 300 millions de visiteurs uniques par mois. En France, on aura en général. Donc, il faut savoir. Disponible en 23 langues, anglaise étant la plus ancienne, la version française étant la numéro 3 et d’abord la version espagnole. Et puis, on l’a décliné depuis en italien, en allemand, en hindi et en gujarati, en japonais, etc.

Et donc, surtout, c’est sur toutes ces versions qu’aura on comptabilise un total de 300 millions de visiteurs uniques par mois. Et sur quoi? Un Français petite, exclu jusqu’à présent? Communiqué pas trop on est. On a dépassé les millions d’utilisateurs. Dans ce cas, je suis très, très fier de le million d’utilisateurs.

Thierry: Ouais, ben ça, ça va continuer à dire que c’est vraiment intéressant. Mais ce qui est marrant dernièrement, puisque je me connecte tous les jours, donc derrière moi, on n’arrête pas de créer un compte en espagnol puisque le compte en anglais, j’ai commencé par l’anglais. Ensuite, le français, je me demandais ce que je ne parlais pas. Je comprends, mais je ne parle pas très bien.

Mais je me suis dit je pas prendre le risque d’aller me connecter en espagnol. Mais bon, j’ai vu que j’étais très actif pour que les gens se connectent dans plusieurs langues.

Sihem : Oui, effectivement, on a effectivement un système qui permet d’aider à grandir aussi sur les autres versions. Qu’est ce qu’on fait? On a fait une série de signaux qu’on appelle des signaux nous permettent d’identifier si un contributeur de Quora serait susceptible d’être actif sur une autre version du fait de la qualification que l’on a rempli, par exemple. Si indiqué que tu connais l’espagnol.

Tu parles espagnol. Et bien, on va être amené à virtuellement le tabac. Je vais effectivement te proposer une fenêtre de potok de venir partager ira rejoindre la version espagnole. C’est un des méthodes, une méthode. Si tu as, lors des qualifications, indiquer que tu as visité certains pays qui sont disponibles dans certaines langues, et bien ça va être la même chose une fois que.

Thierry: J’ai été en Espagne, il y a trois semaines c’est pour çà aussi.

Sihem : Et voilà à quoi bon donner mon cahier des changements.

Thierry: Parce que moi, j’ai commencé au début, j’utilisais comme mini blog, donc tout ce que je publiais depuis 2017. Je l’ai publié sur Quora, tout doucement après, j’ai voulu faire un peu comme les autres réseaux sociaux. J’ai voulu m’abonner a des gens et vice versa. Mais bon, j’ai vu que c’était bloqué assez rapidement. Croit qu’on peut dépasser 50 abonnés par jour bloqués.

Et puis, il fallait réessayer le lendemain. Je l’ai fait un moment après. J’ai arrêté, puis je n’aime pas trop le côté. Je m’abonne, me désabonne. Du réseau social en général. Et donc, dernièrement, il y a aussi une levée de fonds pour essayer vraiment de grandir encore encore plus.

QUORA L’ESPRIT STARTUP

Sihem : Alors effectivement, Quora n’est pas encore profitable. Ça veut dire quoi? Ça veut dire qu’on est une startup, donc on vit bien des fonds et des investisseurs qui ont décidé de miser sur la levée de fonds. Elle remonte à avril 2017. Il s’agissait de la série D. Il faut savoir que pour les start up, on a ce qu’on appelle des vareuses de levées de fonds qui marchent par séries.

On a d’abord la seed au départ, quand on démarre la série A série B, C des experts extérieurs jusqu’à ce qu’on décide d’aller public. Finalement, le public est entré en Bourse et donc pour ça. Donc, en 2017, B va lancer le quatrième mois de la série D avec une levée de fond qui a été de 85 millions de dollars.

Thierry: De très, très grosses ambitions.

Sihem : Effectivement, on a très, très, très fortement potentiel de la plateforme à sa valorisation et et on travaille dur pour pour que ça se concrétise tous les jours en fin de compte.

Thierry: L’évolution m’a bien aidé puisqu’au début, j’avais un tout petit peu stoppé Quora parce que j’avais plus de retours sur mon blog grâce à Medium et Pinterest, par exemple. Ensuite, je suis revenu parce que un changement de modèle, parce qu’il y a eu le passage du mini blog à l’espace, si je me trompe pas. On a eu aussi un côté monétisation, même si bon, moi, j’ai été comme beaucoup, pas leurrer, mais parce qu’aujourd’hui, en plus, c’est pas vraiment une rémunération, c’est une participation. On va dire où il faut aller poser des questions.

Et on voyait plutôt les chiffres anglo-saxons où il y a eu des 900 des 1000 euros. Bon, je me suis dit ça ferait un revenu supplémentaire, mais en fin de compte, c’est pas revenu. C’est une participation donc tu vas nous en parler. Et je te laisse répondre à cette question par ça. Parce que moi, j’ai écouté le podcast en anglais. Pour ceux qu’ils ne connaissent pas, c’est grow,.

Sihem : Grow with Quora qui a été..

Thierry: Tu as un meilleur accent que moi. Donc je te laisse.

Sihem : Grow with Quora, en faite le podcast qui est animé par J-D Prater qui aujourd’hui va faire la lumière sur des succès stories à donc c’est soit des gens comme Jason Lemkins, ce qui en fait le fondateur de SaastR, qui est une espèce de grosse communauté autour du SAAS qui a aussi créé Écosign. Je ne sais pas si les gens se souviennent de cette espèce de marque de signature.

Finalement, pour autant, ces documents en ligne et qui a été racheté parlent de biais. En fait, c’est quelqu’un qui a énormément participé sur Quora depuis le début et qui a construit sa notoriété et a même réussi à faire du business. Grâce à Quora donc? Donc voilà. En fait, le podcast reprend, sous le biais de chroniques, des témoignages de personnes qui ont vraiment envie que.

Thierry: Tu dis des personnes mais c’est vraiment gros CEO et de gros marketeurs aussi, et qui, quand on voit les épisodes, on est même choqué parce que le marché français, toujours un peu à part. On est le troisième marché, comme tu dis. La bonne marche a commencé plus tôt. Donc, si j’ai bien compris, on n’a pas encore commencé à le faire naturellement parce qu’ils sont sont experts.

Ils aiment bien répondre ils ont commencé en 2013/2014. Ils ont vu une croissance un ou deux ans après. Comme tout ce qui n’est pas du SEO, ils ont vu des retours énormes quasiment en 30 45% de leur trafic venu de Quora et ont explosé leur business.

Sihem : C’est effectivement une année très importante. C’est une année charnière 2014 puisque entre 2010 et 2014, on a énormément investi dans ce qu’on appelle machine learning apprentissage automatique et grâce aux ingénieurs. Finalement, on a réussi à a faire un sorte de pick up et l’algorithmique, finalement, de Google a boosté le référencement des contenus sur ce qui a permis, effectivement, sont tributaires de 40. En bénéficier, et c’est ce qui fait aujourd’hui une des forces de Quora, c’est de pouvoir bénéficier effectivement de son expérience.

En tout cas, on investit énormément là dedans. Pour en revenir sur la question par rapport au blog qui a migré sur des espaces. C’est effectivement une des fonctionnalités qui a évolué au cours de l’année. Qu’est ce qui s’est passé? C’est qu’on s’est rendu compte que finalement, les blogs avaient un vrai potentiel et permettre finalement à plus de gens de pouvoir avoir de la distribution, de la visibilité. On a décidé de revoir un petit peu la manière dont on mettait en valeur sur la plateforme. C’est passé aussi par finalement la possibilité d’avoir d’avoir ce qu’on appelle des espaces.

La différence entre les blogs et les espaces, c’est fait. Les espaces peuvent être gérés par plusieurs individus en même temps. On a aussi la possibilité de partager différents types de contenus et là, on a dans le produit une visibilité qui est énorme, chose que l’on n’avait pas forcément faites sur les blogs. Ça veut dire quoi ?

Ça veut dire qu’on a un onglet espace sur son application, sur son appli ou sur sa version base de travail, et on va pouvoir découvrir finalement les environnements où des gens vont s’exprimer sur des sujets complètement différents. Ça peut être une collection de travaux de recherche, de projets artistiques, mais aussi un espace de débats, un espace de réflexion entre un ou plusieurs contributeurs. Et ça, c’est vraiment un atout sur lequel énormément.

Thierry: On peut vraiment montrer c’est aussi la base des réseaux sociaux crée une vraie communauté, comparé à d’autres où on est plutôt dans ce genre de reponse aux podcast en anglais. C’est plutôt un système de questions réponses. On va dire vraies questions réponses parce que souvent, dans les réseaux sociaux, on consomme du contenu et on est passif. On regarde ce que font les autres, mais là, c’est plutôt on pose une question, on nous répond et vice versa.

Sihem : Effectivement, c’est de pouvoir créer des environnements qui sont quand même des environnements qui sont respectueux. Chacun à chaque individu qui est un créateur d’espaces va éditer sa charte. Il va nommer finalement des amis, des contributeurs et va inviter des abonnés. Et voilà, on grandit, on grandit sa communauté un peu à un peu de manière indépendante. Mais c’est effectivement ce sur quoi aujourd’hui. On croit beaucoup.

Thierry: Moi, je précise que je continue à publier en fin de compte plutôt que mon contenu vidéo et le podcast même si vous n’êtes pas vous, ce n’est pas votre priorité comparé à d’autres. Tout le monde va voir la vidéo et le podcast vous sera, comme toujours, un peu de l’écrit. La réponse écrite. C’est vrai que ça marche bien pour le SEO. Pour moi, comme je dis souvent, ça me fait penser à Wikipédia ou tu peux dire plus vivant.

Sihem : On aime beaucoup, on aime beaucoup wikipédia chez Quora, on ne se considère pas vraiment comme concurrents. Pour l’anecdote, Jimmy est un des fondateurs de Wikipédia, est un utilisateur très actif. Sur quoi il répond à la question et à la différence, finalement, entre Wikipédia et Quora. Effectivement, celui du partage de connaissances sur Quora. On va voir finalement le nom du contributeur de l’auteur du contenu. Ça, c’est très important. Et puis, on va avoir un système de vote positif et négatif qui est fait.

Donc, un vote par les pairs, finalement, sur la communauté qui va apporter un poids à un levier de crédibilité supplémentaire. Et puis aussi, un autre choix, une autre chose, c’est la demande de qualification. On attend de notre contributeur de remplir leur profil, d’apporter des qualifications parce que c’est ce qui va donner encore une fois de la prospective, de la profondeur aux informations qu’ils partagent.

Et lorsque l’on a un éminent professeur de jeunesse qui va donner un vote positif à un autre contributeur, ça, ça va avoir encore plus de poids. Donc, on est vraiment sur des mécanismes de valorisation et de récompense des contributeurs aux efforts qu’ils font pour mettre finalement en lumière leurs connaissances.

UN RÉSEAU SOCIAL PAS COMME LES AUTRES

Thierry: Donc, quand tu parles des contributeurs, parle nous un peu de la .., j’ai parlé la rémunération, mais c’est pas la rémunération du nouveau système de rétribution. Peu comme on fait comme sur YouTube parce que YouTube compte maintenant 1000 abonnés. Oui, j’ai vu des petits euros qui vont arriver. J’ai une petite rémunération, une rétribution par courant. Il y a un mois et demi, je crois un peu de temps, même si réellement, c’est pas le plus important. Et je vais répondre après…

Sihem : Lancé ce qu’on appelle un programme partenaire. Donc, ça veut dire quoi? Ça veut dire qu’on s’est rendu compte que pour avoir une bonne réponse, il faut avoir une bonne question. Tout dépend de comment définir une question. On est tous d’accord, mais pour pouvoir continuer à grandir, il fallait pouvoir stimuler, inviter les contributeurs à poser des questions. Et comme les questions appartiennent à la communauté, contrairement aux réponses qui restent la propriété des auteurs, quand on est auteur d’une réponse, on est propriétaire de sa réponse.

Quand on est auteur d’une question, la question appartient à la communauté puisqu’elle peut être sujette à des modifications. Il faut pouvoir récompenser les gens pour le temps qu’ils prennent à écrire des questions. D’où le programme Partenaire dans le programme partenaire Qu’est ce que c’est? C’est un système qui permet de rétribuer, effectivement, pas de rémunérer, puisque la rémunération rentre dans des considérations industrielles et de droit du travail de. Il faut vraiment le voir comme une récompense et donc, en fait, il y a différents paramètres qui rentrent en ligne de compte.

Il y a notamment le nombre de jeux interne dont le produit est externe en fonction du référencement. Mais aussi, il va y avoir le nombre de votes, nombre de réponses sur le nombre de personnes qui suivent, etc. Etc. Donc, au fur et à mesure qu’on contribue en fait à un partenaire, c’est sur invitation. Je précise tout le monde qui ne naît pas n’est pas d’office récompensé dans la pose des questions. C’est l’argent, les gens qui sont dans le programme pour être dans le programme, qu’il faut pouvoir soumettre sa candidature.

Et comment fait on à un mec qui s’appelle commentaires avec un S à ad Quora Point commun (commentaires@quora.com). Et là, on peut demander à faire partie du programme quand il fait partie du programme officiel. Série de règles et de normes il faut savoir et comprendre n’autorise les questions sur Quora de manière large. Les questions qui vont être liées à Quora ce qu’on appelle les questions méta Quora.

Par contrat, sont exclues du programme. Pourquoi? Parce que elles ne sont pas assez ouvertes pour que des personnes qui soient crédibles et légitimes puissent y répondre. Ça veut dire quoi? Ça veut dire que les personnes qui vont pouvoir répondre à la question sont des employés de Quora et finalement, ça limite le champ des possibles réponses. Et la deuxième chose, c’est que les questions qui sont relatives à une personne en particulier contributeurs. Si on pose une question qui vise un contributeur, celle ci aussi. Finalement, on va décider de l’arrêt rétribuées parce que là, on est limité en nombre de possibilités d’obtenir une réponse de Gens.

Thierry: J’aime bien la réponse que tu veux dire fin de réponse puisque ça va donner en plus d’autres questions. C’est que pour ceux qui sont. Qui aiment bien les réseaux sociaux le côté, comme on appelle ces gens là surtout sur YouTube, les trolls, voilà qu’ils viennent embêter tous les réseaux sociaux. Sur Quora il n’y a pas çà en fin de compte et quand il y’a plus que moi, ça m’est arrivé. Une fois, j’ai posé une question et un charmant monsieur n’a pas été gentil par rapport à la gente féminine.

Moi, j’ai une question large qui intéresse tout le monde, lui a répondu de façon assez outrancière. On va dire sans avoir problème, parce que les gens peuvent dire vraiment, tu balancements. Moi, j’ai pas aimé, c’est ma question. Donc, je veux une vraie réponse. Et donc les dénoncer. Et puis j’ai eu un retour de remerciement de Quora. Vraiment, des personnes qui sont là pour surveiller ?

On sent vraiment bien. On s’est posé une question. On va discuter. Y’a personne qui va. Même nous, ça nous obligeait aussi carré de bien répondre. Ne pas ne pas se parler ou faire des conneries sur le sort. Ça n’a pas vraiment plate forme. Communautaire, Familliale on va dire entre parenthèses.

COMMENT QUORA VA SE DEVELOPPER ?

Sihem : Effectivement, on a tout un guide de bonnes pratiques, disponible sur quoi on a une femme, une arme fondatrice qu’on appelle le soyez courtois, soyez respectueux pour ceux qui nous écoutent. N’associe Coran en anglais, s’appelle en anglais Lean,and be respectful. Ça veut dire quoi? Ça veut dire que chaque personne qui va contribuer à accrochera.

On attend d’elle qu’elle soit en mesure de formuler une question dont l’intention est d’obtenir des réponses sincères. Et les personnes qui vont apporter des réponses le fassent de manière sincère et civile et ou partant du principe que celui qui a posé la question l’a fait de manière de bonne foi. Et c’est vraiment tout un mécanisme qui se fait. Et à partir de là, on a bâti tout un effort de modération. Énorme machine learning.

La modération, c’est vraiment le pied. C’est ce qui me distingue effectivement de notre plateforme. On est, on est assez vigilant là dessus. Ça, ça consiste en quoi? Ça consiste aussi à rester à l’écoute de nos contributeurs. Et donc, on a un système de signalement. Comment fonctionne la modération fonctionne. On a aussi un système de signalement qui est donc basé sur sur, sur les actions de contributeurs. Comme toi, tu la fais, tu as signalé un contenu qui ne rentrait pas en conformité avec les normes de Quora et donc nos modérateurs ont regardé et ont pris acte.

Et au vu de nos normes, on fait appliquer une certaine décision et c’est super important pour continuer à faire grandir Quora, à se concentrer sur la qualité des contenus qui sont apportés. Et je sais que, par exemple, je ne viens pas de cette anecdote. Mais le signalement, c’est quelque chose qui est très et pas forcément facile à faire adopter à la communauté francophone. Sur quoi un Français? Parce que là, on a quand même cet historique en France d’associations d’idées. Finalement, c’est finalement une forme de dénonciation, de délation. Et on n’a pas forcément envie d’être dansa dans un rapport.

En tout cas, ça renvoie à des périodes assez noires dans l’histoire de notre pays. Mais là, il s’agit simplement de dire à quelqu’un. Finalement, voilà. Il faudrait revoir la manière dont on a présenté des idées. On peut avoir un débat politique, on peut avoir un débat. La seule chose, c’est là où il faut rester correct. En fin de compte, rester correct. Pas d’attaques personnelles, pas de réponses sarcastiques pour être sarcastique. Pas de nous, pas de pas mille.

Thierry: Disons qu’on est sur Quora, on n’est pas sur Twitter,.

Sihem : Mais chaque plateforme a ça, a ses forces et ses vertus et ses faiblesses on va dire..

Thierry: Beaucoup de gens. Les gens auront comlpris ceux qui connaissent Twitter plutôt qui, des fois, sont choqués parce que des jambes gens se lachent, parce qu’ils ont envie. Ils font ce qu’ils veulent après. Donc c’est après ça que ça coûte moins cher, que ça coûte moins cher que le psy. Et puis, c’est l’instantané. C’est un peu différent.

Sihem : Oui. Et puis, après Twitter, ils sont et sont quand même assez gros.

Thierry: Et oui, mais vous compter devenir aussi gros. Donc il faut savoir est ce que çà va rester comme ça. J’espère en tout cas Mais bon, on en reparlera l’année prochaine quand je te réinviterai pour voir si vous avez passé le milliard ou un demi milliard d’abonnés. Donc moi, j’ai un truc que j’ai vu en fin de compte sur le Quora US Mais surtout que j’ai vu parce que j’ai même vu un grand marketeur français qui fait 10 millions de chiffre d’affaire, qui, je pense pour la stratégique, font comme les anglo saxons.

Parce que bon, tout l’a dit mais de façon humble, alors que si on fait bien le travail, si on répond tous les jours à une question avec vraiment du vrai contenu, on peut vraiment drainer beaucoup, beaucoup de trafic en étant bien sûr constant. On va dire tous les jours une réponse de 2 200 ou 300 mots importants et un grand marketers. Donc je dirais pas nous qui commence par prononcer le l’un des plus grands info preneurs en France et qui, souvent benoîtement je le vois dans mon fil, dit il, répond à des questions super longues.

Moi, je le fais fin. Votre compte? En prendre des bouts d’article que je commence à répondre je m’arrête car j’ai souvent la flemme de répondre. Il faut prendre le temps. J’ai même appris qu’on pouvait maintenant répondre plus tard comme ça à mon compte permet en fin de compte de se rappeler qu’il faut répondre parce que des fois, il y a trop de personnes comme vous. Je suis devenu expert.

Plein de gens me demandent des comptes et je n’ai pas le temps. Mon business model, c’est pas, répond 3/11. Pourquoi? Mais je vous comprends, il faut le faire. Et donc alors on de la rétribution en fin de compte. Le but n’est pas de poser des questions, c’est plutôt le contraire de répondre aux questions. C’est là où il y a un.

Sihem : Point hyper intéressant tu es tu avoir Thierry. Alors c’est juste pour éclairer les auditeurs. On est tout à fait invités à répondre à ses propres questions. C’est pas du tout quelque chose que l’on interdit. Sur quoi, au contraire? Chacun d’entre nous, on a des niveaux d’expertise et puis on a des niveaux d’expertise sur des sujets qui sont complètement variés. Maintenant, je reprends l’exemple de monsieur qui disait dans le dernier avoir fait au moins 5 ou 6 coechalà pour se considérer expert.

Si on a tenté un truc 1 2, 3 4, 5, 6 fois, machinalement, avec les erreurs et avec finalement les succès, on peut se permettre de venir parler de tel ou tel sujet. Ça, c’est un truc. Effectivement, il n’y a aucun souci maintenant dans une stratégie. Ce qu’on appelle une stratégie de contenu, c’est un peu le terme à la mode en ce moment. Mais ça veut dire quoi? Ça veut dire que quelqu’un qui est professionnel, qui soit marketeurs, entrepreneurs, codeurs, quel que soit son domaine d’activité ou autre, va pouvoir grandir en visibilité, en distribution, c’est à dire construire une notoriété en parlant machinalement de son expérience.

Et il y a un truc, effectivement, que les Américains font très bien qui s’appelle le storytelling et qui font ça depuis des années. Et finalement, Quora, c’est du storytelling. Que ça soit à raconter l’histoire de sa rupture et comment on s’en est sorti. Ou la 4ème startup. Après trois années, après trois échecs, on est dans du storytelling. En France, on a tendance pendant un an à avoir abordé la question. Finalement, du lac de la communication à travers un monde très général, très générique et un peu impersonnel, avec des apports des grosses boites, finalement chargé de communication, qui écrivait les grands mouvements Express.ca.

Aujourd’hui, on en est vraiment sûr pour essayer de vraiment capter une audience sur marginalement. Qu’est ce qui a fait que toi, t’as réussi? Qu’est ce que c’est? C’est quoi ta motivation? Comment a réussi à avoir tant de succès? Je crois. Ça s’est bâti. On a envie de voir un petit peu ce qui se passe bien derrière derrière le rideau. Parce que c’est parce qu’on est tous humains et c’est ce qui nous aidera à grandir et à réussir et à s’inspirer. Et donc, il y a beaucoup de marketeurs, effectivement. Sur quoi, en anglais? On commence à en avoir aussi?

Sur quoi? Français qui prennent 7, qui prennent ce temps là, qui prennent cet angle là. Et ça marche. Je prends l’exemple de Jean de La Roche brochard, c’est comme beaucoup connaissent. Ça a été pendant longtemps le disciple de Kima Ventures Kima Ventures, qui interprète donc le fonds qui a été lancé par Xavier Niel et donc lui, ce qu’il a fait. Et quand je l’ai contacté, je lui ai dit écoute, que tu viens de faire une session, il a dit à pas de problème, n’a répondu à 400 à 40 questions. Ça, ça a cartonné et il en est. Et il a adopté un ton tout à fait personnel sur ses réponses. Il a vraiment parler de lui. En fait, quand on parle de soi, finalement, on donne envie d’en savoir plus.

S OUVRIR A SA COMMUNAUTÉ

Thierry: Il ne faut pas avoir peur d’être vulnérable.

Sihem : Voilà, c’est ça. C’est vrai que ça va.

Thierry: C’est encore un terme à la mode. Mais c’est la vérité.

Sihem : Mais oui, mais oui, mais je suis tout à fait d’accord. C’est aussi cette expression en français qui est mis à nu. C’est vrai que c’est très dur de se dire là, je me dévoilées dévoilées mis à nu tout ça. Effectivement, les Américains ne comprennent pas forcément qu’on a cet Angoula, alors que là, on est tous humains. On a tous, on a tous des forces et des faiblesses.

On a tous eu des échecs et des réussites et c’est ça qui me connecte les uns aux autres. Et c’est pas juste un terme galvaudé ou édulcoré pour parler de stratégie. C’est vraiment ce que les gens aujourd’hui recherchent. On parle un peu de l’hyper Authentique aussi dans certains, dans certains médias. En fait, ça.

Thierry: Il y a tellement de fitness que c’est bien naturel d’être vrai çà on le sent l’humain va sentir un autre humain. Tu dis la vérité,entre parentèse.

Sihem : Il y a. En tout cas, c’est très difficile de mentir sur soi même. On ne peut pas le faire pendant des heures et de voir des baleines.

Thierry: On va découvrir un moment. C’est un peine moins se sentir gâchée.

Sihem : Effectivement, ça en porter un masque tout le temps, même en ligne, ça peut être compliqué.

Thierry: Si je dis que ce n’est pas parce que tu m’as dit comme je te dis au début, il y a souvent les techniques de base que je trouve un média, un raisonnement pinpin technique qui consistait à s’abonner, se désabonner pour voir du monde parce qu’il y a un intérêt Sverkos à avoir une communauté abonnés sans abonnement. On peut donc juste avoir du contenu. Les gens vont revenir naturellement parce qu’ils sont dans un groupe ou dans l’espace.

L’UTILISATION DES ESPACES SUR QUORA

Sihem : Alors effectivement, les espaces, ça va être un peu différent. Ce que ça veut dire que finalement, les gens vont apprécier son contenu. Et il va y avoir en fait une série de vote positif qui va être déclenché. Il va y avoir un nombre de distribution qui va se faire un nombre de vues. Bah voilà, c’est un espèce de une espèce de mécanique un peu et fait boule de neige. Plus on grandit, plus rose. Maintenant, la clé du phonographe. Il faut avoir beaucoup de faut le voir pour commencer à avoir la distribution. Ouais, ouais, et pas forcément.

Il y a plein d’autres signaux, encore une fois, qui rentrent en ligne de compte. Faire une stratégie qui consiste à dire à moi je vais suivre les Grecs et W.S. Et je vais leur demander de me suivre en retour ces méthodes. Mais si derrière, on va écrire une super réponse qui est super structurée, qui va être partagée parce qu’il y a aussi partagé en quoi il n’y a pas que le phonographes qui va être partagé et qui va être votée et qui va être distribué?

Bon, mais qu’est ce que ça fait? Ça a déclenché un truc qui est que la réponse a fini par apparaître dans ce qu’on appelle le digest. Et ça, c’est un autre élément qui est hyper important et que les gens apprécient beaucoup, c’est que quand on a des espèces de newsletter qui sont personnalisées, qu’on envoie à nos utilisateurs, reçoit dans la boite mail et ça leur permet de découvrir du contenu extraordinaire.

Et c’est ce que les gens que je rencontre me disent souvent. Ils me disent à quoi c’est cool. J’ai souvent vos email et c’est toujours le premier truc qui vient en ligne de compte. Bah, si on arrive à percer la clé, c’est pas très difficile. Exactement ce que tu disais être constant, écrire, bien écrire, se concentrer sur un sujet. Moi, je suis une ancienne journaliste, donc il faut toujours avoir un peu son beat, comme on dit en anglais, avoir son sens, son terrain de prédilection, son sujet de prédilection. Puis aller, il faut foncer, il ne faut pas hésiter. Et ça, c’est vrai que ça marche assez bien. Parce que parce que voilà, on est reconnu comme un expert, est un peu un expert.

Thierry: Mais moi, c’est marrant, tu dis ça parce que j’avais une autre question. Mais ça, ma question, c’est que je me moque de Twitter entre parenthèses par rapport aux parents, pour tout ce qui troll. Mais dernièrement, en fin de compte, quand on me pose une question, on répond Chorin d’une mention veut être sur Facebook et surtout moi Soulanges. Maintenant une ou deux choses.

J’ai vu sur Twitter, j’ai eu une réponse, pas son copain, mais sur Twitter. Quelqu’un a vu ma réponse pourquoi transfigurés sur Tweeter? J’ai ma vie. Moi, j’aurais répondu pareil. Et puis on a commencé à discuter sur tweeter. Et pourtant, en général, je le retire, Jean-Jé. J’ai répondu Socorro, ça reste encore. N’ai pas envie de m’embêter sur les autres enfants. Comme quoi, il faut aussi partager. En général, les réseaux sociaux sont plutôt bloqués. Ils veulent qu’on reste sur la plateforme. Mais vous, ça vous dérange pas de partager sur votre iPhone?

Sihem : On est conscient que de cette façon, il y a un truc pour revenir sur ce que tu disais justement sur le référencement. Il faut savoir qu’aujourd’hui, quand on écrit des réponses, on devient un expert. Là aussi, on va taper votre nom. Et on va voir aussi sur Google apparaitre aussi des réponses que vous avez écrites en peinture sur bois. Et bien, c’est quoi le couteau entre les 3 entre les 3 twittent pas forcément bien écrits ou qui veulent, ou du contenu un peu rageux en est une réponse qui est bien écrite, de qualité et peut être intéressante.

Il y a des gens, en tout cas, sur quoi, quelque soit la version, ils se sont fait repérer comme ça, sans se faire repérer pour du boulot. Ils ont réussi à trouver des investisseurs et ça, c’est quand même assez cool. Donc on est carrément pour effectivement le partage. Et même, je vais te dire si tu twitts une réponse sur quoi le cas en français va te mettre un petit coeur sur ta réponse et on essaye effectivement d’avoir une approche humaine sur les autres plateformes, de remercier en tout cas les auteurs qui font connaître Cora, qui font partager. On essaye d’avoir subi ce petit retour de reconnaissance,.

Thierry: Donc, à tous les communiqués, tous les communes. +43 J’interviens comme tu me Gradur qu’il parlait de 4, mais je ne parle pas de Chorin, donc, comme quoi il faut l’inclure et puis s’en servir pour pouvoir drainer du trafic en TIO. Donc là, on va parler de tout compte. L’opposé du essayÃ plutôt prononcé parce que Chorin fait un carton sur le Corradi avec la publicité payante, avec un super algorithme, parait il.

Franchement, moi, je me dis que personne ne peut inventer ce qu’on a fait, mais c’est une parenthèse pour Intrepid. C’est trop long. Disons que l’algo et votre votre façon de faire de la pub est unique. Malheureusement, malheureusement, il n’y a pas en France. Mais bon, ça va venir. J’espère nous un petit peu.

LA PUBLICITÉ SUR QUORA

Sihem : Ouais, Alors tu vois là, c’est vraiment un contexte idéal parce qu’on vient de terminer WebServices. On était présent, on a fait un stand et on a présenté Coiffard Business to Business. C’est quoi ces 300 millions de visiteurs uniques par mois? Cette démarche, finalement, va peut être pouvoir aussi offrir une possibilité à des marketeurs qui ont une stratégie de contenu et qui ont besoin de passer du temps pour écrire.

Finalement rapproché de la publicité, on s’est lancé sur un modèle de monétisation de l’espace publicitaire sur la plateforme et Corrales for Business existe depuis deux ans. C’est bien un piétinements, dit. Mais c’est vrai que c’est assez positif, donc on a trois grands domaines de targeting qu’on a targeting qui se fait part par question. Ça veut dire quoi? Ça veut dire que sur une page de questions, on va voir là la question qui va arriver.

Et puis, avant la première réponse, on va avoir un bandeau où on peut intégrer un lien sponsorisé en texte. On peut avoir aussi du targeting qui se fait par sujet. On atteint même des millions et des millions de sujets. Je le regardais encore il y a pas longtemps en Rincon anglaise. Sur le sujet santé, c’est 86 millions d’abonnés, 75 millions de questions à moi, sujet, voyages, sujets sur des sujets qu’on peut faire du targeting par sujets.

Ça va permettre d’inclure effectivement. Par exemple, sur un fil, quand on suit tel ou tel sujet, on va voir apparaître une Kub avec un contenu qui peut être visuel ou bien texte. Et le dernier type de pâte yatim qui targeting par mot clé en fonction d’un utilisateur qui va taper certains mots clés, va être dirigé sur quoi et sur quoi va voir apparaitre telle ou telle publicité. Donc, aujourd’hui, c’est ce qui est en fait un modèle de CPC. Comme beaucoup connaissent, notamment pour les mots clés, mais qui est beaucoup moins cher intuitivement que d’autres plateformes ou d’autres gros gros acteurs.

Thierry: Tout ce qu’on m’a dit, ce n’est pas cher du tout. Donc, nous devrons faire notre communication sur le Tour de France quand franchirent pas non plus de faire de France sur le marché américain.

Sihem : Voilà effectivement faite sur la version parle de versions faites de langue. Donc, on peut très bien être un annonceur basé en France et avoir la possibilité de l’apprendre voir pushers en tête de la publicité en anglais. Et on va le faire sur quoi?

Anglais avec une audience internationale? Ah bon? Pour le moment, Kwakwa Business n’existe que pour la version anglaise. Et comme tu l’as dit, j’espère très prochainement revenir faire une annonce me disant que c’est aussi disponible sur commande.

Thierry: C’est avec grand plaisir tout le bien vu. Bon, ben là, je pense poser la question est ce que tu as des choses que tu veux préciser ou ce que.

Sihem : Je veux être donné toutes les 3 4 bonnes pratiques, effectivement, quand on est

Thierry: J’allais finir sur ça parce que d’un podcast anglais que pour finir, que doit on faire en tant que marketeurs pour aujourd’hui? Pour donner un nom marketeur demain, j’ai traduit en français le fait de poser des questions à.

Sihem : Alors sur quoi être un bon marketeur? Je suis, j’ai juste donné des idées. Il n’y a pas de quat’sous, y’a pas de formule magique. Chacun, chacun trouvera son compte là dedans. Mais être constant, ça, c’est un truc que tu a vraiment importé. Faire des réponses qui sont, bien sûr, c’est bien structuré. Essayer d’être intelligent dans sa stratégie de contenu, pas juste balancer du lien promotionnel ou écrire juste trois phrases et mettre un lien derrière ça. Ça ne correspond pas finalement à la petite qu’Arabe.

On a aussi un travail pour chiffrer les spams. Et donc, voilà, il faut vraiment essayer d’apporter ces informations si vous avez un blog. Si vous avez un site qui est déjà disponible en ligne, vous pouvez très bien retravailler une partie du texte ou juste citer la source. Ça marche très bien. Et vous utiliser votre contenu? Vous l’actualiser même si vous voulez être constant. Proposer du contenu qui aime fouiller, travailler votre expertise. Vous avez tous un domaine en particulier sur lequel vous avez vôtre votre force. Allez y répondre sur Quora.

Participez, vous avez la chance d’avoir une version qui est aujourd’hui disponible en français. Vous allez apparaître comme des pionniers. La version anglaise est très, très grosse. Il y a énormément de concurrence ci dessus, donc, et restez respectueux et éclatez vous et découvrez. Et partager vos connaissances.

3 QUESTIONS AVANT DE TERMINER L INTERVIEW

Thierry: Avant de terminer, j’ai trois questions posées tout de suite. Si je retrouve mes questions. Trouve donc que pour toi, le meilleur levier pour devenir un pro de courant,.

Sihem : Alors devenir un protectorat. Il faut un peu d’endurance, de latence, de la constance et être et être respectueux de tous. C’est hyper important.

Thierry: Quel est le livre que tu conseillerais à tout entrepreneur ou marketeurs? Et pourquoi alors?

Sihem : Mon livre préféré maintenant, qui va au delà du marketing et qui est vraiment essayer de comprendre finalement comment les réseaux sociaux fonctionnent? C’est un livre qui date de 2002, y a 13 ans, mais il s’appelle Comme Bali en anglais et il a été rédigé par Claye Chiaki, qui est un éminent professeur qui a énormément étudié la logique des réseaux sociaux, des communautés et comment, finalement, les audiences se construisent.

Et si on veut comprendre finalement la genèse de tous les réseaux sociaux? Moi, j’ai bossé pas mal d’entre eux. Maintenant, je suis une ancienne d’habitacle. J’ai fait un stage là bas et après, j’étais chez Facebook. Je travaillais au service éditorial de la maison de New York New York. Après, j’ai bougé à Mountain View, chez. Et si on veut vraiment comprendre les dynamiques, ce qui fait que les gens s’interconnecter, continuer à discuter et comment construire finalement une audience et la fédérer à Six-Fours. Il faut lire ce bouquin.

Thierry: Et tu m’avais parlé en off ce que tu veux, je me permets. Kultura Stratobus.

Sihem : Ouais, quand tu à stratégie, c’est pour essayer de comprendre finalement comment pénétrer un marché avec des spécificités culturelles pour éviter, par exemple, des catastrophes un peu marketing. Si, par exemple, il y a des codes culturels sur certains termes, certains modes de consommation, certaines approches. Faut vraiment pas hésiter à comprendre un petit peu comment ?

Comment ou comment on habite dans le marché qu’on veut qu’on veut conquérir. C’est hyper important quand il s’agit. J’ai donner le titre encore une fois. Et vous, à l’auteur aussi. Douglas? Ouais, j’ai un trou de mémoire, mais Google est mon ami du gars. Ex-camarades de.

Thierry: Dans tous les cas, je mettrai tous les éléments. JonOne pour ceux qui veulent approfondir leurs connaissances en marketing parce que c’est très intéressant et très poussé. Donc, on sera un plus pour réussir sur quoi? Dernière question.

Thierry: Quelle est la compétence que tu rêves d’avoir?

Sihem : Ah, ça ne va pas être très, très original, mais si je pouvais maîtriser pas etonne du jour au lendemain, ça serait.

Thierry: Je parle en français où se côtoient ton accent. Des fois, c’est compliqué. Python, tu peux entre Tintin, mon bon accent. Que des fois, on a un doute. Si personne ne parle pas anglais, on va pas comprendre. Python étant Python ou Python,.

Sihem : Il reste des langages de plus en plus utiles, alors qu’il y a aussi des gens ici. Il y a d’autres langues et d’autres langages de programmation qui existent. Mais maitriser un peu de code, en tout cas, on va dire peu de développement. Ça fait mal à personne et ça va être clairement aussi une des idées des d’habilité qui va être contente pour l’avenir.

Thierry: C’est vrai que quand j’entends affrontions comme tu Bens dans San Francisco dans la startup, en quoi tu comprends que le développement, tout ça, c’est important. Je comprends donc Sihem, grand merci. On a appris beaucoup. J’espère que ceux qui ne sont pas au Quora vont s’y mettre tout de suite. Il à s’inscrire et ensuite, il suffit donc de produire du contenu, puis d’attendre un peu. ce que je dis. Grand merci.

Sihem : Merci à toi.

CONCLUSION

Thierry: Voilà, c’est fini pour l’épisode 45 avec Sihem donc grand merci à Sihem. Donc, si tu veux inscrire sur Quora, c’est très simple. Tu vas sur Quora c’est donc gratuite. Comme tout réseaux sociaux, donc, tu peux t’inscrire et commencer, donc à partager le maximum d’informations, n’hésite pas à venir me voir. Parce que moi, j’y suis de la plateforme abonne toi. On va discuter pour échanger et s’entraider pour faire grandir notre communauté commune. Donc, pour le podcast, n’hésite pas à partager à commenter sur toutes les plateformes si tu veus Spotify.

Je les connais tous. Donc, comme tu sais maintenant, c’est deux épisodes par semaine, donc pas rester connectés à t’abonné au Podcast pour qu’on puisse avoir les bonnes informations. Et ce former ensemble et grandir ensemble. N’hésite pas à partager parce qu’il y a eu beaucoup de désinformation après que J’ai fait une vidéo il y a 3 mois, des gens ont voulu faire la même chose parce que souvent il y a des copies.

Mais je pense qu’ils connaissaient pas la plateforme. Ils ont donné plein de mauvais conseils aux auditeurs nocturnes sur YouTube et je pense que les personnes sont venues me voir et sont allés voir Quora pour dire que c’était pas.

Ce n’était pas correct. Voilà donc maintenant les bonnes infos, grâce et surtout surtout que le podcast aux Etats-Unis, je te mets le lien dans le show note pour vraiment grandir avec cette plateforme, on est nouveaux. Donc il y a un million de personnes. Il y a pu en avoir plus. Dont profite donc de cette opportunité de d’installer sur la plateforme d’être sérieux, de poster tous les jours de mettre de la valeur et tu auras un retour quelques mois, quelques années après. Donc, je te dis à bientôt.